Un nouveau rapport très instructif du Conseil de sécurité (CS) circulant aujourd'hui au Kremlin note pour la première fois que le président Poutine a révélé : « Les frappes sur les installations énergétiques en Ukraine font partie du processus de démilitarisation », a-t-il ensuite observé à propos du soi-disant sommet de paix en Ukraine que les puissances coloniales socialistes occidentales tiendront en Suisse les 15 et 16 juin, ce qui exclut la Russie : « Ils pensent que nous n'avons rien à faire là-bas, et en même temps ils disent que rien ne peut être résolu sans nous... Et comme nous n’y allons pas, c'est devenu une sorte d'absurdité... Ils disent que nous refusons de négocier... Nous ne sommes pas invités, mais ils disent que nous refusons ».
Conformément aux dispositions de l'article 51 de la Charte des Nations Unies sur la légitime défense, que la Russie a invoquées le 24 février 2022 pour lancer « l'opération spéciale de dénazification » pour la libération et la démilitarisation de l'Ukraine, note ce rapport, l'ambassadeur représentant permanent de la Russie aux Nations Unies, Vasily Nebenzy, a notifié hier au Conseil de sécurité des Nations Unies :