De l'avenue de Breteuil, des manifestants ont rejoint le siège de TF1 où doit s'exprimer Jean-Marc Ayrault durant le 20h.
La suite sur => http://www.lesalonbeige.blogs.com/
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De l'avenue de Breteuil, des manifestants ont rejoint le siège de TF1 où doit s'exprimer Jean-Marc Ayrault durant le 20h.
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La mort de plus de 400 personnes dans une usine textile au Bangladesh révèle une fois de plus les conditions déplorables dans lesquelles les entreprises occidentales font fabriquer les vêtements. L’UE a raison d’exercer des pressions sur les autorités locales, mais elle devrait aussi regarder ce qui se passe dans d’autres pays.
C’est une catastrophe dont l’ampleur augmente chaque jour. Il s’agit de l’effondrement de l’immeuble Rana Plaza, dans la ville de Savar au Bangladesh, qui a coûté la vie à au moins 400 personnes d’après les dernières informations [on en dénombre actuellement 500]. Le compteur s’est mis en marche il y a plus d’une semaine avec 87 morts et 1.000 blessés. Un autre chiffre circule désormais et il ne présage rien de bon, c’est celui des disparus : il serait de 1.000, même si certains sont peut-être comptés deux fois.
Le complexe de huit étages, dont trois auraient été ajoutés illégalement, abritait entre autres une usine textile. Des ouvriers avaient signalé à leur patron des fissures dans les murs, mais ce dernier les a obligés à venir au travail, en les menaçant de retenir une pénalité sur leur maigre salaire.
Les importateurs, en partie responsables
Le propriétaire de l’immeuble a été arrêté. C’est bien, car c’est le premier responsable, mais on est très loin du compte. Il aurait été, par exemple, nettement préférable que les autorités prennent des mesures préventives, compte tenu de l’état périlleux dans lequel l’immeuble se trouvait. Et aussi ailleurs dans le pays, car l’effondrement de ce bâtiment n’est pas un incident isolé. Les conditions de travail abominables au Bangladesh font bien trop fréquemment des victimes.
Le drame explique le prix du textile dans certains magasins occidentaux. Comme ces t-shirts ou bikinis qui ne coûtent que quelques euros. Cela pourrait faire réfléchir le consommateur, mais il ne faut pas rejeter la responsabilité sur lui. Celle-ci incombe plutôt aux importateurs [comme Mango et Benetton], qui doivent s’assurer, mieux qu’actuellement, des conditions dans lesquelles leurs vêtements sont fabriqués.
L’Union européenne est le principal partenaire commercial du Bangladesh.
La menace exprimée cette semaine, dans une déclaration, par le Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères, Catherine Ashton, et le commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, aura peut-être un effet positif. Ils avertissent le Bangladesh que le pays pourrait perdre les avantages dont il profite du fait de son statut de pays en développement, comme l’exonération des droits d’importation dans l’UE.
Une possible perte de revenus pour le pays
Le problème de ce type de mesure, et d’un boycott, c’est que le Bangladesh pourrait perdre sa principale source de revenus, et que ces activités seraient alors poursuivies dans un autre pays pauvre, dans des conditions tout aussi lamentables, voire pires.
L’UE demande à juste titre au Bangladesh de respecter les normes reconnues au niveau international de la RSE, la responsabilité sociale des entreprises. Mais il faut aussi qu’elle l’exige de la part d’autres pays. Les ouvriers exaspérés, qui sont descendus dans les rues du Bangladesh, exigent la même chose, en termes moins diplomatiques. C’est aux autorités bangladaises de mettre fin à ces scandales.
Partout en France, les Manifs pour tous ont rencontré un véritable succès, même à Paris en pleins congés scolaires. Les familles françaises ne désarment pas !
Ta loi, Taubira, on n’en veut pas !
Place Vauban à Paris, carton plein !
Photos et vidéos sur Le Salon Beige
Voir également l’article du Figaro
L’actualité nous rappelle l’impérieuse nécessité d’un Etat fort, voire interventionniste si l’intérêt national est en jeu, si le « pré carré » est menacé. C’est, au-delà des différences de nature et de degré, la conclusion que l’on peut tirer de la décision de la commission de Bruxelles contre la S.N.C.M., des difficultés financières de l’actionnaire principal sud-coréen des ex-Chantiers de l’Atlantique ou encore des visées de la société américaine Yahoo! sur la française Dailymotion.
