- Page 45
-
-
FM contre FN. À quand la séparation de la franc-maçonnerie et de l’État ?
Les « fils de la veuve » s’affolent à la perspective de voir tomber, dimanche prochain, ne serait-ce qu’une seule euro-région dans l’escarcelle de la « terrrible extrrrême droite » !
Les Frères « trois points » sortent du bois de leurs temples obscurs pour jeter leurs anathèmes « républicains » à la face de leurs adversaires « antirépublicains » du Front national. Les « fils de la veuve » s’affolent à la perspective de voir tomber, dimanche prochain, ne serait-ce qu’une seule euro-région dans l’escarcelle de la « terrrible extrrrême droite » ! « La République gouverne mal mais se défend bien » observait, en substance, le grand Anatole France.
L’état d’urgence instauré consécutivement aux attentats du 13 novembre dernier réduit sensiblement les possibilités de manifester sur la voie publique. Encore que si l’on se ballade du côté du quartier Barbès-Rochechouart, la vision d’attroupements bigarrés sur les trottoirs jouxtant la station de métro relativise fortement cette restriction qui ne semble donc pas concerner les éléments les plus allogènes de la population.
En l’absence d’une telle interdiction, gageons que cette semaine d’entre-deux tours aurait été la réplique de l’incroyable « quinzaine de la haine » qui avait alors pétrifié la France au lendemain du du 21 avril 2002 où Jean-Marie Le Pen s’était qualifié au second tour de la présidentielle, juste derrière Chirac. À l’époque, déjà, la franc-maçonnerie avait fait vibrer ses trémolos en exhortant à voler au secours de « la République en danger », couvrant à peine les éructations hystériques de lycéens incultes manipulés par un corps enseignant lui-même enrégimenté par les mêmes grandes consciences politico-médiatiques. […]
Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire
http://www.actionfrancaise.net/craf/?FM-contre-FN-A-quand-la-separation
-
Immigration : Roland Hélie s'entretient avec Médias Presse info : Immigration, la déferlante
Roland Hélie est le directeur de Synthèse Nationale. Il présente pour MPI-TV son analyse du phénomène migratoire et de ses causes. Il faut remonter 50 ans en arrière, chez Giscard, Chirac, Bouygues et consorts pour connaître les vraies raisons de ces problèmes. Pour leur apporter une solution, il ne faiut pas hésiter à envisager la "remigration" prônée par Roberto Fiore dans son entretien avec Alain Escada publié la semaine dernière sur MPI-TV.
Synthèse nationale :: lien
-
Quand les ringards découvrent le pays réel : les cathos voteraient de plus en plus FN. Oui, et alors?
Il est atterrant de voir comment le microcosme journalistique et de nombreux ténors politiques raisonnent encore comme au siècle dernier : ne savent-ils donc pas que depuis des années, plus personne ne se cache de voter FN ? Libé découvre la vie : les cathos aussi pourraient être décomplexés.
"Jusqu’à présent plutôt rétifs au vote frontiste, les catholiques qui ont voté au premier tour des élections régionales ont choisi à 32%, selon un sondage Ifop pour l’hebdomadaire catholique Pèlerin, le parti de Marine Le Pen, contre 27,7% chez l’ensemble des électeurs. Le basculement est particulièrement net chez les pratiquants, même s’ils votent toujours moins pour le FN que les catholiques non pratiquants.
Les catholiques pratiquants ont opéré un virage massif vers l’extrême droite, dix mois à peine après des élections départementales, en mars 2015, où ils avaient été 9% (parmi les votants) à porter leur choix sur le Front national. Dimanche dernier, au premier tour des élections régionales, le chiffre a atteint 24%. Chez les non-pratiquants, le vote FN progresse également et atteint 34% des suffrages (+6 points par rapport aux départementales).
En tant que tel, le phénomène n’est pas totalement nouveau. «Il y avait eu des signes avant-coureurs lors de l’élection présidentielle de 2002. Mais c’était rentré dans l’ordre par la suite», explique Jérôme Fourquet, directeur du département Opinions de l’Ifop. Depuis la fin des années 2000 et l’arrivée de Marine Le Pen à la tête du parti d’extrême droite, les catholiques sont de plus en plus disposés à voter pour l’extrême droite. Le basculement spectaculaire de dimanche semble bel et bien avoir fait sauter la digue catholique face au Front national".
Le vote FN n'est plus- s'il le fut - synonyme de peur et de honte. Alors, que des catholiques qui entendent les positions catho-compatibles de Marion Maréchal-Le Pen et d'autres candidats du FN, prennent un bulletin FN, le déposent dans l'urne et assument, rien de plus normal, rien de choquant ! C'est une faute contre quel catéchisme républicain que de voter en phase avec sa conscience ?
