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avortement et euthanasie - Page 84

  • "Ils veulent se débarrasser de Vincent avant de partir en vacances"

    Viviane Lambert est interrogée dans Présent, les autres médias se contentant de soutenir l'élimination de Vincent Lambert. Extrait de ses réponses :

    "Nous avons rencontré le Dr Simon, chef de service, une psychologue et une secrétaire de direction. L’entrevue n’a pas été constructive du tout. Il est impossible de discuter avec elle. Le Dr Simon a déjà pris sa décision et elle fait en sorte que les choses aillent vite : elle s’apprête à lancer la procédure d’arrêt des soins pour enclencher la « fin de vie ». Ils veulent se débarrasser de Vincent avant de partir en vacances, aussi à l’heure qu’il est les choses peuvent aller très vite. Nous avons voulu montrer au Dr Simon la vidéo que nous avons faite, où l’on nous voit donner à manger à Vincent, mais elle a refusé de la visionner. C’est un comportement curieux.

    Confirmez-vous que vous avez déposé plainte contre le CHU de Reims et les médecins responsables, à la suite de cette rencontre ?

    Tout à fait. Une plainte au pénal a été déposée pour mauvais traitements, maltraitances, conflits d’intérêt… et le refus du transfert.

    En effet, il y a un moment que vous dites qu’une unité de soins spécialisée est prête à accueillir Vincent. Pourquoi le CHU de Reims vous le refuse-t-il ?

    Ce refus n’est absolument pas motivé. L’équipe médicale se comporte comme si elle avait la main sur Vincent. [...]

    La presse parle d’une plainte déposée contre votre belle-fille Rachel. Le confirmez-vous aussi ?

    Elle est également visée par la plainte déposée, même si on ne l’attaque pas directement. Les docteurs Simon et Oportus sont les conseillères de Rachel ! Elles sont forcément partiales, d’où notre plainte pour conflits d’intérêts. D’autre part Rachel a menti à plusieurs reprises sur son domicile. Elle a toujours laissé croire qu’elle était quotidiennement auprès de Vincent, or il y a deux ans qu’elle habite en Belgique. [...]"

    Les médecins ont annoncé une solution décision finale le 23 juillet.

    Michel Janva

  • Il faut se battre pour montrer le réel

    Il est interdit de montrer Vincent Lambert, de montrer un foetus avorté, demontrer le film Le Cri silencieux à des lycéens, de montrer des enfants porteurs de la trisomie à la TV (dixit le CSA), de montrer les crimes islamistes... Jean-Marie Le Méné estime que la guerre des images fait rage et qu'il faut se battre pour montrer le réel :

    "Nos sociétés d’images imposées sont quelquefois piégées par les images rebelles. Car il y a image et image, les permises et les interdites, les citoyennes et les extrémistes, les pieuses et les blasphématoires.

    Dans l’affaire du Planning familial américain, pris la main dans le sac à vendre des morceaux de bébés avortés à la recherche médicale, il s’agit d’images prises en caméra cachée, par des militants pro-life, sur un sujet sanctuarisé : l’avortement.C’est dire si nous sommes dans l’interdit, l’extrémisme et le blasphème. C’est dire si ces images sont inconvenantes et suspectes.Mais quand elles arrivent à franchir la ligne de démarcation, comme c’est le cas ici, leur effet est multiplié, tant elles montrent le plus difficile à montrer, ce qui est.

    La guerre des images fait rage parce que, contrairement à ce que l’on croit, il faut se battre pour montrer le réel. Le réel, c’est ce qui résiste.En revanche, il est permis tant qu’on voudra – et même recommandé – de montrer des images qui ne présentent que du virtuel ou du maîtrisé idéologiquement.La prétendue civilisation de l’image n’est pas tellement libre.

    Quand la fondation Lejeune compare les images respectives d’embryons d’animaux et d’embryons humains, en montrant que les premiers sont mieux protégés que les seconds, elle est traduite devant le Jury de déontologie publicitaire (sic) qui la condamne. Il ne faudrait surtout pas penser que le petit de l’homme est un homme petit au risque de menacer le droit fondamental (re-sic) à l’avortement.

