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Baroin préfère lutter contre les crèches que contre les imâms radicaux de Troyes
L'Observatoire de l'islamisation relaye une vidéo de France 2 dans l'émissionComplément d'enquête, qui révèle l'existence d'Abdelilah Ziad, sous le nom d'Abdelkrim, l'organisateur présumé des attentats de Marrakech en 1994 (explosion d’une bombe qui avait tué deux touristes espagnols), condamné pour cela en France en 1997 et remis en liberté en 2001, mis en examen en 2010 pour des braquages en région parisienne, braquages que le juge Trévidic le soupçonnait d'avoir commis afin de financer des attentats islamistes. Abdelilah Ziad est toujours en liberté bien que sous contrôle judiciaire.
Complément d’enquête révèle que Ziyad , alors qu’il a rencontré à plusieurs reprises lors de réunions privées à Chartres Omar Mostefai, terroriste mort au Bataclan, officie le plus tranquillement du monde à la mosquée al Ghazzali de Troyes, avec la complicité tacite des fidèles. Troyes dont le maire, François Baroin, préfère s'attaquer aux crèches qu'aux mosquées où prêchent des imâms dangereux comme Abdelilah Ziad.
Cazeneuve, obnubilé par le danger représenté par la montée du FN, en oublierait-il celui, bien réel, des mosquées et des imâms radicalisés ?
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14 décembre : conférence de François Billot de Lochner sur "Quelle espérance pour la France ?"
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les idées à l'endroit n°7 : le clivage gauche droite
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VOTER UTILE, C’EST VOTER PASCAL GANNAT
Communiqué :
Le premier tour des élections régionales, dimanche dernier, constitue une étape remarquable pour le Front national : ayant multiplié ses voix par trois depuis 2010 avec 21,4 %, le FN sera représenté à l’assemblée régionale grâce au mode de scrutin proportionnel. Plus le nombre d’élus FN sera important, mieux vous serez défendus.
Le vote du second tour doit être un choix contre les listes qui défendent des programmes et des idées contraires aux valeurs de patriotisme et de bon sens qui vous tiennent le plus à cœur.
Notre programme s’articule autour de quelques thèmes majeurs : rééquilibrage des crédits d’aménagement au profit des territoires éloignés de la métropole nantaise, soutien massif aux petites entreprises, et aux artisans et commerçants de proximité, et aux agriculteurs par la création d’un label « Produit en Pays de la Loire », refus de la main-d’œuvre étrangère et des travailleurs détachés et de l’accès des migrants aux avantages nombreux que nos impôts financent, relance de l’apprentissage et de la formation professionnelle en alternance, commandes publiques réservées aux entreprises locales et régionales, lutte contre le gaspillage budgétaire et le clientélisme, et refus de subventionner les associations communautaristes et islamistes extrémistes.
Les mairies FN ont appliqué ce programme et leurs habitants en ont vu les effets bénéfiques rapidement : à Fréjus par exemple, la dette a été diminuée de 13 millions d’euros en 18 mois.
Seul le vote pour Pascal Gannat et la liste Front national permettra que ces idées soit défendues au Conseil régional : la droite de monsieur Retailleau a voté avec la gauche 90 % des décisions de la majorité socialiste sortante. Il n’y a qu’un vote utile, c’est le vote Front national.
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Regard sur « le monde en état de panique » ou le rêve universaliste fracassé
Nous n'ajouterons pas un commentaire superflu à ce qu'on peut, à la fois, lire ou écouter ici de la part d'un clerc de la doxa européo-mondialiste. L'essentiel est dit dans notre titre.
Nous avons entendu, lundi, Jean-Pierre Raffarin pleurer sur la République à la dérive. Hier matin, sur France Inter, Bernard Guetta a fait le constat exact d'un état du monde qui brise le rêve mondialiste, pacifiste, démocratique, multi-culturaliste, multiethnique, etc. Les idéologues et les marchands n'y triomphent pas. L'Histoire ne finit pas ...
Plaignons nos élites : elles ont, en ces temps difficiles, intra et extra muros, de redoutables remises en cause à opérer. La faillite de leurs idées - mais il ne fallait pas se faire tant d'illusions ! - leur est sans-doute douloureuse. Pas à nous. LFAR
Laissons la France. Laissons le reste de l’Europe où les nouvelles extrêmes-droites connaissent le même essor que le Front national et regardons ailleurs. Candidat aux primaires républicaines, candidat à la présidence des Etats-Unis, M.Trump vient de faire un nouveau coup d’éclat en proposant d’interdire aux musulmans, à tous les musulmans, l’accès du territoire américain.
S’il l’a fait, c’est qu’il pense pouvoir ainsi plaire à suffisamment d’électeurs républicains pour remporter les primaires et il n’a pas tort car la peur, celle d’un monde devenu aussi incertain qu’incompréhensible, est aussi forte aux Etats-Unis qu’en Europe… et ailleurs.
Repassons l’Atlantique, allons jusqu’à Moscou. Sur quoi s’appuie M.Poutine pour faire durer sa popularité ? Sur la reconquête de la Crimée, sur l’Eglise orthodoxe russe, sur la Russie de toujours et les forces de sécurité dont il s’est fait l’incarnation depuis qu’il a accédé au Kremlin. Poussons au sud, jusqu’en Turquie, et le tableau est le même. M.Erdogan y a reconquis sa majorité en rallumant les tensions avec la minorité kurde, exaltant la nation et flattant les plus conservateurs des électeurs par ses constantes références aux traditions religieuses et patriarcales.
