Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 10

  • L’armée française en lambeaux : la preuve par le Kosovo

    La France s’apprêterait à retirer ses troupes du Kosovo

    Selon des informations qui ont fuité dans la presse allemande, reprises par le site serbe anglophone B92, la France s’apprêterait à retirer ses dernières troupes du Kosovo.

    Paris en aurait informé ses alliés de l’Otan, puisque la KFOR est une opération de l’Alliance, sans rendre encore l’affaire publique. Peu ravis d’être mis devant le fait accompli, comme ils l’avaient été avec la décision de dissoudre le 110ème RI de la Brigade franco-allemande, les Allemands auraient fait fuiter l’affaire.

    300 militaires français rentreraient donc au premier semestre 2014, ne laissant sur place que 11 officiers à l’état-major de la KFOR, ainsi que les 39 personnels, militaires et civiles, de la mission européenne Eulex. Ce désengagement permettrait de compenser l’envoi de troupes supplémentaires en Afrique, notamment en Centrafrique. [NDLR : ON EN EST ARRIVÉ LÀ !] [...]

    La suite sur Secret Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-armee-francaise-en-lambeaux-la

  • L’homme qui en savait trop sur le 11 septembre 2001 a été trouvé mort chez lui avec ses deux enfants, tous tués par balle

    Un ancien enquêteur de l’Agence nationale américaine de sécurité, Wayne Madsen, qui a passé huit jours sur place pour enquêter sur les circonstances exactes du décès, le 2 février dernier, de l’auteur du livre The Big Bamboozle Philip Marshall, a contesté la thèse officielle du suicide lors d’une entrevue radiophonique avec Kevin Barrett.

    Philip Marshall a été trouvé mort chez lui avec ses deux enfants, tous tués par balle. Un voisin avait trouvé les trois corps (plus celui de leur chien) dans une maison laissée porte ouverte, chose inhabituelle pour un auteur de livres portant sur des questions aussi sensibles. Madsen a également expliqué dans l’interview que l’ordinateur de Marshall n’a toujours pas été localisé, et qu’il avait de plus confié à un ami qu’il travaillait sur un quatrième livre comportant des révélations encore plus « choquantes ».

    Philip Marshall a été pilote de Boeing pendant plus de vingt ans, et avait publié en novembre 2012 un livre-enquête, The Big Bamboozle : 9/11 And the War on Terror (La grande tromperie : le 11 septembre et la guerre au terrorisme), documentant l’implication des autorités saoudiennes dans l’entraînement des quatre pilotes responsables des attentats du 11 septembre 2001. Marshall a piloté des Boeing 727, 737, 747, 757 et 767 à titre de capitaine et était convaincu, en raison de son expérience, que les quatre pirates de l’air avaient dû bénéficier d’une formation poussée, dans des conditions réelles et au-delà de celle qu’ils avaient reçue dans les écoles de pilotage habituellement citées dans les médias, et ce jusqu’aux derniers jours avant les attentats.

    Marshall avait conclu que ces séances d’entraînement supplémentaire n’auraient pu avoir lieu que sur la base de Pinal Airpark, située entre Las Vegas et Tucson en Arizona, et souligne que seuls les quatre pilotes chargés de mener les attaques avaient été envoyés à Las Vegas au cours des six derniers mois précédant les attentats. Des Boeing 757 et 747 étaient disponibles sur place au moment de leur séjour, et ce site est connu pour avoir été utilisé par des agents de la CIA et des entreprises privées de mercenariat comme Blackwater.

    Marshall ajoute que nombre de Saoudiens étaient sur place ou plus largement dans le pays à l’époque des attentats, dont des membres de la famille Ben Laden et plus particulièrement plusieurs membres de l’entourage du prince Turki al Faisal, l’ancien ministre des renseignements saoudien. Lui-même avait séjourné près de Las Vegas et se trouvait dans le pays le jour même des attentats.

    Marshall écrit que des pilotes-instructeurs auraient pu bénéficier de la couverture fournie par cette vaste suite princière pour entrer et sortir du pays sans être interrogés. A titre d’exemple, il souligne que le Prince Bandar, alors ambassadeur d’Arabie saoudite aux Etats-Unis et actuel dirigeant des services de renseignement saoudien, était le chef de son unité de chasseurs lorsqu’il était dans les forces aériennes saoudiennes dans sa jeunesse, et que deux agents saoudiens opérant à San Diego et en contact avec les terroristes du 11 septembre, Bayoumi et Bassan, étaient attachés à la Direction de l’aviation civile saoudienne.

