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  • Crise de la dette : « éteindre l’incendie avec un ventilateur »

    Les Bruxellois sont en transe : les députés slovaques ont rejeté mardi soir le renforcement du Fonds de secours financier de la zone euro (FESF).  Le chef du parti libéral slovaque (Sas), Richard Sulik, membre de la coalition au pouvoir, a refusé de voter le 11 octobre en faveur du FESF et   toute participation au renflouement de la Grèce. L’opposition du SaS a joué le rôle de grain de sable et  n’a pas permis d’atteindre le quorum de voix parlementaires nécessaires.  Le Premier ministre Iveta Radicova va donc être contrainte de faire des concessions à l’opposition socialiste qui a refusé de participer au vote mardi , tout en étant favorable au FESF…

     Hier soir, lors de son débat face à Martine Aubry sur France 2,   François Hollande a condamné  cet acte de résistance d’une frange des élus  slovaques. Il a  proposé  la suppression au sein des instances européistes de  « la règle de  l’unanimité » au profit de celle  de  la « majorité »  puisque l’opposition de la Slovaquie empêche (pour l’instant)   la mise en place de ce FESF.  

    La Slovaquie est le dernier des 17 pays de la zone euro à devoir approuver obligatoirement  l’élargissement proprement délirant  à 440 milliards d’euros des aides aux pays de la zone euro en train de sombrer. Et ce, avant la mise en place très probable à l’horizon 2013, du sinistre Mécanisme Européen de Stabilité (MES) de 700 milliards d’euros  que nous évoquions sur ce blog le 11 octobre…

    Utilisant  le ton comminatoire habituel, les présidents de l’Union européenne et de la Commission européenne, Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso ont appelé  «  tous les partis au Parlement slovaque à dépasser les considérations politiques à court terme et à utiliser la prochaine occasion pour adopter rapidement un nouvel accord ».  « Tous les pays de l’Union européenne doivent prendre part au combat » pour résoudre la crise de la dette, a insisté de son côté la chancelière allemande Angela Merkel. « Combat » que ni les contribuables allemands, Français ou des autres pays de la zone euro ne jugent pourtant bien légitime.

     « L’année  dernière a rapporté Daoudal hebdo  le parlement slovaque avait voté pour l’adoption du FESF mais contre l’aide à la Grèce. Dans la logique totalitaire  européiste bien connue et dénoncée par Bruno Gollnisch,   il est donc envisagé de faire revoter la Slovaquie jusqu’à ce qu’elle celle-ci revote  dans le « bons sens ». Les partis sociaux-démocrates étant plus prévisibles, achetables  et malléables que les corps électoraux,  nul doute que MM.Barroso, Van Rompuy et consorts seront entendus.

     Pourtant les opposants  à ce racket vain ne manquent pas d’arguments. Quand on  demande à M. Sulik, « d’expliquer comment la petite Slovaquie peut oser mettre en péril le plan élaboré en commun il répond : ce sont les 16 autres Etats qui devraient expliquer pourquoi ils violent  les règles ». « Le concept de sauvetage de l’euro est faux estime-t-il encore. On essaye de résoudre la crise de la dette avec plus de dettes. C’est comme quand quelqu’un essaye d’éteindre l’incendie avec un ventilateur. Il serait moins coûteux de laisser la Grèce faire faillite. »

    Une Grèce, ouvrons ici une parenthèse, qui au terme de la visite fin septembre des inspecteurs du FMI, de la BCE et de la Commission européenne est sommée d’abandonner ses derniers pans de souveraineté et ses quelques secteurs encore rentables au « privé » (privatisation des transports en commun à Athènes, et des chemins de fer du pays…)  condition sine qua non pour obtenir l’aide européenne,  revue à la hausse…  

    « Richard Sulik n’est pas un agitateur populiste précise encore  Yves Daoudal. En 2003, il était conseiller spécial du ministre des finances et c’est lui qui a conçu la réforme fiscale audacieuse qui a redressé les finances et l’économie de la Slovaquie de façon spectaculaire. On ferait mieux de l’écouter… ». Mais en sont-ils encore capables ?

    http://www.gollnisch.com

  • Guatemala : “Opération PBSUCCESS”, une clé pour comprendre les guerres modernes

    L’opération PBSUCCESS (début 1953 – fin 1954) est une opération secrète organisée par la CIA (Central Intelligence Agency) pour renverser le président du Guatemala Jacobo Arbenz Guzmán, démocratiquement élu.

    Le gouvernement d’Arbenz projetait des nouvelles réformes que les services de renseignement des États-Unis jugeaient de nature communiste. La CIA et l’administration Eisenhower craignaient l’instauration d’une tête de pont soviétique de l’ouest, dans le contexte du maccarthysme intensément anti-communiste de l’époque.

