Les Sentinelles dénoncent les mensonges du garde des Sceaux, place Vendôme. Mensonge sur le mariage, contracté entre une homme et une femme, mensonge sur l'enfant, né d'un père et d'une mère, mensonges politiques...
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Les Sentinelles dénoncent les mensonges du garde des Sceaux, place Vendôme. Mensonge sur le mariage, contracté entre une homme et une femme, mensonge sur l'enfant, né d'un père et d'une mère, mensonges politiques...
Communiqué de LMPT :
"Contrairement à ce qu’affirme Le Point dans son édition de cette semaine, Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, n’a pas rencontré Jean-François Copé depuis plus d’un an. Selon l’hebdomadaire, le rendez-vous aurait été « de très courte durée » et le courant ne serait « pas vraiment passé », précisant même que le Président de l’UMP aurait reproché à son équipe d’avoir organisé ce rendez-vous. Il y a donc manifestement eu confusion avec une autre personne. La Manif Pour Tous invite l’hebdomadaire à rectifier cette information et particulièrement les propos blessant attribués à M. Copé visant la Présidente de La Manif Pour Tous sans délai sur son site internet ainsi que dans son prochain numéro papier.
Ludovine de La Rochère était présente à une réunion entre plusieurs responsables de La Manif Pour Tous avec Jean-François Copé… mais c’était en janvier 2013 au sujet de la grande manifestation qui avait rassemblé 1 million de personnes sur le Champ de Mars contre la loi Taubira le 13 janvier 2013. Cette réunion s’était d’ailleurs très bien déroulée.
La PREUVE ! :
La dette mondiale s’élève à 100.000 milliards de dollars, soit quatre fois le PIB de la Chine et des Etats-Unis.
L’encours de dette mondiale a été multiplié par 2,5 en douze ans, pour atteindre les 100.000 milliards de dollars, selon Bloomberg News et Les Echos, qui ont dévoilé les conclusions d’un rapport [...] publié lundi par la Banque des règlements internationaux (BRI).
Ce chiffre inclut la dette publique et les dettes cotées des entreprises et des sociétés financières. Il ne prend donc pas en compte la dette des ménages.
La crise désignée comme responsable
Selon l’économiste Jean-Paul Betbèze cité par Les Echos, ce montant est un héritage de la crise qui sévit depuis 2007. Depuis, l’encours de dette mondiale a augmenté de 30%. L’économiste pointe du doigt la montée de la dette publique. Entre plans de relance et baisse des recettes fiscales, les déficits des Etats se sont creusés. Résultat, en six ans, l’encours des titres de dette souveraine a augmenté de 80%. Au total, la dette publique de chaque être humain s’élèverait à un peu plus de 6.000 dollars.
Question sur la politique de taux bas
Du côté des entreprises privées (hors entreprises financières), le montant de la dette a également progressé, jusqu’à atteindre 10.000 milliards de dollars. Cet endettement massif pose la question de la maîtrise des taux d’intérêt, alors que les banques centrales cherchent à faire pression à la baisse dessus pour relancer l’activité. Une politique de taux faibles prolongée risque en effet de favoriser une progression de l’endettement public. Mais ce n’est pas encore un mouvement que l’on observe.
Progressivement un certain nombre d’Etats américains prennent des mesures diverses pour empêcher les avortements. Ce qui est fort difficile dans la mesure où la loi fédérale s’impose, notamment par la fameuse décision de Roe versus Wade de la Cour suprême. Il leur faut donc prendre des moyens détournés consistant essentiellement à les limiter.
En tête de ce combat pro-vie il y a le Texas et le Dakota. Leur technique a été de rendre la vie impossible aux avortoirs qui ont quasiment tous disparu. Ce peut être par exemple en renforçant les normes de sécurité de ces établissements. L’Alabama se joint à eux dans la défense de la vie humaine.
Quatre projets de lois viennent d’être adoptés dans cet Etat.
- Echographie obligatoire avant tout avortement. S’il y une activité cardiaque décelable à l’échographie, l’avortement est refusé. Ceci correspond à un peu plus d’un mois de grossesse. L’embryon mesure six millimètres. Le président du Parlement, Mike Hubbard a déclaré à ce sujet : « Les Républicains de la Chambre d’Alabama croient que la vie commence dès la conception et que le rythme cardiaque est la preuve d’une vie viable qui mérite d’être défendue ».
Partout où arrive la démocratie, la première chose que l’on constate, c’est la mise à disposition généreuse de la part des Etats-Unis d’avions-cargo pour que la nouvelle équipe puisse sauvegarder son or dans un endroit plus sécurisé, les coffres de la Fed, par exemple. C’est un bonus qui fait partie du pack « liberté, démocratie, droits de l’homme ».
Selon le iskra-news.info la nuit dernière, les réserves d’or ukrainien (40 boîtes scellées) ont été chargées dans un avion de transport non identifié à l’aéroport Borispol de Kiev. L’avion a immédiatement décollé.