Le vieux monde des politicards de salon, des carriéristes des urnes, des séducteurs des suffrages, des doux-rêveurs de sondage, qui vivent dans leur tour d'ivoire en ignorant tout du pays réel, ce vieux monde est rouillé, au bout du rouleau, isolé d'un peuple à la peine, le front vers la terre qui n'écoute plus leurs balivernes et leurs contes de fées de marchands de sable d'un autre temps. Le conformisme est mort. Depuis longtemps.
Oui, aujourd'hui, un catholique peut voter FN et le dire les yeux dans les yeux à son évêque devant les journalistes. C'est ainsi. Et alors? Ça gêne quelqu'un au pays des droits de l'homme ?
Lien permanent Catégories : actualité, élections, France et politique française, religion 0 commentaire -
Alexis de Tocqueville (De la démocratie en Amérique) | Au cœur de l’histoire | Europe 1
-
L’invasion continue en novembre : Plus de 200 000 étrangers supplémentaires en Allemagne
L’Allemagne a enregistré en novembre 206.101 demandeurs d’asile supplémentaires, chiffre qui constitue un nouveau record portant le nombre de migrants recensés depuis le début de l’année à 964.574, selon le ministère de l’Intérieur.
Selon le système allemand d’accueil et de répartition des demandeurs d’asile EASY, les arrivées ont donc encore nettement progressé depuis le mois d’octobre, au cours duquel 181.166 migrants avaient été enregistrés.
Mensonges de l’ONU et jeu trouble de la Turquie…
Deuxièmement, l’ONU nous a encore raconté des sornettes en nous annonçant la semaine dernière que le nombre des migrants arrivant en Europe avait chuté de plus d’un tiers. Précisons que, effectivement, les services de l’ONU ne parlaient que de ceux tentant la traversée de la Méditerranée. Les chiffres communiqués par le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés parlent de quelque 140.000 migrants en novembre, soit 36,5 % de moins qu’en octobre.Ce ne sont pas les chiffres, bien entendu, que l’on remet ici en cause. Mais le fait que parler aujourd’hui de la seule Méditerranée qui est aujourd’hui la voie migratoire la moins fréquentée fausse la perspective. Si, en Méditerranée, les migrants sont moins nombreux, globalement, ils continuent d’arriver de plus en plus comme le montre le cas de l’Allemagne évoqué ci-dessus.
Dès lors, et troisièmement, on ne peut pas échapper à cette question : à quoi ont bien pu servir les accords passés le mois dernier avec la Turquie ? Rappelons que Bruxelles a mis dans la balance trois milliards (pour l’instant) et la reprise des négociations d’adhésion d’Ankara à l’Union européenne. Les Turcs, nous dit-on, semblent faire quelques efforts. En dehors de toute autre considération, c’est bien cher payé pour si peu…
François le Luc pour reinformation.tv -
Dans les villes gérées par le Front national, on vit bien, aussi…
Décidément, les médias dominants ont encore des progrès à faire pour mieux comprendre ce peuple qu’ils redoutent tant.
Le Parti socialiste, qui n’a sûrement que ça à faire, vient de publier un « livre noir », forcément « noir », sur la gestion lepéniste des municipalités tombées dans l’escarcelle du Front national.
Et quoi de neuf sous le soleil ? Finalement que de bonnes nouvelles ; enfin, comme toujours, ça dépend toujours du point de vue. Fini l’assistanat subventionné pour des bidules sociaux aux intitulés les plus vagues. Pour résumer, l’argent du contribuable ne servira plus à financer des cours d’arabe pour rappeurs unijambistes éructant du Kurde sur une unique gambette. Idem et itou pour l’art conceptuel, à base d’exposition de tampons hygiéniques, de plugs anaux et de pelles à tarte.
Idem pour les associations destinées à apprendre le turc à des Maghrébines en prison. Itou pour leurs homologues enseignant tatouages au henné et danse des sept voiles. Enfin, rien qui ne puisse relever du bon sens le plus élémentaire.
Pour aborder les sujets qui fâchent, dont l’avortement, extrait de cette prose de combat : « Malgré ses dénégations, le Front national défend une vision traditionnelle de la société… » Ben oui, ducon, c’est un peu son rôle. Mais « vision de la société » dans « laquelle les droits des femmes sont réduits à la portion congrue… » T’as raison mon pote ! Dans un parti tenu de main de fer par des nénettes prêtes à s’égorger à grands coups de sacs à main, c’est plutôt des droits des hommes dont nous serions en légitime droit de nous inquiéter. -
1429 : La légitimité confirmée
Le royaume échappait à Charles VII. La France était livrée aux grands félons, à l'Université, au haut-clergé, tous ralliés à l'occupant. « Tout devait demeurer en l'air, tant qu'il n'y aurait pas un commandement politique affermi... »
Cette année-là, la septième de son règne encore fictif, Charles VII, vingt-six ans, recevait enfin l'onction divine en la cathédrale de Reims, où il entrait accompagné d'une jeune fille qui s'était fait connaître deux mois plus tôt, le 8 mai, en reprenant contre toute attente Orléans aux Anglais. Depuis lors, Charles croyait fermement en la mission divine de Jeanne d'Arc, car seule une envoyée de Dieu pouvait sortir la France du gouffre où elle était tombée sous le règne de son père, le roi dément Charles VI.
