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  • Islamisation de la France : on ne pourra pas dire que l’on ne savait pas

    L’islamisme parfois meurtrier fait l’actualité en ce début d’année. Le 5e anniversaire de l’attentat contre les journalistes de Charlie Hebdo en janvier 2015, l’éventualité du retour de djihadistes français de Syrie et la libération prochaine de terroristes islamistes détenus en France sont autant d’occasions de parler de l’islamisme qui se propage dans la société française. On ne peut pas dire que l’information manque à ce sujet : plusieurs livres très documentés sur ce thème viennent d’être publiés. Par contre, la volonté politique d’éradiquer ce phénomène est largement insuffisante de la part de nos dirigeants. Nous risquons d’en payer chèrement les conséquences.

    Les attentats perpétrés en 2015 et ceux qui ont suivi ont entraîné un besoin de connaissance non seulement du djihadisme, mais aussi plus largement de l’islamisme qui gagne du terrain en France. Il est apparu important à de nombreux citoyens de mieux connaitre le terreau idéologique et religieux à partir duquel certaines personnes radicalisées sont passées à l’acte.

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  • L’écologie ? Il paraît que c’est aussi la faute aux colonies !

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    « Aux origines coloniales de la crise écologique », titre Le Monde, le 24 janvier. Tiens, c’est vrai : comment a-t-on pu oublier ce péché-là ? « J’ai bon dos, je suis la cause de tous les malheurs du monde, j’ai l’habitude… », écrit Frédéric Beigbeder dans Le Roman français.

    On ne nous laisse pas souffler. À peine eu le temps de digérer l’épisode « Shoah » que le gavage reprend : accourez, approchez, venez tous, ne faites pas les timides, il est encore temps de lancer votre petite pierre dans cet immense procès post-mortem de vos aïeuls : le chômage ? Les retraites ? Le coronavirus ? L’interro de conjugaison ratée du petit dernier ? Le cancer de la grand-mère ? Répétez en chœur après moi : au fond, c’est toujours la faute à la .

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  • Surpopulation : un monde invivable se dessine

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    Entretien avec Alain de Benoist 

    La population mondiale ne cesse d’augmenter. La procréation, par nature, peut être exponentielle, alors que les ressources terrestres ne le sont pas. C’est ce que disait déjà Malthus, dont certains pensent qu’il n’a jamais eu que le tort d’avoir raison trop tôt. Aujourd’hui, y a-t-il péril en la demeure ?

    Alain de Benoist : Passé un certain seuil, toute augmentation en nombre entraîne un « saut qualitatif » qui se traduit par un changement de nature. Comme chacun le sait, la population mondiale augmente régulièrement, mais, surtout, elle augmente de plus en plus vite. Vers 1700, on comptait moins de 700 millions d’habitants sur Terre. En 1900, on en était à 1,6 milliard. Aujourd’hui, avec plus de 250.000 naissances par jour, on a dépassé les 7,7 milliards. Pour la fin du siècle, les estimations moyennes tournent autour de douze milliards, les estimations hautes autour de seize milliards. Bien entendu, on peut discuter à perte de vue sur le nombre de bipèdes qui peuvent vivre sur cette planète. La seule chose qui est sûre, c’est qu’il y a une limite : pas plus qu’il ne peut y avoir de croissance matérielle infinie dans un espace fini, la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée. Malheureusement, nous sommes à une époque qui ne supporte pas les limites. Malthus (Essai sur le principe de population, 1803) ne se préoccupait que de l’épuisement des ressources. Aujourd’hui, c’est le nombre qui, à lui seul, pose problème : la quantité est plus que jamais le contraire de la qualité. Avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins, le monde se porterait beaucoup mieux !

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  • CNT - Pour une compréhension globale, rapide et complète.

