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anti-national - Page 943

  • L'incroyable décision de l'UE concernant les allocations familiales...

  • Les verts « niquent Mamère » mais pas seulement – Un parti de moins en moins durable

    Noël Mamère a toujours été gauchiste, ce qui est son droit. Homme des médias, il a pensé que, quant à faire de la politique, la filière verte était la plus durable, politiquement présentable et la plus médiatique aussi. Et cela a été vrai. Analyse de journaliste politique qui s’est avérée fausse sur la durée. Il a sous-estimé les rivalités de personnalités politiques en permanence au bord de la crise de nerf et l’appétit pour le pouvoir des faux révoltés du système. “J’ai décidé de quitter EELV parce que je ne reconnais pas le parti que j’ai représenté à la présidentielle de 2002, explique-t-il. Notre parti ne produit plus rien : il est prisonnier de ses calculs et de ses clans. Nous sommes devenus un syndicat d’élus“.

     

    Remarquable retour de lucidité. Il n’a pas accepté les conditions dans lesquelles le secrétaire national d’EELV, Pascal Durand, a été poussé vers la sortie. Celui qui se voulait être le rassembleur entre les Verts et Europe Ecologie n’aura finalement pas tenu plus d’un an et dénonce aujourd’hui “le nombrilisme” de certains, accaparés par des “enjeux de pouvoirs”. “Les vrais patrons sont ceux qu’on appelle « la firme » : Cécile Duflot et ses amis. Même si elle est une bonne ministre, elle n’a pas lâché la direction des Verts“, accuse le député-maire de Bègles.

    Daniel Cohn-Bendit s’est joint aux critiques du député-maire de Bègles. “Je comprends la décision de Noël Mamère. Je partage le ras-le-bol sur le fonctionnement, le clanisme, les couples terrifiants qui règnent sur Europe Ecologie“, a déclaré sur Europe 1 le député européen, qui a pris ses distances avec le parti depuis longtemps.

    Denis Baupin, vice-président de l’Assemblée nationale n’est pas sur cette ligne. L’incompréhension anime l’élu parisien: « Je respecte beaucoup les combats qu’a menés Noël, mais là, il se trompe de combat. On participe au gouvernement, Noël dit que nos électeurs ne sont pas d’accord, mais dans tous les sondages 90 % assurent qu’ils veulent qu’on reste, qu’on pèse, qu’on ne parte pas en vacances », a-t-il asséné.

    Enfin Mamére n’aura pas de mal a se recaser. Anne Hidalgo, candidate socialiste à la mairie de Paris, a sauté sur l’occasion pour plébisciter l’« ancienne » figure d’EELV. « si Noël Mamère veut venir au PS, les portes lui sont grandes ouvertes », a-t-elle posté. Jean-Luc Mélenchon s’est empressé de twitter « Bienvenue à Noël Mamère au club des sans muselière ! ».

    Club des sans muselières peut-être… mais dans le cas de Mélenchon toujours prêt à mordre c’est peut-être imprudent. Mamère lui aboie depuis longtemps sans montrer vraiment les dents. Il peut cependant changer d’attitudes et il est assez habile dans l’expression et les formules assassines. Duflot devrait se méfier.

    Au ministère du logement de la rue de Varenne, on encaisse les coups. «Franchement, on ne s’attendait pas à une telle salve», glisse un conseiller. De son bureau, Cécile Duflot est-elle toujours aux manettes du parti dont elle a été la patronne? Son pouvoir d’influence est en tout cas réel. Au soir de l’éviction de la ministre de l’Ecologie, Delphine Batho, Duflot avait ainsi convoqué les dirigeants écolos par texto pour définir la marche à suivre. Selon certains cadres verts, l’éviction de Pascal Durand, qui a confirmé qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat, est une façon pour la ministre de reprendre la main sur son parti qui se réunira en Congrès en novembre. La ministre serait fatiguée de voir certains critiquer l’alliance gouvernementale entre socialistes et écologistes. Durand n’a pas nommé directement l’ancienne secrétaire nationale mais estime avoir été victime de «cuisine interne».

