L’épidémie de coronavirus domine toute l’actualité, même en France. Tous les moyens d’information sont mobilisés pour nous donner le maximum de renseignements sur la maladie et les stratégies propres à s’en prémunir. Mais il n’y a pas que les États à être en cause. Tout le corps social se doit de réagir
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Une période grosse d'incertitude, l’éditorial de François Marcilhac
La période qui s’ouvre est grosse d’incertitude pour un pouvoir qui sent monter la colère du pays réel. Que Macron ait cru nécessaire d’entamer un couplet sur la dictature, dans l’avion qui le ramenait d’Israël, montre combien il est lucide sur l’état de l’opinion. Nous passerons sur le fait qu’en décrivant l’idealtype d’une dictature, il ne faisait que reprendre les traits les plus caractéristiques de sa façon de gouverner, depuis deux ans : un pouvoir isolé, enfermé dans ses certitudes, traitant ses opposants de « séditieux », gouvernant sans tenir compte du Parlement dans le mépris le plus parfait de sa majorité, dont certains éléments commencent à se séparer, et réprimant à tout va sans plus s’imposer de limite en matière de violence ou de répression judiciaire…
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Loi Avia, et maintenant un observatoire de la haine
Laetitia Avia, député LREM d’origine togolaise de Paris, très proche d’Emmanuel Macron, est l’auteur d’une proposition de loi liberticide qui vient de passer en deuxième lecture à l’Assemblée Nationale, état des lieux.
Procédure accélérée pour la loi
La proposition de loi n° 270 déposée le 20 mars 2019 bénéficie de la procédure accélérée, illustrant l’importance que lui accorde la majorité parlementaire LREM. Visant à « combattre la haine sur internet » elle fait partie d’une offensive générale contre les libertés qui va des innombrables interpellations et condamnations des manifestants gilets jaunes, en passant par la tentative (avortée) de l’instauration d’un conseil de déontologie des journalistes suivi de près par les autorités et jusqu’au vote de la loi 270, dite loi Avia du nom de son rapporteur.
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Affaire Mila: «Non, Madame Belloubet, injurier l’islam n’est pas une atteinte à la liberté de conscience!»
La Garde des Sceaux a déclaré ce mercredi matin sur Europe 1 que «l’insulte à la religion» est «une atteinte à la liberté de conscience». Richard Malka, l’avocat de Charlie Hebdo, rappelle que ces propos sont juridiquement faux.
FIGAROVOX. – «L’insulte à la religion, c’est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c’est grave» a déclaré ce matin la Garde des Sceaux sur Europe 1 à propos de l’affaire Mila, précisant bien sûr que les menaces dont cette adolescente a fait l’objet sont inacceptables. Ces propos vous font réagir…
Richard MALKA. – Parce qu’ils sont tout simplement gravissimes! Ils participent à la mise en danger de Mila, une jeune fille qui a vu sa scolarité et sa vie sociale brisées après le harcèlement et les menaces dont elle a fait l’objet.
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#TradWife : les femmes au foyer prennent le contre-pied du féminisme
Le mouvement Trad Wife est porté par des femmes aux foyers qui revendiquent le fait d’être cantonnées à la maison et dévouées à leur mari.
Cette tendance a émergé aux États-Unis et au Royaume-Uni, avant d’arriver dans d’autres pays comme l’Allemagne ou le Japon.
Une “Trad Wife” est l’abréviation de “traditional wife” (l’épouse traditionnelle), une femme au foyer qui fait la popote et le ménage avant de se consacrer pleinement à son mari et ses enfants. Tout our plaire à Marlène Schiappa et tous ceux qui veulent absolument que les femmes aillent à l’usine, sur les chantiers ou dans l’armée…
Les adeptes de cette tendance sont plusieurs à faire la promotion de leur style de vie sur YouTube. C’est notamment le cas d’Alena Kate Pettitt, qui vous explique – sur sa chaîne Darling Academy – comment bien repasser les chemises de votre époux, ce qu’elle mis dans son caddie pendant sa virée au supermarché ou encore comment faire une soupe selon la recette de la princesse Diana. La jeune maman a fait l’objet d’un reportage sur la BBC et d’une prise de parole sur le plateau de la matinale This Morning sur la chaîne ITV.
