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  • La loi sur les "Fakes news" est une loi de censure au profit de la grosse presse

    6a00d83451619c69e201b8d2d28b23970c-250wi.pngC'est l'aveu de Florian Bachelier, Député LREM de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, Premier Questeur de l'Assemblée Nationale, dans cette tribune publiée dans Ouest France et intitulée "Les Fake News portent atteinte à la souveraineté de l'Etat" (rien que ça) :

    "Les fake news constituent une menace sérieuse pour nos sociétés démocratiques en faussant pernicieusement la discussion publique. Qu’il n’y ait aucune ambiguïté : les fake news ne sont pas des opinions dissonantes, telles qu’elles ont toute leur place en démocratie. Elles procèdent de la seule volonté de tromper insidieusement. Nous le constatons aujourd’hui avec la concomitance du succès croissant des théories complotistes et de la défiance envers les médias traditionnels. À l’extrême droite allemande, l’AfD joue de ce trouble et fait circuler ses propres « réinformations » pour corriger cette Lügenpresse - la presse menteuse - un terme employé par les nazis pour les journaux d’opposition.

    À l’heure où l’Otan reconnaît le cyberespace comme un domaine d’intervention militaire au même titre que la mer et la terre, il faut saisir l’ampleur du danger. La fake news est aussi loin du canular que la Gerboise bleue, le premier essai nucléaire français, d’un pistolet en plastique : c’est une arme de déstabilisation massive. Elle est à même de porter atteinte à la souveraineté de l’État. C’est pour cela que le président de la République a souhaité une nouvelle loi et des mesures fortes pour combattre les fake news

    Les médias ont certes déjà proposé des initiatives de décodage qui aident le lecteur à séparer le bon grain de l’ivraie. Honorable, légitime, cette entreprise seule semble toutefois impuissante à enrayer la propagation.

    En 2018, la loi sur la presse datant de 1881 n’est plus adaptée à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux, où les flux d’informations sont constants, sans frontière ni intermédiaire. C’est précisément parce que la liberté de la presse demeure un des droits les plus précieux que la loi doit évoluer.

    La nouvelle loi devra donc tout d’abord permettre d’agir en temps réel. La réponse doit être plus véloce que la menace en agissant directement sur les hébergeurs de fake news : 24 heures de partages sur les réseaux sociaux peuvent déjà être désastreuses. Il faut en outre pouvoir demander des comptes à ces plateformes et rendre transparents leurs financements. Il faut enfin mettre un terme au lâche anonymat de ceux qui sapent derrière un écran l’exercice de la citoyenneté. Le temps est en somme de nouveau venu de rejeter l’obscurantisme par plus de lumière.

    J’entends la crainte d’un retour sournois de la censure et je comprends ceux qui redoutent que la liberté de la presse et la liberté d’opinion n’en ressortent meurtries. Il n’en est rien. Tout d’abord, parce qu’il ne s’agit pas d’une vérité officielle mais d’une lutte contre la diffusion volontaire de fausses informations, au même titre que la répréhension de la diffamation et l’escroquerie.

    Bien plus, parce que les premiers concernés par ce fléau sont avant tout les journalistes dont la rigueur et le long labeur peuvent être fatalement balayés par l’émission et la transmission industrielles de ces rumeurs trompeuses. C’est pour cela qu’ils seront très largement associés à la réflexion et à la construction de cette nouvelle loi, dans un débat transparent, entre citoyens."

    Il s'agit bien de garantir le monopole de la presse étatique, celle qui est largement subventionnée par l'argent public et qui passe son temps à manipuler l'opinion et à pratiquer la désinformation, selon diverses méthodes dénoncées notamment par Jean-Yves Le Gallou.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • SI LA NATALITÉ FRANÇAISE EST EN BAISSE, C’EST D’ABORD PARCE QUE L’AMOUR DES ENFANTS EST EN BAISSE

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    « L’inquiétant déclin de la natalité française » a suscité beaucoup d’analyses qui, pour l’essentiel, s’en tiennent à des données économiques, sociales ou professionnelles. Les couples n’auraient plus assez de revenus, l’État n’aurait pas une politique suffisamment généreuse à l’égard des familles et les femmes seraient souvent obligées de trancher en faveur d’une vie active à l’extérieur de leur foyer. C’est sans doute en partie vrai.