    Ces quelques éléments montrent, ainsi que de nombreux autres développés dans le livre, qu’une telle opération ne pouvait pas avoir été montée par une organisation terroriste clandestine, aussi riche et organisée soit-elle, mais qu’il fallait des moyens que seul un pays bénéficiant d’une large couverture diplomatique, de services de renseignements sophistiqués et de nombreux contacts pouvait mobiliser.

    Quant aux raisons pour une telle implication des saoudiens, Marshall cite un document publié par la PNAC (Projet pour un nouveau siècle américain), intitulé « Reconstruire les défenses de l’Amérique », en particulier le passage où on explique que « la transformation prendrait un long moment – nonobstant quelque événement catastrophique ayant un effet catalyseur – comme un nouveau Pearl Harbour ».

    De plus, en blâmant les attaques sur Osama ben Laden, on pourrait par la suite justifier une politique de guerre préventive contre l’Irak (qui n’avait pourtant rien à voir avec ben Laden), et éventuellement la Syrie et l’Iran, des pays traditionnellement opposés à la culture Wahhabite et ne partageant pas la même vision géopolitique sur l’avenir de l’Asie centrale.

    Dans l’introduction de son livre, Marshall montre comment la version finale du Rapport d’enquête parlementaire sur le 11 septembre a été rédigée de manière à passer sous silence le rôle saoudien, en particulier par l’omission du chapitre classifié de 28 pages (retiré du rapport par l’administration Bush) consacré exactement à cette question. Marshall était en contact non officiel avec l’ancien Sénateur Bob Graham, et ancien co-président de la Commission conjointe d’enquête du Congrès américain, qui a exigé à de multiples reprises la publication de ces 28 pages. Une chose qu’a refusé de faire Barack Obama en dépit des promesses qu’il avait faites personnellement aux familles des victimes des attentats lors de sa campagne de 2008.

    Source

    http://www.contre-info.com/lhomme-qui-en-savait-trop-sur-le-11-septembre-2001-a-ete-trouve-mort-chez-lui-avec-ses-deux-enfants-tous-tues-par-balle#more-30316

  • Intervention de B. Gollnisch à propos de la fixation des sièges des institutions de l'UE

  • Gollnisch dit tout haut ce que les Français pensent tout bas

    Bruno Gollnisch a accordé un  bref entretien accordé à La Télé Libre,  en marge de la  récente convention du FN  à Marseille consacrée aux élections municipales. Le député européen et candidat à la mairie de Hyères  énonce quelques fortes vérités qui ont fait  ces dernières heures le tour d’internet.  Chastes oreilles  adeptes de la pensée unique s’abstenir…


    Paris (France) 17/11/2013 Bruno Gollnisch... par ltlnews

  • 8 décembre : opération LMPT traversée de Paris

    Communiqué LMPT :

    "Le gouvernement asphyxie les familles, piétine l'altérité, introduit sournoisement la théorie du Genre à l'école sans la nommer, prépare la libéralisation de la PMA, et bientôt ce seront les mères-porteuses pour tous, eh bien nous ne nous laisserons pas faire !

    Nantes vient d'ouvrir la route avec panache: 6000 manifestants samedi ont défilé dans la rue avec nombre de retombées médiatiques (Libération, métro, le Parisien, France 3 Pays de Loire, etc).

    La prochaine action est ici, à Paris ! Venez exprimer au gouvernement votre ferme résolution de ne rien lâcher, jamais, DIMANCHE 8 DÉCEMBRE APRÈS-MIDI par une GRANDE TRAVERSEE DE PARIS en voiture, 2 roues et même engins agricoles si nous en trouvons,...

    Venez en famille, faites tourner ce mail à tous vos amis, faites le plein de voitures et décorez-les de vos drapeaux LMPT, nous vous attendons nombreux !"