    Quand la même fondation coproduit une vidéo qui montre des jeunes trisomiques heureux, elle est traduite devant le CSA, qui prescrit aux chaînes de télévision de ne pas la diffuser.Il ne faudrait surtout pas stigmatiser les mères qui ont décidé d’avorter leur enfant trisomique (re-re-sic).

    Quand ses parents montrent des images de Vincent Lambert qui déglutit, le même CSA exige que le regard de ce jeune homme tétraplégique soit flouté. Il ne faudrait surtout pas qu’on puisse imaginer que l’euthanasie programmée de Vincent Lambert concerne un homme vivant. Alors, dans un geste d’un totalitarisme désespérément classique, il faut retoucher l’image et gommer l’une des rares parties du corps de cet homme qui s’exprime : ses yeux.

    C’est pourquoiil faut féliciter les pro-life américains pour leur travail. Ils font penser à ces journalistes historiques qui ont révélé les barbaries du XXe siècle auxquelles personne ne voulait croire.En débusquant les barbaries du XXIe siècle, la banalisation prétendument démocratique de l’homicide aux deux extrémités de la vie, ces corsaires risquent effectivement de donner mauvaise conscience à certains. Tant mieux. La France qui alimente en embryons humains les paillasses des chercheurs ne peut guère pavaner. Cinq des recherches autorisées par l’Agence de la biomédecine (ABM) viennent d’être jugées illégales et annulées, suite aux recours de la fondation Lejeune.

    Honneur aux reporters pro-life de la guerre contre la vie humaine."

    Michel Janva

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  • Le Planning familial américain coupable de trafic d'organes de bébés avortés ? La vidéo choc qui l'accuse [Add : enquête ouverte]

    The Center for Medical Progress a publié une vidéo, filmée en caméra cachée, dans laquelle le Dr Nucatola, directrice générale des services médicaux du Planning familial américain depuis 2009, reconnaît pratiquer des avortements par naissance partielle, une pratique totalement illégale, pour pouvoir prélever et vendre entre 30 et 100 $, des organes intacts de bébés avortés(le trafic d'organes est passible de 10 ans d'emprisonnement aux Etats-Unis et de 500 000 $ d'amende).

    Jeanne Smits avait décrit il y a quelques années en quoi consiste un avortement par naissance partielle :

    "Cette forme d’avortement, pratiquée à partir du 5e mois de grossesse, consiste à déclencher l’ouverture du col pendant deux jours, à faire naître partiellement l’enfant par le siège, puis à perforer sa tête par le bas du crâne et à aspirer son cerveau avant d’extraire totalement son corps de l’utérus. Le procédé répond à un double objectif : faciliter le passage de la tête, mais aussi s’assurer de la naissance d’un bébé mort."

    Tout au long de l'entretien filmé à son insu, le médecin parle d'avortements (où placer son forceps pour récupérer l'organe voulu, quelle partie écraser...) et de parties de corps de bébés à vendre tout en dégustant  sa salade - ses interlocuteurs se sont fait passer pour des acheteurs potentiels et lui ont fixé un rendez-vous au restaurant. La vidéo, reprise par les sites pro-vie américains, commence à faire parler d'elle outre-atlantique et mériterait d'être entièrement traduite et sous-titrée en français. Avis aux amateurs. La voici, en anglais donc :

     

    [Add] le résumé d'Yves Daoudal en complément :

    "C’est le foie qui est le plus demandé, bien que « beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment ». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des « extrémités inférieures », et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute « pour les tissus musculaires ».

    Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas « la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela ».

    Elle pratique elle-même des avortements à Los Angeles jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les « patientes » qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. « Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : “Je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact.” Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact. »

    La loi fédérale américaine interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit Deborah Nucatola, « les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance. »"

    [Add 2] : le vice-président en charge de la communication du Planning familial américain ne dément qu'à moitié, en jouant sur les mots :

    « dans le domaine de la santé, parfois, les patients veulent donner des tissus pour la recherche scientifique pour aider à faire avancer la recherche, les soins, les traitements. Les femmes qui avortent au Planning Familial ne sont pas différentes. (…) Aucun bénéfice n’est réalisé lors de ces dons de tissus (ie d’embryons). Parfois, certains coûts, comme celui de transporter les tissus vers les meilleurs centres de recherche, sont remboursés. »

    Dans la vidéo, le Dr Nucatola parle pourtant bien de vente et non de dons, et d'organes et pas seulement de tissus. Le Gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal, annonce l’ouverture d’une enquête.

