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Amine, Anis étaient au milieu de nous : 66 millions de Français virtuellement livrés au terrorisme islamiste
Nous ne jouons pas à nous faire peur ni à chercher à faire peur aux autres ; ni à cultiver une sorte de morbide sinistrose, qui se porte assez bien comme cela pour qu'il soit utile d'en rajouter...
Nous tirons simplement le constat froid et lucide (on dira clinique, puisqu'Amine était Interne à La Timone, à Marseille !) que deux dangereux terroristes islamistes étaient au milieu de nous, normalement, habituellement :
- le premier, Interne en Chirurgie orthopédique à l'Hôpital de La Timone à Marseille, était en neuvième année de médecine : il a dû en voir, en soigner des gens, leur parler, avoir accès à toute sorte de locaux plus ou moins « sensibles ». Et voilà que l'on apprend qu'il s'était réjoui des assassinats de novembre à Paris, qu'il tenait des propos ouvertement favorables au djihadisme sur les réseaux sociaux, parlant même de commettre des attentats en France. Disparu depuis la mi-octobre, il a finalement été arrêté en Turquie, alors qu'il se rendait en Syrie : pour y faire quoi ? Devinez !
- le second, après son carnage de Berlin, s'est baladé, il n'y a pas d'autres mots. D'Allemagne il est passé en Hollande puis, via la Belgique en France. Il a pris le train, tout naturellement, a traversé plusieurs gares, et, lui aussi, a côtoyé pas mal de monde dans les rues, les dites gares, les trains...
Heureusement, dans un cas comme dans l'autre, les deux assassins n'ont pas tué chez nous. Si l'un est passé à l'acte en Allemagne, l'autre est resté « assassin en puissance », mais l'intention - quand elle est aussi froide, résolue, planifiée... - ne vaut-elle pas l'action ?
Mais ces deux cas troublants nous amènent au seul constat possible : nous sommes toutes et tous livrés, à tout moment, au couteau de l'égorgeur, à la ceinture d'explosif de l'artificier, au véhicule lancé dans la foule... Et les terroristes sont - ou peuvent être - le voisin du dessus ou du dessous ; celui d'en face ou d'à côté ; celui d'en haut de la rue, ou d'en bas, ou du coin : bref n'importe lequel de ces 200.000 entrés par an en France sous Sarko (sans compter les clandestins, évidemment) ; chiffre qui est passé à 300.000 pendant le « quinquenium horribilis » de Hollande.
Toutes et tous étant parfaitement « normaux » en temps normal, mais pouvant basculer d'un coup, à tout moment, dans ce que l'on appelle maintenant, dans la novlangue idéologique politiquement correcte, la radicalisation : en clair, l'islamisme, le terrorisme, l'assassinat de masse.*
C'est dans cet esprit que nous dressons notre constat : non pour faire frissonner dans les chaumières, mais pour lancer une accusation frontale contre le Système, que nous accusons d'irresponsabilité et de mise en danger de la vie de la Nation.
Donald Trump a fait scandale dans la petite bulle des journaleux bobos/gauchos lorsqu'il a déclaré, pendant sa campagne, qu'il voulait interdire l'entrée de musulmans aux Etats-Unis, avant que les autorités compétentes ne se soient renseignées sur les dits musulmans. C'est le bon sens le plus élémentaire : au moins, en savoir le plus possible sur ceux qui veulent venir chez vous. Ce bon sens-là, le Régime, le Système ne l’a pas, car il ne veut surtout pas l'avoir. Ce qu'il veut c'est créer un citoyen nouveau, une France nouvelle, surtout sans contact avec ses Racines et ses Traditions, qui sont gréco-latines, européennes et, bien sûr, chrétiennes. Et, pour effacer ces Racines et ces Traditions, tout est bon, pour le Système, même et surtout l'Islam et les musulmans.
Sauf qu'à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler ; à force de manipuler des bombes, elles vous explosent à la figure...
On en est là. Que ce soit le Régime, le Système qui saute, cela ne nous gêne guère. Mais qu'il nous fasse courir le risque avec lui, alors là, non !
