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  • Vous aimez l’UE ? Vous allez aimer les “droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe”

    Vous aimez l’UE ? Vous allez aimer les “droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe”

    Les races n’existent pas en France, aussi on se demande si nos autorités pourront respecter cette résolution votée hier au Parlement européen. Ce dernier

    invite les États membres et les institutions européennes à reconnaître que les personnes d’ascendance africaine sont particulièrement exposées aux racisme, à la discrimination et à la xénophobie et, de manière générale, jouissent de façon inégale des droits de l’homme et des droits fondamentaux, ce qui est la définition même du racisme structurel, et qu’elles doivent bénéficier, à titre individuel et collectivement, d’une protection contre ces inégalités, y compris par des mesures positives visant à promouvoir la jouissance pleine et égale de leurs droits;

    Et le racisme anti-blanc ?

    Le parlement européen a également inventé un nouveau mot, en estimant

    que la participation active et authentique des personnes d’ascendance africaine sur les plans social, économique, politique et culturel est essentielle à la lutte contre l’afrophobie et à l’intégration de ces personnes en Europe;

    Nos eurodéputés demandent une nouvelle loi mémorielle :

    encourage les institutions européennes et les États membres à reconnaître officiellement l’histoire des personnes d’ascendance africaine en Europe, y compris les injustices passées et présentes et les crimes contre l’humanité, comme l’esclavage, la traite transatlantique des esclaves ou les actes perpétrés dans le cadre du colonialisme européen, de même que les grandes réussites et les contributions positives réalisées par ces personnes, en observant, aux niveaux européen et national, la Journée internationale de commémoration des victimes de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves et en consacrant un mois de l’année à l’histoire noire;

    Je vous passe le reste du délire, c’est par ici. Mais cela vous donne un aperçu de l’utilité de nos parlementaire grassement payés. Une résolution est en effet à l’initiative de parlementaires, contrairement aux directives, issues de la Commission.

    https://www.lesalonbeige.fr/vous-aimez-lue-vous-allez-aimer-droits-fondamentaux-des-personnes-dascendance-africaine-en-europe/

  • Passé-Présent n°232 : le destin d’ Elizabeth II, raconté par Jean des Cars

     
     

    Philippe Conrad retrace la vie du colonel de La Rocque (1885-1946).

    Héros de la 1ère guerre mondiale, François de La Rocque quitte l’armée en 1928. Entré l’année suivante aux Croix-de-Feu, il présidera de 1932 à 1936 ce mouvement fédérant des anciens combattants, qui comptera en 1936 jusqu’à 300.000 adhérents.

    Le colonel de La Rocque dénonce les totalitarismes, le radicalisme de l’Action française, l’antisémitisme, respecte les institutions républicaines qu’il souhaite néanmoins selon son propos « purifier ». Il refuse aussi l’affrontement avec le Front Populaire qui, l’été 1936, a pourtant décidé la dissolution des Ligues, dont les Croix-de-Feu.

    Il fonde alors le Parti Social Français, qui regroupera en 1939 près d’un million de militants et deviendra le premier parti politique de France, mais qui, faute d’échéances électorales, ne sera pas en mesure de constituer une force supplémentaire significative.

    Loyaliste envers le Maréchal Pétain, hostile à de Gaulle, à Doriot comme à l’occupant, il entrera en résistance en 1942. Le PSF sera alors interdit par les allemands et son fondateur arrêté par la Gestapo le 09/03/1943. Libéré par les américains en mai 1945, La Rocque décédera des suites d’une intervention chirurgicale consécutive à ses deux années de détention, le 28/04/1946.

    Anne Sicard clôt l’évocation des nombreuses tentatives du mythique passage maritime du nord-ouest arctique, avec enfin la réussite du norvégien Roald Amundsen.

    Plus d’un demi-siècle après la dramatique expédition de John Franklin, un équipage composé de seulement six personnes choisies et conduites par l’explorateur Amundsen allait vaincre l’hostilité de la nature, les températures extrêmes, les pièges de la glace et être les premiers à trouver la route reliant les océans Atlantique et Pacifique.

