Ce 12 avril, Raphaël Glucksmann et Jordan Bardella débattaient sur France Inter. Certes, la puissance invitante n’est pas d’une neutralité exemplaire. Mais si le service public était au service du public, cela se saurait depuis longtemps.
Il en faut évidemment plus pour désarçonner le président du Rassemblement national. Ce, d’autant plus que la tête de liste de Place publique n’est pas ce qui se fait de pire à gauche. Comme on dit, dans les derniers bistrots de nos campagnes : « Ce n’est pas le mauvais gars, même si on voit bien qu’il n’a pas inventé le bidon de deux litres… »