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  • Épargnants, sauvez votre argent !

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    Le mégakrach est là, et bien là, comme je l’avais annoncé dans une vidéo YouTube du 31 décembre dernier (Le mégakrach aura bien lieu). On me dira que l’on ne pouvait pas prévoir la pandémie qui l’a provoqué : mais la situation financière mondiale, le niveau record d’endettement, la spéculation frénétique, appuyée sur des produits dérivés hyper risqués, l’intervention massive des banques centrales, qui a conduit à cette incongruité totale des taux négatifs, tout donnait des signes d’une rupture imminente. Le monde de la finance cherchait un bouc émissaire pour endosser la catastrophe à sa place et pouvoir, ainsi, oser réclamer le soutien des États : le patron de Goldman Sachs avait expliqué au journal Les Échos que, si crise il devait y avoir, la guerre commerciale USA/Chine en serait la principale responsable.

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  • Le talon d'Achille de l'Allemagne

    Malgré Angéla, la géante, nos voisins d’outre-Rhin connaissent avec un peu de retard la même décomposition politique que nous, parce qu’en politique aussi, les mêmes causes produisent les mêmes effets.

    Annegret Kramp-Karrenbauer, familièrement surnommée « AKK », n'aura pas résisté - à la pression, ou à son propre sentiment d'incapacité. En jetant l'éponge, en renonçant à la présidence de la CDU et de ce fait à la succession, quasi automatique, d'Angela Merkel à la Chancellerie, le ministre de la Défense plonge l'Allemagne dans une crise politique, qui précipite le déclin annoncé de l'actuel chancelier. Mais cette crise allemande est aussi, et peut-être avant tout, une crise de l'Union européenne.

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  • Marion Marechal - Ce gouvernement, comme ceux qui l’ont précédé, a peur

    Ce gouvernement, comme ceux qui l’ont précédé, a peur

    Marion Maréchal a été longuement interrogée dans Valeurs Actuelles. Extraits :

    […]

    Après avoir alourdi les sanctions contre ceux qui ne respectent pas le confinement, le gouvernement a annoncé par la voix de Laurent Nunez qu’appliquer cette consigne dans les banlieues n’était « pas une priorité ». Le gouvernement a-t-il entériné la partition de fait de notre pays, où l’autorité de l’Etat ne s’applique plus de la même manière dans tous les “territoires” – comme on dit désormais ?

    Soljenitsyne, dans son discours d’Harvard, décrivait brillamment le déclin du courage dans le monde occidental. « Ce déclin du courage, disait-il, est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante, d’où l’impression que le courage a déserté la société tout entière ». 

    Ce gouvernement, comme ceux qui l’ont précédé, a peur. Il a peur de devoir faire face à la réédition des émeutes de 2005. Il a peur de subir les conséquences politiques d’un embrasement des banlieues dont il achète soigneusement la paix sociale à coups de subventions, en fermant les yeux sur les trafics en tout genre ou en déléguant l’ordre public aux salafistes. Il a peur d’une tension diplomatique en luttant contre la subversion organisée de la communauté musulmane française par des réseaux et des pays étrangers. Le séparatisme dont parlait Emmanuel Macron est combattu dans les mots mais il est accepté, et même alimenté, dans les faits. Ces quartiers sont exemptés de la solidarité nationale sauf quand il s’agit de bénéficier de notre système social ou de notre système de santé.

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  • Emmanuel Macron évoque la possibilité d’une fermeture des frontières de l’espace Schengen jusqu’au mois de septembre (Vidéo)

    Lors d’une visioconférence avec les partenaires sociaux qui se tenait vendredi matin, le président Emmanuel Macron a évoqué l’hypothèse d’une fermeture des frontières de l’espace Schengen jusqu’au mois de septembre, en raison de la pandémie de coronavirus.

    Les déplacements aux frontières de l’espace Schengen limités jusqu’en septembre ?

    L’un des partenaires sociaux a indiqué à BFMTV que le président français avait annoncé que les pays de la zone Schengen réfléchissaient à laisser les frontières de l’espace fermées au moins jusqu’en septembre. Il s’agit d’une réflexion réalisée sur la base de l’évolution de la pandémie dans le monde.

