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  • Manifestation LMPT à Nantes le 23 novembre : l’AF était au rendez-vous !

    Les bretons étaient à Nantes pour la défense de la famille... et l’Action Française aussi !

    Avec la première vente à la criée de l’AF2000 par les jeunes de l’AFE

    D’autres photos sur le blog de notre ami Soudarded

    nantes@actionfrancaise.net

    nantes.etudiants@actionfrancaise.net

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Manifestation-LMPT-a-Nantes-le-23

  • Marine Le Pen à la croisée des chemins

    Les intentions de vote en faveur du Front s’établiraient à un niveau jamais atteint, laissant présager une poussée sans précédent...

    Les sondages, depuis des semaines et des mois, allaient dans le même sens que le sentiment général, et le sentiment général, étayé par les sondages, était que les municipales de mars 2014 traduiraient une nouvelle progression du Front national. Cette montée annoncée s’expliquait aisément par la crise multiforme que traverse la France et que subissent les Français, par l’exceptionnelle impopularité du gouvernement en place, par la nullité de l’opposition de Sa Majesté socialiste et par l’active et intelligente campagne de dédiabolisation menée par Marine Le Pen.

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  • Les Antigones ont marché contre les violences faites aux femmes

    PARIS (NOVOpress) - Hier, dimanche 24 novembre, les Antigones ont organisé une marche à Paris contres toutes les violences faites aux femmes.


    Paris (France) 24/11/2013 Manifestation... par ltlnews

    http://fr.novopress.info/

  • Le surprenant succès des Jeunes UDC

    L'acceptation de l'initiative des Jeunes UDC bernois en faveur d'un durcissement des conditions de naturalisation a surpris la droite et crée la consternation de la gauche.

    Personne ne s'attendait à un tel résultat. Sa mise en oeuvre pourrait être problématique. Cette initiative, qui prive les délinquants et les bénéficiaires de l'aide sociale du droit de cité, a été acceptée dimanche par 55,8% des votants. Même l'arrondissement bilingue de Bienne, qui vote traditionnellement à gauche, a soutenu cette modification de la constitution cantonale.

    Appel au rejet

    A l'exception de l'UDC, tous les partis politiques ont appelé au rejet de cette initiative, mais sans pour autant se mobiliser. Le comité interpartis en faveur du non est resté discret durant la campagne.

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  • Depuis quelques années, la limitation de la liberté de conscience s’affirme

    De Guillaume Bernard dans Valeurs Actuelles :

    "Le Conseil constitutionnel a proclamé, le 23 novembre 1977, que la liberté de conscience était un principe fondamental reconnu par les lois de la République. Principe constitutionnel, elle s’enracine dans l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946. Or, les sages de la rue de Montpensier ont, ce 18 octobre, considéré qu’il n’était pas inconstitutionnel que le législateur n’ait pas prévu de clause de conscience permettant aux officiers d’état civil qui le souhaiteraient de s’abstenir de célébrer un “mariage” homosexuel. Il est vrai que, si la liberté de conscience est un principe général, l’objection de conscience — consistant dans le refus d’accomplir, au nom de convictions morales, certains actes juridiquement exigibles — n’est qu’exceptionnelle : elle doit être explicitement prévue par la loi. Ainsi, existe-t-il des clauses de conscience pour certaines professions (avocats) mais pas pour d’autres : les pharmaciens ne peuvent refuser de vendre, sauf rupture de stock, des produits abortifs ou contraceptifs.

    La position de la haute juridiction pourrait être compréhensible si le maire, à qui l’État confie la tâche de célébrer les mariages, était exclusivement l’un de ses agents. Or, il n’est officier d’état civil que parce qu’il est, d’abord, un élu local choisi en fonction de ses idées. Dans ces conditions, l’absence d’une clause de conscience est, à l’évidence, problématique. Pour s’assurer du bon fonctionnement du service public de l’état civil, le législateur pouvait prévoir que le préfet, en cas d’abstention du maire et de ses adjoints, désigne un fonctionnaire. Une telle disposition aurait permis de ne pas contraindre les élus municipaux (fermes dans leurs convictions…) soit à encourir des sanctions pénales, soit à devoir démissionner de leurs mandats pourtant confiés par les citoyens souverains.