Plutôt étrangers, si ce n’est hostiles, à cette approche, les médias préfèrent, anniversaire oblige, se battre à coups de sondages, de pourcentages et de statistiques sur le bilan de la première année du quinquennat. C’est vraiment se faire, et répandre dans le pays, une piètre idée du chef de l’Etat (quel qu’il soit) que de le traiter comme le P.-D.G. d’une grande entreprise. C’est de toute façon se poser des questions bien inutiles puisque tout le monde a la réponse, M. Hollande ayant « accompli » deux tâches qui paraissent importantes : l’intervention militaire au Mali et la légalisation du « mariage pour tous ».
Quel contraste entre les deux ! D’un côté un chef de guerre, dont l’autorité institutionnelle ne souffre aucune contestation (et c’est tant mieux), de l’autre un ex-candidat prisonnier des gages à donner à certains groupes de pression (et c’est tant pis). Cette ambiguïté reste malheureusement la marque de fabrique des présidents successifs. Porté au pouvoir par quelque chose qui ressemble fort à un plébiscite, le président de la République n’est évidemment pas ce « monarque républicain » que l’on se complaît à dénoncer. Au moins – mais n’est-ce pas la moindre des choses ? -, jouit-il de quelques attributs régaliens : « irresponsabilité » sur les plans politique et judiciaire, pouvoir de nomination et de dissolution, autorité sur les armées, etc.
Or, c’est bien contre cela – contre ces dernières digues - que M. Mélenchon propose l’instauration d’une VIème République, dont on comprend bien qu’elle aurait tous les inconvénients de la Vème (le principal étant l’existence de factions luttant pour le pouvoir) et aucun de ses avantages (le principal étant la primauté de l’exécutif). Mais M. Mélenchon est un jusqu’au-boutiste enragé : ne lit-on pas dans L’Humain d’abord (programme du Front de Gauche) : « Nous voulons renforcer et amplifier la souveraineté directe du peuple » ? Verbiage délirant et mensonger dont l’Histoire a montré les conséquences funestes. On sait trop à quelles extrémités pourrait conduire un dépérissement de l’Etat.
Samedi 4, sur France 3, rediffusion de l’excellent Louis XI, avec Jacques Perrin. Une superbe leçon de réalisme politique au service de la France, mais une leçon au goût amer : si aujourd’hui, comme au quinzième siècle, les « féodaux » jouent toujours contre la France, ils n’ont plus en face d’eux un Etat « royal » mais un Etat contesté et diminué, du fait même qu’il est aux mains d’une faction.
http://lafautearousseau.hautetfort.com/
Lu sur C-Fam :
"Cette année encore, les militants de l’avortement et des droits sexuels ont réussi à paralyser le débat à la commission sur la population et le développement, plus connue sous le nom de CPD46. Alors que la Commission était consacrée au thème banal « nouvelles tendances dans le domaine de l’immigration », l’attention s’est portée de manière inattendue sur l’avortement, laissant de côté la question des besoins fondamentaux des immigrés.
La dernière résolution en date adoptée par la Commission date de 2006. Cette résolution ne fait aucune mention de la santé et des droits reproductifs, ces questions étant considérées accessoires dans les discussions sur l’immigration. Mais les pays riches, qui dépensent des milliards de dollars chaque année pour réduire le taux de natalité des pays en voie de développement, ont assuré qu’il n’y aurait pas d’omission cette année.
Vendredi soir, les pays en voie de développement ont déploré le fait que l’IVG et les droits sexuels aient pris le pas sur les besoins fondamentaux des migrants. Le consensus Onusien sur les questions sexuelles est déjà bien encré et n’a pas changé depuis l’importante conférence du Caire de 1994, qui a refusé de reconnaître l’existence d’un droit international à l’avortement ou des droits homosexuels. Certains Etats tentent depuis lors de relancer le débat sur ces questions, et la lassitude des diplomates commence à se faire ressentir.
Le projet de résolution de cette année contenait plus de quarante mentions des droits sexuels et reproductifs, de l’orientation sexuelle, et droits reproductifs. Il n’est pas fait mention de la nutrition, de la santé, de l’éducation ou des autres besoins fondamentaux des migrants plus d’une ou deux fois. Certains diplomates souhaitaient que la santé sexuelle et reproductive soit mentionnée au côté des droits de l’homme dans les premiers paragraphes de la résolution, sans succès.
Le représentant philippin, qui menait les négociations, a essayé de réinjecter un peu de raison dans les débats. « Nous ne voulons pas que les immigrés pensent que leur seul droit ou leur droit le plus précieux est le droit à la santé sexuelle et reproductive ». Les représentants lui ont rétorqué qu’il était parti pris sur la question. Le représentant philippin a alors abandonné les négociations aux mains du président de la commission, un diplomate moldave.