    D’autres dirigeants écolo légitiment l’influence persistante de Duflot. «Après tout, c’est aussi elle qui a permis à ce parti d’avoir un groupe à l’Assemblée, un groupe dont fait d’ailleurs partie Noël Mamère. Elle est ministre, ce leadership est naturel».

    Mais chez les écolos cela fait longtemps que plus rien vraiment n’est hélas pour eux, naturel.

    Raoul Fougax http://fr.novopress.info

    Source : Metamag.

  • Travailler et consommer le dimanche : pourquoi ? Pour qui ?

    Un nouveau casse-tête pour  François Hollande et Jean-Marc  Ayrault : quatorze magasins de bricolage Castorama et Leroy Merlin  viennent de braver  l’interdiction d’ouvrir le dimanche prononcée  par la justice. Pour  « faire évoluer les choses »,  le Premier ministre réuni aujourd’hui  les  « (huit) ministres concernés » par  le dossier du travail dominical.  Dans les faits, des   groupes de la grande distribution (Décathlon, Galeries Lafayette, Boulanger,  Fnac…)  ont depuis longtemps obtenu là où c’est possible et/où dans les périodes données,   l’accord des salariés désirant travailler le jour du seigneur. Un sujet sur lequel la gauche  et ses représentants gouvernementaux sont incapables de parler d’une seule voix. 

     Les possibilités de travail  du dimanche et de travail de nuit ont  été étendues, sous certaines conditions et dans  certaines zones,    pour la première fois  par la  précédente majorité UMP.   Aussi, Sylvia Pinel (ministre délégué auprès du ministre du redressement productif, chargée de l’artisanat, du commerce et du tourisme)  et Bernard Cazeneuve (ministre délégué au Budget)   ont déclaré que  s’ils étaient opposés à une généralisation, ils  ne sont   pas hostiles à des discussions, comprendre à de nouveaux aménagements et dérogations. Bref à une généralisation qui ne dit pas son nom…

     « Il y a des salariés qui ont envie de travailler dimanche, des gens qui ont envie de faire leurs courses le dimanche » ;  « le précédent gouvernement a laissé s’empiler des règles, des lois, à l’arrivée, on n’y comprend plus grand-chose » ;  «  à l’évidence le statu quo n’est pas tenable » a affirmé hier sur France 5  le  ministre des Affaires sociales Marisol Touraine.

     La veille, Benoît Hamon et Christiane Taubira ont opposé une fin de non-recevoir catégorique  à un assouplissement de la législation sur le travail du dimanche. Une  position voisine de celle du ministre du Travail Michel Sapin, défavorable à toute évolution législative sur le travail dominical et le travail de nuit.

     Rappelons-le, la libéralisation du travail du dimanche -hors  les traditionnels commerces de bouche ouvert en général le dimanche matin-  était une promesse de campagne du candidat Sarkozy en 2007. Une promesse qui déboucha notamment sur la loi portant le nom du député UMP qui en était le rapporteur,  Richard Mallié,  qui ne clarifia pas la situation mais étendit  les ouvertures dominicales  dans les  zones à intérêt touristique et dans les zones urbaines, les périmètres urbains d’usage de consommation exceptionnelle (PUCE).

     A dire vrai, ce sujet est rarement appréhendé sous toutes ses facettes. A priori,  la position de principe du FN consiste à laisser la liberté de choix aux Français.  Une liberté qui ne doit pas être cependant celle du renard dans le poulailler, en ce qu’il s’agit de concilier cette liberté de travail avec les droits des salariés.

     Marine Le Pen  le relevait en janvier 2007,  «les Français  doivent avoir la liberté de travailler mais la contrepartie c’est qu’ils soient bien payés. Moi je veux bien entendre les arguments consistant à évoquer la vie de famille. Mais si la vie de famille c’est se regarder en chien de faïence pour partager un poulet divisé en douze je ne suis pas du tout sûre que ce soit ce que les Français attendent. Laissons dans ce domaine comme dans d’autres, la liberté aux Français ». Mais cette « liberté » notent  aussi Bruno Gollnisch et la présidente du FN,   ne doit pas être  instrumentalisée  par un  lobby  de la  grande distribution  qui sait se faire entendre dans les allées du pouvoir  et qui jouit de complicités au sein de nombreux exécutifs municipaux…

