Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 30

  • La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...

    Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).

    "On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.

    Qui, "on" ?

    En voilà une bonne question !

    Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...

    Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !

    Lire la suite

  • Bistro Libertés avec Geoffroy Lejeune (Valeurs Actuelles) : Le blasphème, un droit absolu ?

    Martial Bild et les sociétaires reçoivent le rédacteur en chef du magazine « Valeurs actuelles », Geoffroy Lejeune. Au programme des débats :

    Le blasphème, un droit absolu ?

    Mila, adolescente de 16 ans a fait l’objet d’insultes et de menaces de mort pour avoir critiqué la religion musulmane sur les réseaux sociaux. Tout comme les caricatures de Mahomet, les dessins contre Benoit XVI et les injures contre le Christ sur France Inter, il y a un droit absolu au blasphème. Cependant, ce dernier est remis en cause par une importante partie de l’opinion publique, par des politiques et même le ministre de la Justice. Entre polémique et confusion, le blasphème est-il un droit absolu ?

    Trump, saison 2 : une bonne nouvelle ?

    Débarrassé de son procès en destitution, aidé par l’entrée en campagne calamiteuse des démocrates, tous ceux qui prédisaient la chute de la Maison Trump considèrent aujourd’hui, qu’il est en route pour un second mandat. Faut-il se réjouir du succès de celui que l’on présente comme le chef de file du populisme. Ou s’inquiéter de sa politique étrangère et de son protectionnisme économique peu compatible avec les options européennes ? Trump, saison 2, une bonne nouvelle ?

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-geoffroy-lejeune-valeurs-actuelles-le-blaspheme-un-droit-absolu

  • Les illusions de Trump sur l’état réel de l’économie américaine

    20636519.jpg

    Marc Rousset

    Lors de son discours du 4 février sur l’état de l’Union au Congrès, Donald Trump aurait mieux fait d’être un peu moins sûr de lui et triomphant, d’en rabattre un peu sur « tout ce qu’[il a] créé », sur « les réussites les plus palpitantes à venir devant nous », sur l’état réel de l’économie américaine, qui est en fait portée par une croissance malsaine et artificielle.

    Trump n’est pas à l’abri d’un retour de boomerang en pleine figure, d’un krach soudain à Wall Street, même s’il va tout faire dans les mois qui viennent, bien évidemment, pour ouvrir encore plus les vannes de la Fed, poursuivre sa politique de fuite en avant des dépenses publiques afin de passer au moins le cap des élections présidentielles en novembre 2020.

    Lire la suite

  • Mes Libertés Politiques : semaine du 10/02/2020 au 14/02/2020

    – La France, bravitudement liberticide
    – Sarko le retour : quarante huitième épisode
    – Les économistes dans tous leurs états
    – Le baccalauréat , où ce qu’il va en rester…
    – Un peu de religion, c’était encore trop de religion !

    https://www.tvlibertes.com/mes-libertes-politiques-semaine-du-10-02-2020-au-14-02-2020

  • Libération de djihadistes français : Guillaume Larrivé sonne l’alerte

    16461602551_304c926573_b-845x475.jpg

    Le 13 février 2020, le député LR  écrivit une lettre ouverte, publiée par Le Figaro, adressée à Emmanuel Macron au sujet de la libération de  français d’ici 2022 :

    « 531 individus sont incarcérés pour des faits de terrorisme islamique. Or, parmi eux, objectivement regardés comme les plus dangereux à ce stade, 43 seront libérés au cours de l’année 2020, 57 le seront en 2021, et 46 encore en 2022. »

    L’association de mots « djihadistes français » pourrait être perçue pour beaucoup comme un oxymore, mais c’est pourtant la réalité de la société française actuelle. De la même façon que l’État français envisage de rapatrier des islamistes partis en Syrie pour prêter allégeance à l’État islamique, la logique du système judiciaire impose dorénavant la libération de ces détenus, de nationalité française.

