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  • Nouvelles lois anti-Soros en Hongrie

    8843-20170415.jpgLe président hongrois, Janos Ader, a signé lundi la nouvelle loi hongroise sur l’éducation supérieure. Pour qu’une université étrangère puisse avoir un campus et délivrer des diplômes en Hongrie, il faudra à partir du 1er janvier 2018 qu’elle ait aussi un campus dans son pays d’origine et qu’elle fasse l’objet d’un accord intergouvernemental.

    Cette loi est accusée de viser tout particulièrement l’université d’Europe centrale (Central European University, CEU) fondée en 1991 à Budapest à l’initiative du financier américain d’origine juive hongroise George Soros. La CEU, toujours financée par le progressiste libéral-libertaire Soros, est une université anglophone accueillant plus de 1 500 étudiants d’une centaine de pays différents et dont l’objectif est de promouvoir les Droits de l’homme, la bonne gouvernance et l’Etat de droit tels que les conçoit le milliardaire américain dont Viktor Orban dénonce régulièrement l’influence néfaste et le rôle dans l’invasion migratoire actuelle.

    Le département d’Etat américain s’est dit inquiet de l’impact de cette nouvelle législation sur une université dont il vante les compétences et les mérites tandis que la Commission européenne a annoncé vouloir s’assurer que la nouvelle loi n’est pas contraire aux valeurs fondamentales de l’UE. Malgré les manifestations qui se déroulent depuis quelques semaines en Hongrie, un sondage publié le 13 avril par le groupe de réflexion Szazadveg montre que 70 % environ des Hongrois sont favorables à la nouvelle loi.

    Parallèlement, le gouvernement hongrois a adopté un autre projet de loi pour obliger les ONG financées depuis l’étranger de déclarer ce fait aux autorités et de l’indiquer sur leur site internet et leurs publications.

    Olivier Bault

    Article publié dans Présent daté du 15 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

     
  • A la découverte de la France provinciale où le vote FN est décomplexé

    6a00d83451619c69e201b8d2781097970c-800wi.jpgReporter de guerre, prix Albert Londres, la journaliste Anne Nivat est parti sillonner six villes moyennes de la France périphérique, d'où elle a tiré un livre reportage. Elle en parle comme si elle avait découvert une tribu d'Amazonie :

    "Le vote FN fait peur au microcosme politico-médiatique parisien, mais en province il est complètement décomplexé. Nous serons sans doute étonnés par son score au premier tour. Les raisons en sont multiples, mais je crois qu'un des facteurs principaux est la décrédibilisation des politiques. Le principal atout de Marine Le Pen, c'est sa «virginité» politique: elle n'a jamais été au pouvoir. Ça joue en sa faveur.

    Les gens vous parlent beaucoup de religion. Comment expliquez-vous ce renouveau d'une demande de spirituel dans une société qui prétend pourtant en avoir fini avec Dieu?

    Voilà un thème que je n'avais pas anticipé, et que j'ai identifié dans toutes les villes, dans toutes les catégories sociales, en en particulier chez les jeunes. J'ai senti un besoin de religieux, que ce soient chez les jeunes musulmans ou chez les jeunes chrétiens. J'ai été frappé par le succès des églises évangéliques dans ces villes moyennes. Beaucoup de populations d'origine africaine fréquentent ces églises, souvent situées dans des hangars, des garages. Des catholiques ont quitté leur paroisse pour les évangéliques. Les convertis, j'en ai vu beaucoup, dans les deux sens. Beaucoup de chrétiens africains qui se convertissent à l'islam, mais il y a aussi des conversions vers le christianisme évangélique. Il y a du mouvement, c'est très intéressant. Des jeunes catholiques de Laval racontent se sentir jaloux de jeunes musulmans, car, disent-ils, on parle plus d'eux dans les médias, ils sont plus visibles, on voit à leur habillement qu'ils sont musulmans. Ces jeunes reprochent à leurs parents: «Mais pourquoi ça ne se voit pas qu'on est catholique?». À Laval, lors d'une journée du dialogue interreligieux, un prêtre ouvrier, le père Berjonneau s'était rendu dans une mosquée, et l'imam lui a reproché de ne pas avoir porté de soutane, de n'être pas «habillé en prêtre». Je crois que le dialogue interreligieux est capital pour retisser le lien entre ces deux France.