     Beaucoup de spécialistes soulignent que  l’ouverture sept jours sur sept des magasins  ne saurait avoir un impact sur la relance de la consommation, sachant que le salaire des consommateurs reste le même et que la somme d’argent qui est dépensée sur six jours  le  sera désormais simplement sur sept…

     Il est tout aussi  certain qu’une généralisation de l’ouverture le dimanche des grandes enseignes aurait surtout  pour effet de  poursuivre la destruction des dizaines de milliers  emplois dans le petit commerce. Sous le gouvernement du calamiteux Jean-Pierre Raffarin,   Patrick Devedjian, alors ministre  délégué  aux libertés locales (2002-2004)  puis ministre  délégué à l’économie (2004-2005),  avait lancé  une offensive en faveur du travail dominical. Il estimait que l’extension des dérogations  créerait « entre 10 000 et 15 000 emplois ».

      L’Union des professions artisanales, la fédération du commerce CFTC, avaient battu en brèche les arguments avancés,  relevant  que cette généralisation serait surtout catastrophique  pour les  petits commerçants et artisans qui n’ont pas  les moyens d’ouvrir sept jours sur sept, et de fragiliser des employés qui deviendront le dimanche des « volontaires forcés ».

     Commerçants et artisans victimes  des ouvertures illégales, des promotions mirobolantes des hypermarchés. Mais aussi   du « désintérêt d’une grande partie de la classe politique »,  de « l’insécurité juridique dans les banlieues où l’on ne pratique pas la tolérance zéro pour les délits économiques comme les ouvertures illégales le dimanche »…

     Aussi,  derrière les arguments   consistant paraît-il  à offrir « le choix » de leur mode de consommation aux Français, cette  prime offerte aux grandes chaînes  s’apparente  à une attaque en règle  contre les travailleurs indépendants, les  commerçants et artisans. Une offensive   d’autant plus illégitime  que les commerces de proximité, au-delà du rôle économique qui est le leur,  contribuent  notamment à maintenir de la vie, des échanges, une animation dans les villages comme dans les quartiers des grandes villes.

     Il y a quatre ans, le conseiller  régional FN de l’Isère, Maurice Faurobert avait apporté son soutien aux employés du magasin  Casino à Vézeronce contre le travail dominical.  « Mon dimanche c’est aussi ma famille, mon repos, ma liberté de vivre pour autre chose que pour l’utopie mercantile du toujours plus ! ».

    Marine Le Pen dénonçait ce matin sur France bleue  les comportements de prédateurs de la grande distribution,   cette  « idéologie ultra libérale » à  laquelle s’est ralliée également le PS  qui entend faire de nous « en tout temps en toute circonstance et en tout lieu »,  « des producteurs  et des consommateurs ».

    Soulignons que si le droit européen qui s’impose en France  prévoit un jour de repos hebdomadaire,  le dimanche n’est pas spécifiquement désigné comme étant ce jour  chômé. Cela n’a pas échappé  à Pierre Blanc, auteur il ya dix ans  d’un rapport favorable à l’ouverture des magasins le dimanche,  avec  le  soutien de la Chambre de commerce de Paris et de M Devedjian. Il expliquait que  « la légitimité du repos dominical se base sur la tradition chrétienne. Or pour les musulmans, c’est le vendredi et pour les juifs, le samedi. Pourquoi ne pas laisser le choix au commerçant ? »…

    On l’aura compris relevait Bruno Gollnisch,    au-delà de toute considération matérielle, c’est le symbole même du dimanche, sa résonance au sein de notre civilisation,  qui est menacé.   Encore un verrou à faire sauter pour les  personnes qui voient dans les traditions, les us et coutumes français, un frein insupportable à l’avènement  d’une société où les individus seraient réduits au simple rôle de consommateur déraciné et interchangeable.

    http://www.gollnisch.com/2013/09/30/travailler-consommer-dimanche/

  • Le milliardaire homosexualiste favorable à la commercialisation du ventre des femmes attaque Le Salon Beige !

    Pierre Bergé attaque Le Salon Beige

    " Nous avons reçu le courrier ci-dessous de l’avocat de Pierre Bergé.

    Après consultation de notre avocat, nous maintenons que ce post n’a rien de juridiquement répréhensible.

