Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 57

  • Quand l'extrême gauche fait la loi à Sciences Po

    Nouvelles de France publie un long récit des tentatives d'intimidation de la part des étudiants militants d'extrême gauche. Quelques extraits.

    En novembre 2012, l'aumônerie de Sciences Po distribue, en son nom, des tracts de la Manif pour tous :

    "Voir des tracts de la Manif pour Tous à Sciences Po déclenche la fureur de groupuscules d’extrême gauche. Ils essaient de faire interdire par l’administration le tract pour « homophobie ». Raté. Mais leur colère ne s’éteint pas. Réactions violentes contre les personnes, menaces de dissolution de l’aumônerie catholique : l’hostilité est vive. Après la mort de Clément Méric, l’aumônerie de Sciences Po est taguée d’un « Zone antifasciste »."

    Février 2014, les candidats aux municipales parisiennes sont invités. Des "antifa" attendent le frontiste Wallerand de Saint-Just à l'entrée de Sciences Po tandis que des étudiants crient des slogans à l'intérieur :

    "Anne Hidalgo sort de l’amphithéâtre (...). Avant qu’elle ne quitte les lieux, une question lui est posée sur l’action de ces jeunes qui manifestent depuis tout à l’heure contre le FN. « Si j’étais étudiante, j’aurais sûrement fait ce qu’ils font », avoue-t-elle admirative. Ironie du sort, après ces déclarations, la candidate socialiste est accueillie dehors par les cris des antifascistes contre elle et son parti. On est toujours le facho de quelqu’un."

    "Cet étudiant est l’un des seuls à exprimer son indignation. En général, la peur des représailles paralyse ceux qui voudraient agir. Un élève s’est fait harceler dans l’établissement après avoir dénoncé dans le journal de Sciences Po les méthodes violentes de Solidaires. Un autre a été frappé par plusieurs individus qui lui reprochaient ses idées politiques et ne s’oppose plus publiquement désormais à leurs actions."

    Louise Tudy

  • Salaires oligarchiques : Dominique de Villepin payé (avec nos impôts) 100 000 € la journée de travail

    L’ancien Premier ministre Dominique de Villepin aurait touché 100 000 euros grâce à un jour de travail au ministère des Affaires étrangères, selon The Telegraph.

    Après 20 ans d’absence dans ce ministère, il est revenu « travailler » une journée, en septembre dernier.

    Cette somme de 100 000 euros correspondrait à sa retraite de haut fonctionnaire, dont il n’aurait pu bénéficier dans sa totalité sans ce jour supplémentaire, selon le quotidien The Telegraph qui a publié cette information mardi soir.

    Villepin (fondateur d’un club nommé « République solidaire » [sic]) aurait pour cela passé un accord avec l’actuel ministre Laurent Fabius.

    http://www.contre-info.com/

  • JRE : Grande manifestation le 22 mars à Cologne avec Farida Belghoul, Alain Escada et Béatrice Bourges pour soutenir les familles allemandes

    Le mouvement des JRE, à travers un communiqué, appelle à participer à une grande manifestation le 22 mars à Cologne pour soutenir les familles allemandes qui luttent aussi contre des cours d’éducation sexuelle dans les écoles primaires.

    « Farida Belghoul, au nom du mouvement JRE, vous appelle à participer à une grande manifestation en Allemagne pour soutenir les familles allemandes qui se battent elles aussi pour sauver leurs enfants d’une sexualisation précoce mise en œuvre à l’école.

    Cette manifestation est organisée par l’association « Besorgte Eltern », en français : « Parents inquiets », fondée par Mathias Ebert.

    Elle aura lieu le samedi 22 mars 2014 à Cologne. Rendez-vous à 14h, sur la Roncalliplatz, près de la cathédrale de Cologne, pour en finir avec la sexualisation précoce et la théorie du genre dans les écoles !

    Farida Belghoul, porte-parole des JRE sera présente à Cologne, ainsi que Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps Français, et Alain Escada, président de l’Institut Civitas.« 

    Ce communiqué rappelle que la situation des familles allemandes est beaucoup plus compliquée qu’en France et que certains parents ont déjà fait de la prison:

    « L’école à la maison a été interdite en Allemagne par le IIIe Reich. C’est à partir de cette loi inique que les parents se voient attribuer amendes et peines de prison quand leurs enfants sont retirés de ces cours dans la perspective de les protéger de ces séances inconcevables, malsaines et traumatisantes.

    Certains enfants allemands très jeunes n’ayant pas pu supporter le déballage d’une telle pornographie se sont même évanouis en classe.
    Le 22 mars 2014, allons jusqu’à Cologne pour soutenir ces familles martyrisées et continuons le combat en France pour sauver nos enfants de l’idéologie du genre !

