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  • Gestion du Covid : de la faillite du gouvernement à la faillite de l’économie

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    On ne sait pas combien de vies ces fermetures vont sauver. On peut prédire, en revanche, le nombre de PME qu'elles vont tuer...

    Il paraît que la lutte contre le coronavirus est l’équivalent d’une guerre, dixit . Pour mener une guerre, il faut des moyens, de la rigueur, une stratégie claire, un état major éclairé, inflexible et déterminé. Et non une armée mexicaine de pseudo-spécialistes, sous influence pharmaceutique, dirigée par des chefs sans colonne vertébrale et, surtout, soucieux de leur com’ et de leur risque pénal.

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  • Marion Maréchal : « Il faut peut-être se défaire de l’idée de l’homme providentiel »

    Marion Maréchal répond aux questions de Boulevard Voltaire sur le centre d’analyse et de prospective que lance l’ISSEP (Institut de sciences sociales, économiques et politiques qu’elle a fondé en 2018), la situation politique et le cap à tenir, la présidentielle de 2022 et l’avenir de la droite.

    Vous avez fondé le Centre d’Analyse Prospective. Quel est le but de ce think tank ?

    Un laboratoire d’idée comme on dirait en français. L’idée est de développer le pôle recherche de l’ISSEP qui a déjà un pôle formation avec la formation continue et le magistère, de contribuer au débat d’idée public et politique en s’emparant de sujets qui, selon moi, de manière très discrétionnaire, sont peu ou mal exploités. L’originalité de ce laboratoire d’idée viendra moins sur le modèle. On peut retrouver des grands think tank aujourd’hui, que ce soit l’institut Montaigne, l’IFRAP ou autre. Cette originalité viendra plutôt des sujets dont on s’emparera et des contributeurs qui seront associés.

    Ce think tank a été lancé notamment parce que vous avez fait le constat que les partis politiques sont un modèle sans doute dépassé. On l’a vu récemment avec la République En Marche qui a perdu ses différents cadres comme si finalement ce parti était une espèce de kit jetable donné à Emmanuel Macron le temps de se faire élire. Maintenant, il ne sert plus à rien…

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  • Les trois aveux de Mélenchon

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    Vincent Vauclin

    président du Mouvement national-démocrate

    Le discours prononcé cette semaine par Jean-Luc Mélenchon - à l'occasion du lancement de l'Institut de la Boétie, le nouveau think-tank de la France Insoumise - restera dans l'histoire récente comme le moment charnière et fondateur de la nouvelle gauche. Prenant acte d'une mutation idéologique déjà bien engagée, Jean-Luc Mélenchon a finalement franchi le rubicon qui le séparait encore des courants les plus gauchisants de sa mouvance pour embrasser sans réserve la cause indigéniste et se débarrasser des derniers oripeaux de la gauche ouvrière du siècle dernier, républicaine et vaguement cocardière, dans les plis desquels il feignait encore jusqu'ici de draper son discours.

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  • Mai 68 : un raté qui n'avait rien de social !

    Deux mois de commémoration, d'agitation, {d'amalgame, le culte de « mai 1968 » est lassant. Déclenchée par le président absolu qu'elle prétendait renverser, cette « révolution » - bidon n'a-t-elle pas abouti au triomphe de ce même président, dans la rue. Le 30 mai, dans les urnes le 30 juin ? Les vieux se glorifient pourtant d'en avoir été. La gauche tente de persuader les jeunes de les imiter Personne n'avoue avoir été manipulé. Quarante ans après une contre-performance aussi grotesque, il est temps de situer un raté qui n'avait d'ailleurs rien de social.

    Mai 1968 commence en mars, le 20 mars 1968, par une action violente contre les locaux parisiens d'American Express. Est visé l'engagement militaire des États-Unis au Vietnam. Le président De Gaulle mène  campagne,  depuis  des années, contre cet engagement. Et c'est à Paris que s'ouvriront, le 10 mai, les négociations de paix qu'il souhaite. Plus généralement, il s'efforce d'ouvrir « une troisième voie » entre l'économie libérale, soumise à la loi d'un marché où l'on compte en dollars, et « l'économie centralisée », soumise à ce plan qui permet au pouvoir de piloter l'économie nationale, mais que discrédite un « totalitarisme lugubre », source d'un arbitraire sanglant et de pénuries anachroniques.