    Par conséquent, nous refusons de retirer cet article malgré les menaces contenues dans ce courrier. Si problème il y a, il est de nature idéologique et nous assumons sans difficulté le fait de ne pas partager l’idéologie de M. Bergé. En attendant des questions plus circonstanciées, nous ne commenterons pas davantage cette affaire (raison pour laquelle - à notre grand regret - nous avons dû bloquer aussi les commentaires à cet article), mais nous nous tenons à disposition de M. Bergé pour poursuivre cette conversation devant les tribunaux. J’ajoute qu’ayant appris à lire les maîtres à penser des soixante-huitards, je considère, comme le peu regretté Président Mao, qu’ "être attaqué par l’ennemi est une bonne et non une mauvaise chose".

    Cela étant, être attaqué exige aussi de préparer la défense et la riposte : j’ai tout lieu de penser que le Salon Beige a atteint une notoriété qui inquiète la nomenklatura. C’est une excellente nouvelle, mais cela exige aussi de nous d’être prêts à répondre aux attaques et surtout cela exige de développer notre site pour qu’il gêne encore davantage ladite nomenklatura - et prépare la renaissance de la France catholique. Pour cela, je vous propose trois actions :

    1) Tout d’abord, chacun des lecteurs pourrait réciter une neuvaine à Marie, Reine de France, du 4 au 13 octobre - date à laquelle le Pape consacrera à nouveau le monde au Coeur immaculé de la Sainte Vierge. Nous avons vu dans l’affaire syrienne à quel point le jeûne et la prière pouvaient être efficaces. Pourquoi ne pas intensifier l’usage des "armes de re-construction massives" ?!

    2) Ensuite, chacun d’entre nous pourrait signaler à une personne de sa connaissance l’existence du Salon Beige. Si nous agaçons quand nous sommes un million de visiteurs, on peut subodorer que nous serons plus "agaçants" à deux millions ! [...]"

    La suite sur Le Salon Beige

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-milliardaire-homosexualiste

  • La destruction de la famille est au programme de tous les totalitarismes

    Au Sénat se tenait le 27 septembre un colloque sur la famille organisé par l’Institut Ethique et Politique Montalembert en partenariat avec Famille & Liberté et Valeurs 2 Gauche. Le thème en était : « La Famille est-elle naturelle ou culturelle ? » Christian Vanneste en dresse un compte-rendu :

    "Après un rappel pédagogique et sémantique de Jean-Noel Dumont rappelant le sens des mots : « culturel », « conventionnel », « arbitraire », « construction » qui encadrent conceptuellement le débat, le philosophe Bertrand Vergely nous a fait entrer brillamment dans le vif du sujet. Il a d’abord souligné la vacuité intellectuelle des arguments en faveur du mariage unisexe : « faut être tolérant », « ça se fait », « faut évoluer », qui outre qu’ils manquent totalement de tolérance envers les opposants, témoignent d’une parfaite ignorance de ce qui est essentiellement en cause. « Nous sommes dans la nuit de la société » a-t-il lancé. En écoutant ce penseur orthodoxe, je reconnaissais en lui, ce sens du retour à l’essentiel qui caractérisait les paroles et les textes de Benoît XVI. On parle de mariage et on oublie le lien de cette institution avec ce qu’il y a d’essentiel dans la société et chez l’Homme. La famille est le lieu privilégié de l’initiation. Après avoir rappelé les critiques de la Famille, qui de Diderot à Derrida, ont dénoncé la « construction » familiale, oppressante, conservatrice, ethnocentrique, idéologie du père-propriétaire, B. Vergely a habilement retourné le soupçon du discours idéologique. La destruction de la Famille est au programme de tous les totalitarismes. Les philosophies « adolescentes » qui promeuvent le désir plus que la responsabilité, en étant des apologies de la régression, sont les complices inconscientes de la soumission à l’Etat protecteur. Dans le fond, la critique de la famille est plus construite et idéologique que sa défense puisqu’elle vient à nier cette évidence que la nature impose la complémentarité des sexes pour que naisse un humain. Mais, la Famille possède aussi une dimension spirituelle. Celle-ci se condense dans l’idée de transmission. Le père est celui qui donne et protège la semence. La mère est celle qui la fait croître. Le père donne un nom à l’enfant et la mère un visage. Il deviendra un adulte au nom du père et aura confiance en lui parce qu’il aura été aimé. La filiation est cette identification de soi qui permet de rencontrer l’autre sans frustration ni ressentiment. Il n’y a pas de fraternité sans père ni mère. On pourrait bien sûr accuser notre philosophe d’ethnocentrisme, de généraliser « notre » conception chrétienne de la Famille. Il en est conscient et il assume. « Le Christianisme est une ontologie de la sexualité », c’est-à-dire cette lecture, certes relative, de la sexualité, mais qui révèle ce qu’a d’essentiel la sexualité humaine.

