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avortement et euthanasie - Page 84

  • Familles sacrifiées aux idéaux républicains

    Communiqué de Laissez-Les-Vivre - SOS Futures Mères :

    "François Hollande ne voyait-il pas dans chaque enfant manifestant contre le mariage pour tous un brigand, comme les colonnes infernales de Turreau voyaient dans chaque vendéen, un monstre à supprimer. Volonté de casser ce qui marche, ce qui a fait la réussite économique de la France, a-t-il déjà si vite oublié les Trente Glorieuses qui ont fait la France, succombe-t-il aux sirènes écologistes qui demandent une dépopulation, aura-t-il d'ailleurs l'audace lors du sommet COP21 sur le climat de se vanter d'avoir détruit la politique familiale française. Ou alors, explication plus proche d'une psychanalyse de bazar garde-t-il un si mauvais souvenir du couple qu'il a formé, avec Ségolène Royal et leurs quatre enfants, où ils ont constitué selon ses critères une famille nombreuse "friquée" susceptible de voir leurs allocations familiales divisées par quatre ainsi qu’un quotient familial ne dépassant pas 1,508 euros par demi-part ? Et il a cédé, ça c'est bien certain, aux pressions des technocrates bruxellois qui ne supportaient plus que la France continue à ne pas soumettre les allocations à des conditions de ressources. Cette haine de la famille est violente, elle est d'autant plus inquiétante qu'elle est totalement idéologique et qu'elle ne s'arrêtera vraisemblablement pas avant d'avoir totalement mis la famille à genoux tranche par tranche au gré de chaque vote de budget. Et pendant ce temps, les allocations de rentrée scolaire majorées de 25% vont être versées, si certains reportages de télévision vont montrer des enfants achetant de coûteuses fournitures avec leurs parents, ce qui fera accuser ces derniers d'irresponsabilité, il faut reconnaître que cette allocation, en ce temps où toutes les autres allocations sont bloquées, peut être utilisée pour acheter un appareil électroménager par exemple ou, pourquoi pas, pour commencer à payer l’école privée. Car le nœud du problème est bien là : l'école privée hors contrat surtout mais sous contrat aussi. Voilà l’ennemi ! François Hollande a compris une chose, et c'est peut-être la seule qu'il ait bien comprise de tout son quinquennat : pour abattre l'école privée, en ces temps où il ne se passe pas une semaine sans qu'une nouvelle école hors-contrat n'éclose, il faut supprimer les allocations familiales et c'est pour cela qu'il est revenu sur ses promesses de ne pas toucher à l'universalité des allocations familiales. C'est vraisemblablement pour cela qu'été 2014, le nouveau gouvernement sous l'impulsion de Manuel Valls prévoit ce que Jacques Attali demande depuis six ans dans son livre sur 314 décisions pour sauver (ou "enterrer" ?) la France : la mise sous condition de ressources des allocations familiales. Et les familles les touchées vont être les familles aisées avec beaucoup d'enfants donc catholiques donc bien sûr à abattre en premier. C'est évidemment sur elles que s'abat le plus fort la haine du gouvernement. On estime à environ 80 000 foyers avec nombreux enfants pour lesquelles les réformes fiscales successives, baisse tous les ans du plafond de la demi-part du quotient familial, puis la modulation des allocations familiales vont entraîner des pertes considérables à partir de juillet 2015. L'immobilier, les loisirs, le tourisme vont être très affectés. Qu’importe car l'école privée le sera aussi : ces familles-là doivent en quelque sorte être "guillotinées" les premières au nom de l'idéal républicain pour l'exemple en quelque sorte.

    Quel profit pour les finances de l'Etat? Faible c'est bien plus le symbole qui compte. 2,4 milliards d'économie d'impôts par an depuis 2014, 0,5 milliards d'euros en 2015, 1 milliard par an à partir de 2016 pour la modulation des allocations familiales. Quant à l'économie induite par le rétrécissement trois à deux ans du congé parental, elle n'est pas publiée puisqu'officiellement il s'agirait de "partager" ce dernier entre le père et la mère, mais en pratique peu d'hommes pourront s'arrêter de travailler et d'ailleurs les français rejettent cette mesure de façon écrasante à 80% de personnes interrogées.