    Le pays est-il «morose»?

    J'ai trouvé une France qui se plaint, mais pas une France triste. Les Français aiment leur pays. Ce livre évoque leurs angoisses, mais il essaie aussi de mettre en valeur ceux qui sont prêts à s'aider les uns les autres, comme cette France des maraudes, qui sont organisées dans toutes les villes. Il s'agit de bénévoles, de toutes conditions sociales, qui sillonnent les rues pour aider les plus pauvres. Il y a là une France fraternelle, solidaire et optimiste. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les francs-maçons s’inquiètent du développement de Civitas et des propos antimaçonniques d’Alain Escada

    Il y a quelques jours, nous signalions à nos lecteurs l’entretien accordé par Alain Escada, président de Civitas, au site d’information La Pravda.ch, entretien dont le contenu antimaçonnique n’est pas passé inaperçu. En témoigne cette note publiée sur Hiram.be, l’un des plus importants sites francophones de la franc-maçonnerie. Un véritable hommage du vice à la vertu.

    CIVITAS ET ESCADA CONFIRMENT LEUR INTÉGRISME

    Par Géplu dans Anti-maçonnerie

    Le site d’extrême-droite LaPravda.ch publie une interview décapante d’Alain Escada, le patron de l’organisation ultra catho Civitas, proche de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X et de Jean-Marie le Pen, et qui s’est transformée l’an dernier en parti politique, afin de bénéficier d’avantages fiscaux non négligeables (déductibilité des dons).

    Dès les premiers mots de l’entretien, les choses sont claires : L’association Civitas est devenue un parti politique depuis avril 2016. Dans son programme, figure notamment la fin de la laïcité. En effet, celle-ci est considérée par le mouvement comme la religion de la république maçonnique qui s’oppose à la France catholique.

    Si je publie cette info, et invite les Frères et les Sœurs à lire cette interview, ce n’est pas pour faire l’apologie du sieur Escada, mais bien au contraire pour que tous voient et sachent qui il est et ce qu’il propose. Ce n’est pas en faisant l’autruche que l’on se protège de ceux qui souhaitent la disparition de la franc-maçonnerie…

    http://www.medias-presse.info/les-francs-macons-sinquietent-du-developpement-de-civitas-et-des-propos-antimaconniques-dalain-escada/72305/

  • Donald Trump leurre les néo-cons

    De Thomas Flichy de La Neuville :

    "Les Etats-Unis viennent d’opérer trois actions militaires spectaculaires. Il s’agit en premier lieu d’une frappe effectuée le 7 avril sur la base syrienne de Sha’irat par 59 missiles de croisière, en second lieu de l’envoi du porte-avion Carl Vinson, accompagné de son escadre navale vers les eaux de Corée du Nord, et en troisième lieu du largage d’une bombe de type Moab en Afghanistan. Ces actions ont laissé penser que le président Trump opérait un virement à 180° de sa politique étrangère. En réalité, la base de Sha’irat fonctionnait à nouveau normalement un jour après l’attaque. Quant à l’escadre américaine, elle effectuait des manœuvres conjointes avec la Corée du sud depuis le 1er mars dernier. Ceci nous montre qu’il est parfois hasardeux de confondre les actions de communication militaire avec les véritables revirements stratégiques. 

    Quelles sont donc les raisons de ces deux actions de communication, sans grand effet sur les équilibres géopolitiques du monde ? Il faut bien comprendre que le véritable front pour le président Trump n’est ni au Levant ni en Extrême-Orient mais bien à l’intérieur de la Maison Blanche. Le nouveau président a été élu malgré l’opposition de l’ensemble de l’appareil d’Etat, qui prédisait avec une grande constance sa défaite à venir dans les sondages. Il doit aujourd’hui s’emparer des leviers de commande des Etats-Unis malgré l’hostilité du pouvoir judiciaire, médiatique, et financier. Or ses soutiens fiables - qui ont déserté depuis longtemps les sphères de l’intelligence politique et culturelle pour se livrer aux activités mercantiles – sont trop peu nombreux pour pouvoir occuper les postes à responsabilité. Ceci explique en partie la militarisation de la haute administration. Le président a donc été élu, mais ne disposant pas de la masse critique de cadres compétents, il est paralysé. 