    Jean-Didier Lecaillon nous a ensuite fait redescendre sur les terres plus prosaïques, mais tout aussi nécessaires de l’économie. Evidemment, les politiques familiales sont indispensables. Apparemment, la Famille n’est pas un concept économique. L’économie n’envisage que des « ménages » destinés à consommer les produits des entreprises, et qui peuvent être des célibataires vivant seuls. En réalité, la Famille est avant tout un lieu de production indispensable. La Famille engendre des enfants, elle les éduque, transmet des valeurs et des modèles de comportement sans lesquels une société ne peut ni se développer, ni même survivre. C’est pourquoi la politique familiale ne peut-être une politique sociale, un instrument de redistribution. Il s’agit d’une politique en-soi, qui, comme l’ont pensé les industriels qui sont à l’origine des prestations familiales, rémunère des éducateurs essentiels pour une société, les parents. [Lire la suite]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Sur les questions de société, Hollande verrouille insidieusement le débat démocratique

    Président exécutif du SIEL, Administrateur du RBM

    hollande photo_officielleSans crier gare, le gouvernement Hollande vient de prendre deux initiatives peu spectaculaires certes mais dont les conséquences inédites risquent de mettre à mal l'avenir des libertés publiques en France.

    À l'occasion du renouvellement de sept des 39 membres qui composent le Comité consultatif national d'éthique (CCNE), le chef de l'Etat a décidé d'en changer 22 ! Outre l'ampleur de ce changement au sein d'une instance dont la mission est d'éclairer les pouvoirs publics sur les enjeux soulevés par les progrès de la science, il est frappant de constater le profil politique de nombre de ces nouveaux venus, marqués par leur proximité avec la gauche, à l'instar de l'avocat Jean-Pierre Mignard, ami personnel du locataire de l'Elysée ; dans le même temps, les représentants des différentes religions qui y siégeaient ont été évincés.... D'aucuns voient dans ce rééquilibrage politique la volonté du gouvernement de faire payer à cet organisme ses positions plutôt hostiles au mariage pour tous. En tous les cas, avec ce coup de barre à gauche, le gouvernement assure politiquement ses arrières alors que le CCNE est appelé à se pencher prochainement sur des dossiers particulièrement sensibles : PMA, fin de vie, don de sang par les homosexuels...

    Depuis plusieurs mois, le Haut Conseil à l'intégration ne peut plus fonctionner, faute de disposer d'un budget et d'être saisi par les pouvoirs publics pour émettre de nouveaux avis. On sait que cette instance officielle, chargée de réfléchir sur la question de l'intégration des étrangers en France, était dans le collimateur de l'Elysée depuis la diffusion en avril dernier d'un rapport controversé dans lequel le HCI préconisait l'interdiction du port du voile à l'université : cet avis avait soulevé à l'époque l'ire du Premier ministre et de Jean-Louis Bianco, président du nouvel Observatoire de la laïcité. Avec la fin programmée du HCI, qui disparaîtra au profit probablement d'un Observatoire de la laïcité plus accommodant, c'est une approche stricte de la laïcité, tournée vers un renforcement de la législation, qui est aujourd'hui éliminée.