    Nourri des conseils du vainqueur de la traversée du Groënland Fridtjof Nansen, Amundsen appareille de la capitale norvégienne le 16/06/1903. Criblé de dettes (il a lui-même financé en grande partie l’expédition) mais croyant à sa bonne étoile, il bénéficie d’abord de conditions de navigation favorables, les glaces n’obstruant pas les chenaux, puis se liant avec les inuits et apprenant d’eux les techniques de survie, il parviendra à surmonter trois hivernages dans ces zones glacées avant de trouver et vaincre le passage en octobre 1905. Seul le plus jeune de ses coéquipiers, victime d’une pleurésie sur le chemin du retour en mars 1906, ne survivra pas à cette exceptionnelle aventure.

    Le destin d’ Elizabeth II, raconté par Jean des Cars

    Dans son 43è livre, Jean des Cars traite – pour la première fois – d’un personnage vivant. Sa biographie, très complète et richement illustrée, de la Reine Elizabeth nous fait mesurer les raisons de son indéniable prestige à travers le monde.

    Soixante-sept ans se sont écoulés depuis son installation sur le trône en 1952, ce qui représente le règne le plus long de l’Histoire. Elle n’avait pourtant pas vocation à succéder à son oncle Edouard VIII, si ce dernier n’eut abdiqué.

    Son sens de l’abnégation marquera une vie nourrie d’événements majeurs, car elle aura connu la guerre froide, la décolonisation, le brexit et, à titre personnel, des drames familiaux. Monarque du Royaume-Uni et de quinze autres états souverains dont elle a supervisé plusieurs changements constitutionnels, Elizabeth II aura, jusqu’ici, vu passer treize Premiers ministres, de Winston Churchill à Theresa May.

    Par ses informations documentées et dans le style limpide que nous lui connaissons, Jean des Cars livre à ses lecteurs un nouveau et enrichissant ouvrage, et aux téléspectateurs de TVL une synthèse maîtrisée du sujet en réponse aux questions de Philippe Conrad.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n232-le-destin-d-elizabeth-ii-raconte-par-jean-des-cars

  • LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    La liste LREM aux européennes, c’est une véritable Cour des Miracles. Nous y trouvons des membres de LREM, des anciens du PS, du Parti radical, de LR, des proches d’Alain Juppé, un Europe-Ecologie Les Verts, un ancien député italien, quelques journalistes recasés, les inévitables homosexuels

    Derrière Nathalie Loiseau, celle qui se découvre opportunément tête de liste en plein débat face à Marine Le Pen, on découvre Pascal Canfin, un ancien ministre de Hollande. Le Canard enchainé avait ironisé sur lui en révélant qu’il avait refusé d’embarquer dans un avion pour le Mali car il y avait un Malien expulsé.

    Le ministre délégué au Développement Pascal Canfin a décidé “en conscience” de ne pas embarquer vendredi dans un avion partant pour le Mali où il aurait dû participer à une réunion sur le développement, en raison de la présence d’un Malien frappé d’expulsion. C’était une décision du ministre “prise en conscience”, a dit mardi son entourage, renvoyant aux propos de Pascal Canfin à l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné qui a révélé l’affaire, et ajoutant qu’il “ne souhaitait pas commenter davantage”.

