Éric Zemmour : « Faisons un grand référendum sur l’immigration. » Emission Face à l’info du 23/09/2020.
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Union Européenne : son pacte sur les migrants est un canular, la relocalisation n’est pas obliga-toire
Hormis un tournant, le nouveau pacte pour les migrants annoncé par Ursula von der Leyen qui devrait soulager les pays membres sous pression, en abolissant le traité de Dublin se révèle être un canular.
La présidente de la Commission européenne a présenté la philosophie de base du pacte proposé aux États et donc pas encore approuvé.
« L’Europe doit abandonner les solutions ad hoc pour mettre en œuvre un système de gestion des migrations prévisible et fiable. Ce paquet reflète un juste équilibre entre responsabilité et solidarité entre les États membres. »
De beaux mots qui cachent le fait que tout restera comme avant.
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Le poids des civilisations dans l’Histoire
La notion de « choc des civilisations », popularisée par Huntington, continue à servir de repère, qu’ils y adhèrent ou la réfutent, aux spécialistes des relations internationales.
Le 24 décembre dernier s’éteignait Samuel Huntington, qui avait accédé à la notoriété mondiale, fait rare, grâce à un livre. En 1993, professeur à Harvard depuis un demi-siècle, il avait publié un article dans Foreign Affairs, la revue diplomatique américaine : « The Clash of Civilizations ? » Trois ans plus tard, l’article était devenu un ouvrage et le point d’interrogation avait disparu. Le Choc des civilisations, traduit en 39 langues (en français aux éditions Odile Jacob en 1997), lance alors une formule qui fera florès – fût-ce pour être vilipendée.
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Le totalitarisme, fils aîné de l'incurie macronienne.
Les mesures annoncées ce mercredi soir par le ministre de la santé, Olivier Véran, enfermant dans une dizaine de métropoles la population dans un carcan réglementaire qui ressemble comme deux gouttes de gel hydro-alcoolique à un reconfinement partiel, imposant un couvre-feu de fait et mettant en péril de nombreux commerces, bars et restaurants, sont punitives, liberticides et totalitaires.Elles sont la conséquence de l'incurie du gouvernement qui, en sept mois, n'a pas pris les décisions qui s'imposaient pour reconstruire un système hospitalier digne de la France, en rouvrant les lits fermés ces dix dernières années pour cause de non-rentabilité et pour redonner aux personnels soignants les moyens matériels d'exercer leurs missions. Un pouvoir qui n'a agi ni sur la porosité sanitaire des frontières ni sur le laisser-aller des zones de non-France dont personne n'ose dire qu'elles ont été parmi les principaux foyers de redémarrage du virus.Un jour les femmes et les hommes de ce régime devront répondre de leurs actes. -
Morts des dealers de Saint-Ouen : un écosystème mafieux en Seine-Saint-Denis, par Gabriel Robin.
© DR
Dans la nuit du 14 au 15 septembre, deux jeunes hommes ont été assassinés à Saint-Ouen, ville de Seine-Saint-Denis. Un d’entre eux était à peine sorti de l’enfance, il se prénommait Tidiane Bagayaoko et était âgé d’à peine 17 ans. L’autre personne ciblée dans cet assassinat s’appelait… Sofiane Mjaiber. Sous contrôle judiciaire pour une tentative d’homicide volontaire en 2017, il était surtout connu pour son militantisme associatif et sa proximité avec l’ancien maire PCF de la ville.
La série Engrenages diffusée depuis huit saisons sur Canal + n’est pas une fiction. Les liens unissant la voyoucratie de la banlieue parisienne – sortie de l’âge de l’enfance de l’art et désormais organisée en clans mafieux – et les pouvoirs politiques et économiques ont toujours suscité l’interrogation. Bien évidemment, de pareils soupçons sont extrêmement difficiles à prouver et plus encore à révéler. Il a toujours été dangereux de s’attaquer aux profitables entreprises commerciales occultes des criminels capables de prendre le risque d’éliminer physiquement leurs ennemis.
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« Chypre, l'épine turque dans le talon européen »
Jean-Claude Rolinat est journaliste, écrivain-voyageur, et auteur d’un tout récent (éd. des Cimes). Nous faisons le point avec lui sur l'affaire chypriote. » Propos recueillis par Olivier Figueras
Depuis des décennies, Chypre est partagée entre la Grèce et la Turquie. La question du gaz, et plus largement des hydrocarbures, est l'occasion de nouveaux bruits de bottes. Quels en sont les enjeux et les risques ?