    Ces deux instances ont déplu au gouvernement. Le gouvernement décide donc, en catimini, de les mettre au pas. Sur les questions de société, François Hollande a fait le choix, dans le plus grand secret, de verrouiller la composition et le fonctionnement des instances institutionnelles dont les avis sont de nature à peser sur le débat démocratique. Parce qu'elles portent manifestement atteinte à l'exercice des libertés démocratiques élémentaires, ces initiatives méprisables, toutes deux frappées du sceau du sectarisme idéologique, doivent être condamnées et dénoncées avec la plus grande vigueur.

    http://www.siel-souverainete.fr/actualite/366-sur-les-questions-de-societe-hollande-verrouille-insidieusement-le-debat-democratique.html

  • Supprimer le repos dominical, dans la veine de l'individualisme

    Dans sa destruction méthodique de la famille, le gouvernement ouvre un nouveau chantier, à l'occasion d'une affaire judiciaire défavorable pour certains commerces. Le ministre de la Santé Marisol Touraine a annoncé aujourd'hui que Jean-Marc Ayrault réunirait lundi "les ministres concernés" pour "faire évoluer les choses" dans le dossier du travail dominical, alors que 14 magasins de bricolage ont bravé l'interdiction d'ouvrir.

    "A l'évidence le statu quo n'est pas tenable". "Il y a des salariés qui ont envie de travailler dimanche, des gens qui ont envie de faire leur courses le dimanche", "le précédent gouvernement a laissé s'empiler des règles, des lois, à l'arrivée on n'y comprend plus grand chose".

    La petite évolution menée par le gouvernement Sarkozy sur le sujet (loi Mallié) a en effet ouvert la porte. Certains peuvent ouvrir le dimanche, d'autres non. C'est donc injuste et il faut y remédier. Comment ? Et bien en abandonnant le principe du repos dominical. CQFD.

    Le Collectif des amis du dimanche reprend dons ses activités :

    "L'actualité du dimanche est marquée par la volonté de Castorama et de Leroy-Merlin de s'affranchir de la légalité. En toute connaissance de cause, en l'occurrence le risque d'une amende qui paraîtra lourde au salarié de base (120.000 euros par magasin ouvert illégalement), ces deux enseignes ont choisi de braver les Lois de la République, avec un certain panache. [...]

    Force est de constater que la loi Mallié, source des difficultés présentes, est une loi de pure complaisance. A la base, elle a été conçue par le député éponyme pour résoudre le problème local de sa zone de Plan de Campagne, ouverte illégalement le dimanche. Idée de génie : pour supprimer le délinquant, il suffisait de légaliser le délit. M. Sarközy a enfourché ce cheval pour généraliser l'idée, et a contraint Mallié à revoir sa copie, pour aboutir au dispositif actuel des PUCE, dont chacun s'accorde à dire qu'il est illisible, et générateur de conditions déloyales de concurrence. Et nous défions quiconque – y compris M Gattaz – de prouver qu'il a été, en création nette, créateur d'emploi. Injuste, la loi Mallié est de plus inefficace.

    Dès lors, il semble que le premier devoir de l'Etat consiste à faire respecter la loi par les grandes enseignes, même si elle est injuste, au risque de créer un précédent fâcheux : une société dans laquelle chacun pourrait prendre ce qui l'arrange dans la Loi deviendrait vite invivable.

    Mais que le second devoir de l'Etat, tout aussi pressant, tout aussi indispensable, est l'abrogation pure et simple de la loi Mallié (ainsi d'ailleurs que du surréaliste amendement Debré à la LME, dit amendement ConfoKea), comme préalable à une simplification réelle du dispositif législatif encadrant le travail du dimanche, en s'appuyant sur des principes lisibles, équitables, s'appliquant à tous.

    "Il y a des magasins qui peuvent ouvrir tranquillement le dimanche et d'autres qui doivent demander des dérogations. Il serait bien que tout le monde soit logé à la même enseigne", a déploré une porte-parole de Castorama.

    Le respect du principe d'un repos hebdomadaire homosynchrone étant reconnu, il faut maintenir la plupart des dérogations de bon sens existant déjà (services publics, industries à feu continu, commerces alimentaires, etc), en le complétant par une clarification des dérogations supplémentaires, s'appliquant à tous les secteurs sans exception. Ainsi, il nous semblerait raisonnable de prévoir quatre week-end dérogatoires possibles par an, avec des salaires portés à 150%, comme cela existe déjà pour certains secteurs, pour prendre en compte les circonstances particulières de l'année nécessitant un “coup de bourre” (périodes de Noël, vendanges, soldes, etc.), ou l'activité touristique. [...]"