    • Marie-Pierre Vedrenne,
    • Jérémy Decerle
    • Catherine Chabaud, journaliste, déléguée à la mer et au littoral sous Hollande, avait soutenu l’Aquarius, ce navire favorisant l’immigration.
    • Stéphane Séjourné, 6e sur la liste, est un militant LGBT pacsé avec Gabriel Attal, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education nationale.
    • Fabienne Keller (7e), la vice-présidente d’Agir et proche d’Alain Juppé.
    • Bernard Guetta, ancien journaliste de France Inter 
    • Irène Tolleret, Conseillère départementale de gauche de l’Hérault
    • Stéphane Bijoux, directeur des rédactions des télés Outre-mer chez France Télévision.
    • Sylvie Brunet, membre du CESE
    • Gilles Boyer, ancien directeur de campagne d’Alain Juppé
    • Stéphanie Yon-Courtin, juppéiste, maire de la commune Saint-Contest dans le Calvados
    • Pierre Karleskind, proche de Richard Ferrand, vice-président du Conseil régional de Bretagne
    • Laurence Farreng, proche de François Bayrou et actuelle directrice de la communication de la ville de Pau.
    • Dominique Riquet, successeur de Jean-Louis Borloo à Valenciennes, Parti radical, député européen.
    • Véronique Trillet-Lenoirélue régionale PS passée chez LREM,
    • Pascal DurandEELV, député européen.
    • Valérie Hayer, vice-présidente du Conseil départemental de la Mayenne.
    • Christophe Grudler, Modem, conseiller départemental du Territoire de Belfort.
    • Chrysoula Zacharopoulou, gynécologue-chirurgienne et co-fondatrice de l’association Info-endométriose (Grèce).
    • Sandro Gozi, ancien député italien, ancien secrétaire d’État italien aux affaires européennes, fédéraliste, membre du Parti Démocrate (italien), il a fait partie du cabinet de Romano Prodi, président de la Commission européenne. Il a participé à la réunion du Groupe Bilderberg de 2017.
    • Ilana Cicurel, avocate, ancienne directrice générale de l’Alliance israélite universelle.
    • Max Orville, MODEM
    • Catherine Amalric, membre du mouvement radical, médecin et adjointe au maire à Aurillac
    • Guy Lavocat, membre du Club XXIe siècle, qui milite pour la diversité…
    • Charline Mathiaut, gestionnaire immobilier
    • Xavier Fournier, ancien LR, conseiller municipal de Nantes.
    • Nawel Rafik-Elmrini, avocate et adjointe aux affaires européennes à Strasbourg
    • Mao Péninou, proche de Cambadélis, ancien adjoint d’Anne Hidalgo à la Mairie de Paris.

    https://www.lesalonbeige.fr/lrem-la-liste-loiseau-une-drole-de-basse-cour/

  • La Petite Histoire : Le dernier samouraï était un Français !

    Dans le film « Le Dernier samouraï » sorti en 2003, on nous montre un américain incarné par Tom Cruise, qui combat auprès des derniers samouraïs japonais. Au-delà des qualités esthétiques du film, peu de gens savent que celui-ci s’inspire d’une histoire vraie et bien différente. En réalité, le « dernier samouraï » était un capitaine français, Jules Brunet, épris de tradition japonaise et d’honneur, qui a tout risqué pour défendre jusqu’au bout la cause du shogun.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-le-dernier-samourai-etait-un-francais

  • La France à feu et à sang

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    Tandis que Castaner s'éclate sur la piste de danse...

    Pendant que la crise des gilets jaunes semble préoccuper prioritairement nos forces de l’ordre, le criminologue Xavier Raufer a listé, pour Boulevard Voltaire, une liste non exhaustive de l’état du pays réel. Tandis que nos politiques s’égosillent à cor et à cri sur la menace qui plane sur la République, le pays réel est en proie au chaos provoqué par cette insécurité du quotidien qui gangrène nos villes et nos campagnes…