    Sans tomber dans une approche aussi prosaïque, il est patent que le désir d’enfant devient une donnée infiniment relative qui est soumise, pour sa concrétisation, à des éléments qui pèsent davantage que le bonheur de la procréation elle-même.

    Le droit à l’enfant n’est, paradoxalement, que le dévoiement d’un désir d’enfant en renvoyant l’attente généreuse et altruiste de celui-ci vers une exigence narcissique et capricieuse qui ne le concerne plus ou à peine.

    Pour ne pas évoquer la gestation pour autrui, qui est tout simplement « un marché de la personne humaine » face auquel les féministes de tous bords devraient s’indigner si elles étaient cohérentes. Quand le droit à l’enfant conduit à répudier l’humanisme même le plus basique, on a le devoir, pour le moins, de questionner ce droit.

    Je provoque, mais si l’on consacrait la même énergie, la même intelligence à rendre hommage à la procréation qu’on en met pour défendre toutes griffes dehors l’avortement, cela pourrait s’appeler un progrès ou, au moins, un rapport plus équilibré entre la naissance et l’effacement.

    L’enfant roi qui pourrait laisser croire à l’existence de parents tellement épris de l’enfance et de sa liberté qu’ils lui laisseraient faire, par amour, à peu près n’importe quoi est lui-même une dénaturation d’un authentique désir d’enfant.

    L’enfant réclamé par des adultes pour leur seul bénéfice ou l’enfant petit potentat, deux manières qui dégradent la magie de l’enfance, quand on l’espère et qu’elle vous comble par avance grâce à ce qu’elle a d’unique et de puissant.

    Je ne suis pas davantage convaincu par les humanistes hypocrites qui prétendent ne pas faire venir au monde des enfants pour leur bien. Cet univers serait trop dur pour qu’on puisse y jeter un enfant ! En traduisant, quelle incommodité, quelle gêne qu’un petit bout d’être qui viendrait mordre un peu sur notre destin personnel !

    Il n’est vraiment pas nécessaire, pour faire « scientifique », de s’aventurer dans des justifications sociologiques. Il suffit de comparer hier avec aujourd’hui, les attitudes passées avec celles de maintenant. Combien de fois ai-je remarqué le changement radical qui s’est opéré chez beaucoup de parents au fil des années, dans le métro ! Au lieu qu’il y ait entre eux et les tiers jetant un tendre regard sur leur progéniture de quelques mois une complicité délicate, dorénavant c’est au mieux de l’indifférence, voire pire, presque de l’hostilité, comme si l’intérêt affectueux d’autrui était une menace.

    Je tire de ces évolutions, de cette moindre consécration de l’enfance qui n’apparaît plus comme un trésor à partager d’une certaine manière par tous mais tel un bien à privatiser, que les temps ont changé et que, si la natalité française est en baisse, cela tient d’abord à ce que l’amour des enfants est lui-même en baisse. Je m’en désole d’autant plus que, depuis toujours, je fonds devant les bébés, qui représentent un quatrième âge si merveilleux de grâce et d’innocence.

    Il n’y a à jeter la pierre à personne – la liberté est une valeur trop précieuse pour ne pas bénéficier même à ceux pour qui seul leur avenir compte -, mais qu’on ne vienne pas cependant décourager ceux qui croient à la vie, donc à l’enfant, et ne répugnent pas à mettre de la douceur là où on en manque. Il faudrait surtout les féliciter.

    Au nom de tous.