https://www.lesalonbeige.fr/tradwife-les-femmes-au-foyer-prennent-le-contre-pied-du-feminisme/
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Maurice Bardèche un flambeau dans la nuit
Point de collège ni de rue inaugurés à son nom, pas de colloque consacré à son œuvre, aucun article pour rappeler ce que lui doivent non seulement les amoureux de la Comédie Humaine mais aussi les lecteurs de Stendhal, de Flaubert de Proust de Céline ou de Léon Bloy. Ne parlons pas des actuels amateurs de cinéma qui n'ont sans doute jamais su qu'il fut le premier, en France en 1935, à porter un regard d'historien sur ce qu'on avait encore beaucoup de mal à prendre pour un septième art, ni des enthousiastes de l'Espagne qui, eux, devraient savoir qu'il fut, à peine la Guerre civile terminée, le premier ici aussi à juger avec un certain recul d'historien les trois ans de combats qui venaient de cesser. Pourtant si une vraie biographie reste encore à écrire, on sait beaucoup de choses sur lui. D'une part grâce aux pages inoubliables que Robert Brasillach, dans ce qui est sans aucun doute son plus beau livre, Notre Avant-guerre, a consacrées à leur rencontre et à leur amitié naissante à L'époque de la khâgne de Louis-le-Grand puis de l'école Normale Supérieure, dans ces années où naît le cinéma parlant et où l'Europe voit se lever, presque partout sauf en France, "Le fascisme immense et rouge "et les espoirs vertigineux qu'il suscite ; à leur jeunesse fraternelle sur les routes d'Espagne ou d'ailleurs ; et à l'inséparable "troïka" qu'ils formèrent durant une quinzaine d'années, avec Suzanne, sœur de l'un qui devint vite la femme de l'autre. D'autre part grâce à ce qu'il a lui-même accepté de livrer dans Suzanne et Le Taudis (Pion, 1957) évocation pleine de poésie des années difficiles de l'après-guerre quand, chassé sans raison valable de son appartement comme de l'Université, il dut mener une vie de bohème avec ses cinq jeunes enfants dans des logements de fortune, à Montmartre au pied de la Butte ou dans ce quartier des Halles bruissant encore d'activité nocturne comme au temps de Zola. Ou par ce qu'il nous dit de son enfance et de son itinéraire dans ses Souvenirs (Buchet-Chastel, 1993), hélas entrepris trop tard pour aborder autrement que de façon fragmentaire l'époque qui suscite sans doute le plus notre curiosité, celle de l'après-guerre et des divers combats politiques et spirituels qu'il a menés ou initiés.
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Débat sur la surpopulation : la point de vue de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique
Jean-Pierre Maugendre
Président de Renaissance catholique
Alain de Benoist vient de publier, sur Boulevard Voltaire cliquez ici, une chronique apocalyptique intitulée : « Avec la surpopulation, c’est un monde invivable qui se dessine. » La thèse de fond est que « la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée » et donc que « avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins (sur 7,7 milliards, note de JPM) le monde se porterait beaucoup mieux. » Notre auteur, faisant positivement référence à Thomas Malhus, auteur en 1798 de l’Essai sur le principe de population, accuse pêle-mêle la surpopulation d’être belligène, d’accélérer l’épuisement des ressources naturelles, de favoriser l’immigration, d’épuiser les sols, de participer au réchauffement de la planète, etc.
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La Petite Histoire : Lasalle, le sabreur de la Grande armée
Aussi connu pour ses frasques que pour sa bravoure légendaire, Antoine Lasalle a tout du hussard. À la tête de sa « brigade infernale », il s’illustre dans presque toutes les grandes dates de l’épopée napoléonienne, de l’Italie à l’Allemagne en passant par l’Égypte. Après le bourbier espagnol, le général est rappelé par Napoléon pour affronter l’Autriche en 1809. C’est au cours de la bataille de Wagram qu’il meurt au combat, à 34 ans, outrepassant de quatre années la limite qu’il s’était fixée dans sa célèbre réplique : « Tout hussard qui n’est pas mort à trente ans est un jean-foutre ! » Retour sur la vie trépidante de l’un des plus grands chefs de cavalerie de l’histoire.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-lasalle-le-sabreur-de-la-grande-armee
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Municipales : LREM est tellement mauvais qu’ils pensent que même sans candidat, le RN peut les battre.