    Le Rouge et Le Noir ajoute :

    "Il est important de comprendre que si jamais est remis en cause le principe d’un jour commun chômé, c’est toute la société qui va s’en trouver modifier. Faire ses courses le dimanche ? Rien de grave en soi, sans doute. Mais qu’en est-il si le prix à payer est que les familles ne peuvent plus jamais avoir une journée ensemble parce que les écoles et les emplois de chaque parent ne ferment pas le même jour ? On aura, une fois encore, gagné une mince commodité matérielle et perdu une rencontre essentielle, vitale, pour la famille, chacun de ses membres et surtout, la société tout entière... Nous sommes déjà dans une société aux repères extrêmement fragilisés, où c’est désormais le relativisme qui prévaut. On le voit encore avec la récente adoption de la Loi Taubira. Car c’est ici, finalement, le même débat ! Une volonté individuelle doit-elle faire plier un fondement de notre vie en société ? Tout comme pour le mariage, on préfère gommer le caractère institutionnel du dimanche, pour n’en faire qu’un jour flottant, un jour absent. Faut-il sacrifier sur l’autel d’un gain matériel les fondements de ce qui reste de pacte social entre nous ? À force de dire que la liberté individuelle commande tout, comment peut-on envisager d’éviter de vivre dans une société une communautaire, et demain, pleinement individualiste ?"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Il faut riposter aux propos antichrétiens de Pierre Bergé !

        « Je suis pour la suppression intégrale de toutes les fêtes chrétiennes en France », déclarait hier soir Pierre Bergé sur les antennes de RTL France, dans l’émission « On refait le monde ». Des propos inadmissibles qui surviennent quelques jours après la provocation de Dounia Bouzar qui, à peine nommée à l’Observatoire de la laïcité par le Premier ministre, revendiquait la suppression de deux fêtes chrétiennes parmi les jours fériés reconnus par l’Etat et leur remplacement par Yom Kippour et l’Aïd. Ajoutez à cela les propos récurrents du ministre Vincent Peillon voulant « éradiquer » le christianisme en France et vous avez quelques indices d’une volonté manifeste de mener une nouvelle offensive antichrétienne avec le concours des plus hautes autorités de l’Etat et des puissances d’argent.

    La réaction des catholiques de France – ainsi que de toutes celles et ceux qui, ayant perdu la pratique de la Foi, n’en reconnaissent pas moins les bienfaits de la civilisation chrétienne – doit être sans appel et immédiate. Il faut stopper net cette surenchère destinée à accentuer la déchristianisation de la France.

    Que le changement de saison soit l’occasion de faire souffler un vent d’automne catholique ! Assez de mollesse, assez de tiédeur, assez de « politiquement correct », assez d’enfouissement de notre Foi au nom de stratégies consensuelles qui n’ont jamais apporté aucune victoire !

    Pierre Bergé a mis sa fortune, depuis des décennies, au service du vice, de l’anti-France et de l’antichristianisme. Ripostons en ciblant ses intérêts financiers.

    Cet appel s’adresse à toutes les forces de résistance qui ont émergé au cours des douze derniers mois et à cette génération qui a su faire preuve d’inventivité et de courage pour faire face aux destructeurs de la Famille. Que nos veilles et nos rondes de sentinelles se placent prochainement devant ces lieux chers à Pierre Bergé :

    -      la société de vente aux enchères Pierre Bergé & Associés ;
    -      la brasserie parisienne de luxe Prunier spécialisée dans le caviar et dont Pierre Bergé est PDG ;
    -      la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent.

    Que nos voix se fassent entendre également devant ces médias dans lesquels Pierre Bergé a des capitaux - le journal Le Monde, le journal Libération, le magazine La Vie – ainsi que devant le siège de la radio RTL France qui se plaît à laisser ce personnage viscéralement antichrétien déverser sa bile sur ses ondes.

    Qu’à ces occasions, notre attachement à la Foi catholique soit fièrement affirmé. Christus vincit. Christus regnat. Christus imperat.