    Et pendant ce temps où passe l'argent public? La rupture du contrat livrant les mistrals Vladivostok et Sébastopol à la Russie va coûter au contribuable français entre 1,5 et 2 milliards d'euros. Il faut encore payer leur stockage à Saint-Nazaire depuis 2011, la dérussification des bâtiments ; soit environ 300 000 millions d'euros. Le plus difficile à chiffrer est l'impact de l'embargo des produits alimentaires notamment dans la crise porcine qui a secoué la France, car cette dernière livrait aux russes 4% de sa production porcine en 2013.

    Autre type de gaspillages, celui des éco-portiques : le coût d'un démontage de portique s'élève à 130 000 euros. A ce jour dix-neuf ont été dégradés ou détruits préventivement. Voici encore plus de 2 milliards d'euros de gâcher. Mais quelques mois avant les élections régionales, l'idée d'un éco-transit transfrontalier se fait jour.

    Comme, on peut le constater le but de la modulation des allocations familiales est plus idéologique que financière. Pendant ce temps, la gabegie des pouvoirs publics continue."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La presse française refuse de dénoncer le scandale lié au Planning familial

    Lu sur Reinformation.tv :

    "L’affaire dérange. Voyez ce titre de L’Express du 4 août dernier : « Etats-Unis : un militant anti-avortement accuse une association de vendre des fœtus. » C’est taillé sur mesure pour passer sous silence l’essentiel : le Planning familial des Etats-Unis – le puissantPlanned Parenthood auquel est associé le Planning français via la Fédération internationale qui regroupe ces institutions au niveau mondial – vend à profit des organes et des tissus provenant des « produits d’avortement ». Et la pratique a été mise au jour par un long travail d’enquête qui a déjà entraîné la mise en ligne de cinq vidéos tournées clandestinement par un homme de 26 ans, David Daleiden, qui y a consacré 30 mois de sa vie avec l’aide d’acteurs et de vidéastes qui ont fait un travail de professionnel. Tout pour essayer de minimiser le scandale !

    L’Expresspoursuit certes en soulignant que le sujet, qui occupe les médias américains depuis plusieurs semaines, a eu « l’effet d’une bombe ». C’est exact. De nombreux élus républicains, et une poignée de Démocrates ont remis en question le financement fédéral duPlanned Parenthood , sans succès face à l’engagement personnel de Barack Obama de ne pas priver le principal pourvoyeur d’avortements aux Etats-Unis de sa manne publique.

    La grande presse française, lorsqu’elle s’est enfin emparée du dossier, a adopté une position clairement tranchée: le Planning, c’est bien, et quoi qu’il fasse,c’est certainement pour la bonne cause, tandis que les méchants militants anti-avortement, par nature extrémistes, ne sauraient accuser une institution bienfaitrice des femmes qui au demeurant les aide à ne pas avoir besoin d’avorter…

    Voilà qui ne cadre guère avec les récits d’anciens employés repentis duPlanned Parenthood, tels Abby Johnson qui a su montrer à quel point l’avortement –payant puisque l’avortement en lui-même ne peut être financé par des deniers publics aux Etats-Unis –est une activité lucrative et recherchée par les cliniques qui poussent les femmes à passer à l’acte.

    La récolte et la vente de tissus et organes prélevés sur les fœtus avortés n’est qu’un pas supplémentaire dans l’horreur. Que lePlanned Parenthooden tire un profit est la question principale posée par Daleiden et son équipe duCenter for Medical Progress : l’avortement et le prélèvement d’organes à titre gratuit pour la recherche ne sont pas des délits aux Etats-Unis et la dénonciation d’un trafic lucratif est le seul angle d’attaque qui permette une action publique.Mais le vrai scandale, ce qui révolte véritablement tous ceux qui visionnent les petits films clandestins mis en ligne où l’on voit des responsables du Planning chercher le meilleur prix pour les organes fournis, c’est de voir comment les employés s’y prennent pour récupérer des foies, des poumons, des cœurs, des cerveaux, parmi des lambeaux de chair et des petits bras et des petites jambes parfaitement formés.

