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Europe et Union européenne - Page 990

  • Jour de Colère mobilise moyennement en province

    Les premiers chiffres des manifestants de ce week-end montrent qu’il y a clairement eû une baisse de participants si on compte ceux du 26 janvier: un peu plus de mille personnes dans toute la France.  Les deux villes, qui ont le plus mobilisées, sont Lyon et Nantes avec environ 500 personnes respectivement.Lille a rassemblé cent personnes comme Dijon ou Caen. Pour Montpellier, on a annoncé 250 personnes. Ils étaient quelques dizaines à Toulouse.Peut-on penser que la stratégie de diabolisation des médias et des politiques a marché ? Il est difficile de le dire. Pourtant, sur les réseaux sociaux, les gens annoncent leur participation et leur mécontentement mais concrètement on ne les voit pas dans la rue. Il y a une semaine, ils ont sanctionné le gouvernement dans les urnes et depuis la vie reprend son cours. Il faut croire que le gouvernement a réussi à empêcher la coagulation qu’il redoutait tant. Chaque mouvement est reparti dans son coin tandis que Mélenchon annonce déjà une manifestation contre le nouveau gouvernement Valls. Tant que les manifestations sont éparpillées, François Hollande n’a aucun souci à se faire. Il est tranquille jusqu’à la fin de son mandat.

    Bordeaux

    Bordeaux

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  • OTAN GO HOME !

    COMMUNIQUÉ DU RÉSEAU IDENTITÉS.

    En 1991 l‘Union Soviétique s’effondrait et avec elle la menace militaire qu’elle représentait. En effet, immédiatement, la Russie nouvelle sabordait le Traité de Varsovie: dès lors l’OTAN n’avait plus de raisons d’être. Mais au lieu de jouer le jeu de la réciprocité, les U.S.A. poussaient leurs pions un peu plus profond en Europe. Ce furent les épisodes du démembrement de la Yougoslavie et de la Serbie, puis des “révolutions oranges” téléguidées depuis Washington.  Aujourd’hui, Russie et « Occident » sont à nouveau face à face à l’occasion de la crise Ukrainienne.

    Souvenons-nous de ces mains tendues… Gorbatchev et sa « Maison commune », Poutine et sa « Grande Europe »… Autant de plaidoyers pour un partenariat euro-russe enterré par nos dirigeants corrompus inféodés à Washington tels les Hollande, Fabius cornaqués par  l’ineffable Bernard Henri Lévy. Concrètement, l’OTAN divise notre continent alors que nous devrions l’unir. Nous ne pouvons demeurer les complices silencieux de l’OTAN quand elle bombarde une capitale européenne comme Belgrade, quand elle installe des républiques musulmanes comme le Kosovo ou la Bosnie en plein coeur de l’Europe, ou quand elle tente de déstabiliser la Russie comme on l’a vu en Géorgie ou en Ukraine…

    C’est pourquoi le Réseau-Identités entreprend aujourd’hui une campagne visant à libérer l’Europe de la tutelle des USA en abrogeant le Traité de l’Atlantique Nord qui ne sert ni le continent européen, ni les nations qui le composent. A la place, nous devons oeuvrer pour une armée européenne au service des intérêts européens et de leur diplomatie. On est en droit de se demander aujourd’hui quelle sera l’attitude de l’OTAN quand les peuples de France ou d’autres pays d’Europe auront décidé de se réapproprier les outils de leur souveraineté et de s’atteler au grand défi de la re-migration. Décidemment, non! Nous ne voulons plus d’une ingérence étrangère dans les affaires de notre continent car nous voulons l’Europe aux Européens…

    Alors, comme De gaulle en son temps, disons non à l’OTAN…

    OTAN hors de France !!! OTAN hors d’Europe !!! OTAN GO Home !!!