    Arbenz a été l’instigateur d’une réforme agraire menaçant notamment la multinationale américaine United Fruit Company, dont Allen Dulles (directeur de la CIA de 1953 à 1961) était actionnaire, qui avait de gros intérêts au Guatemala et faisait pression à des niveaux variés du gouvernement américain pour une action contre Arbenz en réplique à son expropriation.

    Description

    L’opération avait pour objectif d’armer et former une « Liberation Army » de circonstance d’environ 400 combattants, sous les commandes d’un officier de l’armée guatémaltèque exilé de l’époque, le colonel Carlos Castillo Armas. La CIA prévoyait d’engager le « mouvement révolutionnaire » conjointement avec une campagne diplomatique, économique et de propagande.

    Le 18 juin 1954, le lieutenant-colonel Carlos Castillo Armas lance son offensive au Guatemala à la tête de 400 rebelles, aidé par des mercenaires entraînés au Honduras et au Nicaragua par la CIA, et « soutenus par des avions de combat américains pilotés par des Américains ».

    Le plan prévoit d’attaquer des cibles près de la frontière de façon à faire croire à une large offensive ; les rebelles sont supposés éviter l’armée pour que celle-ci ne réplique pas ; une propagande radiophonique s’efforce de retourner la population.

    L’échec est rapide : les rebelles, lourdement équipés, mettent plusieurs jours à atteindre leurs objectifs. Constitués de troupes indisciplinées et de faible valeur, ils sont facilement mis en déroute quand ils rencontrent une résistance.

    Cependant le président craint que la déroute des rebelles débouche sur une invasion directe des États-Unis et ordonne à l’armée de laisser les rebelles avancer. La peur d’une intervention américaine conduit une garnison à se rendre aux forces rebelles décimées. Le président décide de démissionner le 27 juin.

    Les jours suivant, plusieurs juntes se succèdent jusqu’à ce qu’Armas prenne la tête du pays. Il se montrera gravement incompétent pour diriger le pays. L’action américaine est vivement critiquée dans la presse étrangère. La CIA envoie une équipe au Guatemala pour établir l’affiliation du régime du Guatemala à l’Union soviétique. Malgré des recherches profondes, aucun lien ne peut être établi.

    Noam Chomsky commentait ainsi l’intervention américaine dans une conférence prononcée en 1985 : « [...] nous nous sommes arrangés pour interrompre, en 1954, une expérience démocratique. Il s’agissait pourtant d’un régime réformiste, capitaliste et démocratique, du type new deal, que notre intervention a permis d’éliminer, laissant à sa place un véritable enfer sur terre, probablement le régime de la période contemporaine le plus proche de l’Allemagne nazie. »

    Dans la foulée du premier coup d’État orchestré par la CIA, l’opération PBSUCCESS a employé les méthodes de communication et de propagande d’Edward Bernays qui étaient relativement nouvelles à l’époque.

    En combinant les idées de Gustave Le Bon et Wilfred Trotter sur la psychologie des foules avec les idées sur la psychanalyse de son oncle maternel, Sigmund Freud, Edward Bernays a été un des premiers à vendre des méthodes pour utiliser la psychologie du subconscient dans le but de manipuler l’opinion publique.

    Pour lui, une foule ne peut pas être considérée comme pensante, seul le Ça s’y exprime, c’est-à-dire les pulsions inconscientes. Il s’y adresse pour vendre de l’image dans des publicités, pour le tabac par exemple, où il utilise le symbole phallique.

    À la demande de l’industrie cigarettière, qui cherchait à faire tomber le tabou de la consommation du tabac par les femmes, il a notamment organisé des défilés très médiatisés de « fumeuses » jeunes et jolies qui affirmaient leur indépendance et leur modernité par l’acte de fumer en public (“Les torches de la liberté“…).

    En politique, il « vend » l’image des personnalités publiques, en créant par exemple le petit-déjeuner du président, où celui-ci rencontre des personnalités du show-biz. Pionnier de l’ingénierie sociale, il considère qu’une minorité intelligente doit avoir le pouvoir « démocratique » et que la masse populaire doit être modelée pour l’accepter.

    Il est l’une des sources des méthodes ultérieures de propagande. Joseph Goebbels s’est fortement inspiré de ses travaux. Ses travaux sur l’inconscient à l’usage des entreprises à travers les Public Relations ont contribué à l’émergence du marketing moderne en inspirant fortement les pionniers de la discipline tels que Louis Cheskin et Ernest Dichter.

    Wikipédia  http://fortune.fdesouche.com

  • Nous ne voulons plus être leurs « cobayes » !