    Extrait de : Justice au Singulier

    http://www.bvoltaire.fr/natalite-francaise-baisse-cest-dabord-lamour-enfants-baisse/

  • Bonne nouvelle : Les parodies de mariage en forte baisse en France

    6a00d83451619c69e201bb09eb4184970d-320wi.pngLes chiffres parlent d'eux-mêmes. François Hollande a fait voter une loi pour satisfaire une frange ultra-minoritaire de la population française mais dont les conséquences dramatiques sur la déconstruction de la famille et de la société ne seront reconnues que dans plusieurs années :

    "Selon le bilan démographique 2017 publié par l’Insee, le nombre de mariage entre personnes de même sexe ne cesse de baisser depuis l’année 2014. Sur les 228 000 mariages célébrés en France l’année dernière, 7000 sont des mariages entre personnes de même sexe. On en comptait plus de 10 000 trois ans plus tôt.

    Depuis 2014, le nombre de mariages entre personnes de sexe différent a baissé de 4% alors que le nombre de mariages entre personnes de même sexe a baissé de 33%. On constate par ailleurs une augmentation de 13% du nombres de PACS conclu sur la même période."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Surveillants de prison : La situation ne devrait pas s’apaiser de si tôt

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis quelques semaines, la tension est palpable entre l’administration pénitentiaire et les surveillants de prison. La semaine dernière par exemple, plus d’une centaine de prisons étaient bloquées par des surveillants en colère.

    Les négociations entre les deux partis se poursuivent mais n’ont toujours pas abouties. Les blocages devraient donc continuer dans les prochains jours.

    Le conflit actuel est impressionnant par sa durée et son ampleur. Les surveillants s’opposent au climat de violence auxquels ils font actuellement face.

    On recense depuis plusieurs mois un nombre croissant d’agressions de surveillants par des détenus, dont certaines par des islamistes. Le projet propose aux syndicats des surveillants proposait une création de 1100 emplois sur 4 ans avec un renforcement de la sécurité des surveillants. Un projet rejeté dans son ensemble par les syndicats car pas assez ambitieux

    Les surveillants remettent aussi en cause le taux de surpopulation carcérale qui atteint les 200% dans certaines régions comme l’Île-de-France ou le Sud Est.

    Une surpopulation aussi dans le viseur des Nations Unies qui épinglent régulièrement la France sur le sujet. Les derniers ministres de la Justice en particulier Christiane Taubira ont tenté de mettre en place de nouvelles punitions permettant de désemplir les prisons mais mettant potentiellement en danger la sécurité des Français.

    Pendant ce temps là, la situation s’est compliqué dans 2 nouvelles prisons.

    Dans les prisons de Maubeuge et Sequedin, des dizaines de détenus ont refuse de rejoindre leurs cellules. De nouvelles tensions qui devraient s’ajouter à celles déjà présentes.

    https://fr.novopress.info/

  • ET SI ON PARLAIT DU BUS RENNAIS DE LA MARCHE POUR LA VIE QUE LES ANTIFAS ONT ATTAQUÉ, BLOQUÉ ET MANQUÉ D’INCENDIER ?

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    Puisque les « fake news » sont un sujet à la mode, on pourrait décider d’en faire la typologie, non ? Il en est une catégorie extrêmement finaude et efficace, qui prolifère totalement incognito et sans qu’on la voie – et pour cause – dans la grande presse. On pourrait aussi l’appeler la « no news », la « circulez-y-a-rien-à voir » : la « fake news » par omission. Et par tri partial de l’information. Si chaque « fake news » s’apparente à une thèse complotiste, elle procède, elle, d’une conspiration bien connue : celle du silence.

    Un cas d’école ? L’attaque, dimanche matin, du car affrété par les Associations familiales catholiques de Vannes et de Rennes, pour rejoindre la Marche pour la vie, tout juste laconiquement relayée par la presse locale.