    Pour le président, le temps est compté, puisque les mid-term elections auront lieu le 6 novembre 2018. Il sait que les présidents des Etats-Unis qui ont affronté avant lui la Federal reserve n’y ont pas survécu. Il s’agit d’Abraham Lincoln et de John Kennedy. Il lui faut donc donner des gages à ses adversaires. Il a dû accepter le renvoi de ses amis proches le général Flynn puis Steve Bannon. Il sait surtout que la seule façon de s’emparer du pouvoir tout en donnant des gages à ses adversaires néo-conservateurs qui ont pensé et mis en œuvre le chaos constructeur au cours de la dernière décennie, consiste à lancer des offensives militaires ou bien à faire mine de le faire. Le complexe militaro-industriel demandait des guerres maîtrisées pour écouler ses productions avec régularité. Donald Trump vient de le leurrer avec un brin de malice. Quelques heures après que les missiles de croisière eussent été tirés sur des hangars vides, l’adversaire, ébloui par les feux, ouvrait un large bec et laissait tomber sa proie. Le juge fédéral Neil Gorsuch – fidèle du président – était en effet adoubé par le Sénat. C’est la plus grande victoire intérieure de Donald Trump depuis le 20 janvier. Le corbeau honteux et confus jura, mais un peu tard qu’on ne l’y prendrai plus."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sécurité / Stade de Lyon : les supporters turcs sèment la panique

  • NON, la France n'était pas à Londres. Quelques précisions s'imposent...

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    Professeur Alain Rouet

    La polémique ouverte par Marine au sujet de « la rafle du Vel’ d’Hiv’ » ayant montré des abysses d’inculture chez tous les protagonistes, un petit tour de piste historique semble s’imposer…

    Un imposteur nommé De Gaulle

    Marine reprend la vieille antienne gaulliste d’une « France » qui se serait retrouvée à Londres incarnée par une nouvelle Jeanne d’Arc étoilée… Sa médiocrité militaire l’ayant limité, à 50 ans, au grade de Colonel, De Gaulle finit par être nommé général 2 étoiles « à titre provisoire » lors de sa nomination au poste de sous secrétaire à la Guerre dans l’ultime gouvernement Reynaud. A l’armistice – après s’être assuré qu’aucune fonction ne lui était réservée dans le nouveau gouvernement – il s’envole directement pour Londres. Qu’il y ait emporté « la France » entre ses chaussettes et son caleçon ne relève que de sa mégalomanie. Si Londres abrite en effet des « gouvernements en exil » reconnus comme tels, notamment par les Britanniques, tel n’est pas le cas du bureau londonien de l’obscur De Gaulle ! Toutes les puissances, y compris le Royaume-Uni, reconnaissent la légalité de l’Etat français, seul représentant de « la France ».

    N’ont rejoint le « général à titre provisoire » que quelques excités d’extrême-droite (venus notamment de la Cagoule) et une groupe de juifs (« J’attendais l’Eglise, j’ai reçu la Synagogue »). Nombre de ces derniers s’illustreront plus dans les appels aux meurtres de Radio-Londres que dans des activités parachutistes (voir l’inénarrable « équipée » de Maurice Schumann…). Non seulement De Gaulle n’est pas reconnu comme représentant « la France » mais est tenu pour un pitre aussi bien par Churchill que par Roosevelt. Après le débarquement en Afrique du Nord (novembre 1942) les Alliés (qui n’ont même pas prévenu De Gaulle de l’opération !) choisissent l’Amiral Darlan, Dauphin du Maréchal Pétain, comme représentant de « la France libérée ». De Gaulle le fait assassiner. Ils choisissent ensuite le Général Giraud qui résistera… à De Gaulle… jusqu’en 1944. Après avoir tenté de le faire assassiner De Gaulle parvient enfin à l’éliminer politiquement.

    C’est seulement à partir de 1943 que De Gaulle est reconnu… par Staline… nouant ainsi la vieille complicité gaullo-communiste qui perdurera jusqu’en 1968 où le PC "F" sauvera encore la mise du grand homme… Sur les insistances de Staline, et toute solution de rechange ayant été éliminée, parfois physiquement, c’est seulement en 1944 que De Gaulle sera enfin « reconnu ».