    Lire la suite

  • Mondialisation, Hayek et Freidman furent ses prophètes

    Mondialisation, Hayek et Friedman furent ses prophètes 2.jpegHayek et Frieidman furent ses prophètes : La mondialisation expliquée à mon cheval

    Dans les années cinquante, on croyait le libéralisme économique pur et dur renvoyé à jamais dans le passé. On se trompait d'époque. Renvoyé dans le futur, il a fini par soumettre les sociétés qui l'avaient rejeté après 1929. Dans l'intervalle, on l'a rebaptisé. Le libéralisme étant, selon les mots de Valéry Giscard d'Estaing, « une théorie très avancée et nouvelle », on lui a donné « un nom moderne : néolibéralisme ».

    La mondialisation n'a pas attendu les années 1980 pour pousser ses pions et ses capitaux. Partie d'Europe, avec les premières grandes expéditions des navigateurs portugais et la découverte de l'Amérique, elle a progressivement conquis le globe, obéissant vraisemblablement à un dessein de l'espèce conduisant les hommes à coloniser l'ensemble des terres émergées. Restait cependant à les unifier. Ça sera le rôle de la mondialisation, telle qu'elle s'est dessinée au tournant des années quatre-vingt sous la forme de l'économie-monde.

    Lire la suite

  • «Amoureux de l’Italie» : après son renvoi devant la justice par le Sénat italien, Salvini se défend

    154443S4LV1N1-as120-800x445.jpg

    Matteo Salvini pour «séquestration» de migrants en mer. Le chef de la Ligue risque 15 ans de prison et six à huit ans d’inéligibilité.

    Le Sénat italien a validé le 12 février le renvoi de Matteo Salvini devant un tribunal de Sicile, qui l’accuse d’«abus de pouvoir et de séquestration de personnes» pour avoir bloqué en mer un navire rempli de migrants clandestins prêt à accoster sur les côtes italiennes alors qu’il était ministre de l’Intérieur.

    Le natif de Milan – qui fédère la droite italienne derrière lui et dont le seul parti est crédité de plus de 30% d’intention de vote au niveau national – pourrait donc faire face à un tribunal pour avoir refusé plusieurs fois l’entrée dans le pays à 116 migrants naviguant à bord d’un navire des gardes-côtes italiens, le Gregoretti.

    Lire la suite

  • Viktor Orbán : « Il est interdit de le dire en Europe, mais l’immigration est une invasion organisée »

    Hungary Today – Le Premier ministre [Viktor Orbán] a déclaré que les descriptions de la situation à la frontière hongroise dans les médias internationaux étaient inexactes, affirmant que 95 % des migrants arrivant à la frontière étaient des « hommes d’âge militaire ».
    […]

    En réponse à une question, M. Orbán a déclaré que la frontière hongroise n’était pas fermée, faisant valoir que si quelqu’un voulait entrer sur le territoire hongrois, il était libre de « frapper » et de suivre la procédure appropriée. Ceux qui optent pour cette méthode, a-t-il dit, doivent attendre dans la zone de transit la fin de la procédure légale. Pendant ce temps, les migrants sont pris en charge et si leur demande est approuvée, ils sont libres d’entrer en Hongrie, mais sinon ils doivent quitter la zone de transit, a-t-il ajouté.

    Lire la suite

  • La leçon de Zemmour à Marlène Schiappa, par Paul Vermeulen

    9554-20200215.jpgZemmour et Schiappa qui débattent le lundi 10 février 2020 dans l’émission phare de CNews, « Face à l’info », en un face-à-face bien orchestré et dans une émission maintenant bien rodée, depuis sa création en octobre 2019, l’affiche ne pouvait qu’être alléchante pour qui suit l’actualité politique à travers le prisme des médias et des réseaux sociaux, malheureusement très souvent éloignés de la vie concrète des Français. Un événement médiatique qui a battu le record d’audience de CNews, avec plus de 390 000 téléspectateurs (1,9 % des parts d’audience). 75 000 personnes de plus que lors du précédent record. Face-à-face, donc, entre le journaliste, essayiste, polémiste, Zemmour, défenseur de la civilisation française et des « somewhere », et l’« anywhere » Marlène Schiappa, pour reprendre la distinction proposée par Goodhart dans Les Deux Clans paru en 2019. Lundi 10 février, Marlène Schiappa n’est pas venue pour vendre l’une des potions illusoires du gouvernement, pas même celle de la fumeuse « grande cause du quinquennat », l’égalité « femmes-hommes », mais pour se frotter à Zemmour.

    Lire la suite