    Que ceux qui ne peuvent se déplacer devant ces lieux n’en prennent pas moins la peine de saisir leur téléphone, leur stylo ou leur clavier d’ordinateur pour adresser par toutes les voies envisageables des messages polis mais déterminés signifiant notre colère et notre mobilisation farouche.

    Il ne s’agit en aucune façon d’un appel à la violence. Mais il convient de rappeler cette vertu de force dont les catholiques doivent faire preuve lorsque les situations l’exigent.

    En avant ! L’automne catholique est de retour !

    Alain Escada,
    président de CIVITAS
    Civitas  -  France Jeunesse Civitas

  • L’American Jewish Committee salue l’arrestation des dirigeants d’Aube dorée

    L’American Jewish Committee salue l’arrestation des dirigeants d’Aube dorée

    Photo ci-dessus : distribution de nourriture et de vêtements par l’Aube dorée à la partie des Grecs en voie de clochardisation.

    NEW YORK (NOVOpress) - Dans un communiqué publié samedi, l’American Jewish Committee a félicité le gouvernement grec pour son action énergique contre l’Aube dorée : quatre députés du parti, dont son chef Nikolaos Mihaloliakos, et dix autres de ses responsables ont été arrêtés ; d’autres arrestations sont en cours. L’Aube dorée, troisième plus important parti grec dans les sondages, avait de bonnes chances de gagner des municipalités aux élections municipales de mai 2014.

    Selon le directeur de l’American Jewish Committee, David Harris, « l’essence même de la démocratie en Grèce est en jeu. Le gouvernement grec envoie un message clair pour dire que les forces de l’extrémisme violent sont une menace pour la société et ne seront pas tolérées ».

    « Quoique nous soyons conscients, a poursuivi Harris, des risques encourus en s’en prenant à un parti politique représenté au Parlement, il y a des limites, qui, dans le cas de l’Aube dorée, ont été franchies il y a longtemps. À son honneur, le gouvernement du Premier Ministre Samaras a reconnu la nécessité absolue qu’il y avait à dire “trop c’est trop”, et à agir effectivement pour arrêter la folie d’Aube dorée. Un parti ne peut pas être autorisé à utiliser cyniquement la liberté qu’offre la démocratie, dans le but de renverser cette liberté elle-même. »

    « L’American Jewish Committee va organiser une rencontre avec le Premier Ministre Samaras lors de sa venue à New York, dans la semaine qui vient ».

    Crédit photo : DR.http://fr.novopress.info/141807/lamerican-jewish-committee-salue-larrestation-des-dirigeants-daube-doree/#more-141807

  • Allemagne : la Münchner Bank barre l’accès au compte en banque d’un handicapé militant de Die Freiheit

    Allemagne : la Münchner Bank barre l’accès au compte en banque d’un handicapé militant de Die Freiheit

    MUNICH (via le site de Lionel Baland) – Christian Holz (ci-dessus) est porteur de la décoration « Munich brille » pour sa participation, durant 22 ans, à la Commission des personnes handicapées de la ville de Munich. Membre du parti anti-islamisation die Freiheit, il a voulu retirer de l’argent à un distributeur automatique. Or, son mot de passe ne fonctionne plus car son compte en banque est bloqué par la Münchner Bank.

    Michael Stürzenberger, qui dirige die Freiheit à Munich, vient de recevoir de la Münchner Bank l’information que son compte en banque est lui aussi immédiatement bloqué

    Christian Holz n’a pas la vie facile. Handicapé moteur, il est depuis l’âge de 14 ans dans une chaise roulante. Après avoir été membre du Parti social-démocrate SPD, du parti écologiste, du Parti post-communiste die Linke,, il a décidé de rejoindre die Freiheit, car ces trois première formations politiques refusent d’aborder la question de l’islamisation.

    La raison du blocage du compte en banque de Christian Holz par la Münchner Bank réside dans le fait que le site Internet anti-islamisation PI-News, qui compte 90.000 visiteurs par jour, a lancé une campagne de soutien à Christian Holz, suite à la condamnation à une amende de 1.800 euros qui l’a frappé pour avoir mal manœuvré sa chaise roulante lors d’un rassemblement organisé par die Freiheit et d’avoir ainsi heurté la jambe d’un contre-manifestant social-démocrate.

    Crédit photo : Lionel Baland.

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