    Lire la suite

  • Abus sexuels en série

    Un entrefilet dans la presse quotidienne régionale :

    0

    Et sa hiérarchie n'avait rien vu, rien su, rien entendu ?...

    Dans le même genre (mais ce n'est pas une rumeur), Nigel Evans, député et figure du parti conservateur britannique, est accusé d'avoir usé de son influence pour violer un homme et en agresser sexuellement plusieurs autres jusque dans les couloirs du Parlement. L'ancien vice-président de la Chambre des Communes, qui avait révélé son homosexualité en 2010 (mais surtout pas d'amalgame), fait face à 9 chefs d'accusation, un pour viol, deux pour attentat à la pudeur et six pour agression sexuelle.

    Michel Janva

  • Pauvreté ne coïncide pas avec délinquance

    A gauche : répartition géographique de la misère en France, à droite : répartition de la délinquance.

    Pour justifier l’extrême délinquance de la Seine-Saint-Denis ou de Marseille, on nous présente toujours la misère comme unique responsable.

    Il suffit de jeter un œil sur la carte ci dessous pour voir que la raison de la délinquance est à chercher ailleurs.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • L'Allemagne, future puissance européenne tournée vers l’Est ?

    Conséquence de l’affaire Ukraine-Crimée
    Que se passe-t-il ? L’Otan ne forme même plus des officiers loyaux dans ses cours ! Les nouvelles autorités euro compatibles de Kiev voient, en effet, leur armée se réduire de jour en jour.
    Hier, c’était le chef de la marine ukrainienne, l’amiral Denis Berezosvki, qui prêtait allégeance aux autorités pro-russes de Crimée. Puis, le gouvernement de Crimée a annoncé le ralliement de la 204e brigade d’aviation de chasse des forces aériennes d’Ukraine dotée d’avions de chasse MiG-29 et d’avions d’entraînement L-39. Selon les autorités de Crimée, 800 militaires déployés sur la base aérienne de Belbek sont passés dans le camp du « peuple de Crimée ». Au total 45 avions de chasse et 4 avions d’entraînement se trouvent sur l’aérodrome. Précédemment dans la journée, les autorités de Crimée avaient annoncé que plus de 5.000 militaires des troupes de l’Intérieur, du service de garde-frontière et des forces armées d’Ukraine étaient passés aussi sous leur commandement. On parle donc de 22.000 militaires ukrainiens et plusieurs dizaines de systèmes de missiles sol-air S-300, passés sous l’autorité du gouvernement de la République autonome de Crimée. C’est pour Poutine, sans faire même couler le sang, un exploit et, pour l’Otan, un sérieux revers et surtout un beau manque de loyauté après tous les cocktails servis !
    Ainsi, toute la journée du 4 mars, on a suivi de part et d’autre la frégate Hetman  Sahaydachny, vaisseau amiral des forces navales d’Ukraine, entrer dans le détroit des Dardanelles. Quel pavillon battait-elle ? Pavillon ukrainien ? Pavillon russe ? A un moment, la presse russe avait indiqué que la frégate  refusait de suivre les ordres de Kiev et arborait le pavillon de Moscou. De son côté, le ministère de la Défense ukrainien démentait les allégations selon lesquelles le Hetman Sahaydachny aurait pris le parti de la Russie. On en est donc là à une guerre de pavillons en mer Noire !
    Craignant un coup d’Etat comme à Kiev, les habitants de Crimée ont créé des comités d’autodéfense et pris le commandement des unités militaires locales. Le Conseil suprême de Crimée avait déjà décidé, fin février, de tenir un référendum sur l’élargissement des pouvoirs de la République autonome ukrainienne de Crimée. Initialement fixée au 25 mai, la date du référendum a depuis été avancée au 30 mars. Par ailleurs, le premier ministre de Crimée, Sergueï Aksenov, a renouvelé sa demande d’aide légitime et légale au président russe Vladimir Poutine. L’Otan quant à elle ne devrait pas intervenir en Crimée, mais selon le politologue russe Alexandre Douguine, une filiale d’Academi (les ex-Blackwater d’Irak), Greystone Limited, aurait déjà débuté son déploiement en Ukraine. Les mercenaires arriveraient par groupes, en civil, avec de lourds paquetages, à l’aéroport de Kiev, d’où ils seraient envoyés vers Odessa. C’est eux que l’on évoquait hier.
    L’Allemagne nouvelle puissance européenne d’équilibre
    Que se passera-t-il ? Les médias surenchérissent et dramatisent mais cela s’éclaircit et rappelle ironiquement l’épopée syrienne terminée par une victoire diplomatique russe et une humiliation des Etats-Unis et de la France. La France menace la Russie de sanctions, mais Laurent Fabius est  coincé: la Russie lui a fait immédiatement savoir, par ambassadeurs interposés, que cela entraînerait de facto la suspension immédiate de ses contrats militaires avec Paris, soit la suspension immédiate de la commande faite à la France en 2011 de deux bâtiments BPC (bâtiment de projection et de commandement) de type Mistral, plus une option pour deux autres. La France à genoux économiquement n’a plus les moyens de ses menaces.