    Essonne : la police municipale d’Étampes prise dans une embuscade.
    Corse : un homme tué par balle en plein cœur de Sartène dans un règlement de comptes.
    Grenoble : un homme gravement blessé par balle après une course-poursuite et une fusillade.
    Bassin d’Arcachon : braquage au kiosque de la gare de Gujan-Mestras.
    Marseille : une jeune femme mortellement poignardée, probablement pour son téléphone.
    Pas-de-Calais : une femme de 71 ans « massacrée » à son domicile, un SDF en garde à vue.
    Argent de la drogue en France : « Le marché des stups, c’est 3,5 milliards d’euros en espèces. »
    Alerte-commerces-Soissons – vol main armée, deux stations-service, tentative aussi en centre-ville – homme africain, 20 ans, en scooter.
    De nuit, trois hommes cambriolent une dizaine de commerces de l’Ille-et-Vilaine au Morbihan.
    À Villers-Semeuse, la boulangerie Chocolat Pistache braquée pour 150 euros.
    Nantes : blessé par balle en pleine rue, un homme dans un état critique.
    Créteil : un homme attaqué à coups de machette en pleine rue.
    Nantes : le violeur de l’île de Nantes arrêté. Il s’agit d’un mineur isolé de 17 ans.
    Un mort par balle dans une cité sensible de Hyères.
    Strasbourg : « Insécurité, intimidations, incivilités, nuisances sonores », des résidents de l’hyper-centre à bout interpellent les élus.
    Braquage au magasin Aldi de Maignelay-Montigny.
    Un homme grièvement blessé par balle à Lille-Fives.
    Embuscade et fusils d’assaut : deux morts dans un règlement de comptes à Marseille.
    Saint-Denis : nouvelle intrusion violente au lycée Paul-Éluard ; enseignants et élèves s’inquiètent.
    Pillage des campagnes, Saône-et-Loire – 2018 : +60 % de vols sur 2017, dit la gendarmerie.
    Les Ulis : braquage à la station-service du centre commercial.
    Torcy : un camion de cigarettes attaqué par un commando armé.
    Près de Nantes, un adolescent de 16 ans braque une pharmacie.
    Alençon. Le bar-tabac Le Khé braqué. Deux commerces braqués en une semaine à Alençon.
    À Gournay-en-Bray, un homme allant travailler est braqué par deux hommes armés.
    Grenoble : les policiers attaqués au cocktail Molotov dans le quartier Mistral.
    Trappes : les cambrioleurs de la pharmacie avaient de 11 à 13 ans.
    Le boulanger de Barbonne-Fayel braqué et ligoté au petit matin.
    Cambriolages : un phénomène en explosion dans les Côtes-d’Armor.
    Val-d’Oise : un jeune homme entre la vie et la mort après s’être fait tirer dessus.
    Braquage à main armée au magasin Lidl de Comines.
    Gard – Braquage dans un bar : appel à témoins des gendarmes.
    Braquage éclair au tabac presse de Châtenois-les-Forges.
    Nord – Braquage au Narval : « Il m’a dit qu’il allait tirer, alors je lui ai dit bah tire ! »
    Besançon : une boulangère braquée au couteau.
    Isère : un jeune homme grièvement blessé par balle en pleine rue.
    Var : une figure du grand banditisme tuée par balle.
    Oise : un homme abattu de deux balles dans la tête en pleine rue, à Creil.
    Mayenne : un commando braque un camion transportant de la drogue.
    Bassin du Puy : 196 cambriolages et un braquage en 2018.
    Marseille: un jeune homme blessé à la kalachnikov dans les quartiers nord.
    Bordeaux : une fusillade fait deux blessés, sur fond de guerre des bandes.
    La délinquance continue de progresser dans le Pays de Châteaubriant.
    Nantes : un fourgon transportant des colis attaqué dans la zone Atout-Sud.
    Lyon : un homme torturé et tué à coups de couteau, la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
    Grenoble : le quartier Mistral secoué par de nouvelles violences.
    Paris : rixe mortelle sur fond de racket.
    Mayenne : des braqueurs armés en fuite après une course-poursuite avec les forces de l’ordre.
    Paris : drogue, vols et incivilités minent les quartiers du nord-est.
    Braqués à leur domicile, des bijoutiers de Saint-Lô témoignent.
    Villefranche-sur-Saône : braquage dans une boulangerie de Béligny.
    Beaujolais – Jassans-Riottier : braquage en plein centre-ville à La Poste.
    Grenoble, nuit de violences urbaines, le cantonnement des CRS attaqué par 40 individus.
    Braquage dans une station-service à Strasbourg : le voleur part avec le véhicule de l’employé.
    Braquage dans une boulangerie à Toulouse.
    Braquage dans un centre commercial d’Ozoir-la-Ferrière.
    Nancy : braquage au couteau chez Aldi.
    Saône-et-Loire : un mort et un blessé dans un règlement de comptes.
    Drôme: des cambriolages en famille et en série.
    Saint-Denis : lynchage d’un homme de 22 ans – son pronostic vital est engagé.