Un Anglais roi de France
La France avait même cessé d'exister en 1421, quand la reine Isabeau de Bavière totalement dépassée par les événements, avait signé au nom de son mari hébété le honteux traité de Troyes, acceptant que le roi anglais devînt roi de France !
On assistait là aux conséquences de longues décennies de désordres politiques, intellectuels, moraux et religieux. L'incapacité du roi Charles VI à gouverner avait rendu la situation tout simplement républicaine (voir L'AF 2000 du 1er mai et du 3 juillet 2008) et tous les individualismes s'étaient déchaînés à commencer par ceux des propres parents du roi (frères et neveux de Charles V le Sage). Un parti bourguignon s'était créé autour des ducs de Bourgogne (Philippe le Hardi, Jean Sans Peur, puis Philippe le Bon), qui, unis à l'opulente maison de Flandre, reprenaient le vieux rêve anti-capétien de reconstituer, avec l'aide de l'Angleterre, une Lotharingie reliant les puissances commerciales du Nord européen, d'Allemagne et d'Italie. Contre le parti bourguignon, un parti Armagnac s'était créé. Tout cela sous l'oeil amusé du roi d'Angleterre qui gardait prisonnier le délicieux poète Charles d'Orléans, neveu du roi, et qui rêvait de ne faire de la France qu'une bouchée.
Politique d'abord !
Quand, un an après le traité de Troyes, Charles VI mourut, suivi de peu dans la tombe par Henri V, « roi d'Angleterre et de France » (sic), le jeune Charles était devenu Charles VII, mais son royaume lui échappait, livré aux grands félons, à l'Université, au haut-clergé, tous ralliés à l'occupant qui dévastait les campagnes et maltraitait le petit peuple. Charles n'était plus guère respecté en dehors de la région de Bourges où il résidait chichement avec son épouse Marie d'Anjou, fille de la riche Yolande d'Aragon. Il se croyait toutefois abandonné de tous, et doutait d'être réellement le fils de son père. Tout semblait humainement perdu, tandis qu'à Paris le duc de Bedford s'était emparé du pouvoir au nom de son neveu le « roi d'Angleterre et de France » (sic) Henri VI, orphelin âgé d'un an.
Dieu n'abandonnait pourtant pas la France. Jeanne d'Arc, confiante dans ses Voix célestes, était venue de Domrémy pour en persuader le vrai roi qu'elle appelait encore « gentil dauphin » et qu'elle avait rencontré à Chinon. La suite est connue de tous jusqu'à Orléans, cette dernière poche de résistance française que les Anglais se flattaient déjà d'avoir réduite définitivement. Ici, nouvelle surprise : les militaires, avec un certain bon sens, voulaient d'Orléans courir vers la Manche pour chasser les Anglais. Jeanne dit non. Maurras a expliqué lumineusement pourquoi : « Ses Voix allaient d'accord avec les vues saines de Politique sage qui eussent calculé qu'en définitive l'heureuse aventure du débloquement d'Orléans, accomplie comme elle l'avait été, représentait malgré tout un beau risque et un beau miracle, mais que, pour le reste, il fallait se plier à la Nature des choses. Or, dans cette Nature, tout devait demeurer en l'air, tant qu'il n'y aurait pas un commandement politique affermi. Avant de rien tenter de nouveau, il fallait qu'il n'y eût plus de dauphin, si gentil soit-il, mais bel et bien un Roi, un Roi certain pour tous, un Roi reconnu, acclamé, enfin sacré : le Roi. » Pour Jeanne, Politique d'abord s'accordait dans l'ordre des priorités avec sa devise : Dieu premier servi.
Le souvenir de Jeanne
L'indomptable paysanne sut vaincre les hésitations des poltrons : le 17 juillet 1429, dans Reims que les habitants ornèrent en hâte, Charles VII fut sacré et la foule fit au roi un triomphe : « Noël, Noël ! » Le rétablissement de la légitimité confirmait le pacte de Clovis avec le Ciel ; la mission de Jeanne à la jonction du spirituel et du temporel était accomplie. Comme le dit Marie-Madeleine Martin, « Reims est le signe avec lequel personne n'osera entrer en lutte, l'Oint du Seigneur sera bientôt Charles VII le Victorieux ».