    Louise Tudy

  • Tuer des enfants, ça rapporte

    Le lucratif commerce de l'avortement aux Etats-Unis :

    "Planned Parenthood, principal fournisseur d’avortement aux Etats-Unis, est également une entreprise prospère. C’est ce qu’indique les chiffres publiés le 1er juillet dernier par American Life League. Gagner seulement un dollar pour le meurtre d’un ‘homme serait déjà scandaleux, mais les montants des salaires que donne le rapport révèlent la vérité sur un mal enraciné dans l’âme de nombreux pays.

    Se basant sur les déclarations de revenus des membres du personnel, le rapport identifie que l’avortement est une entreprise sanglante, mais à revenu élevé. Le salaire annuel moyen d’un PDG à Planned Parenthood est de 186.071,87 $. 87% des salariés gagnent plus de 100.000 $, 37 %, 200 000 $ et 13% plus de 300.000 $. Le PDG de Planned Parenthood, Cecile Richards, reçoit un salaire annuel de 590 000 $ … pour avorter des êtres humains.

    Interrogée sur le rapport d’American Life League, Cecile Richards a déclaré, lors d’une conférence de presse: « C’est de notoriété publique. Il en a toujours été ainsi », ajoutant: » Je travaille dur pour mon salaire et je pense que ce n’est pas un problème. Planned Parenthood de coût-bénéfice est le meilleur fournisseur de services de planification familiale de ce pays. Les milieux de droite font toujours leur possible pour créer des problèmes là où il n’y en a pas.  » Mais la vérité que tait est Richards, c’est que sont 58 millions d’êtres humains qui ont été tués par l’avortement aux États-Unis depuis 1973 (...)"

    Pour consulter le bilan financier annuel c'est ici.

    Philippe Carhon

  • 24 janvier 2016 : Marche pour la vie

    Appel de Cécile Edel, présidente de Choisir la vie et de la Marche pour la vie :

    "Comme beaucoup le savent déjà, et comme chaque année depuis 2005, la prochaine Marche pour la Vie aura lieu cette année le 24 janvier 2016 à Paris.

    D’ores et déjà, la préparation au long cours de cette Marche a commencé et elle ne saurait se faire sans vous.

    Cette marche a vocation à  fédérer l'engagement de beaucoup, de "tout honnête Homme" tant  la cause défendue rejoint chacun au plus intime de son être, de sa dignité, de sa destinée, de sa compassion pour les plus faibles, les sans voix condamnés à mort dans le sein des femmes avant d'être nés. Le souci du retour à l'amour de la Vie, à une culture de la Vie Humaine est plus que jamais nécessaire dans une société en proie à la « culture du déchet » qui banalise toujours davantage l’avortement et chosifie l’enfant à naître.

    En somme, cette Marche devient un devoir vital ; c'est défendre le plus petit enfant des hommes et porter secours en éveillant les consciences au respect inconditionnel de la vie humaine.

    Je vous adresse donc ce message initial avec l’appel d’avril à la mobilisation qui est à relayer SVP. C'est à ce stade l'action la plus importante.

    Ce message initial vise à : 

    • Emuler les réseaux en vue de la marche qui se tiendra dans un contexte d’attaques constantes à la vie, celle de l’enfant à naître, celle de la personne handicapée, diminuée, dont la vie est subjectivement  reconnue comme inutile
    • lancer un appel aux bénévoles (adresse mail pour se faire connaître : bénévoles@enmarchepourlavie.fr), en particulier pour trouver assez vite des responsables de pôles (LOG, SÉCURITÉ, ACCUEIL, ANIMATION, COM, et autres, WEBMASTER, secrétaire, RH, etc...)
    • retenir la date 24 janvier 2016 dans les agenda pour éviter la programmation d’autres activités qui fixent souvent les mêmes bonnes volontés
    • Lancer l’idée des antennes locales de la Vie  “A-VIE”, forme minimaliste d’organisation déconcentrée servant de relais, de diffuseur d’information, capable d’initiatives locales (recrutement bénévoles, tracts, car...). Partager la cause et l’esprit de la Marche, être motivé et entreprenant suffit.
    • Faire jaillir des idées et initiatives et les faire remonter 

    Ainsi, au cours des 6 mois qui nous séparent de l’évènement, je vous invite à fonder un esprit de promotion et de devoir envers la vie humaine (au- delà de la seule posture de défense, de résistance...), fondée sur la conscience de ce qu’est la personne, sa dignité, le fondement de celle-ci etc...et parallèlement développer l’ambition d’aller chercher celles et ceux qui, “ébranlés”, peuvent être ramenés sur le chemin de l’amour de la Vie.

