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Après la chute du gouvernement Barnier, Marion Maréchal appelle dans le JDD à former une alliance allant du RN à l’UDR en passant par la Droite républicaine et Horizons :
[…] La chute du gouvernement Barnier vient nous ramener à une idée simple : pour fonctionner, une coalition doit reposer certes sur une capacité au compromis mais d’abord sur un socle commun d’idées, et non uniquement d’intérêts ponctuels.
Ce sont notamment Soukhié Yaly et Poustynka, a précisé la Défense russe. Retrouvez ci-dessous les autres points clés d'un nouveau bilan hebdomadaire sur l'opération militaire en Ukraine.
C’est un article de l’AFP repris par le site 20 Minutes (source ici) et intitulé: “Etats-Unis : Un rapport du Congrès affirme que le Covid-19 provient d’une fuite d’un laboratoire”.
Selon ce rapport préliminaire de la commission du Congrès, la fuite d’un laboratoire de Wuhan est « l’hypothèse la plus plausible » pour expliquer l’origine du Covid-19
L’avenir de la France ne passe pas par les retraites… Le gouvernement Barnier va être censuré pour une histoire de retraites. C’est dérisoire.
Les retraites et la date : sujet sensible
Malgré le respect dû aux anciens, l’avenir d’une nation et d’une civilisation ne passe pas par le niveau de ses retraites.
D’autant que l’équation est simple : comment maintenir le niveau des retraites quand le rapport entre le nombre des actifs et celui des rentiers diminue ?
Le gouvernement Barnier n'est plus. Hier, le 4 décembre 2024, le NFP et le RN ont uni leurs voix pour le faire tomber. La crise politique française est historique, particulièrement lorsque l'on considère la situation catastrophique du pays et sa position sur l'échiquier international. Tant et si bien qu'elle fait la une des journaux dans le monde entier, que ce soit chez nos voisins, nos partenaires ou nos rivaux. Tour d'horizon.
Cruella von der la hyène de la grosse Commission de Bruxelles veut ses accords de libre-échange.
Nos europathes considèrent que nous en avons besoin en réalité pour être vertueux ici en exportant nos pollutions bien au loin. C’est en réalité le summum de l’hypocrisie et du cynisme. Enfin, en termes de souveraineté alimentaire et d’indépendance c’est une évidente catastrophe. Ne plus être en mesure de nourrir sa population et bien… c’est ne plus être en mesure de nourrir sa population. Nus n’avons plus besoin de dirigeants aussi destructeurs, idéologues et fous furieux.
Depuis plusieurs jours, depuis que Marine Le Pen a annoncé clairement qu’elle censurerait le gouvernement Barnier, tous les médias nous expliquent que nous vivons un moment historique, que cela n’est arrivé qu’une fois sous la Ve République, et que la France vit un moment historique. À entendre certains, on se croirait au moment de la chute du Mur de Berlin !
Par 331 voix, la motion de censure a été votée, Barnier est tombé. L’événement prend un caractère historique tant il est rare dans notre constitution, même s’il était prévisible dès sa nomination. Si les précédents budgets avaient connu semblable infortune nous n’en serions pas là, mais il était de bon ton de privilégier une stabilité apparente au détriment de la logique et de la sincérité. Nous avons bien eu durant les jours qui ont précédé ce vote toute la classe de privilégiés, cette gauche bourgeoise boursouflée de suffisance et de mépris, qui s’est acharnée à vouloir nous faire croire que ce n’était moralement pas acceptable que Barnier soit censuré, surtout avec l’hypocrite association des voix de l’ensemble des oppositions. Ils ne se sont même pas rendu compte de l’incongruité de leurs propos, toujours dans l’inversion accusatoire, le dédain et le dénigrement. Aux autres le devoir d’exemplarité, à eux l’exonération. Pour eux, continuer la gabegie administrative, l’immigration de masse, la guerre aux Russes, la destruction de nos industries, c’est la « stabilité » et la « raison » ?
Faut-il y voir une application très concrète de la politique de fermeté voulue par Bruno Retailleau en matière de sécurité ? Après les soupçons qui pèsent sur le groupe scolaire Al-Kindi dans le Rhône, déjà évoqués en ces colonnes, le 4 décembre, par Clémence de Longraye, c’est l’Institut européen des sciences humaines (IESH), près de Château-Chinon, qui subissait, mercredi 4 décembre, une perquisition par une « grosse opération policière », selon les mots d'Anne Lehaître, procureur de Nevers. L'établissement est en effet visé par une enquête pour « des soupçons de blanchiment, d’abus de confiance ainsi que de non-respect de l’obligation de déclaration de financements étrangers, inscrite dans la loi de lutte contre le séparatisme adoptée en 2021 ». Pourtant, auditionné par le Sénat le 27 avril 2016, Larabi Becheri, alors directeur adjoint de l'Institut européen des sciences humaines de Château-Chinon, aujourd'hui doyen de l'établissement, affirmait solennellement : « Nous n'avons jamais reçu de financement des Frères musulmans. »