    C’est cela, l’horreur : on dépèce des cadavres, on se sert sur des êtres humains que l’on a au préalable tués. C’est le grand non-dit de cette histoire dans la grande presse de ce côté de l’Atlantique comme de l’autre. Si c’estL’Expressqui vous informe, vous apprendrez ceci : « Les organes et tissus fœtaux sont très demandés par les chercheurs, notamment pour trouver des vaccins ou étudier la maladie d’Alzheimer. Les dons ne se font qu’avec le consentement écrit des patientes ; leur vente est interdite, mais un dédommagement pour les frais encourus (administratif, transport…) est autorisé, et c’est ce dont le docteur parlait. Mais la nonchalance des médecins, aggravée par un montage sélectif, a gêné, y compris chez les partisans du droit à l’avortement. »

    Le seul problème serait donc la « nonchalance » des médecins et autres responsables interrogés. LePlanned Parenthoodagirait de manière parfaitement légale et pour le bien des malades…

    Mais comme le note LifeSite, lundi, le scandale dépasse largement ce que leCenter for Medical Progressa montré jusqu’ici (sachant que de nombreuses vidéos restent à publier). Le site provie américain note que la société StemExpress se fournit effectivement en organes et tissus fœtaux auprès du Planning, ainsi que le démontrent de nombreuses investigations médiatiques déclenchées par le travail de David Daleiden. On sait ainsi aujourd’hui, par exemple, que des tissus et des organes fœtaux fournis par des sociétés comme StemExpress sont utilisés, « manipulés » par des chercheurs publics et privés afind’« humaniser » des rats.Plus exactement : ces tissus et organes humains sont implantés dans des rats immunodéprimés, afin notamment de trouver un moyen de pallier le manque d’organes humains en vue de la transplantation.

    [...] LifeSite a publié lundi un autre article soulignant que deux agences fédérales ont participé au financement de l’achat de parties d’enfants avortés au cours de ces dernières sept années, pour un total de 300.000 dollars au moins. [...]"

    Michel Janva

  • 6e vidéo sur le trafic d’organes de bébés avortés par le Planning familial

    La sixième vidéo vient d’être publiée : c’est une interview avec une ancienne employée de StemCell Inc., chargée d’obtenir des échantillons sanguins sur les femmes qui avortent et des tissus fœtaux prélevés à la suite de l’intervention.

    Holly O’Donnell, qui se décrit comme « pro-vie », a quitté depuis cet emploi qui la mettait au contact de scènes profondément dérangeantes : cris et pleurs dans les établissements du Planned Parenthood où elle était chargée de procurer les organes pour sa société. Elle devait théoriquement obtenir le consentement préalable des mères. Dans la pratique, Holly O’Donnell a pu constater que des organes étaient souvent prélevés sans que les femmes n’en sachent rien – « et elles n’avaient aucun moyen de savoir », précise-t-elle.

    Une nouvelle ligne de défense du Planned Parenthood est en train de tomber avec ce témoignage : alors que les responsables des avortoirs affirment qu’ils demandent toujours le consentement des patients en vue de procurer des échantillons pour la recherche, voici une indication sérieuse selon laquelle ils ont menti. 

    Elle explique comment le matin, les personnes représentant les sociétés, universités et autres institutions qui récupèrent les organes viennent exposer leurs demandes du jour : un fœtus de quinze semaines, tel organe en bon état…Une feuille de commande est réalisée et comparée avec les avortements programmées du jour : jusqu’à 40 par jour, dans les cliniques du Planning implantées dans des zones pauvres.

    Loin de se préoccuper du sort des femmes, les employées du Planning ne cherchent que le profit, accuse Holly O’Donnell.