Il allait quand même falloir à ce roi restaurateur et avisé batailler jusqu'en 1435 avant de faire la paix avec son cousin de Bourgogne et jusqu'en 1453, huit ans avant sa mort, pour mettre fin à cette maudite guerre de Cent ans. Il n'abandonna jamais le souvenir de Jeanne, martyre des Anglais : il entreprit sa réhabilitation et anoblit sa famille tandis qu'il exemptait d'impôts les habitants de Domrémy.
Michel Fromentoux L’ACTION FRANÇAISE 2000 du 21 janvier au 3 février 2010
-
Claude Bartolone insulte les militants de La Manif Pour Tous
Le candidat socialiste Claude Bartolone a injurié hier des centaines de milliers de personnes en qualifiant la Manif pour Tous de mouvement "obscène". Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti-Chrétien-Démocrate, condamne ces propos injurieux qui relèvent d'un véritable racisme culturel :
"Les propos méprisants et injurieux tenus hier par M. Bartolone lors de son meeting le disqualifient totalement, aussi bien dans son rôle de Président de l'Assemblée nationale que dans son rôle de candidat à la région Île-de-France.
Comment peut-on à la fois président l'Assemblée nationale, institution représentant par excellence le peuple français, et qualifier d'obscènes des centaines de milliers de personnes, j'entends celles qui ont pris part aux manifestations contre la loi Taubira ?
Les franciliens qui sont venus en masse manifester contre le mariage pour tous seront ravis d'apprendre que celui qui veut gagner leur région n'a pour eux que du mépris. Depuis quand est-il "obscène", dans une démocratie, de faire entendre sa voix pour défendre sa vision de l'homme et de la société ? Depuis quand est-il obscène de défendre le droit de l'enfant à avoir un père et une mère ? Depuis quand les innombrables élus, les associations, sont-ils obscènes ?
De tels propos sont indignes des fonctions qu'occupe Monsieur Bartolone aujourd'hui tout autant que de celles qu'il brigue. Ils sont inquiétants quant à la manière dont le candidat socialiste envisage le débat public et la confrontation d'idées. Ils sont insupportables de la part d'un candidat à la présidence d'une collectivité territoriale, lieu de décision centré sur la vie quotidienne de tous et chacun. Ils sont parfaitement déplacés lorsqu'en plus ils visent des parties du territoire francilien en particulier.
Quel crédit apporter désormais à la volonté socialiste de fonder une région "humaine" comme l'indique le slogan du PS francilien ? Comment imaginer que les socialistes élus gouverneraient dans l'intérêt de tous ? Faudra-t-il prouver qu'on est d'accord avec la vision du monde socialiste - parfaitement obsolète - pour bénéficier des politiques régionales ?
La preuve est faite que le candidat socialiste est le vrai porteur de la division, du rejet, de la ségrégation et d'une forme de racisme culturel ou idéologique qui veut punir tous ceux qui sont en désaccord avec lui.On est bien loin de la prétendue "union nationale" qui n'aura servi aux socialistes qu'à trouver quelques jours de tranquillité au cours d'une campagne où leur faillite est apparue clairement.
Les familles franciliennes sanctionneront durement la dérive sectaire du candidat socialiste dimanche prochain dans les urnes. Elles sanctionneront, comme la majorité des franciliens, cette indécence et cette hypocrisie. Elles doivent le faire pour leur propre tranquillité. Elles doivent le faire dans les urnes car on ne répond bien à l'injure que par le calme et la détermination."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
-
Au secours ! Le Front National est compétent !
Dans un édito publié dimanche soir sur le site de Libération, Laurent Joffrin a écrit qu’il ne fallait pas que le Front national prenne la direction de régions. Il considère en effet que cela lui permettrait d’acquérir une crédibilité en matière de gestion et que cela donnerait un argument de poids à Marine Le Pen en 2017..
Quant à Renaud Dély, il a commis, au même moment, un article sur le site de L’Obs. Il abonde dans le même sens et considère qu’il ne faut surtout pas permettre au FN de prouver ses compétences gestionnaires. Ces deux articles montrent que les adversaires du FN ont tiré les leçons des expériences municipales du Front national. Elles sont en train de prouver qu’il est capable de satisfaire les administrés, bien au-delà du cercle de ses électeurs. Les communes dirigées par des maires FN votent de plus en plus nettement en faveur du parti de Marine Le Pen. Un sondage indique que 70% des Français habitant ces communes sont très satisfaits de leurs maires, ce qui inquiète beaucoup l’oligarchie.