* Répétons-le, une fois de plus : nous ne disons pas que tous les musulmans sont des terroristes, nous disons que tous les terroristes sont des musulmans, et pratiquent leur terrorisme au nom de l'Islam. -
Clientélisme
Le site Atlantico citait le cas du cinéaste de gauche Michael Moore qui prédisait une victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine. Il rapportait l’anecdote suivante au cours de la campagne électorale: «Donald Trump est allé au Club économique de Detroit et, devant des cadres de Ford, a dit Si vous fermez les usines que vous avez prévu de fermer à Detroit et que vous les construisez au Mexique, je vais mettre un tarif de 35% sur ces voitures lorsque vous les renverrez ici et personne ne les achètera, c’était incroyable à voir. Aucun politicien, républicain ou démocrate, n’avait jamais dit quelque chose comme ça à ces dirigeants (…)». Pas encore officiellement élu (ce sera le 20 janvier) , M. Trump se targue déjà d’une victoire sur le front de la lutte contre les délocalisations. Après avoir longtemps résisté aux demandes pressentes du successeur de Barack Obama, Mark Field, le PDG de Ford, arguant d’un «meilleur environnement économique et industriel sous la présidence de Donald Trump», a annoncé mardi qu’il renonçait à délocaliser une nouvelle usine à San Luis Potosi au Mexique (pour un coût de 1,6 milliard). Le groupe a finalement décidé de redéployer 700 millions de dollars pour le développement de la production de véhicules électriques dans son usine du Michigan. Une première victoire symbolique pour Trump, même si les grincheux soulignent que la direction de Ford a trouvé ici un échappatoire commode pour se dépêtrer de ce projet d’usine mexicaine pour y produire des ford focus dont les ventes sont en chute libre.
Une chute libre, intellectuellement parlant en tout cas, qui caractérise aussi la dernière sortie en date du candidat à la primaire socialiste Vincent Peillon. L’ex très sectaire ministre de l’Education nationale a créé l’émoi jusque dans son propre camp par la bêtise de ses propos lors de son passage dans l’émission L’Entretien politique sur France 2 mardi. Il a ainsi affirmé que «Certains veulent utiliser la laïcité – ça a déjà été fait dans le passé – contre certaines catégories de population, les Juifs à qui on mettait des étoiles jaunes». «C’est aujourd’hui un certain nombre de nos compatriotes musulmans qu’on amalgame souvent avec les islamistes radicaux». «C’est intolérable», a-t-il conclu avec emphase.
L’entourage de M. Valls, le sénateur LR Roger Karoutchi se sont émus de cet amalgame, Florian Philippot lui a conseillé de «réviser son histoire». Autorité suprême, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a dénoncé des «déclarations (qui) ne servent que ceux qui cherchent à réécrire l’Histoire». «L’histoire de la déportation de plus de 75.000 Juifs, de la spoliation des biens juifs ou des lois discriminatoires comme le port de l’étoile jaune» ne saurait être «dévoyée et instrumentalisée au nom d’un soi-disant équilibre des souffrances». Le Crif a exigé «une clarification et un correctif immédiat» auquel M. Peillon s’est soumis.
Et de rectifier tout penaud son propos sur twitter: «Je n’ai évidemment pas voulu dire que c’était la laïcité qui était à l’origine de l’antisémitisme de la France de Vichy. (…) Et ce qu’ont vécu les Juifs sous Vichy ne saurait être banalisé d’aucune façon».«J’ai voulu dénoncer la stratégie de l’extrême droite qui utilise les mots de la République pour les détourner contre la population. »
Autre politicien peu réputé pour sa finesse, Christian Estrosi est lui aussi la cible de critiques après son voyage en Israël à la fin de l’année en une période de vives tensions. M. Estrosi qui ne cesse de dénoncer souvent sur un mode incantatoire et fantasmatique le danger Front National, ne s’embarrasse pas d’un paradoxe près en apportant son appui au chef de file de l’extrême droite israélienne. Il n’a certes pas commenté la dernière déclaration du Premier ministre israélien. Réagissant au verdict hier du tribunal militaire israélien de Jaffa qui a déclaré coupable d’homicide Elor Azaria, un soldat franco-israélien, accusé d’avoir achevé à terre un assaillant palestinien blessé, M. Nétanyahu a déclaré soutenir la grâce demandée pour ce jeune militaire de vingt ans.