    Xavier Raufer

    http://www.bvoltaire.fr/la-france-a-feu-et-a-sang/

  • Lycée Paul Éluard à Saint-Denis

    6a00d8341c715453ef0240a44b7ad1200c-320wi.jpgQuittez la stupidité, nous recommande la Bible au livre des Proverbes[1], et vous vivrez. Au départ, je dois encore avouer avoir d'abord souri en lisant les caricatures de Fabrice Erre enseignant et auteur de BD.[2]

    Nous vivons en effet dans l'illusion, que l'on cultivait dans mon enfance, d'appartenir à un peuple intelligent. Certains employaient même sans honte et sans se sentir le moins du monde chauvins l'expression de peuple "le plus intelligent de la Terre".

    Cette planète a pourtant tourné, semble-t-il, beaucoup d'eau polluée a coulé sous les ponts de la Seine, et certains spécialistes évaluent même à 4 points de quotient intellectuel en 10 ans le recul des Français[3]. On nous assure cependant, sans doute pour nous rassurer que le phénomène touche, à une moindre mesure, la plupart des pays occidentaux. Bref, quant à la bêtise et à ses progrès, que l'on n'arrête pas, on est les champions.

    S'agissant d'un individu, les théoriciens des tests d'intelligence, et notamment leur regretté concepteur Hans Jürgen Eysenck (1916-1997), insistent plutôt sur la permanence de la personnalité.

    L'abaissement supposé ou mesuré du niveau moyen de QI d'une population suggère plutôt, dès lors, la modification de sa composition.

    Si l'on osait croire à l'hérédité, en vertu de l'adage selon lequel les chiens ne font pas des chats, on pourrait imaginer que la descendance des idiots submerge celle des génies.

    Écartons cette hypothèse pessimiste, imaginons au contraire un monde de bisounours.e.s, écriture inclusive oblige, évidemment égalitaires. On ne naîtrait pas chat ou chien, pensent probablement à l'unisson les maîtres du politiquement correct. On le devient, comme la théorie du genre professe par ailleurs, sans sourciller, que l'on devient homme ou femme, ou autre chose.

    Et de toute évidence le processus passe par le moule de l'éducation nationale monopoliste d'État. Les grands penseurs de l'Onu, de l'UNESCO, etc. nous confirment chaque jour que l'éducation doit être considérée comme une quantité, un droit, un service public, par conséquent mesurable en termes budgétaires. Et ils ne peuvent que nous inciter à réfléchir, un jour ou l'autre, à la masse financière injectée dans les mains de ce qu'un esprit polémique, sûrement pessimiste, appela un jour la Fabrique des crétins[4].

    Car si la brutalité gagne tous les jours du terrain, à l'encontre des infirmières aux urgences hospitalières comme des professeurs dans les écoles, si les médecins et les pompiers n'osent plus se rendre dans certains quartiers, ce n'est pas seulement le fruit du coca-cola et des jeux électroniques.

    C'est aussi l'œuvre d'une administration quadrillée par la FSU marxiste, d'une institution, d'un monument national, envahi par trois générations de soixante-huitards, producteurs progressifs de l'abêtissement d'un peuple et de l'abaissement d'une nation.

    Qu'on vienne d'y décider, dans les bureaux d'un ministère où règne M. Blanquer, qu'on n'enseignerait même plus en histoire le nom de la bataille fratricide de Verdun, peut n'être considéré que comme un symbole. Un épiphénomène. Un point de détail.