    Il y a une semaine, rapportait Alain Salles sur le site du Monde, les bruxellois tiraient la sonnette d’alarme… sur la montée de l’extrémisme. Ainsi le letton né aux États-Unis et commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe depuis avril 2012, Nils Muiznieks, « a livré un rapport très politique, mardi 16 avril, sur l’augmentation du racisme et des crimes racistes » en Grèce. « Les Grecs doivent comprendre (qu’Aube Dorée, NDLR) (n’est pas) un parti normal et qu’il faut prendre des mesures avant qu’il ne devienne plus dangereux ». « Pour lui, le gouvernement doit affronter la question de l’interdiction pure et simple (d’Aube dorée), qui a obtenu près de 7 % des voix aux élections de juin 2012 et compte 18 députés (…). La Grèce peut surtout utiliser les traités internationaux qu’elle a ratifiés et qui peuvent lui permettre d’obtenir une telle interdiction, affirme encore M. Muiznieks. Il explique dans son rapport que la Cour européenne des droits de l’homme permet l’imposition de sanctions proportionnées sur des individus et l’interdiction, si nécessaire, de partis comme Aube dorée. »

     Nils Muiznieks ajoute : « Il faut faire comprendre que la violence raciste d’Aube dorée n’est pas comparable à celle d’un parti anarchiste par exemple. Elle s’attaque au fondement démocratique en refusant la notion d’égalité. »

    « Fondement démocratique » et notion d’« égalité » que l’Europe de Bruxelles ne respecte pas vraiment à en croire plus sérieusement le président chypriote Nicos Anastasiades qui s’exprimait le 22 avril à Nicosie, devant les présidents des Parlements nationaux des pays de l’UE.

    Une île de Chypre, rappelons-le, occupée militairement par la Turquie qui frappe à la porte d’une Union européenne qui finance déjà sur place la construction de mosquées. Avec l’argent initialement prévu pour restaurer les édifices byzantins saccagés par les ottomans…

     Dans la ligne de mire lundi de Nicos Anastasiades, se trouve sans surprise les modalités du plan de sauvetage concocté par les européistes et avalisé le 12 avril par les ministres de la zone euro. Celui-ci prévoit « un prêt de 10 milliards d’euros de l’UE et du FMI en faveur de Chypre : 9 milliards de la zone euro, via le Mécanisme européen de stabilité (MES), et 1 milliard du FMI.

     Sur les 10 milliards en question, un tiers seulement (3,4 milliards) sera dévolu au besoin de financement du gouvernement. Le reste est destiné à recapitaliser le secteur bancaire (2,5 milliards sur les 10,4 milliards d’euros qui seront nécessaires) et au remboursement de la dette arrivant à échéance (4,1 milliards).

    En contrepartie, il s’agit pour le gouvernement chypriote de trouver 13 milliards d’euros, principalement via une ponction, pouvant atteindre 60 %, sur les comptes au-delà de 100.000 euros dans la principale banque du pays, Laiki.

    Une “aide”… à la charge des Chypriotes qui subissent d’ores et déjà comme les Grecs avant eux et plus largement de nombreux européens, un effondrement de leur pouvoir d’achat tandis que le taux de chômage a brutalement augmenté de 3,7 % en 2008 à 14 % en février 2013.

     “Chypre a été traitée comme un cobaye dans une expérience destinée à tester la théorie économique consistant à imposer une ponction sur les comptes bancaires et à évaluer les répercussions qui s’ensuivent”, a affirmé avec colère M. Anastasiades.

    “Nous ne réclamons que ce à quoi nous avons le droit : la solidarité”. “Il est regrettable que ce principe fondamental de l’Union européenne n’ait pas été respecté. Au contraire, les décisions sur lesquelles les parties intéressées se sont mises d’accord en amont ont été imposées par la force”, a-t-il encore relevé.

    Alors, constate Bruno Gollnisch, il s’agit de parler clair et d’être franc puisque les critiques justifiées contre Bruxelles et ses manœuvres ne doivent pas exonérer les gouvernements de leurs propres fautes et faiblesses.

    Mais ici les épargnants chypriotes sont, au motif d’une “taxe exceptionnelle” (vraiment ? on sait qu’elles ont trop souvent vocation à durer !), volés, rackettés sciemment sur ordre de la troïka UE-BCE-FMI.

    Ils sont sommés de se dépouiller de leurs biens et de se serrer la ceinture pour remettre en selle des banques privées qui ont englouti, en toute connaissance de cause, des milliards en spéculant sur la dette grecque. Est-il nouvel exemple plus aberrant d’un Système devenu totalement fou ?

    Cette “taxe exceptionnelle” met à mal, au sein de toute la zone euro, le principe le plus élémentaire de la sécurité des dépôts bancaires et viole aussi des traités européens.