Les négociations étant toujours mobilisées, le diplomate moldave a rédigé un projet de compromis « Personne ne va être content », a-t-il prévenu. Cet avertissement s’est révélé prophétique, mais pas avant qu’une spectaculaire coupure de courant perturbe le siège de l’Onu pendant que les diplomates attendaient qu’on leur transmette le projet de résolution. Le Consensus du Caire est donc de retour sur table, même si la résolution du président de la commission a préservé ce que certains Etats ont baptisé un objectif déséquilibré.
Le G77, la coalition d’Etats la plus importante de l’Onu avec ses 127 membres, et le groupe arabe, se sont plaints de ce que le projet de résolution soit encore trop dominé par la question des droits et de la santé sexuelle. Le groupe africain, mené par le Nigéria, négociant en l’absence de l’Afrique du Sud, a exprimé son mécontentement devant le manque d’attention porté sur les droits fondamentaux.
L’ambassadeur du Nigéria a reçu des menaces à peine dissimulées de la fédération internationale du planning familial au sujet du positionnement du groupe africain dans le débat de cette année. La Pologne, Malte, et la Hongrie, le Chili, Costa Rica et le Honduras ont réitéré leurs réservations classiques, selon lesquelles aucune disposition en rapport avec la santé reproductive ne peut être interprétée comme un soutien de leur pays à l’avortement.
La plupart des Etats ne sont pas disposés à reconnaître un droit à l’avortement et au comportement homosexuel comme des « droits de l’homme ». Leur position a été réitérée le mois dernier lors de la Commission de l’Onu sur la condition de la femme. Mais les Etats-Unis, ainsi que certains Etats européens, ont fait de ces questions des priorités de leur politique étrangère, ce qui rend nécessaires les répétitions multiples des pays en voie de développement
La division entre les membres des négociations était aussi perceptible dans la chambre des négociations que sur Twitter. Certaines associations pro vie alimentaient activement la sagesse populaire sur ce qui se passe à l’Onu, pendant que les militants de l’IVG affirmaient que les préservatifs sont la solution aux problèmes du monde entier."
Quand Frédéric Taddéi, sur France 2, vendredi 19 avril, lance un débat sur la violence, en référence aux manifestations qui ont parsemé la semaine contre le mariage pour tous (c’est-à-dire les homosexuels), on cherche en vain à se remémorer une manifestation vraiment violente, de celle dont étaient capables, par exemple, les nervis staliniens de la CGT hier. La seule chose dont on se souvienne, c’est le million de gens qui ont défilé le 24 mars dernier et les provocations policières qui ont eu lieu dans le haut de l’avenue de la Grande Armée ! On a assisté ensuite à des manifestations plus restreintes devant l’Assemblée nationale, un peu agitées tout au plus. Pas de quoi faire bander un CRS.
Mais, que voulez-vous, dans cette République bananière quand les manifs sont organisées par la gauche, c’est toujours au nom de la liberté et de la démocratie, quand c’est la droite, c’est au nom du fascisme. C’est ce que racontent les raclures de bidet des Loges qui pourrissent ce pays depuis 1870 et que l’on retrouve, comme par hasard, dans tous les grands scandales qui émaillent la vie, soi-disant démocratique, de ce pays. Derniers clients en date : Cahuzac, Guérini et Kucheida, tous socialistes, tous francs-macs !
Fort du soutien de toute la classe médiatico-politique, sans compter tous les intellectuels des cavernes qui passent régulièrement à la caisse, les socialistes cherche à masquer une incompétence rarement atteinte dans l’exercice du pouvoir. Hollande est bel et bien dépassé par les événements, le Premier ministre, Jean-Marc Zérault colmate comme il peut les béances ouvertes par des ministres incompétents et le pays est en train de sombrer dans le chaos.
Au lieu de calmer le jeu, Hollande et ses sbires s’accrochent à un mariage homo qui ne concerne même pas 1% de la population (et dont tout le monde se fout) et fracture une société française largement conservatrice et secouée par la crise. Dans le même temps, nos tristes sires socialistes augmentent les impôts à tour de bras appauvrissant une classe moyenne par ailleurs déjà bien éreintée. Je ne parle pas de la classe ouvrière, elle a disparu. Ce qui existe en revanche, c’est un lumpenprolétariat immigré que la gauche laisse grossir, ne voyant là que de futurs électeurs.
En revanche, cette La Manif pour tous est en train de cristalliser la conscience politique d’une France réelle et profonde dont le créneau n’est plus le ridicule mariage homo, mais le refus d’un monde libéral dont chacun a bien conscience qu’il est sans issue.