    Qu'on me laisse encore une dernière occasion de bénéficier d'un petit espace de libre expression pour observer que cela en dit long aussi bien sur le respect dû aux ancêtres, que sur la conscience de la nécessaire réconciliation franco-allemande[5], et plus généralement sur la prétention d'éduquer à ce qu'ils appellent la citoyenneté.

    On ne peut donc que conseiller aux observateurs, de mieux suivre l'actualité terrifiante du lycée Paul-Éluard de Saint-Denis, où les professeurs sont contraints de faire grève, d'autres de réclamer leur droit de retrait devant la violence, répétée et impunie, depuis des mois et des années, de bandes rivales, etc.

    Oui : le lycée Paul-Éluard, à Saint-Denis. Tout un programme.

    Saint-Denis, autrefois ville royale, impunément profanée, si longtemps un vieux fief de l'appareil stalinien.

    Éluard ce poète communiste qui faisait croire à "Paris capitale de la douleur" et qui proclamait joliment que "le monde sera beau je persiste et je signe".

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Proverbes IX, 6
    [2] cf. "Il n'y a pas de fatalité. Une année au lycée".
    [3] cf. article du Point publié en 2017 "Le QI des Français en chute libre"
    [4] titre du livre "La fabrique du crétin : La mort programmée de l'école" de Jean-Paul Brighelli, paru en 2005 aux éditions Gawsewitch.
    [5] certains la croyaient scellée par De Gaulle en 1962, avec le chancelier Adenauer en la cathédrale de Reims, on vient d'apprendre que c'était la faute aux [très méchants] Américains.

    https://www.insolent.fr/

  • Quand la gauche américaine préfère protéger les chatons que les bébés

    Le Sénat américain devait rejeter le projet de loi visant à laisser mourir ou tuer les enfants nés vivants d’avortements ratés et de tuer l’enfant à terme jusqu’à la phase finale de l’accouchement ; il y eut une majorité de voix contre ces infanticides ; mais il manquait huit voix pour obtenir une majorité qualifiée. Ceux qui ont assisté à la naissance d’un enfant peuvent imaginer le carnage. Les démocrates ont fait bloc en faveur de la culture de mort. Le vote de l’infanticide est ainsi validé pour l’État de New-York. Mais cette perspective est tellement effroyable que le nombre des opposants à l’avortement a bondi de 17 % dans l’opinion publique. 77 % de la population est opposée à cette tuerie.

    Un des sénateurs démocrate du nom de Jeff Merkley (Oregon) a voté la mort des enfants ; et conjointement il a présenté dans son état un projet de loi interdisant de tuer les chatons : c’est la loi dite Kitten «qui veille à ce qu’ils puissent être adoptés par des familles aimantes à la place ». Et les enfants ?

    Donald Trump va baser la campagne de sa réélection en 2020 sur l’inhumanité de l’infanticide. Il a déjà ouvert une permanence de campagne à l’Ohio. Les dons y arrivent massivement : en Amérique l’argent est fondamental pour gagner une élection. Pourquoi cet afflux ? En effet tous les sept candidats du parti démocrate se sont affichés en faveur de l’infanticide post-natal. Le Nouveau Mexique a rejeté un projet de loi s’alignant sur celui de New York. Une partie des démocrates a senti leur siège vaciller et s’est désolidarisée de leur formation politique ; si bien que contre toute attente, la loi d’infanticide a été rejetée ; et dans la foulée, l’euthanasie et le suicide assisté.

    Les démocrates se laissent actuellement entraîner par les ultra-gauchisants de leur parti. Ils vont le payer cher. Trump a beau jeu de répéter qu’ils approuvent l’infanticide. Le pire est que tous ces acteurs de la culture de mort sont pour la plupart catholiques. La plupart des évêques américains s’est tue.

    Comme disait le Professeur Lejeune : « Ne rien dire c’est être complice ».