    Dans leur folie jusqu’au-boutiste, les Docteur Folamour de l’idéologie euromondialiste dévoilent également ici des pulsions totalitaires, antidémocratiques, qui à dire vrai, ne sont pas pour nous surprendre puisque nous en avions averti les Français depuis des lustres…

    http://www.gollnisch.com

  • De Toulouse à Boston : bobardement politico-médiatique

    Ils n’ont rien appris et n’ont rien oublié – de leurs réflexes pavloviens…
    Le 15 avril, jour du Marathon de Boston mais aussi Jour des Patriotes, dont l’action devait mener à l’indépendance des colonies britanniques d’Amérique, un double attentat faisait trois morts (dont un garçonnet) et plus de soixante blessés, certains très grièvement atteints, dans la foule qui se pressait très dense à l’arrivée de cette course. C.G.

    L’ « extrême droite », mais c’est bien sûr !

    Nul ne connaissait alors les auteurs de cette double attaque ni ne soupçonnait leurs motivations. Nonobstant, la caste médiatique états-unienne, aussitôt suivie par la nôtre, incrimina l’ « extrême droite ».
    À quelques jours près, mais c’était là un « détail », n’était-ce pas le vingtième anniversaire du massacre de Waco perpétré le 19 avril 1993, Bill Clinton régnant ? Et pour la bonne cause : à cette époque, dans cette bourgade du Texas, de très importantes forces fédérales faisaient depuis sept semaines le siège de Mont Carmel, propriété des Davidiens, groupe religieux (issu de l’Eglise adventiste du septième jour) et « survivaliste », dirigé par Vernon Howell, alias David Koresh,  suspecté – à tort, comme devait le montrer l’enquête deux ans plus tard — de détenir des armes d’assaut.
    Décidée par Janet Reno, première femme nommée secrétaire d’Etat à la Justice (et lesbienne revendiquée), la prise de Mont Carmel par des centaines d’agents du FBI et de la Delta Force, qui usèrent des gaz à l’origine de l’incendie ayant ravagé les bâtiments et même de missiles, se solda par un bilan très lourd – 96 morts dont des femmes et de nombreux enfants –, toujours très reproché à l’Etat fédéral par ceux qui tolèrent mal la mainmise du Big Brother washingtonien sur la libre Amérique. Et, comme c’est un 19 avril également qu’en hommage aux victimes de Waco, Timothy McVeigh, sympathisant du Mouvement des miliciens (très infiltré, soit dit en passant, par le FBI), détruisit à l’explosif en 1995 le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah, y faisant 168 personnes et plus de 680 blessés, les commentateurs autorisés avaient leur coupable tout trouvé.

     Exit la piste noire, c’était la piste verte

    Certes, « rien ne permet d’affirmer que l’extrême droite est à l’origine des explosions [de Boston]. Mais le jour choisi est spécial pour les ennemis de l’Etat fédéral », titrait ainsi le site internet du Point le 16 avril en citant la chaîne d’informations continues CNN selon laquelle « les militants d’extrême droite auraient même fait plus de victimes que les islamistes » : « 29 Américains tués contre 17 abattus par des djihadistes. En 2012, 15 militants d’extrême droite ont été inculpés pour leur rôle dans des assassinats politiques ou des attaques idéologiquement motivées. En comparaison, six militants d’al-Qaida ont été inculpés pour terrorisme aux Etats-Unis la même année. »
    Son de cloche à peine différent dans Le Figaro où Alain Bauer, « professeur de criminologie et conseiller en sécurité des polices de New York et de Los Angeles » (1) décryptait ainsi la situation : « La piste du terrorisme intérieur est donc privilégiée … Spontanément, les analystes ont imaginé un acte antiaméricain du type Oklahoma City en 1995. » « Le fait est cependant, ajoutait prudemment Bauer, que les cibles ne sont pas des bâtiments fédéraux et que la double explosion simultanée pose question. D’ordinaire, elle est la signature des artificiers libanais dans les attentats djihadistes. Vous voyez que les hypothèses sont nombreuses. »
    N’importe : pour nos médias monomaniaques, c’est la seule « piste noire » qui était la bonne. Jusqu’à ce que s’impose la « piste verte », celle de deux Tchétchènes nés en Kirghizie : les frères Tamerlan et Djokhar Tsarnaev, installés depuis dix ans aux States où ils passaient pour « parfaitement intégrés », selon la formule consacrée, et avaient été naturalisés. Pourtant, Tamerlan, l’aîné, avait multiplié les (longs) séjours dans le Caucase, où il avait eu tout loisir de s’initier au maniement des explosifs, sans que s’en émeuve le moins du monde le sourcilleux FBI, bien que l’intéressé ait fait, l’an dernier, l’objet d’une alerte lancée par Moscou qui le considérait comme « un partisan de l’islam radical » ayant « drastiquement changé en 2010 ». Mais, du moment que ces Tchétchènes s’étaient présentés comme « réfugiés politiques » persécutés par les Russes, qui aurait eu l’idée biscornue d’accorder le moindre crédit au signalement émis par les services du « dictateur » Poutine ?

