Vendredi soir, devant l’église Saint-Sulpice, plusieurs centaines de catholiques étaient rassemblés pour réclamer qu’on leur rende le droit d’assister à la Messe. Comme l’a signalé Civitas, les préfets ont la consigne d’interdire ces rassemblements sauf si les organisateurs s’engagent à ce qu’aucune messe ne soit célébrée ni aucune prière prononcée. Mais la foule a naturellement prié tandis qu’une chorale a chanté des cantiques.
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Joe Biden, pantin des banquiers et des voyous de Black Lives Matter
De Christian Daisug dans Présent :[…] Depuis le 3, on s’est aperçu à la lecture de certains jugements que peu de juges de districts ou de cours d’appel osent avouer leur certitude qu’une fraude sournoise et efficace a transféré la victoire de Trump à Biden. Tout est là. Les avocats du président auront beau étaler devant la justice des preuves irréfutables que les urnes ont été bourrées, que des morts ont voté par milliers, que des non-inscrits sont parvenus à glisser un bulletin dans l’urne, s’ils ne déclenchent pas dans les esprits le ferment du doute, leurs efforts seront anéantis. Ce qui a manqué à Trump, en raison de la complicité unanime des gros médias et de la censure inouïe des réseaux sociaux, c’est la psychose d’une fraude massive. On est resté dans le pointillisme, l’occasionnel, l’accessoire. Oui, on a peut-être fraudé en Pennsylvanie, au Michigan et en Arizona, mais pas plus que les autres années. Les vociférations de Trump ne sont que les sanglots d’un perdant.
Car il y a eu un double piège. Le premier a enfermé Trump dans une spirale d’irrégularités qui l’ont empêché de riposter efficacement. Le second l’a condamné à l’attitude du mauvais perdant en ne réclamant qu’une chose : le compte des votes légaux. Ce simple bon sens a été perverti par la propagande ennemie. Biden, pantin jusqu’au bout de ses ficelles, en a profité le premier. Il poursuit, sous couvert de son prétendument officiel « bureau du président élu » (une invention d’Obama en 2008), le ficelage de sa transition vers une ère gaucho-globaliste. Mais déjà frappent à sa porte deux de ses anciens complices qui exigent des rôles actifs dans l’éventuelle perspective d’un nouveau régime : les banquiers de Wall Street – ils s’empressent de se réserver des places de choix dans les ministères clés de l’Economie, du Commerce et du Trésor –, et les dirigeants déchaînés de Black Lives Matter. Eux n’hésitent pas à clamer que « l’éviction de Trump n’aurait jamais eu lieu » sans leur concours et qu’une bonne dose de leur programme devra être injectée dans l’administration démocrate. Biden flanqué du capitalisme vagabond et du radicalisme révolutionnaire : le spectre d’une 46e présidence.
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Le sacré et le mythe 2/3
D'autre part, nous trouvons la notion de rassemblement comme condition de l'intégrité. Ces deux aspects correspondent d'ailleurs aux termes, mentionnés plus haut, que Rudolph Otto appelle tremendum, crainte respectueuse et fascinans, attrait pour ce qui advient à la présence. Cette structure double correspond étroitement au double aspect de la première fonction des mythologies indo-européennes. Nous aurons l'occasion de revenir plus d'une fois sur cette conception tripartite, mise en avant pour la première fois par Georges Dumézil. La vision du monde indo-européenne structure le monde en trois fonctions dont la première, celle précisément qui gouverne le sacré, se dédouble en une divinité qui symbolise la souveraineté cosmique et juridique, donc la magie, et ainsi est de l'ordre du tremendum, de la crainte respectueuse, et une divinité qui symbolise la souveraineté humaine, royale et politique, de l'ordre du fascinans, de la présence humaine et amicale. Ces couples de dieux, Varuna et Mitra, Odin et Tyr, Oghma et Daghda, Jupiter et Dius Fidius (28) représentent les deux dimensions du sacré, avec un pôle tourné vers le cosmos et la magie et un pôle tourné vers la terre et l'humain. Cette dualité n'est pas une séparation totale mais bien au contraire une association complémentaire.
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Gérald Darmanin n’exclut pas d’envoyer les forces de l’ordre contre les « prières de rue » catholiques
Interrogé vendredi sur Franceinfo au sujet des « prières de rue » organisées par les catholiques qui demandent le droit d’assister à la messe pendant le confinement, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré que « la vie est plus importante que tout ». « Et la vie, c’est de lutter contre le coronavirus. Donc je ne souhaite pas envoyer les policiers et les gendarmes verbaliser des croyants devant une église, évidemment. Mais s’il s’agit d’un acte répété et qui est manifestement contraire aux lois de la République, je le ferai ».
Le Parisien / Lire aussi : Retour des messes : l’État et l’Église se parleront lundi
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Pauvreté : le grand retour, par Olivier Pichon.