    Depuis quelques années, la limitation de la liberté de conscience s’affirme. La loi du 4 juillet 2001 contraint le médecin qui ne veut pas pratiquer d’avortements à rediriger l’intéressée vers des praticiens réalisant de tels actes. En outre, même si le chef d’un service (public) d’obstétrique et de gynécologie ne veut pas faire lui-même d’IVG, il doit les rendre possibles. Quant au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, il préconise la suppression de la clause de conscience spéciale permettant au personnel soignant de n’être jamais tenu de réaliser un avortement, sous prétexte qu’il existe une disposition générale du même type concernant tous les actes médicaux. Cette recommandation s’inscrit dans l’objectif visant à faire de l’IVG non plus une dérogation — la dépénalisation d’une infraction — mais un droitcréance opposable à la société, voire aux tiers.

    La protection de la liberté de conscience est très relative parce qu’elle s’inscrit dans un système juridique positiviste : est juste ce qui est légal. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • L’antiracisme, outil de domination

    Ex: http://www.minute-hebdo.fr
    L’antiracisme est un cache-sexe : celui d’une France officielle qui n’a d’autres moyens pour cacher ses reniements que le rideau de fumée. Entendons-nous bien : dénoncer  le dogme de l’antiracisme, ce n’est pas – à quelque degré que ce soit – vouloir habiliter le racisme, qui restera toujours une aberration. Mais sortir du manichéisme, c’est si compliqué pour un socialiste…
    La « semaine de la haine » est terminée. Le déferlement s’est tari… jusqu’aux prochains mots d’ordre. Toujours la mê­me « ferveur mimétique de no­tre presse pluraliste. On rivalise dans la colère grave » (Elisabeth Lévy, Les Maîtres censeurs). D’autant que je mettrais ma banane à couper (enfin, façon de parler…) que pas un de ces gueulards n’a lu l’article de « Minute ». Tous ont suivi la meute des cris et des lamenta­tions, qui s’auto-alimente de son pro­pre bruit. « Mimétisme médiatique et hyperémotion », résume Ignacio Ramonet.
    Quelle rigolade pourtant ! Car cet­te gamine, avec sa peau de banane à Angers, méritait une bonne fessée et peut-être ses parents aussi. Pas ce brouhaha de cœur de vierges effarouchées toujours prompt à rejouer l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Parce que, franchement, qui croit vraiment à une « résurgence » du racisme ? De l’antisémitisme, oui, mais de façon circonstanciée, et à cause de certaines franges radicales de l’islam. Mais sinon ?
    Le « transcendantal-coluchisme » se perpétue
    Qu’importe la réalité : voila vingt ans, trente ans même que la gauche en panne d’idées cherche son épouvantail pour se parer de toutes les vertus et faire oublier son ralliement au capital, cacher ses rangs désertés et toutes ses saloperies. Depuis qu’elle n’est plus marxiste, ni sociale, ni politique, la gauche est morale.
    Dès lors, cela fait trente ans que les télés, à la recherche de l’ennemi intérieur, furètent partout en France en quête du moindre crâne rasé pour effrayer la ménagère. Et qu’importe si le mouvement skin n’existe plus depuis plus de vingt ans ! Le vrai danger, c’est le fascisme qu’on vous dit. En France, oui, pays où il n’y eut jamais un seul mouvement fasciste, excepté des groupuscules juste avant la Deuxième Guerre mondiale et quel­ques bandes d’hurluberlus après qui ne perdurent qu’à travers de pauvres gamins déboussolés qui se font « la voix du système » en allant jusqu’à adopter le portrait robot du méchant, dressé par le système lui-même. Mais bref.
    Depuis Carpentras, les bidonnages et accusations risibles se succèdent, sui­vis des mêmes déclarations grandi­loquentes rejouant sans cesse la « mo­bilisation des potes » : quarante ans que « tous les enfoirés du monde se donnent la main » contre la misère, con­tre le sida, contre le mal lui-même, le Front national. Par shows télévisés successifs, la France d’en haut, celle qui ne paie pas d’impôts, celle qui se mo­que du petit franchouillard à longueur de journée s’offre une bonne con­science à grand renfort de larmes qui n’en finissent pas de couler : c’est le transcendantal-coluchisme que Fran­çois-Bernard Huyghes décrivait déjà… en 1987 dans son livre La Soft-idéologie.