    Haro sur les « néo-nazis », pleurs sur l’ « ange » Merah

    Attitude irresponsable des autorités prétendument chargées de la sécurité intérieure, moutonnisme imbécile des médias aliénés par leur détestation du « fascismassassin », le drame de Boston évoque irrésistiblement ceux dont Montauban puis Toulouse furent le théâtre en mars 2012 avec les tueries (trois parachutistes puis un enseignant juif de l’école Ozar Hatorah et ses deux enfants abattus) commises par Mohamed Merah, un multirécidiviste de l’arnaque et de la violence, maintes fois condamné, puis relâché, dont notre DCRI s’était obstinée à minimiser l’engagement islamiste et la dangerosité malgré ses voyages en Asie centrale et au Moyen-Orient, ses odes à l’islamisme sur internet et son signalement comme « djihadiste radical » par les RG toulousains.
    Alors même que Merah portait un casque de moto intégral empêchant toute identification, on se souvient de l’acharnement de la presse à décrire le tueur comme « un homme de type européen, au teint blanc et aux yeux clairs ». Ainsi Le Point soutint l’hypothèse de « soldats réputés néonazis », cependant que Le Canard enchaîné estimait aussi que l’affaire « sentait le nazi », que  L’Humanité romançait sur un « loup solitaire type Anders Breivik » et que Jean-Luc Mélenchon en appelait lyriquement à la responsabilité posthume de… Robert Brasillach !
    Du coup, quel désespoir dans les salles de rédaction quand l’atroce vérité se fit jour ! Nicolas Chapuis, de Libération (où l’on s’était extasié  sur « l’incroyable beauté du visage d’ange » de Merah), résuma ainsi ce désespoir sur Twitter : « Putain ! Je suis dégoûté que ce soit pas un nazi » (2).

    Désarmement volontaire

    C’est à peu près la même réaction qui s’est fait jour aux Etats-Unis parmi les « élites » : « Attentat de Boston : “Pourvu qu’il ne soit pas musulman !  », titrait ainsi le correspondant du Monde.fr le 16 avril. Hélas, il l’était, mais la mort de Tamerlan Tsarnaev, tué lors d’un échange de tirs avec la police, n’empêchait pas Le Point, hebdomadaire du milliardaire François Pinault, de remettre le couvert le 18 avril sur la « radicalisation » croissante, allant jusqu’à la tentation de « séparatisme blanc », de la droite américaine. L’hebdomadaire s’appuyait probablement sur la « très sérieuse » New America Foundation, « think tank spécialisé dans les questions de sécurité nationale », qui soutient à l’appui de sa thèse que « 53 militants d’extrême droite ont été inculpés entre 2008 et 2012, contre seulement neuf pour la période 2002-2007 », l’élection de Barack Obama ayant « créé un terreau fertile pour des militants extrémistes et psychologiquement fragiles ».
    On a vu avec Boston combien, grâce à cette Fondation dont les décrets ont force de loi dans les sphères du pouvoir, la sécurité nationale était en de bonnes mains… Des deux côtés de l’Atlantique, combien de drames qui auraient pu être évités ont au contraire été favorisés par la cécité volontaire des  dirigeants, des lobbies de la bien-pensance et de leurs relais médiatiques pour lesquels tout immigré est une victime mais jamais un ennemi en puissance, capable de violence ?
    En France, on s’obstine à parler de l’attentat homophobe commis à Nice le 21 avril contre deux jeunes gays alors qu’il s’agit d’un attentat francophobe, les agresseurs étant maghrébins (3). A Washington, le secrétaire d’Etat John Kerry, cousin de notre Brice Lalonde, a mis en garde ses compatriotes « contre tout amalgame » et les a adjurés de continuer à voir dans l’islam « une religion de tolérance et de paix ». Aurait-il parlé de même si l’auteur du bain de sang de Boston avait été un « séparatiste blanc » ?
    Evident depuis « Copernic », quand l’attaque (en 1980) de la synagogue réformée fut des mois durant imputée aux Faisceaux européens de Mark Fredriksen avant que Valéry Giscard d’Estaing ne se décide à l’attribuer – après sa défaite à la présidentielle de 1981 – à des terroristes palestiniens, ce désarmement conscient et organisé porte un nom. C’est de la haute trahison.

    Camille Galic 22/04/2013
    Notes
    (1) Ancien grand maître du Grand Orient et président du conseil d’orientation de l’Observatoire national de la délinquance par la grâce de Nicolas Sarkozy, Alain Bauer enseigne également auprès des universités de Paris I et Paris V, ainsi qu’à l’EOGN, Ecole des officiers de la gendarmerie nationale. Il est aussi un ami intime de Manuel Valls, actuel ministre de l’Intérieur. Voir la brochure de Polémia, Les médias en servitude,
    (2) Le mensonge Merah fut nominé pour les derniers Bobards d’Or.
    (3) Depuis des années, les homosexuels fuient d’ailleurs le secteur de la Gare du Nord à Paris, craignant d’y tomber sur les « jeunes des cités » venus spécialement « casser du pédé ». Mais qui en parle ? Sûrement pas le magazine Têtu, racheté à Pierre Bergé par le vibrionnant et richissime Jean-Jacques Augier, intime de François Hollande.
    http://www.polemia.com

  • Les prostituées des Femen s’attaquent à un homme d’Eglise !

