Baisse de l'impôt sur le revenu en 2020, poursuite de la suppression de la taxe d'habitation en 2020 et 2021, revalorisations du minimum vieillesse, chèque inflation ou chèque énergie : toutes ces mesures ont contribué à augmenter le niveau de vie des bénéficiaires les plus aisés, et ont provoqué une légère hausse du taux de pauvreté. C'est ce que nous apprend une étude de l'Insee publiée mardi 22 novembre.
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L’accusation de néo-colonialisme lancée par la droite italienne à la France : à l’origine, le fiasco libyen
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Baby-foot, alcool, le délire culturel de la start-up. Adhérer aux valeurs « »fun & pro » de l’entreprise ».
Picoler le soir avec les collègues et boire comme des trous pour avoir l’air « cool » en jouant au baby-foot au lieu de travailler, et en prenant l’air doctement très occupé, voilà le quotidien dans les sociétés actuelles encore plus celles qui sont un peu « start-up ». Le seul qui comprenne le délire actuel c’est Elon Musk qui a viré l’essentiel des joueurs alcooliques de l’équipe de baby-foot de Twitter, et vous savez quoi ?
Twitter continue de fonctionner !
C’est dire la confusion qui règne dans les esprits.
Tenez, ce fait divers judiciaire illustre parfaitement ce que je veux vous dire.
« La Cour de cassation vient d’annuler en partie un licenciement suite au « comportement critique du salarié et son refus d’accepter la politique de l’entreprise basée sur l’incitation à divers excès » comme une alcoolisation excessive lors des pots de fin de semaine.
Un salarié qui ne participe pas à tous les apéros organisés par son employeur ou qui critique l’alcoolisation excessive des équipes lors de ces « moments de convivialité », ne peut être licencié pour cela ». -
Paris : un individu filmé en train de jeter les bouquets de fleurs et piller le reste des hommages laissés devant le Bataclan (MàJ : un migrant clandestin interpellé, une OQTF lui a été délivrée)
23/11/22
Il a été arrêté rue de la Roquette (XIe arrondissement) jeudi dernier. De nationalité indienne, il a dû être hospitalisé durant sa garde à vue. Il a ensuite été placé en centre de rétention administrative en vue de son expulsion.
(…) Avec cette vidéo en poche, les policiers du XIe obtiennent l’accord du parquet de Paris pour aller plus loin et lancer une enquête qui passe par une analyse de la vidéo. L’idée est d’isoler tous les éléments qui peuvent permettre l’identification de l’homme.
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L’Europe perd lamentablement la guerre des sanctions
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Lyon : les parents sont inquiets de la présence de prostituées, de dealers et de toxicomanes près des terrains de jeu pour enfants. La mairie EELV réagit en proposant un brise-vue végétalisé.
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Cet autre « Pas d’amalgame ! » qui les gêne tant !
La chronique de Philippe Randa
À défaut de gagner des élections, qu’elles soient politiques ou syndicales, syndicats, partis de gauche et associations diverses, variées et surtout politiquement très correctes n’aiment rien tant que battre le pavé parisien.
« Ça les occupe, c’est toujours ça ! », commentent certains en haussant les épaules… « Ah ! bon ! et alors ? », font écho d’autres, tout aussi blasés et les uns et les autres sont sans doute davantage préoccupés par leurs futurs réveillons de fin d’année : foie gras, crustacés et bûches glacées pour ceux de la France d’en haut… ou pâté Henaff, saucisses frites et glace à l’eau pour ceux de la France d’en bas, sommés de traverser la rue pour trouver du travail et de payer l’essence sans geindre.
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Louis XV, côté cour, côté jardin, avec Hélène Delalex
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Saint-Côme-du-Mont (50) : le maire macroniste accusait les Zemmouristes d’avoir incendié sa voiture et son garage. Il est convoqué ce matin pour dénonciation de délits imaginaires. La presse et la classe politique avaient relayé ses élucubrations. (MàJ)
23/11/2022
Bernard Denis, le maire de Saint-Côme-du-Mont, est attendu ce mercredi 23 novembre à 10 h 30 au tribunal de Coutances, à l’audience pour reconnaissance préalable de culpabilité.
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Depuis un peu moins d’un an, Bernard Denis ne cesse de faire parler de lui. En décembre 2021, son domicile avait été pris pour cible. Son garage et sa voiture avaient été incendiés. Un acte signé d’un tag sur le mur de sa maison : « Le maire soutient Macron ! Zemmour (avec un M) président ».
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Le collectif Némésis piège les féministes wokistes en défilant en « fausses islamistes »
L’incohérence du néoféminisme vis-à-vis de l’islam politique
Lors de la manifestation féministe #NousToutes, place de la République samedi 19 novembre à Paris, le collectif Némésis s’est infiltré dans le cortège en niqab, burka et hijab. Pour ces militantes identitaires, l’objectif était de dénoncer « l’incohérence du néoféminisme vis-à-vis de l’islam politique ».
Voici comment la presse rapporte les faits :
Un groupe de femmes fend la foule place de la République. Elles sont vêtues de voiles, de tenues amples et de masques noirs dans le but d’imiter les niqab, ces tenues masquant intégralement le corps des femmes et leur visage, interdites en France depuis 2011. Sur les photos [Voir ci-dessus] largement relayées sur les réseaux sociaux, elles brandissent des pancartes aux slogans provocateurs : « Féministe et islamiste », « ma burqa, mon choix » ou encore « mon coran, mes lois ».