Une source du gouvernement ukrainien a confirmé que le transfert des réserves d’or de l’Ukraine aux États-Unis a été ordonné par l’actuel Premier Ministre Arseny Iatseniouk. Donc, je suppose, si en effet cette information est vraie, que cela signifie soit que la nouvelle élite dirigeante a volé des lingots d’or,soit que peut-être elle craignait que les Russes ne prennent possession de ces lingots. Quoi qu’il en soit, tout cela est très louche.
Conclusion
Récit officiel : les lingots d’or vont aux Etats-Unis. Récit réel : probablement en Suisse où ils seront partagés entre Ioulia Timochenko et ses copains.
Source
Plus de quatre ans après le référendum interdisant les minarets, le peuple suisse fait encore des siennes. Il vient d’adopter de justesse des mesures de préférence nationale et de limitation des flux migratoires. D’abord abasourdie par ce résultat non prévu par les sondages, la grosse presse a violemment critiqué le choix souverain des Helvètes et leur prédit une future régression économique.
Il est intéressant de relever que les arguments de part et d’autre du Léman et du Jura ne correspondent nullement. Journalistes stipendiés et Commission eurocratique de Bruxelles mettent en avant l’économie et la morale tandis que les Suisses rappellent que l’immigration pèse sur la tranquillité publique, entraîne la saturation des infrastructures ferroviaires et routières, oblige la construction de nouveaux bâtiments qui réduit une surface agricole utile peu étendue du fait du relief, favorise la hausse du prix du m2, ce qui contraint de nombreux ménages suisses à venir clandestinement s’installer dans leurs résidences secondaires du pays français de Gex.
Par son vote cinglant du 9 février 2014, le peuple suisse s’attaque au cœur même de la globalisation, à savoir la libre circulation des biens, des capitaux et des individus. À l’idéal d’open society colporté par les oligarchies mondialistes et leurs larbins médiatiques, les citoyens de la Confédération helvétique préfèrent les vertus de la société fermée. Véritable pied-de-nez aux altermondialistes et aux libéraux libertaires progressistes, cette décision devrait aussi faire réfléchir tous les chantres du libéralisme conservateur, du national-libéralisme et du conservatisme libéral sur leur engagement idéologique. Soit ils avalisent les mantra libéraux, acceptent l’ouverture illimitée au monde et condamnent l’initiative helvétique – ils s’affirmeraient dès lors comme la faction droitarde et con-conservatrice du mondialisme -, soit ils approuvent cette votation et doivent par conséquent abandonner leur foi naïve dans le libéralisme pour retrouver un conservatisme anti-libéral de bon aloi.
Ce dilemme ne se limite pas à la seule question immigratoire. Il tend à se généraliser avec des problématiques saillantes autour de la G.P.A. et du mariage inverti, voire avec le travail du dimanche chaudement approuvé par quelques têtes de linottes libérales-conservatrices.
La limitation de l’immigration risque de nuire aux performances économiques de la Suisse. Et alors ? À rebours des incantations maladroites de certains décroissants « de gauche », la remise en cause radicale de la « Mégamachine » ne proviendra pas des catastrophes climatiques ou du dérèglement météorologique, mais d’une véritable prise de conscience identitaire, soucieuse des paysages et d’un enracinement indéniable à travers des communautés charnelles d’appartenance.
Organisme de guerre aux ordres de l’Infâme, l’agence de notation Moody’s menace de retirer son triple A à la Suisse qui a si mal voté. Elle juge en effet que « limiter l’immigration est susceptible d’affecter le potentiel de croissance du pays, sa richesse et sa solidité économique dans son ensemble (Le Figaro, 19 février 2014) ».
Qu’une société fermée fasse perdre plusieurs points de P.I.B. et de croissance n’est pas dramatique si elle parvient à s’auto-suffire et, surtout, à maintenir sa cohésion ethno-civique interne. Contrairement à ce qu’avance Laurence Fontaine qui célèbre le marché dans le quotidien gaucho-libéral Libération, le marché, ce facteur de déstabilisation des cadres traditionnels organiques, n’est pas primordial. Elle a en revanche raison d’asséner que « le marché est la condition sine qua non pour avancer vers l’égalité des droits (entretien avec Laurence Fontaine, « Le marché peut être progressiste, les pauvres doivent en profiter », Libération, 22 – 23 février 2014) ». Le marché n’est donc pas ce « prussianisme renforcé », auteur d’un ordre concret comme le soutient Jacques Georges (« Vive le marché ! », mis en ligne sur Europe Maxima, 17 octobre 2009). Avec la mondialisation, il est devenu ce corrupteur de toute sociabilité tangible désintéressée. Combattre son hégémonisme exige une révolution culturelle intégrale.