Les riches sont plus riches, les pauvres plus pauvres et plus nombreux, et ça ne va pas s’arranger. Des chiffres inquiétants et des perspectives économiques plus inquiétantes encore.
Face à cette question, on peut être tenté par le romantisme façon XIXe siècle ou bien encore par le complotisme, et l’annonce de l’apocalypse sociale façon XXIe siècle, il n’empêche que la question de la pauvreté se pose avec une acuité toute particulière en France “après” la crise sanitaire, probablement sans précédent depuis les lendemains de la seconde guerre mondiale. Parmi les demandeurs d’aides, 45 % étaient jusque-là inconnus, indique le Secours Populaire.
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Le sacré et le mythe 1/3
« Le sacré relève d'abord d'une perception de choses manifestant le divin, et non d'un état de croyance impliquant l'adoption d'une vérité absolue. » (Jean-Jacques Wunenburger)
« La mythologie comprend l'histoire archétypique du monde originel ; passé, présent et futur y sont embrassés. » (Novalis)
« Le symbole est une représentation qui fait apparaître un sens secret. Il est l'épiphanie d'un mystère. » (Gilbert Durand)
"Le poids des mots, le choc des photos" dit la publicité d'un hebdomadaire contemporain bien connu. Ce slogan, bien que purement commercial, est frappant. C'est bien évidemment son intention mais nous pourrions nous demander pourquoi il apparaît tel. Le poids des mots doit certainement faire appel à la résonance que le verbe a sur notre imaginaire et nous renvoyer à l'importance qu'avait — et qu'a encore, mais dans une moindre mesure -, l'oralité. L'attrait de l'enfant pour les histoires qu'on lui conte et le plaisir des adultes pour les veillées d'autrefois autour d'un conteur ne sont certainement pas étrangers à cet impact. Le choc des photos, quant à lui, est certainement dû à l'aspect moderne de la technique photographique qui autorise de fixer l'instant sur du papier, mais est encore plus fortement lié au fait que cette technique stimule notre imaginaire et fait jaillir des images connexes. L'oralité et l'image avivent ainsi des échos au plus profond de nous et, parfois, nous amènent à revivre par la pensée, mais aussi par les sentiments et les émotions qu elles suscitent, des événements antérieurs.
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Présidentielle américaine. Le combat continue
Par Frédéric Eparvier, cadre dirigeant d’un grande entreprise française à caractère stratégique ♦ Près d’une semaine après les élections américaines, le dépouillement des voix continue, alors que les couteaux des avocats s’aiguisent, car contrairement à ce que racontent les médias français (Gilles Bouleau au JT d’hier soir par exemple), Joe Biden n’est pas le Président « Élu », c’est-à-dire qui a gagné les élections, en attendant sa prise de fonction officielle. Il ne le sera qu’après le vote des Grands Électeurs prévu le 4 décembre, ou si Donald Trump devait reconnaître sa défaite auparavant, ce qui ne semble pas être dans la psychologie du personnage.
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La grande réinitialisation
Le Forum économique mondial a fait sien le livre du Professeur Klaus Schwab et de Thierry Malleret: COVID-19: La Grande Réinitialisation.
A peine six mois après le début de la pandémie, le monde n’est plus celui que nous connaissions. Dans ce court laps de temps, la COVID-19 a à la fois déclenché des changements considérables et amplifié les divisions qui assaillent déjà nos économies et nos sociétés. Des inégalités croissantes, un sentiment d’injustice généralisé, l’approfondissement des clivages géopolitiques, la polarisation politique, des déficits publics croissants et des niveaux d’endettement élevés, une gouvernance mondiale inefficace ou inexistante, une financiarisation excessive, la dégradation de l’environnement : tels sont quelques-uns des défis majeurs qui existaient avant la pandémie. La crise du coronavirus les a tous exacerbés.
La débâcle de la COVID-19 pourrait-elle être l’éclair avant le tonnerre ? Aurait-elle la force de déclencher une série de changements profonds ?
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Du scandale Bridgestone et de la nécessaire domestication des féodalités économiques.
Encore une fois, une entreprise multinationale ferme une usine importante en France, sans trop d’égards pour ceux qui y travaillent et ceux qui en vivent, de la sous-traitance aux commerces locaux, voire aux écoles qui accueillent les enfants des salariés. Ainsi, 863 travailleurs, ouvriers et cadres, sont condamnés au chômage ou au reclassement, parfois à une retraite anticipée sans joie, tandis que de nombreuses entreprises sous-traitantes vont être les victimes collatérales d’une décision prise à des milliers de kilomètres de là, sous la pression d’actionnaires plus empressés de valoriser leur capital que de soutenir l’emploi dans un pays qu’ils ne connaissent que par sa tour Eiffel ou ses bons vins…
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AH2020 *LE 20 HEURES* 12/11/2020 ***PREPAREZ-VOUS LES REVELATION ARRIVENT!!! !!!
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