Le voyage du chef de file de LR en PACA avait aussi pour but officiel de «nouer et renforcer les relations que Nice entretient avec les villes israéliennes», et comportait des « rendez-vous institutionnels de haut niveau, notamment avec le Premier ministre Benyamin Netanyahu, qui fut un des premiers à témoigner son soutien à Nice après l’attentat du 14 juillet». Lors de sa visite le président de la région PACA a notamment pris 50 000 euros dans la poche des contribuables Français pour attribuer une subvention au KKL (Keren Kayemeth LeIsrael, ou Fonds national juif), une association para-gouvernementale de défrichement, de reboisement de l’Etat d’Israël. M. Estrosi entendait, a-t-il dit, «contribuer au reboisement de la forêt détruite» (par les incendies de l’été dernier ), «planter 86 arbres en mémoire des victimes de l’attentat de Nice».
Plus largement, le site droitier pro-israélien Dreuz info précise que« fondé en Grande-Bretagne en 1901 par Theodor Herzl lors du Ve Congrès sioniste, le KKL est le bras exécutif du peuple juif pour la rédemption et le développement de la terre d’Israël. Sa première vocation fut de racheter des terres en Eretz Israël en vue de l’installation de pionniers juifs. Mais très vite, ses missions se sont diversifiées». Ce même site loue l’activisme du KKL après les récentes séries d’incendies criminels qui ont été allumés par des Palestiniens.
Les détracteurs du KKL insistent plutôt sur son aide à la construction de colonies en Cisjordanie (une dizaine d’habitations palestiniennes ont été détruites de nouveau ce lundi à Khan al-Ahmar mettant à la rue près d’un centaine de palestiniens, femmes et enfants inclus), les forêts plantés à des fins politiques pour effacer la présence des populations non juives en Palestine, pour s’accaparer les zones de pâturages des bédouins; les plantations sur les lieux de villages arabes dont les populations ont été chassées ou se sont enfuies, l’arrachage des oliviers et des orangers des palestiniens…
Ce voyage de M. Estrosi a déclenché l’ire des socialistes dans sa région : «À quel titre un président de Métropole et des élus métropolitains vont-ils soutenir la politique étrangère d’un Etat condamné par l’ONU ?» a confié à à l’AFP Xavier Garcia, le premier secrétaire du Parti socialiste dans les Alpes-Maritimes. Christophe Castaner, tête de liste du PS en PACA lors des dernières élections régionales, a dénoncé également à l’AFP un voyage assimilé à «du clientélisme pur». «Non seulement le contribuable paie le déplacement, mais on apprend qu’il engage la région pour acheter une clientèle», celle des amis d’Israël». Il a regretté que Christian Estrosi «conteste l’existence de la Palestine» quand la France porte «la position de l’équilibre».«Rien ne peut justifier le déplacement (de Christian Estrosi) en Israël aux frais de la métropole (Nice Côte d’Azur) pour soutenir Netanyahu», a insisté Patrick Allemand, à la tête de l’opposition municipale de gauche à Nice. Il est vrai que François Hollande, lors de sa rencontre en Israël en novembre 2013 avec le Premier ministre israélien, avait évoqué «l’amitié entre Benjamin (Netanyahu) et (lui-)même» mais avait aussi rappelé devant la Knesset la position officielle de la France contre la colonisation juive en Cisjordanie.
Bruno Gollnisch défend contrairement à M. Estrosi une position plus favorable aux droits des Palestiniens, qu’il soient chrétiens ou musulmans, nettement moins outrancière, nettement plus équilibrée et partant, nous le croyons, bénéfique à terme également pour les Israéliens. Pour autant le député FN estime que Christian Estrosi est parfaitement en droit de nouer les relations privilégiées avec qui il veut, de dénoncer la veto de l’Onu sur la politique de colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est. Bruno Gollnisch note également que l’indignation des socialistes qui eux aussi n’ont pas fréquenté amicalement que de parfaits dirigeants respectueux des droits de l’homme, n’est peut-être pas elle aussi dénuée de tout clientélisme dans la perspective des échéances à venir…
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Chroniques de guerre en Syrie (Thierry Meyssan, Jean-Michel Vernochet)
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Donald Trump démarre très fort
Avec Donald Trump se profilent des États-Unis musclés.