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  • Sur Boulevard Voltaire, Marie Fatima Hutin : Le racialisme est un racisme importé!

    Cofondatrice et trésorière de Sens Commun (parti appartenant à la galaxie LR), Marie Fatima Hutin avait poussé un coup de gueule sur Twitter contre les dérives racialistes présentes dans la société Française.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/09/24/sur-boulevard-voltaire-marie-fatima-hutin-le-racialisme-est-6265517.html

  • Charlie Hebdo : le difficile équilibre entre courage et préjugé

    Charlie Hebdo : le difficile équilibre entre courage et préjugé

    En cette période du procès des attentats de 2015, dans Charlie Hebdo du 23 septembre 2020 (journal irritant, très irritant même parfois, mais c’est leur ADN et ses journalistes sont très courageux), sur les deux pages centrales un titre : « ATTENTATS : PUISQU’ON VOUS DIT QUE C’EST PAS LA FAUTE A L’ISLAM ! » 

    Titre bien sûr ironique, accompagné de quatre articles plutôt tranchants qui tentent de démonter les excuses faciles le plus souvent utilisées pour nepasferdamalgam.

    Le premier est intitulé : « Le fanatisme, c’est plus compliqué que ça ». On y trouve :

    « Tous savent que derrière les menaces et les crimes, il y a une idéologie politique religieuse totalitaire… La volonté de ne pas « stigmatiser » les croyants musulmans, de ne pas faire d’ « amalgames », a bon dos… Bien qu’il avance parfois masqué, l’islamisme est aujourd’hui la doctrine politique totalitaire la plus expansive ».

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  • Pourquoi Trump peut encore gagner

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    Il se manifeste à peine un peu plus de prudence que lors de la dernière élection présidentielle américaine. Pour autant, presque tous les analystes et journalistes français veulent croire à une défaite de Donald Trump. Mais pour qu’il y ait défaite du candidat républicain, faudrait-il encore que son opposant ait l’envergure suffisante pour convaincre les électeurs américains.

    Biden complètement dépassé sur internet

    Un coup d’œil à la page Facebook de Joe Biden est très instructif : pas de portrait du candidat démocrate en photo de profil. On n’y trouve qu’un simple appel à s’inscrire sur les listes électorales. C’est dire à quel point on compte peu sur la figure du candidat Biden pour gagner au sein même de son équipe de campagne. Chose étrange, la photo de profil précédente date du 26 mai et présente un candidat démocrate peu à son avantage.

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  • Ces Français que l’on prend pour des cons…

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    Franchement, ces Français ! Des bas de plafond, des nez de bœufs, des crétins des Alpes. Quand ça arrange, c’est le peuple le plus intelligent de la Terre : par exemple, au moment des élections, pour leur faire comprendre qu’au pays des Lumières, on ne peut pas prendre le risque de l’éteindre sur le coup d’un soir de scrutin. Mais sinon, entre nous soit dit : des abrutis !

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  • Forte surmortalité dans les maisons de retraite belges en août : canicule et mesures COVID…

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    de Jeanne Smits

    Il y a eu quelque 1.500 décès de plus qu’attendu en Belgique au mois d’août, frappant en priorité les personnes les plus âgées. Cette surmortalité n’était pas liée au coronavirus chinois… sinon indirectement, car ce sont les « mesures COVID » conjuguées avec la canicule qui ont provoqué l’hécatombe. Ces morts s’ajoutent aux suicides, au décès qu’entraîneront retards et absences de soins et autres effets néfastes de la « gestion » de la crise du coronavirus, aussi désastreuse en Belgique qu’en France. Et ce sont une fois de plus les vieillards qui paient le plus lourd tribut, eux que les « mesures COVID » prétendent « protéger ».
    Très précisément, la surmortalité en Belgique a été estimée à 1.460 entre le 5 et le 20 août, la moitié des victimes ayant plus de 85 ans et la très grande majorité plus de 65 ans. Cela représente une surmortalité de 34,8 %.

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