
Vincent Lapierre: « Ce reportage est fou. Il montre des racailles en roue libre : vol, violence, trafic, sans aucune crainte de la police ou de la justice. Pourquoi se gêner, puisque la France est faible ? »
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Vincent Lapierre: « Ce reportage est fou. Il montre des racailles en roue libre : vol, violence, trafic, sans aucune crainte de la police ou de la justice. Pourquoi se gêner, puisque la France est faible ? »
Homme politique, diplomate, voyageur, polémiste, François René, vicomte de Chateaubriand, est considéré comme l’un des plus grands écrivains français dont le style éblouissant a été unanimement reconnu. On a critiqué cependant la versatilité politique, voire l’opportunisme, de celui qui proclamait : «Gentilhomme et écrivain, j’ai été bourboniste par honneur, royaliste par raison et républicain par goût.» Il n’en reste pas moins une des figures majeures et incontestées du romantisme.
Cher Monsieur Macron,
Comme quelques millions de Français qui avaient délaissé leur fourneaux pour venir, en direct, recevoir vos vœux de bonne et heureuse année pour la France, j’étais hier soir devant ma télé à 20 heures pétantes.
Quand le Président entre nos foyers, c’est pour un partage d’intimité, alors je m’autorise à parler un instant de votre santé. Je vous ai trouvé petite mine, le teint jaunâtre. Surtout, vous étiez aussi tendu que votre veston (un gilet pare-balles, peut-être ?). On vous sentait crispé, mal à l’aise dans l’exercice, la voix un peu forcée et l’enthousiasme surjoué. Vous qui avez pratiqué le théâtre dans le cours de Mme Trogneux, vous savez de quoi je parle : on n’est pas toujours à l’aise dans son rôle. Il y a des jours avec et des jours sans. Hier soir, c’était sans.
La secrétaire générale de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), Rebeca Grynspan, a été contrainte de reconnaître que les États-Unis et l'Union européenne utilisent le discours sur la "transition verte" comme une excuse pour stimuler leurs propres économies aux dépens des pays en développement, en tirant parti des subventions et du protectionnisme environnemental.
Il serait lassant pour vous que je dise à nouveau ma sainte horreur de ces inventaires de fin d'année, de cette sélection rétrospective qui essaie de dégager les meilleurs moments de l'année passée et d'honorer les quelques personnalités qui l'ont illustrée. Un zeste sadique, j'avais formé le projet de transgresser les règles du jeu et de faire le classement de ceux (en français : hommes et femmes) dont on avait trop parlé et je ne doute pas que ma liste aurait été bien remplie.
Toujours émanant de National Interest cet article sur les alliés de l’axe, les Italiens. Après la Deuxième Guerre Mondiale, toute ma petite enfance a été ainsi bercée par le récit du manque de combativité des armées italiennes. Leur absence de performance était attribuée à une sorte de trait culturel propre aux Italiens, peu enclins aux exploits guerriers. Mais l’analyse faite ici de leur absence de formation et surtout de motivations puisqu’il est clairement exprimé que ces paysans auraient préféré fraterniser avec les Russes que renforcer les arrogants Allemands se prenant pour la race d’élite. Si les Roumains ont laissé en Union Soviétique des souvenirs déplorables, accusés de pratiquer exécutions de juifs et communistes, les Italiens se montraient plus proches des populations. Ce texte est donc peut-être pour qui sait lire entre les lignes une manière d’hommage. (note de danielle Bleitrach)