Outre la nécessaire relocalisation des activités économiques, la réhabilitation de l’artisanat et de la paysannerie bio, un discours identitaire sérieux se doit de promouvoir le salaire de citoyenneté, la réduction draconienne du temps de travail à trente ou trente-deux heures ainsi que le retour concerté à la terre et la déconcentration démographique assumée des grandes agglomérations. Dans la recherche indispensable de l’auto-suffisance alimentaire, les milliers d’intermittents du spectacle, de journalistes, d’étudiants en psycho, etc., serviraient utilement dans les campagnes bien loin d’une artificialité urbaine grégaire.
La défense des identités signifie enfin le rejet total de la démonie de l’économique. Cela réclame une force d’âme remarquable capable de se déprendre de l’imaginaire de la consommation et du productivisme. Il faut désormais avertir les masses hébétées et droguées de matérialisme douceâtre qu’elles se sauveront que si elles redeviennent des peuples fiers d’eux-mêmes. Comme les Suisses du centre de la Confédération…
Georges Feltin-Tracol
Même le laïcisme athée peut faire des miracles ! La politique antireligieuse du gouvernement suscite aujourd'hui, contre elle, une union sacrée des religions monothéistes.
Sans l'avoir voulu, François Hollande et son gouvernement pourront se vanter d'avoir fait avancer l'œcuménisme à grands pas. Ainsi a-t-on vu, pendant les manifestations contre le mariage inverti, un rabbin marcher en devisant entre deux abbés en soutane, ou des musulmanes portant le hijab se faire applaudir par des mères de famille catholiques. Dieu pour tous et tous pour un ?
Plutôt, tous contre la politique conduite par un pouvoir athée hostile à Dieu et à tout sentiment religieux. Il aura fallu ce laïcisme de combat pour que se réalise, contre lui, une sorte d'union sacrée des croyants. Cela ne signifie certes pas que les religions se confondent dans un quelconque syncrétisme, mais que les fidèles ont pris conscience de partager certaines conceptions communes sur des « sujets de société » qui relèvent de la loi naturelle : au premier chef, bien sûr, la valeur du mariage et l'éducation des enfants par un père et une mère, puisque c'est à partir de la bataille contre la loi Taubira que s'est dessiné, le rapprochement.
Une première prise de position publique « inter-religieuse » avait été prise en février 2007, à Lyon. Le cardinal Philippe Barbarin, primat des Gaules, le grand rabbin Richard Wertenschlag et le recteur de la grande mosquée de Lyon, Kamel Kabtane, y rappelaient qu'« il y a mensonge à prétendre qu'il est indifférent pour un enfant de grandir ou non avec un père et une mère » et que l'homme et la femme « sont appelés à s'unir dans le mariage pour donner la vie et la faire grandir. Tel est le socle originel sur lequel sont fondées nos vies personnelles, nos familles et nos sociétés. »
Un rôle à jouer dans le monde entier
Les musulmans, encore peu nombreux à participer aux manifestations l'an dernier, commencent à se mobiliser, à l'image des parents d'élèves qui, à l'appel de Farida Belghoul, ont retiré leurs enfants de l'école une journée pour protester contre l'enseignement de la théorie du genre - même dispensé sous une autre appellation, avec l'ABCD de l'égalité.
Il était d'ailleurs inattendu d'entendre cette musulmane, ancienne militante communiste (à la fin des années 1970) et antiraciste, rappeler récemment, à Asnières, que « la France se définit depuis très longtemps comme la Fille aînée de l’Église. Cela veut dire qu'elle a un rôle à jouer en France, mais qu'elle a aussi un rôle à jouer dans le monde entier. Lorsque la France, la véritable France enregistre une défaite, c 'est le monde entier derrière qui enregistre une défaite. » Une déclaration à comparer avec ce qu'écrivait le ministre de l’Éducation Vincent Peillon dans son livre La Révolution française n'est pas terminée, paru en 2008 : « La révolution est un événement méta-historique, c'est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l'oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l'école a un rôle fondamental, puisque l'école doit dépouiller l'enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l'élever jusqu'à devenir citoyen. Et c'est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l'école et par l'école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. »
Lien temporaire
C'est contre ce substitut maçonnique aux religions, que se construit l'union sacrée. Mais celle-ci n'a de sens qu'aussi longtemps que l'adversaire commun n'est pas vaincu. L'histoire, proche et plus lointaine, a montré que la cohabitation pacifique entre l'islam et le christianisme peut durer un temps, mais pas indéfiniment. Tôt ou tard, les deux religions, celle qui veut dominer le monde au nom d'Allah et celle qui veut régner sur les cœurs au nom du Christ, entreront en concurrence. L'accord sur certains sujets, si importants soient-ils, ne saurait faire oublier que, comme le rappelait Jean Paul II dans Entrez dans l'Espérance, « non seulement la théologie mais encore l'anthropologie de l'islam sont très éloignées de celles du christianisme ». Et les chrétiens ont mission d'apporter l'Evangile de Jésus-Christ au monde - y compris aux musulmans.
Hervé Bizien monde & vie 25 février 2014