Les Français peuvent donc être assignés à résidence à titre préventif, pour la deuxième fois cette année, mais pas les fichés S : il paraît que c’est contraire à notre Constitution. Dans le même registre, le principe de précaution au nom duquel l’exécutif vient de décider la paralysie économique de nombreux secteurs de l’économie réelle (cafés, bar, restaurants, commerces de proximité) ne s’applique pas à l’arrivée de migrants sur notre sol dont on ne sait, le plus souvent, rien du parcours de vie, mais dont le vivier fournit régulièrement les terroristes islamistes qui frappent sur notre sol.
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Renversez l'Histoire ! Avec Laurent Obertone – EURÊKA
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La guerre des peuples, invention meurtrière de la Révolution
En inventant l'armée de conscription, mise au service de l'idéologie, la Révolution a préparé les tueries massives des siècles suivant.
Deux dates se rencontrent au mois de septembre celles du 20 septembre 1792, bataille de Valmy, et du 5 septembre 1798 (19 fructidor an VI de la République) : ce jour-là, la loi Jourdan établit le service militaire obligatoire pour tous les jeunes Français âgés de 20 à 25 ans.
Il est vrai que cette loi ne faisait que régulariser une situation dictée, à l'origine par l'événement le décret du 24 février 1793 avait déjà ordonné une levée de 300 000 hommes, et celui du 23 août suivant organisé la levée en masse du peuple français, qui devait, précisait le texte, « se lever tout entier pour la défense de sa liberté, de sa Constitution et pour délivrer enfin son territoire de ses ennemis. » L'aventure devait se terminer 22 ans plus tard, à Waterloo.
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SOUTIEN TOTAL AUX MAIRES FRONDEURS QUI AUTORISENT LES PETITS COMMERCES À OUVRIR ! (pétition)
Confinement et fermeture des commerces (mais pas des "gros", les grandes surfaces) : la colère monte chez les Maires et certains prennent un arrêté poir laisser les commerces non-alimentaires de leusr villesouverts : ils ont raison !
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Richard Millet : « Nous sommes dans une guerre civile innommée » (texte de 2011)
Richard Millet est romancier, mais pour lui, le roman, c'est la vérité toute nue. Dans cette perspective, dans cette inquiétude pour la vérité sur notre monde, dans cette angoisse devant un non-dit qui apparaît toujours à la fois comme le symptôme essentiel du mal et comme la cause… perdue, il vient de publier deux livres qui sont deux lectures du « désespoir contemporain ». Quel est ce mal être que nous sentons, mais auquel nous ne savons pas donner de nom, que nous échouons à décrire ? En bon analyste, c'est à travers le refoulé de la conscience contemporaine - l'immigration comme phénomène toujours latent mais toujours évité voire censuré - que Richard Millet tente d'argumenter son diagnostic. Peut-on encore s'exprimer sur l'immigration ? Le seul fait de parler de ce dont il ne faut pas parler représente plus qu'un livre; cette libération de la parole est un acte qui marque, avec le désespoir et l'impression de « toucher le fond », une espérance infracassable, qui est sans doute le dernier legs de la culture chrétienne lorsqu'elle semble disparaître. Dans Arguments pour un désespoir contemporain, Richard Millet donne un cours en cinq leçons. Dans Fatigue du sens, deuxième petit opus à la portée de tous, il laisse partir des fusées de mots pour décrire, pour tenter de définir le mal contemporain. Il nomme la guerre civile et l'exorcise en la nommant. GT
Entretien Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn
Richard Millet, vous êtes un des rares romancier d'aujourd'hui dont on puisse dire d'ores et déjà qu'il est à la tête d'une œuvre. Et vous vous mêlez d'écrire sur les dysfonctionnements de notre société. N'y a-t-il pas contradiction ?
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L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
[Traduction Benoît & Moi] — À la veille de l’élection présidentielle américaine, et au moment où la pandémie du covid a permis l’imposition de mesures liberticides qui auraient été impensables il y a encore quelques mois, il devient moins facile de liquider comme complotistes ceux qui dénoncent le plan global de « Great reset » (Grande Réinitialisation) contre Dieu et l’homme dont les différentes formes de confinement en cours sont les prémisses sous les yeux de tous. L’ex-nonce à Washington s’adresse solennellement à l’homme en qui il voit – peut-être contre toute attente – celui que la Providence a choisi pour être le Katechon, empêchant l’accomplissement du « mystère d’iniquité ».
L’archevêque Carlo Maria Viganò s’est fait connaître sur la scène internationale en 2018 en tant que dénonciateur du Vatican, appelant le pape François à démissionner et l’accusant de couvrir des accusations d’abus sexuels contre des religieux de premier plan, dont le cardinal Theodore McCarrick, et de promouvoir un « courant homosexuel » dans la curie du Vatican.
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Fin du “padamalgam” ? De nombreux musulmans modérés ont glissé chez les fondamentalistes
Selon les services de renseignement :
Le renseignement français s’intéresserait particulièrement à trois groupes, dont la porosité est “plus importante que jamais”, selon une source haut placée. Il s’agit des musulmans modérés, des fondamentalistes (les salafistes et les frères musulmans) ainsi que des islamistes, prêts à passer à l’action violente. Selon cette source, de nombreux musulmans modérés ont glissé chez les fondamentalistes. Et un nombre important de fondamentalistes, qui n’étaient pas prêts à passer à l’action terroriste il y a encore quelques semaines, ont basculé chez les islamistes.
Exemple avec l’imam Otamne Aissaoui, imam de la mosquée de l’Ariane à Nice, présenté dans les médias comme représentant les musulmans “modérés” :
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Je décapite, tu décapites, il décapite...
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Véronique Besse : « Il faut arrêter de stigmatiser les petits commerces de proximité alors qu’ils se sont préparés ! »
Comme plusieurs autres maires (Montauban, Villeneuve-Loubet, Béziers, Yerres, Perpignan, Barneville-Carteret, Fresnay-sur-Sarthe, Salbris…), Véronique Besse, maire des Herbiers (Vendée), a pris un arrêté de réouverture des petits commerces “non essentiels” de sa ville. Elle explique ses raisons au micro de Boulevard Voltaire. « Il y a aujourd’hui moins de risques d’aller dans un petit commerce de proximité que dans une grande surface ! »