     

  • Homosexualité et Sida : ce que n'ose pas dire le lobby LGBT

     

    Jeanne Smits n'hésite pas à l'écrire :

     

    "Au Royaume-Uni, on a un Directeur national de la Santé et du Bien-être, qui est professeur et par conséquent au dessus-de tout soupçon. Il n'est pas certain pour autant que le Pr Kevin Fenton passe pour « gay-friendly », car voici qu'il vient de mettre en garde, lors de la conférence d'automne de l'Association britannique du HIV, contre une épidémie de séropositivité potentiellement « catastrophique » dans le monde… des hommes homosexuels.

    Le Pr Fenton estime que malgré le développement de nouveaux outils permettant de combattre l'infection HIV, l'incidence et la prévalence du virus parmi les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes – les MSM, comme les appellent les Anglais – est à la hausse dans le monde entier. Et contrairement à une croyance répandue, a-t-il précisé, le taux d'infection des hommes homosexuels des pays riches est bien plus élevé que celui constaté parmi la population en général dans les pays pauvres.

    « On estime que le taux d'infection HIV parmi les MSM est huit fois plus élevé que parmi la population en général dans les pays pauvres, et 23 plus élevé que parmi la population en général dans les pays à forts revenus. Les chiffres de prévalence les plus fiables suggèrent que, sur le plan régional, l'Amérique latine et les Caraïbes ont des taux spécialement élevés, mais il n'y a pas de pays au monde où la prévalence soit moindre chez les MSM que dans la population en général. Même en Afrique du Sud, où l'on compte plus de personnes vivant avec le HIV que n'importe où au monde, le HIV est deux fois plus fréquent chez les MSM que parmi les autres. »

    Un peu étonné, rapporte Thaddeus Baklinski pour LifeSite, le Dr Fenton a cité des statistiques indiquant que dans le monde développé, c'est aux Etats-Unis que l'on compte le nombre le plus important de nouvelles infection, c'est au Royaume-Uni qu'il y a le plus grand nombre d'hommes infectés, et que plusieurs pays d'Europe centrale affichent le taux de croissance le plus élevé du nombre d'hommes infectés.

    Pourquoi cette prévalence parmi les « MSM » ? Parce que le HIV se propage 18 fois « mieux » par le sexe anal que le sexe vaginal et que, divers calculs statistiques étant posés sur la fréquence des rapports avec un même partenaire, « le risque d'être infecté par un partenaire séropositif quand on ne l'est pas est d'environ 40 % chez les hommes gays ».

    Le deuxième facteur de risque, a souligné le Pr Fenton, est celui-ci : « Parce que les hommes gays ont davantage de partenaires et en changent plus rapidement, leurs réseaux sexuels sont plus interconnectés : 25 % des hommes gays séropositifs étaient membres d'un groupe dont les virus HIV étaient génétiquement identique, ce qui suggère une transmission rapide au sein du groupe, à comparer avec un taux de 5 % chez les personnes hétérosexuelles ». [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Nouvel Arbitre Vendée] (1793-2013) Les Vendéens victimes de répression policière !

    arton6737.jpgCe lundi 24 Novembre, le Ministre de l’Intérieur Manuel Valls, dormait à la préfecture de La Roche-sur-Yon suite à un meeting politique pour soutenir les candidatures du Maire de Fontenay, Hugues Fourage, et le Maire de la Roche-sur-Yon, Pierre Regnault.

    Suite aux récents événements, ils sont tous deux sur la sellette. Bien naïf qui croit au grand rêve socialiste… S’en est suivi la visite de la maison natale de Clémenceau à la Tranche sur Mer. « Le Tigre », comme on l’appelait, fut ministre de l’Intérieur et connu pour sa répression vis-à-vis des grèves. Valls souhaiterait donc s’identifier au « Premier flic de France » ? Quelle ironie, pour être « Père de la Victoire » comme Clémenceau, il faut en avoir remportée une, et non pas avoir semé le trouble et la division au sein du peuple français. [...]

