
Par Nikolay STARIKOV ORIENTAL REVIEW
Le comportement étrange de tous les monarques en guerre à la veille et pendant la Première Guerre Mondiale était à l’instigation de Londres. Le chantage et la tromperie flagrants, animés avec tant de «virtuosité» par le secrétaire britannique aux Affaires étrangères, Edward Grey, ont pu fonctionner chez les Allemands. Les Anglais menèrent également le même jeu du côté opposé chez les Russes et, après une courte pause, ce fut le tour de la Turquie.