    Un témoin raconte à Boulevard Voltaire : il est 8 heures, sur le parking derrière l’université de chimie du campus de Rennes. Des familles ont pris place dans le car quand, dans l’obscurité, surgissent des antifas, des militants LGBT, des « jeunes communistes » (mais si, ça existe encore…). Ils constelleront le bus d’autocollants comme autant de signatures !

    Le visage masqué par une cagoule ou un foulard, ils tentent, hurlant des injures et des obscénités, de monter dans le bus. L’un d’entre eux jette, par le marchepied, un fumigène incandescent… qu’un passager a heureusement la présence d’esprit de relancer à l’extérieur. Mais le fumigène a eu le temps de brûler son vêtement et le pull d’une jeune fille, ainsi qu’un siège. L’un des occupants du bus – certains ont 75 ans -, incommodé par les fumées, fait un malaise. Un petit garçon de 9 ans et une fillette de 12 ans sont terrifiés. Des hommes, à l’avant, parviennent à repousser les assaillants vers les barrières que ceux-ci ont dressées tout autour du bus pour le bloquer. Mais ils constatent avec inquiétude qu’une liste avec les noms des passagers a été arrachée et emportée au passage…

    Quatre policiers présents sur les lieux tentent de parlementer sans succès : ils ne sont pas assez nombreux pour intervenir, disent-ils, et doivent attendre les renforts. Il va ainsi s’écouler trois heures, trois heures durant lesquelles une cinquantaine de « marcheurs pour la vie », interdits de manifester, resteront confinés dans le bus, sous les quolibets et les insultes… pris en photo malgré eux, comme dans un zoo. Ils ne pourront reprendre la route qu’à 11 h 30, sous escorte policière jusqu’à la rocade.

    On imagine le tollé, la déflagration, la bombe atomique dans la presse si un bus rempli de familles musulmanes, de vieillards, d’enfants, en partance pour une marche pacifique et autorisée vers la capitale, avait fait l’objet d’une telle attaque de la part d’identitaires cagoulés et surexcités. Si les vêtements de certains avaient été brûlés. Si l’un d’eux, pris d’un malaise, avait dû être sorti du bus. S’ils avaient dû rester parqués comme des bestiaux durant trois heures, la police se révélant incapable de disperser les trublions. Si les agresseurs étaient repartis tranquillement, sans être inquiétés… Et cette vague d’indignation unanime serait, bien sûr, infiniment légitime.

    Mais le traitement de l’information, en France, n’est pas fonction de la nature des faits mais de celle des victimes. Et il se trouve que les catholiques n’ont, en soi, aucune importance, les informations les concernant aucun caractère de gravité. Sauf, bien sûr, si on peut y trouver matière à les charger, d’une pelletée supplémentaire, de tous les malheurs du monde.

    Et ce sentiment d’impunité est si vrai que les Jeunes communistes 35 ont revendiqué benoîtement leur « action » sur Twitter, se permettant même de corriger au fluo jaune réprobateur, comme une maîtresse d’école, un article du Télégramme de Brestévoquant l’embuscade.

    Pour Marlène Schiappa, les marcheurs pour la vie sont « moyenâgeux et obscurantistes ». Ce ne sont pas eux, pourtant, pour filer le poncif, qui tentent de brûler les sorcières des temps postmodernes.

     Ecrivain, journaliste Son blog 
  • Aide aux migrants : que dit la loi et qui sont ceux qui favorisent l’invasion migratoire en France ?

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    En 2017, la France a reçu un nombre record de demandes d’asile. En France, des initiatives se mettent en place multiplient pour aider les migrants, notamment l’hébergement de ces derniers par des particuliers. Mais qu’en dit la loi ?

    Dans ce reportage, France 24 met en avant des militants pro-immigrationnistes tels que Cédric Herrou et présente également le site Infomigrants.net, qui vise à mieux favoriser l’installation de populations immigrées sur notre sol.