    La suite sur Nouvel Arbitre

  • Julius Evola : "L’origine de la race nordico-aryenne"

    La race et les origines
    L’importance que revêt pour notre doctrine l’étude des origines — et par conséquent, la science de la préhistoire aussi — ne peut qu’apparaître dans toute sa clarté à l’issue de ce rapide survol des recherches relatives au racisme «au troisième degré». Mais il faut introduire dans ces disciplines des critères révolutionnaires et écarter résolument un certain nombre de préjugés propres à la mentalité scientiste et positiviste qui, favorisés par une école historique désormais dépassée, n’en persistent pas moins dans les formes les plus répandues de l’enseignement général. Nous ne prendrons que deux exemples.
    Il convient tout d’abord de dépasser le préjugé évolutionniste au nom duquel, en étroite relation avec le préjugé progressiste et historiciste, on interprète le monde des origines et de la préhistoire comme le monde obscur et sauvage d’une humanité semi-bestiale qui, peu à peu, péniblement, se serait «civilisée» et rendue capable de posséder une culture. Ce que le racisme affirme, bien au contraire, c’est qu’ont déjà existé, à l’époque préhistorique, des peuples qui, outre une pureté raciale ensuite perdue, avaient une vaste intelligence du monde spirituel. Ceux-ci n’étaient certes pas «civilisés» au sens moderne de ce mot (en relation avec le développement des connaissances expérimentales, de la technique, du système juridique positif, etc.), mais ils possédaient des qualités de caractère et une vision spirituelle du monde bien à eux, laquelle procédait de contacts réels avec les forces supra-humaines de la nature — vision non pas «pensée» mais vécue, concrétisée par des traditions, exprimée et développée par des symboles, des rites et des mythes.
    En relation avec ceci, il convient également de repousser les frontières de la nouvelle recherche préhistorique : les hypothèses racistes les plus récentes relatives à la question des origines de l’homme nous amènent aux alentours du dixième millénaire avant J.-C., alors qu’il y a peu de temps encore, il paraissait déjà hasardeux d’évoquer des civilisations remontant à 2 ou à 3000 ans avant J.-C. En ce qui concerne maintenant le cadre général du problème de ce qu’on appelle la «descendance», il faut prendre résolument position contre le darwinisme. La souche originelle de l’humanité — à laquelle les races supérieures, qu’elles soient antiques ou contemporaines, appartiennent — ne provient ni du singe, ni de l’homme-singe de l’ère glaciaire (l’homme moustérien ou de Néanderthal, et l’homme de Grimaldi), un fait que les spécialistes non racistes ont de plus en plus tendance à reconnaître à l’heure actuelle. L’homme simiesque ne correspond à un rameau humain bien particulier, en grande partie déjà en voie de disparition, que par ceux de ses éléments qui se sont incorporés à d’autres races humaines supérieures bien précises — éléments qui apparaissent comme plus récents que lui (faisant ainsi naître l’illusion qu’ils ont subi une «évolution») — pour l’unique raison qu’il apparut plus tard sur les mêmes territoires, venant de régions en grande partie détruites ou dévastées par des cataclysmes et des modifications climatiques.
    Il est absolument capital de comprendre la vivante signification d’un tel changement de perspective propre aux conceptions racistes : le supérieur ne dérive pas de l’inférieur. Dans le mystère de notre sang, dans la profondeur la plus abyssale de notre être, demeure, ineffaçable, l’hérédité des temps primordiaux : mais il ne s’agit pas d’une hérédité de brutalité, d’instincts bestiaux et sauvages livrés à eux-mêmes, comme le prétend une certaine psychanalyse et comme on peut logiquement le conclure à partir de «l’évolutionnisme» et du darwinisme. Cette hérédité des origines, cet héritage qui nous vient du fond des âges est bien au contraire un héritage de lumière. La force des atavismes, en tant qu’expression des instincts inférieurs, n’appartient pas à cette hérédité fondamentale : c’est quelque chose qui, soit a pris naissance et s’est développé selon un processus de dégradation, d’involution ou de chute (dont le souvenir demeure sous forme de mythes divers dans les traditions de quasiment tous les peuples), soit procéda d’une contamination, d’une hybridité, due à l’apport étranger, à des avatars de l’homme de l’ère glaciaire. C’est la voix d’un autre sang, d’une autre race, d’une autre nature, et dont on ne peut dire qu’elle est humaine que par pur parti pris. Quoiqu’il en soit, à chaque fois que l’on ressent la justesse de la formule platonicienne : «deux âmes luttent en mon sein», il faut interpréter ceci à la lumière de ce que nous venons d’exposer pour en comprendre le sens exact. Seul peut adhérer au mythe de l’évolutionnisme et du darwinisme l’homme chez qui parle l’autre hérédité (celle introduite à la suite d’une hybridation), car elle a réussi à se rendre suffisamment forte pour s’imposer et étouffer toute sensation de la présence de la première.