    Petit à petit, l’unanimité européenne face à la Russie se lézarde. Londres est de plus en plus eurosceptique et pense aussi à son économie : qui paiera la partition de l’Ukraine ?
    Londres tient un double langage. Alors que David Cameron menaçait Vladimir Poutine il y a quelques jours de «conséquences économiques, politiques, diplomatiques et autres» (sic), une note confidentielle du Ten Downing Street a fuité permettant réellement de douter de sa sincérité. On y lit que le Royaume-Uni «ne doit pas, pour l’instant, soutenir de sanctions commerciales contre la Russie ou lui bloquer la City». Le texte recommande également de «décourager» toute discussion de représailles militaires notamment à l’Otan !
    Au sein de l’Union européenne, ce sont donc les Allemands devenus pro-russes qui mènent la danse ! Pourquoi ? L’Allemagne est d’abord le premier exportateur vers la Russie. 35% du gaz et 35% du pétrole consommés en Allemagne viennent de Russie. L’Allemagne sait que la Crimée est, pour la Russie, non négociable. Comment ne pourrait-elle pas le savoir ? Enfin, et ce n’est pas négligeable dans les relations internationales, l’Allemagne n’a pas apprécié les propos de Nuland mais surtout l’espionnage par Prism des conversation téléphoniques d’Angela Merkel. N’oublions pas qu’Angela Merkel parle russe (Poutine parle aussi couramment allemand) et qu’elle a été élevée en RDA. Elle connaît presque intimement le caractère et la valeur de chef d’état de Poutine.
    La crise ukrainienne risque d’avoir par ricochets un drôle d’effet collatéral, un effet choc pour l’Union européenne. Elle accélère le rapprochement à l’est de l’Allemagne, une Allemagne qui se tournera donc de plus en plus vers l’Est et non vers la France. Or, sans le couple franco-allemand, l’UE n’est plus rien. Il est inutile de rappeler les liens historiques entre l’Allemagne et la Russie et d’évoquer ici la reconnaissance allemande toujours forte envers l’Union soviétique de Gorbatchev qui a rendu possible la réunification. Les liens entre l’Allemagne et la Russie sont naturels et stratégiques: la Russie est maintenant incontournable pour l’Allemagne puissance. Enfin, le potentiel des relations économiques avec la Russie est pour l’Allemagne sans commune mesure  avec ce qu’elle peut attendre maintenant de son partenaire français en voie de paupérisation et de déliquescence manifeste. Tous les politiciens et les hommes d’affaires allemands en sont bien conscients. Ils misent maintenant tous sur l’essor d’un marché à l’Est qu’ils connaissent en plus très bien. La partition de l’Ukraine pourrait même être carrément négociée secrètement avec la Russie, la partie non russophone offrant ainsi à Berlin sur un plateau d’argent une main-d’œuvre très bon marché et plus proche de la main-d’œuvre chinoise qui, par ailleurs, se renchérit !
    Alors, la France dans tout ça ?...
    Le porte-parole du Quai d’Orsay sait-il au moins que la pointe extrême de la Crimée abrite Sébastopol, le grand port militaire russe fondé par Catherine II en 1783 ?  Sans doute mais il feint l’ignorance pour tomber dans la caricature grossière et outrancière de Poutine. Dans toute la crise, la France a été  indécrottable dans l’idéologie, avec Bernard-Henri Lévy, l’émissaire à peine voilé de Fabius.
    La France n’a en fait plus aucune vision des relations internationales sauf des obsessions idéologiques, des idées fixes. C’est là l’effondrement des compétences diplomatiques, pour paraphraser le texte de notre collaborateur Raoul Fougax. Il en va de même aux Affaires étrangères comme à l’Intérieur ou à l’Education. La France voit des Hitler partout, même sous les sofas des ambassadrices ! Elle ne peut du coup rien récolter sauf quelques lauriers jaunis pour les Droits de l’Homme. La France s’est ainsi coupée de l’Allemagne pragmatique. C’est donc l’Allemagne et non la France qui conforte à l’Est sa place d’interlocuteur européen privilégié de la Russie.
    Michel Lhomme, 05/03/2014
    Source :  Metamag.fr
    http://www.polemia.com/lallemagne-future-puissance-europeenne-tournee-vers-lest/

  • [Entretien] Farida Belghoul à L’Action Française : Unir catholiques et musulmans

    Farida Belghoul, qui participa jadis au "mouvement beur", a défrayé la chronique en lançant, avec succès, les" journées de retrait de l’école" (JRE), contre l’immixtion du "genre" dans les établissements scolaires. Elle a bien voulu répondre à nos questions.