     

    Quatre militantes de Femen ont fait irruption, seins nus, dans une conférence qui réunissait jeudi soir à Ixelles, André Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, et Guy Haarscher, professeur honoraire à l’ULB, autour du thème « Blasphème : offense ou liberté de s’exprimer ».

     

    Les quatre militantes de Femen, qui se trouvaient dans le public venu assister à la conférence, ont mené leur action peu après le début des débats, aux cris de « Léonard y’en a marre », « Stop Homophobia » ou encore « God saves the gouines ». Monseigneur Léonard a été aspergé de jets d’« eau bénite » contenue dans des sprays en forme de Vierge Marie.

     

    L’action fut de courte durée et les quatre militantes ont été évacuées de l’auditoire avant que le service de sécurité de l’ULB n’ait le temps d’intervenir. Mais l‘archevêque André Léonard a pris la chose avec calme et sérénité, priant durant l’assaut et embrassant ensuite, quand le calme fut revenu, les statues de plastique représentant Marie qui contenait l’ « eau bénite ».

     

    Voilà donc, et la photo est très révélatrice, les défenseurs de la cause féminine ! Seins nues, violentes, elle renvoient de la femme une image dégradée, une image avilissante qui ne fait pas honneur aux vraies femmes, évidemment étrangère à la vulgarité dans laquelle sombrent en permanence les Femen.

     

    La question est désormais la suivante : quelles sanctions encourent ces prostituées ? Manifestation non déclarée, violence en réunion, agression et atteinte aux personnes, atteinte à la pudeur… On a vu ces derniers jours la justice relativement expéditive, qui embarquait des jeunes pour beaucoup moins que ça…

    http://www.contre-info.com/

  • Jour de colère !

    Ala fin du débat à l'Assemblée, des opposants ont tenté, depuis les tribunes de l'Assemblée nationale, de perturber le vote sur la loi Taubira. Ils ont déployé une banderole réclamant un référendum avant d'être évacués par des agents de l'Assemblée. Le président Claude Bartolone, très agacé, a lancé à leur adresse : "Sortez-moi ces excités, les ennemis de la démocratie n'ont rien à faire ici !"

     

    A Bayonne :

     

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    A Laval :

     

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    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La morale Peillon ou l'intégrisme laïc, par Éric Muth

     

    Tout juste après son élection, François Hollande, qui avait axé sa campagne sur la jeunesse, commence à rendre hommage à Jules Ferry.
    Ce que l'on sait à peine, c'est que ce dernier fut, non seulement un grand colonisateur, « mais c'est quelqu'un qui fonde la colonisation sur une vraie théorie raciste. De même qu'il faut éduquer les enfants, il faut éduquer les africains, c'est ça l'idée », déclarait à l'époque l'ancien ministre de l'Éducation Nationale Luc Ferry.¢
     

    UN TRES GRAND RACISTE
     
    Jules Ferry était un très grand raciste, ministre de l'Instruction Publique et Président du Conseil, il est surtout connu pour ses réformes scolaires. Son héritage, l'école gratuite, laïque et obligatoire, est un pilier de la République qui ne laisse pas indifférent Vincent Peillon.
     
    Mais une facette moins avouable de Jules Ferry, et la moins connue, le place comme un fervent défenseur de la colonisation : « Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai. Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures ». Et ajoute : « Les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures, il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures ».
     
    Alors cette refondation de l'école voulue par Vincent Peillon est bien issue de cette idéologie sectaire de cette gauche sans scrupule, d'un nivellement par la base, par le bas. Cette colonisation des consciences du ministre de l'Éducation Nationale aboutira à une morale du parti, une véritable propagande nommée insidieusement « morale laïque ». On a eu le « mariage » homosexuel; maintenant, on invente la « morale laïque » et socialiste. Ce gouvernement des mensonges et de l’hypocrisie aime bien dénaturer les mots pour faire passer sa haine de la Famille, de la Chrétienté et des enfants qu'ils veulent contrôler.
     
    « Refonder la République par l'école » est bien une attitude de colonisateur, et Vincent Peillon enfonce le clou : « Quand on s'attaque à l'école, on s'attaque à la République. Et quand on malmène la République, on malmène l'école ».
     