    Un autre préjugé combattu par le racisme est celui qui est contenu dans la formule bien connue : Ex Oriente lux. Chez beaucoup persiste aujourd’hui encore l’idée selon laquelle les plus antiques civilisations seraient nées dans le bassin méditerranéen oriental ou en Asie occidentale : ce serait d’elles, puis de la religion hébraïque, que l’Occident aurait tiré sa lumière — Occident qui, jusqu’à une époque beaucoup plus tardive, surtout dans les régions septentrionales, serait resté à l’état sauvage et barbare. Avec le racisme, on a, ici aussi, un changement total de perspective. Ces civilisations asiatiques n’ont pour nous rien d’originel ni, bien au contraire, de pur. L’origine de la civilisation la plus haute propre aux races blanches et, d’une manière générale, indo-européennes, n’est pas orientale mais occidentale et nordico-occidentale. Ainsi que nous l’avons dit, on se trouve en ce domaine ramenés à une préhistoire qu’hier encore l’on aurait pu croire fabuleuse. En face de l’éclat d’une telle préhistoire nordico-occidentale et aryenne, les civilisations asiatico-orientales nous apparaissent comme déjà crépusculaires et hybrides — aussi bien spirituellement que racialement. Ce qu’elles recèlent de vraiment grand et de lumineux provient en fait de l’action initiale civilisatrice de noyaux appartenant à la race dominatrice nordico-occidentale ayant jadis essaimé jusque-là.
    Les migrations nordico-occidentales
    La «lumière du Nord», le «mystère hyperboréen» : tel est donc le motif central de notre doctrine de la race — ce qui ne manquera pas d’apparaître à certains quelque peu paradoxal, pour ne pas dire suspect et quasiment diffamatoire vis-à-vis de nos traditions [Evola s'adresse ici à un public italien, NDR], considérées comme «méditerranéennes». Quelques éclaircissements s’imposent donc.
    En premier lieu, lorsque nous parlons du Nord, ce n’est pas de l’aire germanique que nous parlons. Le berceau primordial de la race aryenne doit au contraire être identifié avec une région qui correspond à l’actuel Arctique : ceci, à la très lointaine époque préhistorique évoquée plus haut. Ultérieurement, toujours à l’époque préhistorique, le centre d’irradiation semble s’être fixé dans une région nordico-occidentale. Dans d’autres de nos ouvrages, nous avons indiqué les références qui justifient une semblable thèse — laquelle correspond d’ailleurs à des réminiscences et à des enseignements traditionnels qui, dans toutes les civilisations, concordent. Même du point de vue positif, géographique, il est possible d’admettre que l’Arctique (ou, si l’on veut, l’Hyperborée) ne soit devenu une région inhabitable aux glaces éternelles que peu à peu et à partir d’une époque donnée ; quand au second berceau (le berceau nordico-occidental), il aurait, semble-t-il, disparu à la suite d’un cataclysme sous-marin.
    Pour ce qui concerne maintenant l’inquiétude suscitée par la thèse nordico-aryenne, celle-ci repose sur une équivoque. Soutenir une telle thèse ne signifie nullement adhérer au mythe pangermaniste — lequel, après avoir quasiment fait des termes «nordique», «germanique», «aryen» et «allemand» des synonymes, prétend maintenant soutenir que tout ce qu’il y a de supérieur dans les diverses nations et civilisations de notre continent proviendrait des éléments germaniques — tandis que tout ce qui ne se ramènerait pas à eux serait carrément inférieur et subalterne.
    C’est précisément pour éviter ce genre d’équivoque que, vis-à-vis de la race aryenne primordiale, nous utilisons d’habitude le terme d’hyperboréen, forgé en Grèce à une époque où l’on ignorait tout des Germains. Quoiqu’il en soit, nous tenons à préciser sans la moindre ambiguité qu’aryen, nordico-aryen, nordico-occidental, etc. ne signifient pas, dans le cadre d’une doctrine raciale sérieuse, «allemand» ou «germanique» : ce sont des termes qui désignent une réalité beaucoup plus vaste. Ils se réfèrent à une souche dont les peuples germaniques de la période dite des invasions ne sont qu’une des nombreuses ramifications, car les plus grandes races créatrices de civilisation, que ce soit en Orient comme en Occident (l’antique Perse comme l’Inde ancienne, de même que l’Hellade des origines ou Rome elle-même) auraient pu très légitimement y faire remonter leur origine. Entre toutes ces races, ce qui a pu exister, c’est un rapport de consanguinité, mais en aucun cas de dérivation. On ne peut parler de dérivation que par rapport à cette commune souche hyperboréenne évoquée plus haut — laquelle remonte toutefois à une préhistoire si éloignée que toute prétention, de la part de quelque peuple historique que ce soit (à plus forte raison s’il est récent), de vouloir se faire passer pour sa descendance exclusive, est purement et simplement une absurdité.
    L’expansion des races nordico-aryennes emprunta deux directions fondamentales : l’une horizontale (venue de l’Occident à travers la Méditerranée, les Baléares, la Sardaigne, la Crète et l’Egypte), l’autre transversale (directions nord-ouest sud-est, depuis l’Irlande jusqu’à l’Inde, avec des centres localisés dans la région danubienne et dans le Caucase — lequel, loin d’être, comme on le croyait, le «berceau» de la race blanche, fut un foyer d’expansion sur l’itinéraire emprunté par l’un des courants nordico-aryens). Quant à la migration des peuples proprement germaniques, celle-ci par rapport aux deux précédentes, remonte à une époque incomparablement plus récente — ici, c’est en millénaires qu’il faut compter. C’est le long de cet axe horizontal et, partiellement, à la suite de rencontres avec l’axe transversal sur le continent eurasiatique, que sont nées les plus grandes civilisations du bassin méditerranéen — celles que nous connaissons aussi bien que celles dont rien d’autre ne nous est parvenu, sinon des résidus dégénérés. Par rapport à de telles civilisations, eu égard à ces horizons préhistoriques totalement nouveaux, il faut voir dans les peuples nordico-germaniques de la période des invasions de simples épigones, des gens qui, issus d’une famille commune, ont simplement été les derniers à apparaître sur la scène de l’histoire. A tous points de vue, ils n’y apparurent nullement comme «purs».
