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  • Dictature sanitaire et passeport vaccinal, le plan Macron – JT du mardi 22 décembre 2020

    Au programme ce soir, la nouvelle charge du gouvernement contre les libertés. Lundi, le premier ministre, Jean Castex, a tranquillement proposé un projet de loi en lecture accélérée, bouleversant les équilibres institutionnels. Le texte consacre également une forme d’obligation vaccinale déguisée… Maître Fabrice di Vizio, avocat du professeur Raoult et spécialiste des questions de santé répondra à nos questions dans cette édition.

    Nous reviendrons également sur ces plaintes de l’Ordre des Médecins à l’encontre des professionnels de santé, dont les Professeurs Raoult et Perronne et le Docteur Delépine, qui ne cèdent pas au sanitairement correct.

    https://www.tvlibertes.com/dictature-sanitaire-et-passeport-vaccinal-le-plan-macron-jt-du-mardi-22-decembre-2020

  • DE NAPOLÉON À LOUIS XVIII

    En 1814, Talleyrand gagne le tsar au retour des Bourbons.

         Le 31 mars 1814, il y a deux cents ans, Alexandre Ier, tsar de toutes les Russies, entrait dans Paris en vainqueur. La veille encore, on s’était battu à Pantin et à Montmartre. C’était la fin de la campagne de France. Deux mois durant, Autrichiens, Prussiens, Russes, Britanniques et Suédois avaient affronté un Napoléon qui avait retrouvé l’énergie et le génie stratégique de sa jeunesse, comme le rappellent les témoignages réunis par l’historien Jean-Joël Brégeon (1). Vaincus à Montmirail, à Champaubert, à Montereau et à Reims, les coalisés l’avaient quand même emporté, leurs troupes ayant pour elles le nombre et l’expérience, et la volonté d’en finir, tandis que l’Empereur s’était battu avec les débris de la Grande Armée et des conscrits inexpérimentés, et que la lassitude pointait dans un pays qui, à l’issue de vingt années de guerre, aspirait à la paix.
         La suite n’était pas écrite d’avance : les souverains alliés n’étaient pas d’accord entre eux sur le sort à réserver à la puissance occupée. Talleyrand, ancien ministre des Relations extérieures, désormais brouillé avec Napoléon, estime que le rétablissement des Bourbons serait accepté par les vainqueurs comme par les Français, une fois leurs réticences dissipées. Le diplomate commence par en convaincre le tsar qui loge chez lui, rue Saint-Florentin, tout en lui exposant que cette nouvelle orientation politique ne doit pas émaner de l’étranger. Le 3 avril, le Sénat vote donc la déchéance de Napoléon et, deux jours plus tard, fait appel au comte de Provence (Louis XVIII), qui est invité à devenir « roi des Français (…) par le voeu de la nation ».
         Talleyrand a imposé une solution française, mais Alexandre Ier s’y est rallié, et amènera les autres souverains à cette solution, parce que le tsar, homme des Lumières, a reçu l’assurance que la Restauration ne serait pas la restauration de l’Ancien Régime. Cet épisode est connu, mais Marie-Pierrre Rey, une spécialiste de la Russie, l’éclaire d’un jour nouveau (2). C’est un paradoxe : l’institution d’une monarchie libérale, en France, en 1814, a été rendue possible par la rencontre du Diable boiteux, qui avait servi tous les régimes, et du tsar, qui était un autocrate.

    Jean Sévillia

    (1) Histoire de la campagne de France. La chute de Napoléon, de Jean-Joël Brégeon, Perrin, 400 p., 21 €.

    (2) 1814. Un tsar à Paris, de Marie-Pierre Rey, Flammarion, 332 p., 22 €.

    https://www.jeansevillia.com/2015/04/11/de-napoleon-a-louis-xviii/

  • Les éoliennes transforment tous les paysages en sites industriels

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    Propos recueillis par Eugénie Bastié

    Le philosophe et académicien, Alain Finkielkraut, qui plaide pour une « écologie poétique », explique pourquoi il est fermement opposé à l’implantation d’éoliennes qui détruisent la beauté des paysages français.

    Le Figaro. Tout en exprimant son attachement au nucléaire, Emmanuel Macron a réaffirmé son souhait de développer l’éolien en France pour augmenter nos capacités en énergies renouvelables. Que vous inspire ce choix du président de la République ?