    Le président français a en tout cas souligné que les personnes qui pensaient pouvoir partir à l’étranger allaient être en difficulté. Un avis proche des recommandations du ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne qui déclarait mercredi : « Aujourd’hui ce n’est pas le moment d’acheter un billet pour partir à l’autre bout de la planète avec toutes les incertitudes qu’on peut avoir sur ce que sera l’état de l’épidémie ».

    Regarder la video

    https://www.tvlibertes.com/actus/emmanuel-macron-evoque-la-possibilite-dune-fermeture-des-frontieres-de-lespace-schengen-jusquau-mois-de-septembre-video

  • Le Covid-19 ou l'échec du globalisme

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    Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com

    A l’heure où ces lignes sont écrites, trois semaines se sont écoulées depuis le début du confinement en France.

    Ce virus venu tout droit de Chine, qui semblait être une épidémie localisée avant de se transformer en pandémie, a montré l’échec d’un système promu depuis plus de trente ans maintenant (système global et unipolaire) dont le secteur sanitaire montre ses limites (querelles entre groupes, sous-estimation du rôle médical et des moyens matériels a apporter, etc).

    Cela nous rappelle que les États sont toujours souverains, de part le rétablissement des frontières (malgré le caractère très dogmatique de certains chefs d’État mais ce cas de force majeure exige le réalisme) et aussi par la méthode pour contrer ce virus, dont à ce jour on peut compter trois réponses: l’une, majoritaire, qui promeut le confinement (partiel ou total selon certains cas), un autre qui promeut la prise de sang (comme en Corée du Sud ou en Allemagne) et un autre qui ne confine pas sa population pour qu’ils développent leur système immunitaire (comme en Suède et un temps en Grande-Bretagne).

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  • Le temps des assassins

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    Comme les demandes d’accès à l’avortement ont baissé partout en France depuis le début du confinement, la Haute autorité de santé vient d’autoriser l’accès à l’avortement médicamenteuse à domicile jusqu’à neuf semaines, au lieu de 7.

    Comme le dit Eric Zemmour, c’est paradoxal, malsain et pervers. Cette pandémie nous ramène au fondement de la médecine : sauver la vie.

  • Stéphane Ravier : « L’appel à la prière dans les rues : certains pensent que la France est terre d’islam ! »

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    À plusieurs reprises depuis le début du confinement, l’adhan (appel à la prière pour les musulmans) a retenti sur la voie publique, dans plusieurs villes de France, et notamment à Marseille.

    Au micro de Boulevard Voltaire, Stéphane Ravier dénonce un « épisode de conquête » et réclame « des mesures fermes » de la part du ministre de l’Intérieur.

    Plusieurs témoignages et une vidéo amateur font état d’une prière islamique qui aurait retenti dans les rues de Marseille. Cette information est à mettre au conditionnel, car aucune source officielle n’a confirmé cette information. Néanmoins, cette prière a retenti dans plusieurs villes de France depuis le début du confinement. Elle vous a fait réagir. Cela vous pose-t-il problème ?

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  • Revue de presse : « Non, la France ne traverse pas la plus grande crise sanitaire de son histoire »

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    Il est nécessaire de s’appuyer sur l’histoire pour prendre du recul sur la période que nous vivons, considère l’historien Olivier Faure. Plutôt que de céder à la panique, il faut selon lui demeurer vigilants, notamment dans la défense de nos libertés, et se souvenir que les grandes épidémies n’ont pas toujours eu les conséquences attendues.

    Olivier Faure Le Figaro cliquez ici

    L’historien et le citoyen ne font qu’un et, comme le disait Lucien Febvre, ils doivent participer à la manœuvre avec leurs compétences. Si le citoyen doit être ému par ce qui nous arrive, l’historien doit être rigoureux. Il est d’abord là pour comparer avec le passé. Si cela peut paraître indécent il faut bien, pour le faire, utiliser des chiffres, aussi froids et inhumains fussent-ils. À ce jour le coronavirus a fait plus de 10.000 morts en France. C’est évidemment 10.000 de trop mais il faut savoir qu’ils représentent moins de 2 % des 580.000 décès annuels. Même en Italie où la maladie est la plus grave, le taux de létalité (nombre de décès sur nombre de cas) est de 10 %, bien loin des épidémies anciennes.

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