    Michel Janva

  • Avorter, oui, se soigner, non

    En France, le Ministère de la Santé se mobilise pour l'accès à l'avortement en plein été... mais ferme des urgences par manque de personnel :

    "Le manque de personnel hospitalier devient plus compliqué à gérer en été pour les établissements de santé. À tel point que le Centre hospitalier public du Cotentin a été contraint de fermer le service des urgences de Valognes, dans la Manche. Dans un communiqué, l'établissement a informé de la «fermeture exceptionnelle temporaire du service des urgences de Valognes». Le centre hospitalier recommande ainsi aux patients de «se rendre au service des urgences de Cherbourg, Saint-Lô ou Coutances."

    Michel Janva

  • René Frydman : il faut diminuer le nombre d'avortements

    Cette semaine, France Info a rediffusé un entretien avec René Frydman, le "père" du premier bébé éprouvette en France. Dans cet entretien :

    • il redit son opposition absolue à la GPA
    • il souhaite que la France diminue le nombre d'avortements, qui sont "des demandes jamais souhaités ni souhaitables".

    Michel Janva

  • Vers une interdiction des avortements sélectifs

    ... en Arménie :

    A"Après des années de déclin de la population,l’Arménie propose une interdiction des avortements sélectifs de genre qui favorisent les garçons. La mesure, si elle est adoptée par le Parlement, serait la première du genre dans un pays relativement conservateur et centré sur l’homme du Caucase du Sud.

    Soumis au parlement le 2 Juillet, le projet de loi, élaboré par le ministère de la Santé, interdit explicitement tous les avortements sélectifs selon le sexe et, dans le but de combler les lacunes, empêche spécifiquement les avortements sans le consentement d’un médecin entre les 12e et 22e semaine de grossesse. c’est pendant ce temps de gestation que le sexe d’un enfant se manifeste.

    Les femmes qui veulent un avortement durant cette période devront le demander par écrit à un hôpital et attendre pendant trois jours. Pendant cette période, “les psychologues et les spécialistes vont travailler avec la femme“ pour l’aider à comprendre les conséquences de son choix, a dit Gayane Avagian, chef de la Division de la maternité et de la santé de la reproduction au ministère de la Santé.

    Les médecins qui enfreignent la loi seraient passibles d’amendes potentielles de 70 à 100 fois le salaire mensuel minimum de 55 000 drams ( 115,10$).

    Une première lecture du projet de loi n’a pas encore été fixée, mais elle est prévue en septembre, lorsque les législateurs se réuniront de nouveau.

    Le ministère de la Santé soutient que le projet de loi mérite une adoption rapide. Pour un pays avec une population d’un peu plus 3,06 millions - suite à l’émigration - les avortements qui favorisent les fœtus mâles portent des effets critiques à long terme.

    Le Département de la santé Maternelle et infantile du ministère estime que chaque année en Arménie quelque 2.000 avortements sont réalisés spécifiquement pour mettre fin à un foetus de sexe féminin. (Les explications de calcul ne sont pas disponibles.) Cette pratique, moins fréquente pendant l’ère soviétique, a affecté le taux de natalité de l’Arménie depuis 1991 croient les experts. Il se situe actuellement à 13,92 naissances par 1000 personnes, soit un taux inférieur à celui de Gibraltar.

    En revanche, le ratio de 114 garçons en 2012 pour 100 filles se présente comme le troisième plus élevé dans le monde, après l’Azerbaïdjan voisin, à 116, et la Chine, à 118, selon le Fonds des Nations Unies (FNUAP). Le FNUAP établit la norme à 102-106 hommes pour 100 femmes. [...]"

    Michel Janva

  • Ils prient à genoux : le Planning tremble

    Voici la photo des dangereux extrémistes qui auraient commis le "délit d'entrave à l'avortement" :

    D

    Cette action d'une incroyable violence s'est produite le 9 juillet. Le planning familial français, qui n'a pas réagi aux accusations contre son homologue américain, trafiquant d'organes de foetus avortés, porte plainte :

    "Le Planning familial de Paris a déposé une plainte contre ces trois individus et SOS Tout Petit pour délit d’entrave à l’IVG et à l’accès à l’information sur l’IVG. Nous constatons que malgré la condamnation de Xavier Dor en Septembre 2014,  SOS Tout Petit récidive contre les lois protégeant les droits des femmes. Le Planning Familial de Paris, exaspéré par ces agressions faites aux femmes exige des pouvoirs public des condamnations exemplaires."