    Merci par avance de votre impulsion. N’hésitez pas à nous faire-part d’un petit aperçu de votre initiative à l'adresse mail suivante : coordonnateurlmpv@gmail.com

    Michel Janva

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  • 229 000 avortements en 2013 en France

    Selon les chiffres officiels de la DREES :

    "En 2013, 229 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 217 000 en Métropole. Leur nombre est relativement stable depuis 2006 et varie peu chaque année. Il enregistre une hausse en 2013, après deux années de légère baisse : il est ainsi passé de 226 100 en 2010 à 222 200 en 2011, et 219 100 en 2012.

    Le taux de recours est de 15,6 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en France entière. Les femmes de 20 à 24 ans restent les plus concernées, avec un taux de 28,8. Les taux continuent à décroître chez les moins de 20 ans, avec 9,5 recours pour 1 000 femmes parmi les 15-17 ans (après 10,0 en 2012) et 21,8 parmi les 18-19 ans (après 22,0 en 2012).

    Les écarts régionaux perdurent, avec des recours moyens toujours supérieurs à 18 IVG pour 1 000 femmes en Ile-de-France, Provence – Alpes-Côte d’Azur, Corse, Languedoc-Roussillon et dans les DOM.

    Les IVG médicamenteuses représentent 49 % des IVG réalisées en établissements et 58 % du total des IVG. Les IVG pratiquées hors établissement représentent 16 % du total des IVG en Métropole et 25 % dans les DOM, où pourtant la pratique des IVG en centres de santé, centres de planification ou d’éducation familiale ne s’est pas répandue."

    Michel Janva

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  • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1

    Des données sur la famille contenues dans le recueil 2015 de l’UNAF viennent combattre un certain nombre d’idées reçues et justifient l'attachement très fort au modèle de la famille durable que les AFC promeuvent sans relâche. Parmi les chiffres :

    • 75,2% des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents ensemble …
    • Le nombre de divorces recule depuis 2010 …
    • 5490€ par an : c'est en 2012 la différence de niveau de vie médian d'un couple avec 3 enfants par rapport à un couple sans enfants.
    • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1. Ce taux est à 2,01 en 2014.

    Michel Janva

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  • "Il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né"

    Un rapport glaçant de l’European Centre for Law and Justice sur « l’avortement tardif et les infanticides néonataux en Europe » a été publié, en soutien de la pétition qui sera présentée au Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

    Injections létales, étouffements, abandons… Tout est mis en œuvre pour que ces bébés – nés vivants au-delà de vingt semaines – meurent rapidement, dans la plus grande indifférence, sans aucune prise en compte de leur souffrance.

    « Le plus souvent, les parents ne sont pas informés de la survie de leur enfant et des causes réelles de sa mort ».

    Les équipes médicales et paramédicales expliquent que ces pratiques existent depuis de nombreuses années. Mme L. M., ancienne infirmière anesthésiste, rapporte ainsi qu’en 1987, une équipe a laissé un bébé « mourir de froid ». En 1963 déjà, Mme M. J., alors étudiante infirmière, a récupéré un nourrisson encore vivant dans un drap roulé en boule. Avec pour seule consigne de

    « le mettre dans un haricot [une cuvette, N.D.L.R.] et d’attendre ». « Nous étions là pour le regarder, ce petit être vivant, lui parler et caresser son petit corps pendant 45 minutes. […] Il s’est finalement arrêté de respirer et nous l’avons laissé sur le plateau»

    Selon une étude menée en 2000, 73 % des médecins français en néonatologie déclareraient qu’ils ont dans leur carrière administré aux nouveau-nés des produits médicamenteux pour les tuer. M. X. B., médecin, alors qu’il était externe, raconte avoir entendu le chef de service de génétique du CHU entrer

    « dans une sorte de fureur, en demandant combien de fois il devrait dire qu’il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né ».

