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La fermeture du Pôle d’accueil, d’information et d’orientation (PAIO) de Toulouse, décidée début juillet, a provoqué l’indignation de plusieurs associations militantes. Pourtant, derrière les slogans et les rassemblements, la réalité budgétaire demeure incontournable. Ce service du centre communal d’action sociale (CCAS), qui accueillait de manière inconditionnelle des personnes en situation de grande précarité, a cessé son activité le 1er juillet à la suite d’une réduction de financements provenant de la mairie, de la préfecture et du conseil départemental. En réponse, quatre associations (Utopia 56, DAL 31, la SAF et l’ADE) ont saisi la Justice en urgence. Le tribunal administratif a suspendu temporairement l’arrêté préfectoral, dans l’attente d’un jugement au fond.
Un réseau de vols de câbles télécoms, qui opérait en Loire-Atlantique et dans le Maine-et-Loire, a été récemment démantelé par la brigade de recherche de Nantes, a appris BFMTV auprès de la gendarmerie nationale.
Le lundi 21 juillet, les Services secrets ukrainiens (SBU) ont perquisitionné les bureaux de la police indépendante anticorruption (NABU) et du bureau du procureur anticorruption (SAPO) et ont arrêté plusieurs de ses enquêteurs. Le lendemain, le régime Zelenski faisaitt adopter une loi par le Parlement qui mettait fin à l’indépendance de ces deux entités en les plaçant sous le contrôle du procureur général.
L’initiative était prévue depuis des mois (en russe) mais a été exécutée à la hâte après que le NABU et le SAPO eurent signifié un avis d’enquête à des proches du président.
Tous les pays d’Europe ont diminué leur dette et leur déficit. Tous, sauf la France qui s’enfonce de jour en jour, refusant obstinément de tailler dans les dépenses. Les remèdes pour redresser nos finances sont connus mais la peur de la rue paralyse l’Élysée et Matignon, plus soucieux de conserver leur fromage que de sauver le pays de la faillite inéluctable qui se profile. L’extrême gauche reste en embuscade et n’attend que cela pour s’imposer. Il est inutile d’espérer jouer encore la montre.
Quelques jours après des violences urbaines survenues dans sa ville, Émile Roger Lombertie, (la photo) maire de Limoges, avait comparé les habitants d’un quartier à « des bêtes », les qualifiant de « musulmans salafistes intégristes ». La préfète du Rhône, Fabienne Buccio, face aux chiffres de la délinquance en hausse dans son département, déplore « un sentiment d’impunité » chez les délinquants étrangers, qui représentent 60 % des mis en cause avec notamment des Algériens. Si le premier dit ce qu’il veut en partant de ses propres constats, la seconde est fonctionnaire et ne dit que ce qu’on lui permet de dire évidemment, à plus forte raison sur ce genre d’annonce qui pourrait apparaître controversés mais qui est le reflet de ce que le quidam peut voir au quotidien, tant c’est devenu visible. Lombertie fait face à une fronde de la part de quelques militants qui trouvent que son propos « stigmatise », le mot est toujours employé quand il s’agit d’essayer de nier la réalité. Le problème est que non seulement ce n’est pas nouveau mais qu’en plus, cela été largement officialisé. Quand le recteur de la mosquée de Paris est venu demander à Macron que la France paie des aumôniers musulmans pour les prisons, il a parlé de 80 % de détenus musulmans. Et plusieurs études ont déjà montré les lien étroits entre le radicalisme islamique et le milieu carcéral. Egalement, les mineurs étrangers non accompagnés avaient été mis évidence dans de précédentes statistiques sur des villes comme Toulouse ou Perpignan. Ces deux responsables publics ne font donc que raconter des choses connues et parfaitement explicables.
Quand un Turc tue un Noir en France parce qu’il est noir, ce n’est pas du racisme alors qu’il est le produit d’une culture raciste et suprémaciste depuis la création du califat ottoman.
Le 19 juillet dernier, six drapeaux français brûlés ont été retrouvés dans des toilettes publiques à Gap, dans les Hautes-Alpes.
L’histoire remonte au 19 juillet dernier, la ville de Gap préparait alors une commémoration aux victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français le lendemain, rapporte Le Dauphiné Libéré.
Comparé à l’agité perpétuel de l’Élysée, vous avez tous remarqué le calme olympien que Poutine affiche en permanence, alors qu’il mène une guerre longue face à l’Ukraine soutenue par cinquante nations, qui s’obstinent à poursuivre une guerre ingagnable.
Si le Tsar est si serein, c’est qu’il sait très bien que la Russie et son peuple peuvent relever tous les défis et ne craignent personne.
A la une de cette édition, les droits de douane comme outil hégémonique pour Washington. Donald Trump use et abuse de ces tarifs douaniers pour obtenir des résultats qui sont loin d’être seulement économiques.
« L’Europe devait réguler les cornichons. Malheureusement, ils ont pris le pouvoir. »
L’Amérique de Trump et l’Europe de Von Der Leyen sont parvenus à un « accord » et, pour les Européens, c’est un véritable festival de larmes amères : choqués, ces derniers découvrent abasourdis que l’Union n’est plus qu’une subordonnée des États-Unis.