    Le Dr Xavier Dor confirme avoir eu connaissance de l'action de ces trois garçons et explique avoir depuis distribué avec l'un d'eux des tracts devant le centre avortement de Port-Royal, à Paris. Il revendique une action « pacifique » dans le but de convaincre les femmes de changer d'avis et de les « consoler ». Il explique que des jeunes commencent à rallier le mouvement, et en semble ravi. Un énième procès ne lui pose pas de problème. Il s'y rendra, tout « naturellement », pour continuer à combattre ce crime abominable qu'est l'avortement.

    Michel Janva

  • Le scandale du Planning familial : au coeur de la campagne américaine

    Après Minute, Le Figaro en parle :

    "L'affaire du Planned Parenthood (PP) n'en finit pas de prendre de l'ampleur aux États-Unis. Tout commence mi-juillet lorsque des militants pro-life diffusent une vidéo, tournée en caméra cachée, où l'on voit une responsable du Planning familial américain évoquer le trafic d'organes de fœtus avortés, auquel l'organisation se livre avec les instituts de recherche. Trois autres vidéos du même genre ont suivi, où l'on voit d'autres responsables marchander des organes de fœtus avortés. Pour sa défense, le Planned Parenthood a argué qu'il ne faisait là rien «d'illégal», les fœtus étant considérés comme des organes comme les autres, susceptibles d'être livrés à la science.

    La polémique, auparavant restreinte aux milieux anti-IVG, s'est emparée du pays, des éditorialistes aux hommes politiques. Alors que débute la campagne pour la primaire de 2016 - le premier débat entre candidats républicains aura lieu jeudi sur Fox News- le Grand Old Party a fait du financement de cette organisation un enjeu électoral.

    Lundi, les sénateurs démocrates ont bloqué une proposition de loi soutenue par les républicains qui prévoyait de supprimer le financement public du Planning familial. Il fallait 60 voix pour que le vote soit soumis à la Chambre. Il n'en a obtenu que 53, 46 élus s'étant exprimés contre. Avec la quasi intégralité des républicains, deux sénateurs démocrates ont voté pour. Le sénateur démocrate Joe Manchin de Virginie Occidentale a ainsi déclaré : « Je ne crois pas que l'argent du contribuable devrait être utilisé pour subventionner cette organisation, ces fonds devraient être distribués à d'autres centres médicaux. »

    Même si la loi avait pu être votée, la Maison-Blanche avait menacé vendredi « d'opposer le veto présidentiel à toute initiative républicaine visant à réduire le budget alloué à la plus importante organisation de planning familial des Etats Unis ».

    Malgré cet échec, les républicains semblent déterminés à poursuivre leur lutte, galvanisés par la publication de ces vidéos. Rand Paul, un des nombreux candidats à la primaire républicaine, est très engagé dans cette campagne. « Le temps est venu d'avoir un débat à haute voix sur ce sujet, et le temps est venu d'en finir avec le financement par le contribuable du Planning familial » a déclaré le sénateur, qui a cosigné le projet de loi du Sénat. « Il est plus que temps d'avoir un débat dans notre pays, il est plus que temps que nous disions ‘trop c'est trop' ». « Je suis heureux que la réaction à ces vidéos ait renouvelé les efforts pour en finir avec le financement public de l'avortement », a pour sa part affirmé Ron Paul, son père, ex-candidat libertarien aux présidentielles et fervent opposant à l'avortement. Deux autres candidats à la primaires républicaine, le favori Donald Trump et Ted Cruz, se sont prononcés pour la supression des subventions publiques à cette organisation.

    Jeb Bush, frère de Georges Bush et impétrant aux primaires républicaines, a lui déclaré que « le prochain président devra stopper les subventions au Planning familial ».[...]

    Le Planned Parenthood reçoit 500 millions de dollars via Medicaid, l'assurance publique d'Etat gérée par les Etats, et 60 millions directement par l'Etat fédéral. [...]"

    Michel Janva