    Entre temps les réseaux de Résistance se sont montés sans qu’il y soit pour grand-chose, l’activité des « gaullistes » servant surtout à les récupérer. Quant aux troupes françaises qui reprendront la lutte contre l’Allemagne, les FFL gaullistes y sont ultra-minoritaires. Les gros bataillons sont fournis par l’Armée d’Afrique, pétainiste et giraudistes… Dans les faits le Général Micro a surtout servi sa propre propagande.

    Une collaboration « ni franche, ni loyale »

    Quant à l’Etat français sa « collaboration » ne vise point à aider les Allemands mais les Français. Elle n’est ni franche, ni loyale, mais consiste à discuter avec l’Occupant pour lui en accorder le moins possible. Il existe certes des « ultras » de la collaboration désireux d’œuvrer à la victoire du Reich. Ils ne sont pas à Vichy mais à Paris (l’activité des partis est interdite en zone libre) ! Et ils ne cessent de critiquer Vichy pour sa mollesse, sa tiédeur, son caractère rétif…

    En quelque sorte le programme de Pétain est de « Défendre les Français »… à l’instar d’une des premières affiches du Front national de Jean-Marie Le Pen…

    Concernant les Juifs la législation de Vichy se limite strictement aux Lois Alibert, promulguées dès juillet 1940. Ces Lois sont purement économiques, interdisant aux Juifs certains secteurs économiques et limitant leur nombre, par numerus clausus (2%), dans la Médecine et le Barreau. Toutes les autres dispositions les visant (comme le port de l’étoile à partir de 1942) résultent d’ordonnances allemandes n’ayant pas cours en zone libre.

    Plus généralement il ne faudrait pas oublier que les Allemands ne sont pas de simples invités n’agissant poliment qu’après autorisation de leur hôte ! Un seul des pays occupés par l’Allemagne a été administré directement par elle : la Pologne. Qui osera prétendre que la vie y fût plus douce et le sort des juifs bien meilleur ?

    Des juifs dans la collaboration

    En Région parisienne des rafles ont eu lieu dès la fin 1941, organisées par les autorités allemandes sans même que Vichy en soit préalablement informé. Et il ne s’agissait pas de « raflettes » puisqu’elles portèrent sur plus de 4.000 individus.

    Ce sont les Allemands qui imposent la « grande Rafle » de juillet 1942, et nullement Vichy qui aurait pris cette initiative ! Se posait simplement un problème de « souveraineté » : qui commanderait les forces de police chargées d’y procéder ? L’Etat français se serait-il porté aux abonnés absents que cette rafle aurait quand même eu lieu.

    Ses préparatifs durèrent une bonne quinzaine de jours avec divers participants dont l’UGIF. L’UGIF, c’est l’Union Générale des Israélites de France, en quelque sorte l’ancêtre du CRIF… Une « minorité visible » dont nous gratifie LCI a ouvert son Journal sur « les 14.000 Français juifs » de la Rafle. Or celle-ci - après discussions (la politique de Vichy, comme d’ailleurs celle de l’UGIF, consistant à protéger d’abord les Français juifs) - ne porte QUE sur des juifs étrangers : apatrides, allemands, autrichiens, tchèques, polonais, russes… ! Et parmi ceux-ci sont exonérés les porteurs de cartes de l’UGIF et… les fourreurs et leurs familles. Ces derniers travaillent en effet à fournir des vêtements bien chauds pour le Front de l’Est. Le Vel’ d’Hiv résonne de noms priés de se présenter à l’entrée : ce sont ceux d’ouvriers en confection que leurs chefs d’Atelier sont venus tirer de ce guêpier. Eux aussi fabriquent des uniformes, apportant leur modeste, mais rétribuée, contribution à l’effort de guerre allemand…

    La plupart des raflés sont transférés au camp de rétention de Drancy. Il est certes contrôlé par les Allemands mais largement auto-administré. Il y a notamment un médecin-chef, juif, chargé d’examiner les prépuces pour établir indéniablement la qualité de juif… Nos procureurs médiatiques devraient bien connaître son histoire puisque ses descendants font carrière à la télévision… Quant au directeur juif il participe naturellement à l’élaboration des listes de déportation.

    On reconnaîtra bien volontiers que l’UGIF, les fourreurs, les ouvriers en confection, le directeur du camp et peut-être même le médecin-chef, n’avaient peut-être pas tout à fait le choix... mais les goys l’avaient-ils plus ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/04/14/retour-sur-une-5932992.html