    Une étude publiée au Royaume-Uni en 2007, dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu’environ un avortement sur trente au-delà de seize semaines de gestation donne lieu à la naissance d’un enfant vivant. À vingt-trois semaines, le taux d’enfants vivants atteint 9,7 %. Selon une sage-femme suédoise, la proportion atteindrait même 25 %.

    Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ, rappelle qu’un

    « bébé prématuré, même né lors d’une tentative d’avortement tardif, est un être humain et doit bénéficier de soins et du droit à la vie comme tout être humain ».

    Le comité des affaires juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a émis le 23 juin un avis négatif, au motif que le sujet serait « trop sensible », pourrait questionner l’avortement, et diviser l’Assemblée. La décision du Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe est attendue pour le 31 août 2015.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/07/il-ne-fallait-pas-faire-de-f%C5%93ticide-in-utero-mais-tuer-le-b%C3%A9b%C3%A9-apr%C3%A8s-quil-soit-n%C3%A9.html

  • Le Puy du Fou offre 50 000 € à la Fondation Jérôme Lejeune

    C'était hier :

    CJAu-OSW8AAliPy
    CJAu9fNWUAAtbng
    CJAxoK-WoAAwW54
    CJAxpIBWEAAGOeU
    CJDeexVWsAALJLk

    Michel Janva

  • Numéro 100 de la Lettre de Choisir la Vie

    L'éditorial est signé Cécile Edel :

    326-clv-lettre100-1"Voici donc le numéro 100 du bulletin de Choisir la Vie... 100... chiffre tellement symbolique et significatif !

    Le numéro 1 est paru au moment de la création de l’association, appelée alors AOCPA (Association pour l’Objection de Conscience à toute Participation à l’Avortement). C’était en 1985.

    Et, depuis 33 ans, jamais Choisir la Vie n’a cessé de publier cette lettre, malgré les tempêtes et bouleversements qui ont pu jalonner toutes ces années, en particulier la disparition soudaine de son fondateur et président en 2002 : Michel Raoult.

    Ce bulletin est ainsi à l’image de notre association, qui a traversé plus d’un tiers de siècle, sans jamais cesser de se battre contre ce drame terrifiant qu’est l’avortement, en gardant toujours la même ligne, toujours le même cap, le même sommet.

    Et pourtant, en 33 ans... que de changements à tous les niveaux : tant au niveau technologique, qu’aux niveaux législatif et malheureusement sociétal.

    Pour agir plus efficacement au service de la Vie, pour pouvoir continuer d’œuvrer et de témoigner, nous avons souhaité nous adapter aux techniques modernes, aux nouveaux moyens de communiquer et d’agir, comme en témoigne notre bulletin, qui a évolué dans sa forme, mais qui, sur le fond, révèle que jamais nous n’avons trahi et jamais nous ne nous sommes égarés.

    Sensibiliser, accompagner, résister : 3 mots qui ont guidé nos actions depuis 33 ans, 3 mots qui, nous l’espérons, ont pu sauver et sauveront encore des vies.

    Si nous sommes arrivés jusque-là, en gardant la même détermination, la même espérance, la même ardeur au combat, c’est en grande partie grâce à vous, à votre fidélité, à votre soutien, et je profite de ce numéro 100 pour vous en remercier chaleureusement.

    Face aux défis actuels de notre civilisation, toujours plus grands, plus que jamais, nous avons besoin de vous, de votre engagement à nos côtés. Nul n’est inutile dans ce combat et chacun, selon sa personnalité, son expérience, ses talents, peut apporter sa pierre à l’édifice. Nous en sommes convaincus !

    Le 24 janvier 2016, la prochaine Marche pour la Vie aura lieu à Paris. Nous comptons sur chacun d’entre vous pour y participer, pour en parler autour de vous et pour nous aider, si vous le pouvez, dans l’organisation de ce grand rendez-vous, devenu incontournable, des défenseurs de toute vie humaine.

    Tant que nous continuerons à nous battre, gardez la certitude que les adversaires de la Vie ne verront pas leur victoire !"

    Vous pouvez le commander gratuitement en envoyant un mail àinfo@choisirlavie.fr ou bénéficier également d'offres spéciales 100ème numéro.

    Philippe Carhon