    La « duperie consciente » érigée en système
    Quoi de neuf depuis ? La gauche gar­de une forme olympique : calibrée par le milliardaire BHL, trompée par le millionnaire DSK et incarnée par le triste Hollande, elle n’a d’autre choix que de ressortir les bonnes vieilles formules, aussi éculées soient-elles. Et les baudruches fleurissent : « Les digues ont sauté. La libération de la parole raciste a atteint un niveau d’abjection intolérable dans notre pays », annonce la Licra sur son site. Suivra immanquablement la sempiternelle manif pour toute la « France démocratique », électrisée à l’idée de ne pas manquer le rendez-vous avec l’histoire en s’engageant cou­rageusement contre le fascisme qui vient, cet ennemi intérieur qui n’a ni structure, ni journaux, ni leader, ni militant. Danger imaginaire et fan­­­tas­­mé, celui-ci permet toutes les mobilisations et… toutes les manipulations.
    La réalité rejoint le roman d’anticipation 1 984 d’Orwell. Quand Harlem Désir compare gravement la LMPT à une montée fasciste, personne n’est cen­sé rigoler. Lorsque les bonnets rou­ges sont annoncés être « récupérés par l’extrême droite », en attendant d’ê­tre traités eux-mêmes de fascistes, interdit de rire.
    La novlangue socialiste ne passera pas par nous !
    Aux annonces du loup, tout un « peuple de gauche », parfaitement formaté, répond présent. Voici qu’après « La guerre, c’est la paix » de Big Brother, vient « la tolérance, c’est l’intolérance » du Parti socialiste. C’est la « doublepensée » décrite par Orwell :
    « La doublepensée est le pouvoir de garder à l’esprit simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter toutes deux. […] La doublepensée se place au cœur même de l’Angsoc, puisque l’acte essentiel du Parti est la duperie consciente, tout en retenant la fermeté d’intention qui va de pair avec l’honnêteté véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement, oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c’est nécessaire, les tirer de l’oubli pour seulement le laps de temps utile, nier l’existence d’une réalité objective alors qu’on tient compte de la réalité qu’on nie, tout cela est d’une indispensable nécessité. »
    Dans La Révolte des élites (Climats, 1 996), le sociologue Christopher Lasch analysait cette duplicité des nou­velles élites : « Lorsqu’ils sont con­frontés à des résistances, ils révèlent la haine venimeuse qui ne se cache pas loin sous le masque souriant de la bienveillance bourgeoise. La moindre opposition fait oublier aux humanitaristes les vertus généreuses qu’ils prétendent défendre. Ils deviennent irritables, pharisiens, intolérants. Dans le feu de la controverse politique, ils jugent impossible de dissimuler leur mépris pour ceux qui refusent obstinément de voir la lumière – ceux qui ne sont pas dans le coup – dans le langage autosatisfait du prêt-à-penser politique. »
    Ou, pour dire encore autrement ce mépris, « ces gens-là […] ceux qui sont vaincus, du passé, déjà finis. Dévitalisés, desséchés », pour reprendre les mots de Christiane Taubira lors d’un homma­ge à Frantz Fanon, grand ami de la France, ce samedi 16 novembre 2013.
    La novlangue socialiste n’est pas un outil de pacification sociale. Elle s’af­firme plutôt comme un véritable moyen de contrainte tant elle sert à masquer une réalité de plus en plus vio­lente et que l’on n’ose plus dire. De la famille jusqu’au monde du travail, tout vient illustrer des rapports sociaux et humains de plus en plus dégradés, le tout couronné par une pa­role politique creuse, incapable de donner sens.
    Alors, l’interdiction de « Minute » – le rêve de Manuel – serait-elle un progrès ou le symptôme des griffes qui se resserrent ?
    Etienne Mouëdec http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • « La tyrannie médiatique » : Conférence de Jean-Yves Le Gallou, le 29 novembre à Strasbourg

    « La tyrannie médiatique » : Conférence de Jean-Yves Le Gallou, le 29 novembre à Strasbourg

  • La droite saura-t-elle profiter des mouvements contestataires ?