La transition entre l’administration Obama et la future administration Trump ne se fait pas sans tensions. Bien décidé à montrer qu’il est déjà pleinement concentré sur ses futures missions, Donald Trump a multiplié les déclarations chocs, sans manquer d’obtenir quelques résultats qui lui serviront à asseoir sa popularité lors de ses premiers mois d’exercice.
En jetant la suspicion sur l’élection de Donald Trump, il montre qu’il restera l’homme fort du camp démocrate, dépourvu de personnalités charismatiques. Il contribue aussi à questionner le patriotisme du nouveau président élu, en le liant à une grande puissance étrangère longtemps antagoniste. Barack Obama s’ingénie, d’ailleurs, à prendre Donald Trump à contre-pied sur tous les dossiers chauds : Israël, Guantánamo, interdiction du forage en Arctique… En froid avec Netanyahou, Barack Obama n’a pas déposé de veto contre la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations unies relative à la « colonisation israélienne de territoires palestiniens occupés ». Voudrait-il forcer son successeur à changer de position pour satisfaire ses soutiens en Israël ?
Pomme de discorde majeure entre les deux hommes : la politique étrangère. D’abord, la fameuse affaire des « piratages russes » qui auraient pu contribuer à la victoire de Donald Trump. Barack Obama a sanctionné la Russie en expulsant 35 diplomates du territoire national américain, lesquels ont été déclarés persona non grata aux États-Unis. Washington soupçonnait ces hommes d’être des agents du renseignement russe, c’est-à-dire des espions. En outre, deux complexes résidentiels russes situés dans le nord-est des États-Unis ont été fermés et des sanctions économiques et juridiques ont été décidées à l’encontre du GRU (services secrets de l’armée) et du FSB (service fédéral de sécurité, ex-KGB).
De son côté, Donald Trump semble émettre des doutes quant à la version défendue par son futur prédécesseur, ne croyant pas à une éventuelle ingérence russe lors de la dernière élection présidentielle. Il a même loué l’intelligence de Vladimir Poutine qui, en réponse aux sanctions prises par Obama, a répondu par l’ironie en invitant les enfants du personnel diplomatique en poste en Russie à passer les fêtes de Noël au Kremlin. Le mardi 4 janvier, Donald Trump s’est montré encore plus offensif en publiant un entretien de Julian Assange, dans lequel ce dernier estime qu’un adolescent aurait pu pénétrer sur la boîte mail de John Podesta ; puis, un peu plus tard, en sous-entendant dans un tweet que le report de la réunion des services aurait pu être motivée par la volonté de monter un dossier à charge à la va-vite ! Donald Trump douterait-il de la loyauté de l’État profond à son égard ? On peut se poser la question.
Pour Barack Obama, l’intérêt est double.
Pour ce qui concerne Guantánamo, Donald Trump a été très clair, déclarant : « Il ne devrait pas y avoir d’autres libérations de détenus de Guantánamo. Ce sont des gens extrêmement dangereux et ils ne devraient pas pouvoir revenir sur les champs de bataille. » Une autorité assumée qui tranche avec la mollesse de l’administration démocrate, politiquement correcte jusqu’à l’absurde. Moins commenté mais tout aussi édifiant : le cas du président de la République serbe de Bosnie, Milorad Dodik. Invité à l’investiture du président américain qui aura lieu le 20 janvier, il s’est vu refuser son visa par l’ambassade américaine à Sarajevo ! Les changements de paradigmes risquent d’être majeurs avec la présidence Trump…
Si le menu international est copieux, le volet intérieur l’est tout autant. Donald Trump a réussi à tenir une première promesse de campagne en empêchant Ford de délocaliser une usine de 1,6 milliard de dollars aux Mexique, prouvant par là qu’une politique de protectionnisme intelligent n’était pas une utopie mais bien une possibilité offerte par l’exercice du pouvoir souverain. Avec Donald Trump se profilent des États-Unis musclés. Enfin débarrassés des scories du marxisme culturel ? Espérons-le…Gabriel Robin http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/donald-trump-demarre-tres-fort,304337 -
IMPORTANT : LE BANQUET AMICAL POUR LE 70e ANNIVERSAIRE DU MSI EST REPORTÉ AU SAMEDI 25 FÉVRIER
INFORMATION IMPORTANTE :
Le banquet amical devant marquer le 70e anniversaire de la fondation du Mouvement social italien, initialement prévu pour le samedi 28 janvier à 20 h, est reporté au samedi 25 février (même lieu, même heure, même menu).