    Bien entendu, n’ayant pas derrière eux tout le passé des autres groupes de la même famille, ceux-ci ne furent pas aussi exposés au danger des métissages : physiquement et biologiquement, ils apparurent donc davantage «en ordre». Leur vie dans des régions où les conditions climatiques comme celles du milieu étaient devenues très dures, et qu’ils furent les derniers à quitter, ne fit que renforcer le processus de sélection : c’est ainsi que se confirmèrent et se renforcèrent des dispositions de caractère comme la ténacité, l’ingéniosité et la hardiesse, tandis que l’absence de tout contact avec des formes extérieures et urbaines de civilisation maintinrent vivaces, chez ces peuples germaniques, des rapports d’homme à homme cimentés par les vertus guerrières et le sentiment de l’honneur et de la fidélité.
    Les choses en allèrent tout autrement en ce qui concerne le domaine proprement spirituel chez ces descendants de la race nordico-aryenne primordiale, lequel subit une involution certaine. Les traditions virent leur contenu métaphysique et «solaire» primordial s’obscurcir : elles devinrent fragmentaires, périclitèrent en folklore, en sagas et en superstitions populaires. En outre, plus que le souvenir des origines, vint à prédominer dans ces traditions le souvenir, mythologisé, des tragiques vicissitudes traversées par l’un des centres de la civilisation hyperboréenne : celui des Ases, ou héros divins du «Midgard» — d’où le thème bien connu du «ragna-rökkr», communément traduit par «crépuscule des dieux». De sorte que, pour s’orienter parmi les traditions nordico-germaniques des peuples de la période dite des invasions et pour comprendre la véritable signification des principaux symboles et des réminiscences qu’elles contiennent, il convient d’extraire des points de référence de l’étude approfondie de traditions aryennes plus antiques, dans lesquelles se sont conservés, sous une forme plus pure et plus complète, ces mêmes enseignements — traditions qui, une fois de plus, ne sont pas «germaniques» mais relèvent des civilisations aryennes antiques de l’Inde et de la Perse, de l’Hellade des origines et de Rome elle-même. Et certains racistes allemands, tels que Günther, sont les premiers à le reconnaître sans discussion.
    Le cadre général du problème des origines tel que nous venons de l’exposer ne doit donc en aucun cas susciter un sentiment d’infériorité ou de subordination de notre part, en tant qu’Italiens, par rapport aux peuples germaniques, plus récents. Bien au contraire : de même que les meilleurs éléments du peuple italien correspondent, du point de vue de la «race du corps», à un type qui doit être considéré comme une dérivation de celui de la race nordique, de même peut-on retrouver dans le patrimoine de nos traditions les plus hautes (lesquelles remontent le plus souvent aux temps primordiaux), les mêmes éléments propres à la «race de l’âme» (en terme de style de vie, d’ethos, etc.) et à la vision du monde commune à toutes les grandes civilisations aryennes et nordico-aryennes. Avec la thèse nordico-aryenne que défend notre racisme, ce que nous contestons par conséquent, c’est le droit de quelque peuple que ce soit de vouloir s’emparer et monopoliser la noblesse de la commune origine. Ce qui signifie que nous, dans la mesure où nous sommes et voulons être les héritiers de la romanité antique et aryenne, tout autant que de la civilisation romano-germanique qui lui succéda, nous ne nous reconnaissons les seconds de personne en fait d’esprit, de vocation et de tradition nordico-aryens.
    Il va de soi qu’une telle prise de position engage : du racisme théorique, celle-ci nous mène au racisme actif et créateur, c’est-à-dire à celui qui consiste à faire en sorte que, dans le type général italien tellement différencié d’aujourd’hui, s’extraie et s’affirme de façon toujours plus substantielle et précise le type à la fois physique et spirituel de la race éminente — lequel est tout aussi présent dans le peuple italien que peut l’être le type proprement nordique dans le peuple allemand, l’un et l’autre étant toutefois étouffés sous le poids de rebuts ethniques, d’autres composantes raciales et des effets de processus antérieurs de dégénérescence biologique et culturelle.
    L’importance de situer convenablement le problème des origines pour la formation de la volonté et de la conscience de soi d’un nouveau type d’Italien saute maintenant aux yeux. En découle effectivement une idée-force, un sentiment de dignité et de supériorité qui n’a rien à voir avec l’arrogance et se fonde, non pas sur des mythes confus à usage simplement politique, mais sur des connaissances traditionnelles bien précises.
    Julius Evola,
    Ce texte constitue les chapitres 12 et 13 de la brochure de Julius Evola :
    Indirizzi per una educazione razziale (Naples 1941).
    Traduction française : Eléments pour une éducation raciale, Pardès 1984.
    Source
    http://la-dissidence.org/2013/11/27/julius-evola-lorigine-de-la-race-nordico-aryenne/