Chypre est divisée en deux États, l'un légitime, internationalement reconnu, l'autre autoproclamé, la République turque de Chypre du nord, RTCN pour faire court. Cet « État » a été créé après le débarquement, en juillet 1974, de l'armée turque à Kyrenia, « le Saint-Trop chypriote » sur la côte nord. Il répondait au putsch organisé par les ultras Grecs ayant renversé Monseigneur Makarios. L’évêque, chef de l'Église autocéphale orthodoxe grecque de Chypre, était également président de la république, plutôt hostile à l'Enosis, c'est-à-dire au rattachement de l'île à la mère-patrie grecque. (Une idée inacceptable pour les Turcs de Chypre, comme pour ceux du continent.)
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Prétendre lutter contre le séparatisme et permettre à l’école l’enseignement de l’arabe dès 7 ans
On devait avoir, ce mardi 22 septembre, la leçon politique du président de la République sur le communautarisme… euh… non… sur le séparatisme, faut pas confondre ! On allait voir ce que l’on allait voir. Et puis, patatras ! Le discours est repoussé de dix jours, au 2 octobre. Le sujet est tellement nouveau, tellement inattendu, qu’il faut bien une grosse semaine pour peser ses mots. En réalité, on sait déjà ce qu’il va dire.
En effet, menton en avant et œil sombre, il avait déclaré, au Panthéon, le 4 septembre dernier : « Il n’y aura jamais de place en France pour ceux qui, souvent au nom d’un Dieu, […] entendent imposer la loi d’un groupe. Non, la République, parce qu’elle est indivisible, n’admet aucune aventure séparatiste. » De quel Dieu s’agit-il, qui prétend gouverner les Français ? « Mais c’est… bon dieu… c’est sûr ! » aurait dit le regretté Raymond Souplex-Bourrel en frappant du poing droit sa paume gauche. Macron nous offrait là une de ses mâles envolées pleines de bruits et de fureur, comme aurait dit Shakespeare.
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Cour suprême/Sénat : Plus rien ne semble s’opposer à la confirmation du juge que Donald Trump devrait nommer samedi
Cette confirmation serait probablement encore plus importante que l’élection présidentielle de novembre :
Devant des démocrates indignés, mais impuissants, le président républicain Donald Trump semble assuré d’avoir les voix qu’il lui faut pour nommer la juge de son choix au plus haut tribunal des États-Unis (…)
Minoritaires au Sénat, les démocrates ont besoin de l’appui de quatre républicains pour faire dérailler la procédure. Les républicains y disposent de 53 sièges contre 47.
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[vidéo] Philippe De Villiers : “La France n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’islam”
André Bercoff et Céline Alonzo ont reçu Philippe De Villiers et Odon Valley sur Sud Radio.
Il est notamment question de notre patrimoine religieux en danger : la cathédrale de Nantes incendiée, 5 églises cambriolées dans le Jura, une statue de la Vierge décapitée dans l’Hérault…
Philippe De Villiers a notamment rappelé notamment que “la France n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’islam”.
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Jean-François Chemain : « On nous rebat les oreilles avec le prétendu “pacte républicain”. Vous avez signé quelque chose de ce genre, vous ? »
Une polémique a enflé, lors de cette rentrée, sur la tenue des élèves dans l’enceinte de l’établissement. On avait un peu l’impression qu’il n’y avait aucune alternative entre crop top et voile… N’y aurait-il pas un juste milieu ?
J’ai toujours été horripilé par le fait que, dans la rhétorique contre le voile islamique, la seule alternative féminine occidentale, ou chrétienne, ou laïque, soit régulièrement présentée comme « la mini-jupe », comme s’il n’y avait rien entre eux. Je n’ai jamais vu ma mère, ni mes sœurs, ni ma femme, ni mes filles dans aucune de ces deux tenues ! Les costumes « français » traditionnels ont toujours été décents. Et s’ils ne le sont plus, c’est sans doute à cause de cet individualisme forcené promu par la modernité, donc l’idéologie républicaine qui nous veut de plus en plus seuls et fragiles, les fameux « flocons de neige », face à un État tout-puissant s’insinuant de plus en plus dans nos choix personnels. La République nous arrache chaque jour un peu plus à nos traditions, et voilà M. Blanquer qui nous les rappelle en les qualifiant de « républicaines ». Cela n’a pas de sens.