  • HORAIRES DANS LA FONCTION PUBLIQUE : CES CHIFFRES QUI FÂCHENT

    Marc Rousset

    Clemenceau avait fait mettre l’affiche suivante au ministère de l’Intérieur : « Messieurs les employés sont priés de ne pas partir avant d’être arrivés. »Peut-être s’était-il inspiré de Courteline : « L’administration est un lieu où les gens qui arrivent en retard croisent dans l’escalier ceux qui partent en avance. »Clemenceau disait également que « les fonctionnaires étaient les meilleurs maris : quand ils rentrent le soir à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal ».

    Dans son numéro de janvier 2018, Capital présente un dossier très complet qui interpelle sur les fonctionnaires : « Ceux qui bullent… et ceux qui bossent. » On apprend, ainsi, que les 55.000 agents de la ville de Paris ont droit à 33 jours de congés payés et 22 jours de RTT, que le temps de travail minoré dans les collectivités locales coûte 1,2 milliard d’euros par an au contribuable.

    Fêtes locales, ponts, récupérations… Grâce aux largesses des élus, plus de la moitié des deux millions de fonctionnaires territoriaux travaillent moins que le temps réglementaire. La palme revient à la ville de Sainte-Rose, avec 45 jours de congés par an. La fonction publique territoriale bénéficie, en moyenne, de cinq jours de congés et de RTT de plus par an (37 jours) que dans le secteur privé (32 jours).

    La Gironde pourrait faire l’économie de 190 postes à temps plein, soit sept millions d’euros par an : ce sont les économies que ferait cette collectivité si ses fonctionnaires effectuaient les 1.607 heures annuelles réglementaires. À Marseille, la réputation qu’ont les 12.000 agents de ne pas trop se fatiguer n’a rien d’une galéjade. Ils travaillent 40 heures de moins que la durée annuelle légale. Dans le SAMU social de Marseille, les employés ne travaillent même que 10 à 12 jours par mois.

    Suite au manque de personnes à leurs postes pour diverses raisons, de très nombreux fonctionnaires sont donc obligés d’effectuer des heures supplémentaires. Ces heures à récupérer s’ajoutent aux RTT, ce qui entraîne des départs à la retraite plusieurs années avant le délai légal. Les fonctionnaires sont donc payés pendant ces années pour rester chez eux et l’administration n’a plus d’argent pour embaucher des remplaçants.

    Les 35 heures ont fabriqué une bombe financière à retardement de 4 milliards d’euros. C’est ainsi qu’un policier a accumulé tant d’heures sup’ à récupérer qu’il pourra cesser de venir au travail dès 2019, alors que sa date de départ à la retraite initialement prévue était 2022.

    Les agents de conduite de la SNCF nés avant 1967 peuvent partir à la retraite à l’âge de 50 ans ; ceux nés après 1972 à 52 ans. Si les agents de conduite partaient à la retraite à 62 ans, on pourrait baisser leur effectif de 25 %.
     
    Les aiguilleurs du ciel travaillent 24 heures par semaine avec 51 jours de congé par an. S’ils travaillaient autant que les Allemands, on pourrait réduire leur effectif de 50 %.

    Suite aux congés maladie, les fonctionnaires s’absentent deux fois plus que les salariés du privé.

    Quant aux fonctionnaires haut gradés, les sinécures ne manquent pas. Ségolène Royal devenue ambassadrice des pôles, Thierry Lepaon, ex-leader de la CGT, nommé président de l’Agence nationale contre l’illettrisme, les « préfets fantômes » sans préfecture payés 6.000 euros par mois…

    Le drame, c’est que la feuille de paie des fonctionnaires, c’est en réalité la feuille d’impôt des Français.

    Adrian Rogers a pu écrire : « Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié le fera pour elle et quand cette deuxième moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela, mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation. »

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La Marche pour la Vie brave la pluie - Journal du Lundi 22 Janvier 2018