    Jean-Pierre Dickès

    https://www.medias-presse.info/quand-la-gauche-americaine-prefere-proteger-les-chatons-que-les-bebes/106301/

  • Christian Estrosi condamné pour avoir diffamé Philippe Vardon

    Christian Estrosi condamné pour avoir diffamé Philippe Vardon

    Philippe Vardon, membre du Bureau national du Rassemblement National et vice-président du groupe RN au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, se réjouit :

    Il y a deux ans, à l’occasion d’une séance plénière du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christian Estrosi m’avait gravement diffamé, m’accusant d’effectuer des “saluts nazis”. Le Tribunal correctionnel de Nice vient de le condamner à me verser 4000 euros, au titre des dommages et intérêts et du paiement des frais de justice. Une amende de 5000 euros avec sursis vient se rajouter à cette peine.
    Que cette condamnation vienne rappeler une fois de plus à tous ceux qui voudraient salir ma personne et mes engagements que je ne laisserai rien passer. Je considère que les mensonges et insultes, tels qu’Estrosi et d’autres les affectionnent, participent au grand dégoût du politique qui touche nos compatriotes. Pour ma part, j’y préférerais toujours les faits, le débat argumenté – fut-il vif, et la confrontation des visions et des projets.
  • Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

    Escalier-des-ambassadeurs-Ligne-droite.jpg

    Ligne Droite cliquez ici

    Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

    L’État, ennemi du Système

    L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

    Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

    Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

    L’État illégitime, obèse et impuissant

    Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

    L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

    Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

    L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

    Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

    Restaurer la prééminence du pouvoir politique

    Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la Ve République. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

    Reprendre le contrôle du territoire

    Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

    Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

    Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

    Retrouver la maîtrise des finances publiques

    Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

    Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droite préconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

    Assurer la régulation de l’économie et du social

    Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

    Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIesiècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

    Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Yassine Belattar, le « conseiller banlieues » de Macron placé en garde à vue

    Yassine Belattar, le « conseiller banlieues » de Macron placé en garde à vue

    Après Benalla, voici Belattar… Combien de proches du président vont passer par la case prison ?

    Bruno Gaccio, ex-auteur des « Guignols de l’Info », a déposé plainte contre Belattar pour des menaces de mort, après que Belattar aurait menacé de s’en prendre à sa famille. Bruno Gaccio a également déposé plainte pour diffamation : l’animateur l’aurait en effet qualifié de « pointeur » (violeur) lors d’une dispute publique sur les réseaux sociaux.

    Membre du Conseil présidentiel des villes – le CPV, formé par Emmanuel Macron – l’humoriste est également soupçonné d’avoir eu un comportement et tenu des propos inappropriés au travail ou face à des jeunes femmes à la recherche d’un emploi.

    Selon Mediapart, trois hommes issus « du monde du spectacle » ont témoigné devant des policiers avoir été menacés par lui de violences physiques et plusieurs femmes se sont plaintes de leur collaboration professionnelle avec Yassine Belattar.

    Belattar a défendu le rappeur islamique Médine. Quand il fait face à la contradiction, Belattar s’énerve. Cela commence par des attaques sur le physique et les dents « trop blanches » du président de l’OLRA (Organisation de Lutte contre le Racisme Anti-blanc), Laurent de Béchade. Puis ce sont des insultes à l’encontre de Amine El Khatmi, président du Printemps Républicain : « baise ta mère », « tu vas en chier grave », « baltringue », « facho » entre autres mots fleuris… Enfin, ce sont des menaces d’égorgement en pleine rue en criant « islamophobe », selon Noémie Halioua, reporter indépendant.

    En février 2018, il fut interpellé aux Mureaux, dans les Yvelines, et placé en garde à vue après avoir insulté un policier. Huit mois plus tard, sur le plateau de LCI, il se permet malgré tout de donner des leçons « au prochain ministre de l’Intérieur » pour qu’il fasse « le lien entre les gens des quartiers et la police »… Et Belattar d’ajouter qu’en cas de non respect de ses conseils, « il y aura une émeute. Ce n’est pas une menace, mais une promesse. »

    https://www.lesalonbeige.fr/yassine-belattar-le-conseiller-banlieues-de-macron-place-en-garde-a-vue/