    On doit ajouter : quand on endoctrine un enfant au nom de la laïcité et de la république, on le prive de sa liberté de conscience, chose que vous n'avez jamais eu M. Peillon
  • Taiäut ! Taïaut ! La chasse au Cahu est ouverte

    C’est fait… La déclaration de patrimoine de nos actuels ministres a été publiée, plus contrainte et forcée qu’acceptée dans la joie et l’allégresse. Il fallait bien après le scandale de l’ex-Ministre du Budget dont on n’aura jamais su s’il aurait été ou non compétent dans sa fonction. Il n’en était en tout cas pas digne, faute de moralité.

    Gageons que tous les ministres futurs y passent, eux aussi. Plus aucun chef de gouvernement ne pourra passer outre au risque d’être immédiatement suspecté de dissimulation. Mais pour les prochains ministres potentiels, cela laisse le temps de s’organiser. De répartir leur grisbi ici, là et de préférence ailleurs afin qu’il soit moins voyant. L’apparence, en effet, est primordiale ! L’habit, voilà qui fait le bon ministre ! Ce n’est pas tant d’honnêteté que nos prochains gouvernants devront faire la preuve que de malignité dans la discrétion. Ce ne sera plus « couvrez ce sein que je ne saurais voir », mais « cachez moi ce bien que vous ne sauriez posséder. »

    Avant, on envoyait le bêta à la chasse au Dahu(1)… Mais c’était avant ! Désormais, on envoie l’électeur à la chasse au Cahu. Autres temps …

    Une fois de plus, tout ce brouhaha médiatico-politique où les uns font surenchère de bons sentiments et de moralité intransigeante, tandis que les autres vitupèrent la déliquescence des mœurs et le laxisme des consciences n’aboutit finalement qu’à déconsidérer la fonction politique… qui n’en avait pas vraiment besoin.

    Car obliger tous les ministres à cette déclaration publique de leur patrimoine respectif, outre la bouffonnerie dans la réalisation et le ridicule dans l’efficacité, jette de fait la suspicion sur toute la classe politique… Être obligé de prouver publiquement son honnêteté revient à reconnaître qu’on puisse être malhonnête… Mais les électeurs s’interrogent-ils, eux, sur leur propre perspicacité ? Car la composition d’un gouvernement, c’est tout de même la conséquence directe de leur choix électoral.

    Il serait plus logique que ce soit le candidat à une élection qui prouve son honnêteté, bien plus qu’un ministre, désigné pour une fonction précise par un Président mis en place par le vote d’une majorité de ses compatriotes.

    Ce n’est, certes là, qu’une contradiction de plus dans cette pantalonade sur le patrimoine des élus ; « tout cela est peu ragoûtant », comme l’écrit la journaliste Marie Delarue qui ajoute : « Démarche qui ne présente aucun intérêt pour quiconque, sauf peut-être celui d’endormir une foule avide de justice comme autrefois les Tricoteuses quand elles regardaient la tête des aristos tomber dans le panier de la guillotine. »(2) !

    Mais au fait, pourquoi seuls les membres du gouvernements seraient-ils astreints au déballage financier sur la place publique ? Pourquoi pas tous les élus de la République ? Ça en fait, des suspects de l’indélicatesse, du conseiller municipal au député ou sénateur… Taiäut ! Taïaut !

    Pourquoi les policiers et les gendarmes, de moins en moins occupées d’assurer la paix publique, mais de plus en plus transformés en auxiliaires des contributions directes et indirectes, ne seraient-ils pas également astreints à publier leur patrimoine ? Sommés par leur hiérarchie de remplir les caisses de l’État, combien sont-ils à se remplir au passage les poches, comme le premier ministricule venu ? Du très médiatique Michel Neyret, numéro deux de la police judiciaire de Lyon avant son éviction en 2011, suite à sa mise en examen pour « corruption, trafic d’influence, association de malfaiteurs, trafic de stupéfiants, détournement de biens et violation de secret professionnel », en passant par les 17 policiers de la brigade anti-criminalité (Bac) de Marseille accusés en novembre 2011 d’avoir eu des comportements de « ripoux », en quoi les pandores seaient-ils à l’évidence guère moins suspects que le premier politicien venu(3)… Taiäut ! Taïaut ! qu’on vous dit !

    Et les magistrats ? Qui nous assure qu’aucun d’eux ne succombe à la menace ou la tentation quand ils sont faces à quelques parrains milliardaires de la criminalité ? Taiäut ! Taïaut ! qu’on vous répète !

    Et les fonctionnaires, du plus humble postier susceptible de se servir dans les colis qu’il est chargé de transporter… au plus haut « agent d’une administration publique » tout aussi capable qu’un Cahuzac de « toucher » pour prix de sa bienveillante compréhension et d’en mettre à gauche, même s’il vote à droite ? Taiäut ! Taïaut ! Encore et toujours !

    Pourquoi les ministres plus que les autres ?