Grotesque tentative de manipulation de l’opinion :
La majorité présidentielle, qui peine à présenter des listes partout pour les municipales, pronostique 137 victoires pour le Rassemblement national en mars 2020. Problème : dans son décompte, il y a des communes où le parti de Marine Le Pen n’a aucune chance de l’emporter, ou ne présente même pas de candidats.
Devant la déconfiture qui s’annonce pour elle aux municipales, LREM agite depuis peu l’épouvantail Le Pen pour tenter de justifier qu’elle ne va délivrer ni investiture ni soutien dans près de 300 villes de plus de 9 000 habitants : «là où la menace RN sera la plus forte», paraît-il. Des élus macronistes ont parlé de 137 villes prenables par le RN. «11 de 50 000 habitants, dont neuf dans le sud de la France», pouvait-on ainsi lire dans le JDD, dimanche, qui ne cite à l’appui de son étude que des «sources» au sein de la majorité. Lesquelles évoquent «Grasse, Cannes, Antibes, Avignon», des villes où le RN – qui lui n’affiche aucun objectif chiffré au niveau national – n’a en réalité que très peu d’ambitions, à moins de triangulaires ou de… miracle.
À Cannes, le parti lepéniste ne présente même pas de candidat. Ce qui fait dire à ce cadre RN : «A LREM, ils sont tellement mauvais qu’ils pensent que même si on n’a pas de candidat, on peut les battre.» Un autre : « À chaque fois qu’ils n’ont plus rien à dire, ils ressortent le truc de “attention l’extrême droite arrive”, ils pensent qu’ils vont nous affaiblir comme ça. Ce n’est qu’une manœuvre, pour dire à la fin: “Regardez, ils devaient gagner 137 mairies, mais ils en ont eu moins, c’est un échec, et c’est grâce à nous“».
Ceci dit, l’absence de candidats RN dans certaines villes montrent une certaine désaffection militante…
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Mosanto ou un nouveau servage à l'échelle planétaire ?
Dans des laboratoires ultra secrets et ultra protégés, pour faire toujours plus de fric, on cherche à modifier l'ordre naturel du monde et à engendrer des monstruosités végétales (ici du blé transgénique in vitro).
Qu'est-ce que Monsanto ? C'est l'archétype de la multinationale tentaculaire et planétaire ! Née en 1901, active dans 46 pays, forte de 17500 salariés et d'un chiffre d'affaires de 7,5 milliards de dollars en 2006.
Monsanto s'est fait véritablement connaître comme nuisance globale avec le fameux Agent orange. Un défoliant à base de dioxine largué à partir de 1961 et pendant une décennie sur les forêts du nord Vietnam couvrant le lacis de la "piste Hô Chi Minh" par laquelle transitait hommes et armes à destination du Sud. Puissamment carcinogène, tératogène et mutagène l'Agent orange, 47 ans plus tard, continue à tuer. Au glorieux palmarès de la marque, ajoutons l'herbicide total connu sous le nom de Roundup présenté mensongèrement comme biodégradable, un produit pourtant suspect de favoriser des malformations embryonnaires et d'être un agent précurseur de la carcinogénèse ; l'édulcorant de synthèse Aspartame possible Inducteur de Lésions cérébrales que l'on retrouve dans tous Les produits light mais pour lequel la firme ne touche plus aujourd'hui de royalties, le brevet étant tombé en 1992 dans le domaine public ; ajoutons les hormones de croissances bovine et laitière interdites en Europe ; les PCB, polychloroblphényles ou pyralènes utilisés dans les transformateurs électriques mais qui ont contaminé chacun d'entre nous et toutes la chaîne alimentaire depuis les phoques de l'Arctique jusqu'au lait humain ; enfin les OGM, Organismes Génétiquement Modifiés grâce auxquels Monsanto via ses complicités dans l’Administration américaine donneuse d'ordre aux classes dirigeantes de la démocratie mondiale, est en train d'établir une hégémonie planétaire sur les semences. Ce qui signifie en clair la mise sous tutelle de l'agriculture et partant la dépendance alimentaire des États.