  • Et si le FN détenait les clés de Marseille ?

    Jean-Claude Gaudin tentera-t-il, d’ici le premier tour, un rapprochement avec un FN qui, piloté par Marine Le Pen, a le vent en poupe ?

     

     

     

     

    Les sondages se suivent et se ressemblent. Alors que les prochaines élections municipales s’annoncent difficiles pour un président et une majorité désormais minoritaires, et que se profilent déjà dans la foulée des élections européennes désastreuses pour le PS, deux enquêtes d’opinion successives indiquent que les socialistes sont en mesure de l’emporter en mars 2014 dans la deuxième ville de France. Un rayon de soleil méditerranéen dans un ciel désespérément plombé. La reconquête de la cité phocéenne si longtemps gérée par feu Gaston Defferre contrebalancerait d’un point de vue psychologique, à supposer que Lyon et Paris restent aux mains de la gauche, des résultats globalement négatifs. Ce n’est pas sans raison que Jean-Marc Ayrault, grattant des fonds de tiroirs qui, paraît-il, étaient vides, a réussi à dégager trois milliards d’euros, ou de promesse d’euros, pour Marseille.

    Sur les huit secteurs de la ville, quatre sont actuellement détenus par la gauche (qui devrait les garder), quatre par la droite. Que l’un de ces derniers bascule du côté de Patrick Mennucci, et Jean-Claude Gaudin perd la majorité au conseil municipal. Or, non seulement Stéphane Ravier, tête de liste du Front national pour la ville, semble assuré de mettre le sénateur-maire sortant en minorité dans l’un des quatre secteurs qu’il contrôle actuellement, mais le score annoncé du Front national sur l’ensemble de la ville – autour de 20 % – ......

    Lire la suite