    Et puis, tout ça pour apprendre, finalement, que Laurent Fabius possède quelques millions devant lui pour ses vieux jours, mais que Cécile Duflot roule dans une R4 de 400 euros (à peine plus que les vélos de Christiane Taubira)…

    Les ministres, suspectés de vouloir faire les poches des Français ? Désormais, en plus, ils leur font honte. À qui la faute ?

    Philippe Randa http://www.voxnr.com

    Notes :

    (1) L’existence du dahu, animal sauvage imaginaire, est généralement évoquée en milieu rural et par plaisanterie auprès de personnes particulièrement naïves et de citadins peu au fait, par exemple, de la faune. « La version moderne, théâtrale et cinématographique, de ce comportement d’un groupe vis-à-vis d’un individu désigné comme vilain petit canard est sans doute Le Dîner de cons » (http://fr.wikipedia.org).

    (2) www.bvoltaire.fr.

    (3) 17 policiers de la BAC Nord obt été mis en examen pour des faits de vols et d’extorsion ; sept avaient été écroués et cinq placés sous contrôle judiciaire, mais « (ils) ont tous été autorisés à reprendre leur travail, indiquait le site Mediapart le 29 janvier dernier. Même les sept policiers placés en détention provisoire pendant plus de deux mois pourront donc prochainement exercer sur la voie publique. »

    Interrogé par Mediapart, « l’homme qui n’a pas pu réintégrer la police confie son amertume. Il a été révoqué début août 2012 par le ministère de l’Intérieur, pour “insubordination”. “Eux qui n’ont rien dénoncé ont eu gain de cause, et nous, nous restons punis, au placard” » (sources : www.leparisien.fr).

  • Légalisation de la parodie de mariage : Le Printemps français ne lâche rien

    "Aujourd’hui, le gouvernement de François Hollande va lier son sort à la loi Taubira par un vote solennel à l’Assemblée. Il devra en subir les conséquences… François Hollande sera allé jusqu’au bout de l’illégitimité.

    Seul Président de la République à tomber à moins de 25% d’opinion favorable, et ceci avec moins d’un an de présidence, il est aussi celui qui a le plus bafoué la démocratie en si peu de temps. François Hollande refuse d’écouter des millions de manifestants qui se mobilisent depuis six mois. Il rejette une pétition historique de 700.000 signatures. Il fait voter une loi inique et controversée à main levée au Sénat. Il bouleverse l’agenda parlementaire…

    François Hollande trahit tous les idéaux républicains. Il restera dans l’histoire comme celui qui a provoqué la plus grave crise sociétale en France depuis mai 68. Celui dont les ministres se sont révélés menteurs, tricheurs et fraudeurs à peine nommés. Celui qui aura été incapable de lutter contre le chômage ou l’insécurité. Avec un pareil bilan, n’importe quel homme d’Etat renoncerait à ses chimères… Pas François Hollande ! Pourquoi ? En faisant voter la loi Taubira dans ces conditions, François Hollande révèle la vraie nature de cette loi. Elle est la marque d’une idéologie à laquelle il est prêt à tout sacrifier. En faisant cela, François Hollande livre son sort à la rue !

    A partir d’aujourd’hui, nous entrons en dissidence contre le régime de François Hollande. Quand tous les moyens légaux ont été épuisés, il ne reste que l’insoumission ! On ne lâche rien".

    En signe de deuil, le Printemps Français appelle à manifester ce soir avec un brassard noir et vous invite à porter désormais un ruban noir à la boutonnière.

    Le Printemps Français

    http://www.actionfrancaise.net

  • Agression “homophobe” à Nice : le racisme antifrançais comme vrai motif ?

    NICE (NOVOpress) – Plusieurs médias régionaux et nationaux se sont émus, à juste titre, de l’agression dont ont été victimes deux jeunes homosexuels dans la nuit de samedi à dimanche à Nice.

    Si l’agression a immédiatement été présentée comme homophobe, il semble que la réalité soit un peu plus complexe. En effet, dans le poignant témoignage diffusé sur sa page Facebook par l’une des deux victimes (photos de la victime ci-dessus) mais aussi dans un entretien vidéo réalisé par Nice Matin on apprend qu’avant de porter le premier coup (après avoir demandé une cigarette, approche qui en soit signe déjà un peu le crime) l’agresseur principal aurait demandé ”Français ou Tchétchène ?”, et c’est après confirmation de la nationalité française de la future victime que les violences ont débuté.

    Pourtant, jusqu’ici aucun média ne s’est intéressé à cela, alors que les déclarations sont très claires. Il semble évident que le racisme antifrançais des agresseurs a été au moins aussi déterminant dans cette attaque que leur “homophobie”, laquelle n’est en tout cas pas le déclencheur des violences à proprement parler. [...]

    La suite sur Novopress