  • De la dérive du pouvoir présidentiel

    6a00d8341c715453ef0240a4e0e0b6200d-320wi.jpgLes monopoles médiatiques de la parole, dans notre Hexagone, tendent à faire converger les débats. Ceux-ci se résument de plus en plus, centrés autour des interventions, généralement fort courtes, de quelques éphémères vedettes. L'intelligence de la vérité et la clarté des problèmes n'y gagnent pas beaucoup.

    Ce 28 janvier Élisabeth Borne, ministre la Transition écologique et solidaire intervenait sur RTL. Cela se passait à une heure considérée comme de grande écoute selon les évaluations des publicitaires. Mais en réalité elles se révèlent des moments d'attention fort superficielle, car beaucoup de Français se lavant les dents, n'acceptent d'entendre les nouvelles que d'une manière distraite.

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  • Marine Le Pen : « Emmanuel Macron a réussi l’impensable : jeter deux corporations, policiers et pompiers, l’une contre l’autre ! »

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    Une fois de plus, cet après midi, à Paris, ont eu lieu de violents affrontements entre les forces de l’ordre et les pompiers venus manifester.

    La présidente du Rassemblement national réagit au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion d’évoquer avec elle la réforme des retraites, les prochaines élections municipales et aussi l’annonce qu’elle a faite, récemment, de sa candidature à la présidentielle de 2022.

  • Elle a avorté à contrecœur

    Elle a avorté à contrecœur

    Remarquable émission sur France 2, qui a osé faire témoigner des femmes forcées à avorter :

    Sensibilisé par les confidences, et plus souvent les lourds silences des femmes ayant avorté (parfois des hommes), le professeur Volff avait réalisé une étude parue dans la Journal de Psychiatrie. Dans un cas précis, le psychiatre hospitalier qui suivait sa patiente avait parlé de “maternité blessée”. Il est temps de briser le déni qui enferme ces femmes, voire leurs médecins, dans une impasse :

    L’occasion de reconnaître et de prendre en charge un syndrome traumatique ou post traumatique en médecine générale est fréquente : accident de travail, agression dans le cadre ou non d’un accident de trajet, harcèlement (moins souvent sexuel que dans le but d’obtenir une démission ou de provoquer une faute grave), violence domestique. Ces évènements étant  courants, c’est leur caractère grave, exceptionnel, qui va attirer l’attention.

    Parfois, il s’agit de problèmes enfouis qui reviennent à la surface : abus sexuel, viol, avortement provoqué ou non.

    Les syndromes traumatiques entrent dans le domaine des inhibitions fonctionnelles partielles, soit spécifiquement : lien significatif entre l’objet de l’inhibition et les circonstances du traumatisme (troubles sexuels, par exemple), soit non-spécifiquement : neurasthénie post traumatique, difficultés de concentration ou d’attention, éléments phobiques diffus.

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  • Ivan Rioufol : “Les gilets jaunes forment un mouvement anti-mondialisation”

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    Ivan Rioufol, journaliste, éditorialiste au Figaro, essayiste et auteur du livre “Les traîtres” (éditions Pierre-Guillaume de Roux) était l’invité d’André Bercoff, lundi 27 janvier sur Sud Radio.

    Ils se sont fait élire en promettant de défendre la France, ils ont finalement manqué à leur devoir. Eux, ce sont “les traîtres”, qu’Ivan Riouffol désigne dans son dernier livre, afin que les électeurs ne se fassent plus avoir par les beaux discours et les beaux parleurs.

    “Ils ont participé à cette trahison”

    Les traîtres ce sont ceux qui nous ont abandonnés, ceux à qui on a fait confiance en votant pour eux et qui ont participé dans le fond à cette trahison-là par abus de confiance“, pointe du doigt le journaliste. Il désigne surtout “ceux qui nous ont fait croire qu’ils allaient défendre la France, son peuple et qui en réalité ont trahi la Nation, ont abaissé les frontières, ont fait venir des peuples qui nous détestaient“. Toutes ces forfaitures résultent d’une “crise existentielle qui va bien au delà de la crise économique et sociale“, estime Ivan Riouffol.

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