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Délit d’opinion : le collaborateur du maire d’Evreux est viré au bout de 4 jours
Le maire LR d’Evreux Guy Lefrand avait besoin d’un nouveau collaborateur de cabinet. Formé à l’Institut Catholique Enseignement Supérieur, proche du sénateur LR Bruno Retailleau, ancien chef de cabinet de Brigitte Barèges (maire de Montauban), Antoine Vermeulen a commencé le vendredi 17 décembre.
C’est avec enthousiasme et détermination que je rejoins la @VilleEvreux à l’approche de #Noël
Je viens de rejoindre le Cabinet du Maire @G_Lefrand pic.twitter.com/2Z8scNbrDf— Antoine Vermeulen (@TonioVermeulen) December 17, 2020
Proche de Sens Commun, de la Manif pour tous, membre des Homen vendéens, militant pro-vie, le nouveau collaborateur du maire d’Évreux a été rapidement licencié. Le maire Guy Lefrand, pris à partie par les terroristes intellectuels du PS et LREM, a réagi dans un très bref communiqué :
« Suite à la découverte de publications antérieures à sa prise de fonction et ne correspondant pas aux valeurs de notre collectivité, il a été immédiatement mis fin au contrat d’Antoine Vermeulen ».
Emmanuel Camoin, conseiller régional RN et ex-conseiller municipal, a écrit sa « surprise » d’apprendre la mise à l’écart d’Antoine Vermeulen « sous le prétexte extraordinaire qu’il aurait des idées proches de celles du Rassemblement national (…) Son délit d’opinion n’est pas politiquement correct. » Emmanuel Camoin reproche à Guy Lefrand d’accepter « de se soumettre et nous ne saurons jamais si M. Vermeulen était compétent ou pas. »
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Pourquoi la FCPE, comme l’UNEF et bien d’autres, flirtent avec le communautarisme
Vous vous souvenez de la polémique suscitée, en septembre 2019, par une affiche de la FCPE représentant une mère voilée, avec cette légende provocatrice : « Oui, je vais en sortie scolaire, et alors ? » L’association de parents d’élèves avait assumé son affiche, se défendant de tout clientélisme. L’un des dirigeants de la FCPE, croyant se justifier, avait assuré que ladite affiche « faisait partie d’un lot dans le cadre du matériel électoral en vue des élections », ajoutant qu’il appartenait aux sections « de choisir ensuite les affiches à diffuser en fonction des réalités de terrain ». Paradoxalement, il cautionnait ainsi l’accusation d’une dérive communautariste.
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Du bon usage de l'Histoire, par Frédéric de Natal.
Quand le roi Louis XVI se faisait vacciner, ainsi que ses frères, futurs Louis XVIII et Charles X...
A chaque siècle, ses anti et pro-vaccins. Alors qu'il est très probable que nous soyons de nouveau reconfinés après les fêtes, certains pays comme l'Italie, le Royaume-Uni, l'Italie, la Suède, l'Autriche, l'Allemagne (et ce matin la fermeture des frontières aériennes aux Pays-Bas), ayant déjà pris des décisions en ce sens, les français se déchirent sur ce fameux vaccin qui est censé mettre fin à la pandémie de Covid-19.
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Saint-Just (63): trois gendarmes intervenant pour des violences conjugales tués par arme à feu
Trois gendarmes qui intervenaient pour des faits de violence conjugale ont été abattus par un homme de 48 ans dans un hameau isolé près de Saint-Just (Puy-de-Dôme), a annoncé le parquet de Clermont-Ferrand ce mercredi matin. Un quatrième fonctionnaire a été blessé. Les militaires tentaient de porter secours à une femme ayant trouvé refuge sur le toit d’une maison, à laquelle le forcené a mis le feu.
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Nous sommes la PREMIÈRE LIGNE !
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Julius Evola et Mircea Eliade : une amitié oubliée 3/3
Si le chercheur universitaire peut avoir été “déformé” et “contaminé”, si le chercheur Eliade a éloigné le chercheur Evola de sa propre production scientifique, tout en ayant accueilli ses propositions, suggestions et hypothèses, il n’en fut pas ainsi par contre pour Eliade narrateur. La narration est une activité qu’il plaçait avant celle d’historien des religions et pour laquelle spécifiquement il aurait voulu qu’on se souvienne de lui et qu’on l’apprécie, se gagnant une telle réputation de pouvoir aspirer au Prix Nobel — comme me le dit dans les années septante Mircea Popescu (le premier traducteur de Cioran en italien).
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Le PCF en son centenaire honteux
On s'achemine, dans les jours qui viennent, vers une évocation certainement urticante, des travaux du congrès du parti socialiste à Tours en 1920. La majorité des délégués y décida, au terme de 4 jours de débats, du 25 au 28 décembre, de transformer cette organisation en Section française de l'Internationale communiste créée à Moscou par Lénine en 1919.
L'appellation unique de PCF, parti communiste français, qui subsiste aujourd'hui encore, ne se substitua définitivement à celle de SFIC qu'en 1943. Il ne s'agissait pas d'un quelconque camouflage pseudo-patriotique, comme on l'entend si souvent affirmer, mais en application de la décision de Staline lui-même de dissoudre le Komintern.
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« La Révolution du désir a remplacé le désir de la Révolution »
Alain de Benoist est l’un des meilleurs analystes de notre évolution politique et sociale. Il nous offre ici une tentative de description précise d'un système qui repose avant tout, dans l’ensemble du monde occidental, sur un individualisme exacerbé.
On parle aujourd'hui beaucoup du « Système ». Mais d'où vient ce mot et qui l'a employé le premier dans un sens politique ?
Historiquement, on pourrait faire remonter l'usage politique du terme à 1719-1720, lorsque les quatre frères Paris mirent un terme au « système de Law », c'est-à-dire au « système » imaginé par le financier d'origine écossaise John Law visant à remplacer, pour faciliter le commerce, les espèces métalliques par du papier-monnaie. L’événement fut assez marquant pour que Littré, dans son dictionnaire, définisse encore l’« antisystème » comme un « système financier opposé au système financier de Law ».
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Mesures de rétorsion envers ceux qui refusent le vaccin : Marion Maréchal met en garde contre le projet liberticide du gouvernement
Dans un tweet publié lundi 21 décembre au soir, la directrice l’ISSEP Lyon a partagé le projet de loi de l’Assemblée nationale présenté par Jean Castex.
Un « projet de loi instaurant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ». C’est le titre du projet de loi enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale lundi 21 décembre au soir. Long de plusieurs pages et riche de nombreux articles, il prévoit de se substituer à la « caducité » du cadre législatif instauré en théorie jusqu’au 1er avril 2021 et semble-t-il de « faire face à l’épidémie de Covid-19 avec un système pérenne dotant les pouvoirs publics de moyens adaptés pour répondre à l’ensemble de situations sanitaires exceptionnelles ».