Le Proche-Orient, n’en parlons pas. Il éclate et se déchire entre communautés ethniques ou religieuses, chiites contre sunnites, Arabes contre Perses, Kurdes contre tout le monde ou l’inverse. Chacun veut son Etat, ses frontières, sa zone d’influence. L’Inde se cimente dans l’hindouisme et, si l’on revient en Europe, il n’y a pas que la montée des extrêmes-droites. Il y a aussi les Catalans qui voudraient sortir d’Espagne et les Ecossais de Grande-Bretagne, la renaissance des régionalismes et ce divorce, surtout, toujours plus grand, entre les Européens et l’Europe, entre l’ambition d’unité et le repli national.
La peur, une peur qui se répand, fracture le monde. Chacun veut se replier sur le monde qui est le sien car il y a soudain, c’est un fait, trop de changements et, donc, d’inconnues dans le grand monde. Depuis la chute du mur de Berlin, nous ne sommes pas seulement sortis de la stabilité de la Guerre froide. En vingt-cinq ans, nous avons vu de nouvelles puissances apparaître, le monde arabo-musulman se réveiller dans un indescriptible chaos, les emplois occidentaux détruits par l’automatisation et les délocalisations vers les pays émergents, les Etats-Unis se tourner vers le Pacifique, se désintéresser de l’Europe et la laisser sans Défense, le terrorisme djihadiste frapper les cinq continents et les grandes forces politiques occidentales s’essouffler, et échouer, à préparer leurs militants, leurs électeurs, leurs pays à des changements d’une telle ampleur.
Alors, oui tout le monde craint tout et tout le monde et l’urgence, en Europe, est au remodelage de nos échiquiers politiques, à la formation de grands partis du mouvement, de partis assez solidement majoritaires pour rejeter la folle tentation de la fuite en arrière et construire l’avenir, loin de cette suicidaire panique.
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FN en tête aux élections : quand la presse régionale se lâche
Source : OJIM
Si la plupart des titres de la presse quotidienne régionale (pqr) se sont contentés d’évoquer de manière plus ou moins neutre les résultats du premier tour des régionales, certains sont néanmoins montés sur leurs grands chevaux et semblent avoir perdu leurs nerfs.
Au lendemain du vote, le mot « choc » était ainsi sans conteste le plus utilisé, qu’il s’agisse de la couverture du Bien Public comme de Libération Champagne, par exemple. On notera par ailleurs, sur le plan des titres nationaux, que le titre « Le choc » aura été employé à la fois par Le Figaro et… L’Humanité. Et on notera enfin que c’est ce mot qui revient régulièrement depuis les élections européennes de 1984 et les 10,95 % de Jean-Marie Le Pen…
Aussi, un vocabulaire chargé négativement évoquant parfois un « tremblement » ou une « ombre » planant sur la politique était de mise. Autres exemples : Nord Littoral titre « Marine est là », comme un avertissement ; Le Havre Libre explique que « Rien n’est perdu pour la gauche ! » Ouest-France titre que, face à la montée du FN, « l’Ouest résiste » ; enfin, La Provence va jusqu’à décréter « l’État d’urgence » suite à la première place de Marion Maréchal-Le Pen en PACA.Si le journal La Marseillaise appelle carrément ses lecteurs à « Résister ! », la palme de la couverture engagée revient sans conteste à Nice-Matin, qui titre « Tous contre elle » au-dessus d’une photo de Marion Maréchal-Le Pen saluant la foule, vieil artifice utilisé contre le FN pour suggérer finement le salut nazi. De la panzer-propagande…
Le lendemain, mardi 8 décembre, d’autres titres de la PQR se sont illustrés. La Charente Libre montre en Une des électeurs lambda dans un bar, lesquels n’ont sans doute rien demandé, avec le titre : « Désemparés face à la vague FN » ; pour La Provence, « la résistance s’organise » pour contrer le FN ; de son côté, Vaucluse-Matin enjoint Estrosi à « relever le défi Le Pen ».En état de récidive, La Marseillaise appelle ses lecteurs à « éviter le pire » en choisissant la même photo de Marion Maréchal-Le Pen façon IIIe Reich, pendant que Le Parisien se veut rassurant en rappelant que « rien n’est joué ! » Ouf.
Pour conclure sur une note de poésie, citons la couverture de L’Écho de Haute-Vienne, « La tyrannie des scores FN », avec en illustration une carte de France recouverte de crottes, plus ou moins grosses selon les scores du parti frontiste… Il fallait oser.
Une fois de plus, une partie de la PQR s’est donc illustrée par une neutralité à toute épreuve et par un sens de la déontologie poussé à l’extrême… Plus sérieusement, en cas de victoire du FN dimanche prochain dans les régions concernées, il ne fait aucun doute que la question des subventions publiques à certains titres sera remise sur la table assez rapidement…Lien permanent Catégories : actualité, élections, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Les magouilles du Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais
Cette vidéo date de 2011 mais ce sont toujours les mêmes élus qui siègent actuellement. Une fois élu avec les voix de gauche, Xavier Bertrand saura comment renvoyer l'ascenseur à ses nouveaux alliés politiques. La méthode est expliquée dans le vidéo :
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Avec Marion, une Région qui vous défend !
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Meeting FN avant 2nd tour des Régionales 2015