    De Guillaume Bernard sur Atlantico :

    "L’orientation globale des campagnes de Nicolas Sarkozy a été la conséquence de la « droitisation » du pays et non l’inverse. Les récents mouvements de « la manif pour tous » ou des « bonnets rouges » ne sont que des manifestations d’une évolution plus ancienne et plus profonde, ce que j’ai proposé d’appeler le « mouvement dextrogyre » qui s’enracine dans trois causes : l’effondrement du régime soviétique, la multiplication des attentats islamistes et l’emballement incontrôlé de la mondialisation. Les partis politiques sont touchés par le dextrogisme mais ils n’en sont pas la cause même s’ils peuvent, naturellement, l’accompagner voire l’accélérer. [...]

    La « droite forte » est une des illustrations de la radicalisation des esprits ; le fait que cette motion soit arrivée en tête lors des élections internes à l’UMP est l’une des illustrations du mouvement dextrogyre. Cependant, la force de ce que l’on peut appeler, pour l’instant, la « droite contestataire » vient de ce qu’elle réunit des personnes qui considèrent que, désormais, leurs différences ne doivent plus les empêcher de s’allier. Cela dépasse donc les partis politiques. Les « bonnets rouges » réunissent des catégories sociales considérées jusqu’à présent comme antagonistes (patrons et salariés, ouvriers et agriculteurs) ; « la manif pour tous » rassemble des personnes aux options partisanes différentes (des électeurs allant de la démocratie chrétienne au Front national). L’écœurement et la colère les conduisent à se rapprocher.  [...]

    Il est assez logique que les mouvements de contestation favorisent l’opposition au détriment de la majorité gouvernementale et qu’ils poussent à l’alternance. Cela dit, étant donné qu’aucun parti ni groupe d’influence ne canalise l’actuel mouvement d’indignation, il est assez probable que la droite ne pourra en profiter électoralement qu’à la condition que ses candidats (à la présidentielle, aux législatives, etc.) fasse l’effort d’incarner ces idées et ces aspirations avec une certaine netteté et fidélité. Nombre d’électeurs de droite ont été enthousiasmés par la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 et ont, ensuite, été frustrés par le décalage entre le discours et les actes.

    Avec la crispation des enjeux politiques, un grand nombre d’électeurs se sont rendus compte d’une distorsion (parfois très profonde) entre leurs convictions et celles de leurs élus (y compris pour ceux pour lesquels ils s’étaient prononcés, faisant confiance à une « étiquette »). Beaucoup ne le tolèrent plus. Il est assez probable que pour éviter une progression de la défiance des citoyens envers les partis politiques, ceux-ci devront renouveler une partie non négligeable de leurs cadres et des personnes qu’ils investissent."

    La droite ne tire pas profit des mauvais sondages de l’exécutif parce qu’elle fait une mauvaise analyse de la situation en se complaisant dans la segmentation du discours et la quête d’une addition d’électorats distincts au détriment d’un discours global sur l’intérêt national. Il est en effet tentant de mettre en exergue que chacun des actuels mouvements de contestation axe son discours sur des thèmes différents (fiscalité, mœurs) et que leurs revendications sont disparates. Il n’y aurait donc aucune homogénéité mais seulement une juxtaposition de contestations. Il est vrai qu’il n’existe pas (encore ?) d’unité organisationnelle à ces différents combats. Mais il existe cependant un fond « doctrinal » commun (même s’il n’est pas explicitement formulé) : que cela se traduise par une dénonciation de la mondialisation ou du progressisme social, il y a une même demande de repères identitaires stables pour redevenir maître de son destin. Il s’agit, là, d’une droite qui est bien plus que « contestataire » et nullement réductible au « conservatisme » : la droite qui est en train de (re)naître et de se (re)constituer peu à peu, c’est une droite réactionnaire qui n’est, aujourd’hui, incarnée par aucun parti politique à lui seul puisqu’elle est présente, à divers degrés, dans plusieurs d’entre eux."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/