C’est d’ailleurs en cela que la dénommée Frigide Barjot est totalement dépassée par les événements. Cette égérie du chiraquisme, des soirées branchées et des plateaux de télé va encore faire trois petits tours avant de disparaître des écrans.
Celle qui, en revanche, a pris l’exacte mesure de l’événement, c’est bien Béatrice Bourges. Nul ne peut dire encore sur quoi cette grogne à ciel ouvert va déboucher mais une chose est certaine, c’est le ras-le-bol de cette France, hier encore silencieuse, de se faire cocufier par cette gauche et cette droite abonnées à l’américano-libéralisme qui entraîne l’Europe à sa perte.
Restons cependant lucides : tant qu’il y aura un poulet aux hormones dans le frigidaire, la révolution appelée de tous nos vœux, n’aura pas lieu. Qu’est-ce qui fait bouger les peuples ? Mystère.
Quand un jour, enfant, je disais à mon père que je voulais être comme le grand Monsieur qui lève ses deux mains en disant « je vous ai compris » il me répondit assez justement que pour cela, il fallait soit faire beaucoup d’études, soit gagner une guerre mondiale. Comme la probabilité que je fasse beaucoup d’étude était plus faible que celle que la connerie humaine nous concocte une petite guerre dont elle a le secret, je décidai, passivement, d’attendre l’envahisseur qui n’est finalement jamais venu. Mais je gardai toute ma vie une admiration sans borne pour ces hommes et ces femmes d’Etat qu’ils soient Présidents ou Ministres de la République.
Mobilisation générale pour l’Unité des Patriotes Francais, des nationalistes et solidaristes Francais! Tous à Paris le 12 mai 2013 à 10h00 à la Madeleine ! Le Réseau FRANCE NATIONALISTE-Front Nationaliste-FJN-GNR appelle tous les militants patriotes, nationalistes et solidaristes Francais a défiler dans l’Unité pour cette grande manifestation anti-mondialiste, pour l’Hommage annuel au camarade S. DEYZIEUX et en l’Honneur de Jeanne d’ Arc, symbole de la jeunesse rebelle francaise et incarnation de la Patrie en armes ! Venez nombreux, en rangs serrés, calmes, déterminés et disciplinés, crier notre révolte populaire contre l’oligarchie financière mondialiste qui exploite et écrase notre Peuple un peu plus tous les jours. Les voyous du Système mondialiste, valets des Banksters internationaux devront bientôt rendre compte de leurs forfaits d’appauvrissement généralisé de nos Peuples et de nos Patries, d’ enrichissement ignobles sur le dos des travailleurs francais et européens, et rendre gorge devant les tribunaux populaires d’ une justice enfin sociale, libre et nationale ! Face aux Cahuzac, aux Fabius, Moscovici et autres détrousseurs du Peuple et de la richesse nationale, organisons la Résistance nationale et populaire pour transformer demain la révolte anti-gouvernementale des braves gens en véritable et durable Révolution nationaliste, populaire et solidariste de toutes les forces vives du Peuple travailleur et de la Nation combattante ! Serrez les rangs derrière la phalange unitaire du Front Populaire Solidariste de 3ème Voie, qui guide et unit ce 12 mai 2013 l’ensemble des forces patriotes et nationalistes francaises ! Unité! Unité! Unité! ORDRE ! JUSTICE ! SOLIDARITÉ !
Type de questions QE
Ministère interrogé : AGR – Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt
Question n° 17-00781 : du :date non fixée
Mme Marion Maréchal-Le Pen interroge M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt sur l’attitude du Gouvernement face au dumping social massivement pratiqué par l’Allemagne dans les domaines de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Dans l’élevage, l’arboriculture, le maraîchage ainsi que dans les industries d’abattage et de transformation de la viande, ce dumping, mis en place depuis dix ans, menace des dizaines de milliers d’emplois. L’absence de salaire minimum et d’accord de branche dans ces secteurs Outre-Rhin permet en effet à nos concurrents de tirer un maximum de profit de la directive européenne sur le détachement des travailleurs, en important massivement de la main d’œuvre roumaine, bulgare et polonaise. Ces travailleurs sont payés quatre euros de l’heure, ce qui représente deux à trois fois moins que les salaires pratiqués en France. Le résultat ne s’est pas fait attendre: on constate une baisse très inquiétante de ces productions en France, pourtant vitales à l’économie de nos territoires ruraux, déjà lourdement impactés par la crise. Alors que la Belgique vient de porter plainte contre l’Allemagne pour dumping auprès de la Commission Européenne, il est demandé au Ministre s’il entend faire de même et quelles dispositions il entend prendre face à ces pratiques.