    L’Action Française 2000 - Vous avez déclaré avoir été alertée sur la théorie du genre par des catholiques. Pouvez-vous nous en dire plus sur eux ? Avez-vous lu certains documents du Magistère catholique sur le sujet ?

    Farida Belghoul - J’ai surtout vu les vidéos disponibles sur le net, celles de Patrice André, d’Élisabeth Montfort, d’Alain Escada, d’Arnaud Dumouche... J’ai perçu dès la première vidéo que la situation était gravissime et j’ai aussitôt voulu m’engager dans le combat. Comme je l’ai déjà dit plusieurs fois, si les manifestations avaient, à mes yeux, l’avantage d’avoir réuni beaucoup de monde, il me paraissait indispensable d’aborder ce combat en empruntant de nouvelles formes de mobilisation, d’une part, et, d’autre part, de trouver le moyen d’intégrer les quartiers populaires. De plus, je suis convaincue depuis novembre 1989 que la victoire passe par l’alliance des catholiques et des musulmans. Je l’ai écrit dans une contribution avant de quitter définitivement le mouvement beur. Je n’ai pas lu les textes du Magistère mais je le ferai volontiers si vous me les communiquez.

    Vous définissez-vous comme musulmane ? Quel rapport entretenez-vous avec la religion ? À quel islam vous référez-vous : celui de la tradition familiale, un islam redécouvert, identitaire, un islam moderne ?

    - Je suis une musulmane pratiquante et je le suis devenue lorsque j’ai découvert, à vingt-huit ans, qu’il y avait des saints en islam. La sainteté a tout de suite été la seule réalité spirituelle qui m’ait attirée, dans la mesure où elle engage l’individu à la fois dans les pratiques cultuelles de l’homme ordinaire et qu’en même temps elle appelle à un dépassement positif de l’homme.

    Comment considérez-vous le féminisme ? Avez-vous toujours porté le même regard sur lui ?

    Le rejetez-vous en bloc ou faites-vous des distinctions ?

    - Le féminisme est une mauvaise réponse à une bonne question. La bonne réponse aurait été de travailler sur la complémentarité. Aujourd’hui, je pense qu’il vaut mieux le rejeter en bloc, même si je sais que, dans ma jeunesse, des éléments constitutifs du féminisme m’ont permis de me construire telle que je suis. À l’époque, nous avions affaire à une sorte de féminisme modéré tout de même. De nos jours, face aux Femen et aux Judith Butler, je ne peux que vomir. Le féminisme se révèle être une arme de destruction massive des enfants, donc de l’humanité.

    L’égalitarisme issu de la philosophie des Lumières, associé au développement de la technique, qui place l’homme et la femme dans un univers coupé de la nature, où la différence des sexes est relativisée sinon annulée (la force physique de l’homme lui sert de moins en moins, par exemple), semblent des évolutions irrésistibles... Finalement, la théorie du genre ne fait-elle pas qu’accompagner au plan idéologique ce processus mécanique et peut-être inéluctable ?

    - La théorie du genre révèle merveilleusement ce qu’est en vérité l’égalité. Nous devons avoir le courage - et l’honnêteté intellectuelle - de voir qu’il s’agit en fait d’uniformisation et de cristallisation du monde. Je crois que la cristallisation, en effet, est dans notre horizon, mais cela n’empêche pas que, jusqu’à notre dernière goutte de sang, nous devons proclamer la beauté de la Création et tout sacrifier pour sa protection. Un jour, la dernière heure viendra, nous n’en connaissons pas la date ; cette ignorance doit nous conduire à espérer que notre génération, et la suivante, et la suivante encore, soient épargnées. Louer Dieu, c’est protéger son œuvre. Il est seul juge à décider quand clore ce cycle et en appeler un autre...

    Propos recueillis par Stéphane Blanchonnet - L’AF 2881

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Entretien-Farida-Belghoul-a-L

  • [Média] Prospectives Royalistes de l’Ouest

    Le numéro n° 41 du nouveau journal royaliste unitaire centré sur la région ouest BRETAGNE-LOIRE ATLANTIQUE-VENDEE vient de sortir.

    Vous pouvez le télécharger ici