Notre ami Massimo Magliaro, ancien adjoint du fondateur du MSI Gieorgio Almirante, ayant eu un accident le 2 janvier, il est retenu quelques semaines à Rome. Rassurez-vous, je me suis entretenu avec lui au téléphone et tout laisse à penser qu'il retrouvera vite sa forme de jeune homme. Cependant, nous avons estimé qu'il était plus prudent de reporter notre réunion du 28 janvier au 25 février.
Déjà, de nombreux amis et camarades avaient retenu leur place. Ils seront tous individuellement informés d'ici la fin de la semaine de ce changement de date. Nous espérons que cela ne leur posera pas trop de problème pour venir le 25 février. Il est évident que ceux qui ne pourront pas être là seront remboursés.
Nous vous remercions pour votre compréhension et espérons vous retrouver encore plus nombreux le samedi 25 février à Paris pour ce 70e anniversaire du MSI.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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Appel des Veillées pour la Vie à organiser des cars pour la Marche pour la vie
Comme vous le savez, la 11e édition de la Marche pour la Vie se déroulera le 22 janvier prochain. 2017 sera marqué en France par les élections présidentielles et législatives. Lançons l’année en défendant la Vie !
Une carte des cars organisés dans toute la France a été publiée : ici et un formulaire est disponible pour ceux qui pourront s’engager dans ce service indispensable sur le site de la Marche pour la Vie.
Comme les Veillées pour la Vie en novembre, nous espérons voir surgir des cars de toutes la France !
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Obsolescence programmée
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Éric Zemmour : « L’entente entre Trump et Poutine fait paniquer l’Europe »
« L’entente entre Trump et Poutine fait paniquer l’Europe », a affirmé Eric Zemmour hier matin sur RTL, expliquant : « Les dirigeants européens ne sont jamais contents. Quand Russes et Américains s’invectivent, se toisent et se menacent, les Européens s’effarouchent du retour de la guerre froide. Quand Donald Trump et Vladimir Poutine affichent leur bonne entente, voire leur complicité, la panique gagne à Bruxelles, Berlin, Paris. » « Tout ce que nos capitales comptent d’experts, de médias et d’élus monte au créneau pour dénoncer la naïveté et la faiblesse américaine. »
Pour Éric Zemmour, deux hommes « ont en commun l’essentiel : une conception fondée sur les relations entre États et les rapports de force. » Ils incarnent « le retour d’une idéologie qui privilégie le patriotisme, l’enracinement des peuples, les traditions nationales ». C’est en conséquence de cela que « nos élites occidentales sont prises de panique »…
http://fr.novopress.info/202552/eric-zemmour-lentente-entre-trump-et-poutine-fait-paniquer-leurope/
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Chicago : 4 Noirs racistes enlèvent et torturent un Blanc au cri de « on baise Donald Trump ! On baise les Blancs ! »
La police de Chicago a eut connaissance de cette vidéo mardi après-midi. Brittany Herring, une jeune femme afro-américaine, l’a diffusée en direct sur Facebook. Elle montre au moins quatre personnes retenant un jeune homme blanc en otage et le torturant. Les quatre personnes sont actuellement en détention. La victime handicapée avait été enlevée, à l’aide d’un fourgon volé, dans Carol Stream (Illinois), alors qu’elle avait rendez-vous avec un ami. Il a été insulté et frappé à plusieurs reprises. Ses habits et son cuir chevelu ont été entaillés alors qu’il est attaché et bâillonné. On peut entendre ses tortionnaires lui crier: « on baise Donald Trump! On baise les Blancs!« Lorsque Brittany Herring a filmé tout ceci, elle n’a pas réalisé qu’elle était diffusée en direct sur Facebook Live. Par la suite, elle s’en est aperçue, mais trop tard pour elle et ses complices. La vidéo a été effacée de Facebook, mais trop tard également, car elle avait déjà été recopiée. Le jeune homme en état de choc est sorti de l’hôpital, il est désormais auprès de ses parents. Fox32 Chicago & Chicago CBS Local via Fdesouche