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  • Maître CARLO BRUSA de Reaction 19 Bras de fer et vaccin covid à ARN messager

  • Perronne, Fourtillan…Y a-t-il un acharnement contre ces professeurs ?

    Christian Perronne

    Serait-ce du complotisme de ma part que de remarquer que tous ceux qui ne sont pas d’accord sur les mesures prises par le gouvernement pour lutter contre le Covid-19 sont accusés de complotisme et méritent d’être dénoncés comme tels ? Qu’ils soient d’éminents professeurs de médecine reconnus par la communauté internationale pour leurs travaux ou de simples citoyens ?

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  • Pourquoi Emmanuel Macron pourrait instaurer la proportionnelle aux prochaines législatives…

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    , ou la volonté de survivre. Depuis 2017, rien ne s’est passé tel que cela avait été pourtant prévu par le premier cercle des marcheurs. Il entendait alors « moderniser la France », comme on dit ; soit la gérer comme une simple entreprise avec, en lieu et place de gouvernement, une sorte de conseil d’administration. Après la fin de l’Histoire, celle de la politique ? À l’instar de la première, cette dernière s’est tôt rappelée à son bon souvenir.

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  • Trafic de drogue : la France compterait aujourd’hui 3952 points de deal, selon Le Parisien

    Selon les chiffres révélés en exclusivité par le Parisien, la France compterait aujourd’hui 3 952 points de vente de drogue. Un chiffre hallucinant qui confirme l’ampleur de la tâche dans la bataille contre les stupéfiants, que les forces de l’ordre entendent mener, de l’international jusqu’aux aux halls d’immeuble.

    Source: Le Parisien

    https://www.tvlibertes.com/actus/trafic-de-drogue-la-france-compterait-aujourdhui-3952-points-de-deal-selon-le-parisien

  • Quand la gauche américaine devient folle

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    C’est insensé mais cela fait des années que ça dure, la gauche française -  de l’extrême à la plus soft -  n’en finit pas de sucer le sang de ce qu’il y a de pire aux Etats-Unis, à savoir son humanisme de pacotille et son intellectualisme dévitalisé. Dernière facétie en date, la « cancel culture » - autrement dénommé « woke » - qui consiste essentiellement à culpabiliser l’Homme Blanc bénéficiaire de tous les privilèges. C’est aussi un processus de désintégration sociale mené par les minorités raciales – auxquelles collaborent les idiots utiles que sont les nombreuses personnalités blanches anti-Trump - et qui consiste à exclure de l’espace public toute personne jugée raciste, homophobe ou sexiste. Et cela en s’appuyant sur la puissance des réseaux sociaux. La gauche française, exsangue depuis belle lurette, tente d’importer ces modèles qui frisent souvent la délation et un anti-racisme qui masque mal un racisme virulent. Eugénie Bastié et Laure Mandeville, du Figaro, ont mené l’enquête.

    A lire ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/12/22/quand-la-gauche-americaine-devient-folle-6285852.html

  • Saint-Nicolas : Paris vaut bien une messe !

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    Entretien avec Jacques-Régis du Cray

    Jacques-Régis du Cray est historien du mouvement traditionaliste, réalisateur d'un film remarqué sur la vie de Mgr Marcel Lefebvre. Il a bien voulu répondre à nos questions alors que l’on fête le 40e anniversaire de la « prise » de Saint-Nicolas du Chardonnet.

    Qu'est-ce qu'évoque pour vous la « prise » de Saint-Nicolas du Chardonnet ?

    En 1977, je n’étais pas encore né. Par conséquent, même si j'ai grandi à l'ombre du clocher de Saint-Nicolas du Chardonnet, je n'ai connu ce qu'il est convenu d'appeler la « prise » que par les récits de ceux qui l'ont vécue. D'après ces témoignages et, au-delà du caractère mouvementé de ce qui peut sembler constituer une occupation, je parlerais davantage de restauration car, avant le 27 février 1977 l'église avait perdu son statut de paroisse et demeurait fermée une bonne partie de la semaine. Depuis ce jour-là, sa nef et ses confessionnaux ne désemplissent plus. Pour ses affectataires de fortune, cet événement a sans aucun doute marqué le début d'une espérance cruciale et la fin d'une errance à travers la capitale. La messe traditionnelle était littéralement interdite et les séminaristes qui souhaitaient être ordonnés pour la célébrer systématiquement condamnés. Ce jour d'hiver 1977 les défenseurs du culte traditionnel ont à nouveau espéré.

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