    Réseau Idendités : http://www.reseau-identites.org/

    flyer_otan

    autocollants à commander sur contact@reseau-identites.org

  • Aujourd’hui, la Hongrie vote

    Le paysage politique hongrois est peut-être annonciateur de nouvelles recompositions politiques en Europe.
    Demain dimanche, c’est jour d’élections législatives en Hongrie. Ce sont les élections les plus importantes car le président de la République, en Hongrie, n’est élu qu’au suffrage indirect, justement par l’Assemblée nationale.
    Le Jobbik, parti qui veut dire « les meilleurs » et « à droite », est dirigé par un homme jeune, Gábor Vona, historien de formation. Jobbik se donne une ligne sociale. Son objectif affiché est d’aider les familles nombreuses, et celles qui ont été victimes de l’endettement immobilier, particulièrement de 2002 à 2010, quand la gauche gouvernait. Jobbik avait réuni 17 % des votes en 2010. Entre-temps, le parti s’est « dédiabolisé » : fini les défilés évoquant le style des années trente.
    Un sondage donne Jobbik à 21 %, loin derrière le parti de Viktor Orbán, le Fidesz, donné à 47 %, mais non loin de l’opposition « de gauche », en fait l’opposition libérale et bruxello-compatible, donnée à 23 %. Si les intellectuels parisiens parlent beaucoup de Jobbik pour se donner des frissons, ils voient rarement que l’essentiel est ailleurs.
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  • La leçon italienne

    Le gouvernement italien ne considère pas, lui, que plusieurs centaines de Sentinelles postées sur une place constituent un trouble à l'ordre public. Elles étaient 500 en fin d'après-midi à Rome :

    Sentinelles 2

    Louise Tudy

  • 10 avril : présentation de l'initiative "Un de nous" devant le Parlement européen

    Le jeudi 10 avril se tient de 9h à 12h30, l'audition officielle au Parlement européen à Bruxelles, pour présenter l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous".

    Venez assister NOMBREUX à cette réunion publique importante. A la même occasion, vous vous familiarisez avec l'ambiance au sein du Parlement européen à l'égard des questions relatives à l'éthique sociale. Participer vous permet de comprendre, de vous former, d'agir et de témoigner par la suite ! (Ce n'est pas inutile à 8 semaines des prochaines élections européennes.) 

    "Un de Nous" poursuit l'objectif d'obliger les institutions européennes à mettre en œuvre, l'arrêt C-34/10 de la Cour européenne de justice. La plus haute instance juridique de l'Union s'y prononce sur la définition de l'embryon humain. Elle déclare pour droit de l'Union européenne que la vie humaine commence au moment même de la fécondation, et que l'embryon humain représente une étape précise dans le développement du corps humain, investie de la pleine dignité humaine que le législateur européen doit protéger. Cette jurisprudence fait désormais partie de l'ensemble des règles de l'Union européenne.

    Pour sa mise en œuvre, des directives européennes existantes doivent être abrogées pour exclure explicitement la destruction de l'embryon humain par les politiques européennes sectorielles (notamment dans la recherche et les questions liées à l'avortement).  Seulement si l'abrogation des directives aura été votée par le Conseil et par le Parlement, et publiée au Journal officiel, "Un de Nous" est achevé avec succès. 

    "Un de Nous" représente à ce jour l'initiative citoyenne européenne la plus importante en termes de signatures de soutien. Mais ce la ne paît à tout le monde, et l'opposition dans les institutions européennes nous fait sentir son mécontentement très ouvertement. C'est pourquoi il est très important de faire preuve d'assiduité, de solidarité et de détermination pour aller jusqu'au bout de la démarche "Un de Nous". 

    Concrètement, vous pouvez contribuer au succès "Un de Nous" par votre présence et votre prière. Selon la procédure prévue, l'audition du Parlement européen se tiendra le jeudi 10 avril 2014 de 9h à 12h30 à Bruxelles (salle JAN 4 Q-2). Inscrivez- vous sans plus attendre ici par le formulaire pour assister sur place à Bruxelles à ce moment important.

    Michel Janva

  • La tête de liste UMP aux Européennes Alain Lamassoure refuse les contrôles aux frontières nationales.

    Lu dans L'Express : Résultat, même Henri Guaino refuse de voter Lamassoure aux européennes ! Tête de liste UMP pour l' Ile-de-France, quand même !... Lire la suite »

  • Marine Le Pen en vidéo au meeting Vlaams Belang sur la Grand’Place de Bruxelles

    La soirée d’hier a été animée dans le centre de Bruxelles !

    Le bourgmestre – socialiste et franc-maçon – Yvan Mayeur avait interdit le meeting organisé par Vérités Bruxelloises, antenne francophone du Vlaams Belang, meeting auquel étaient annoncés Marine Le Pen et Aymeric Chauprade.

    Le Vlaams Belang ne s’était pas laissé démonter et avait introduit un recours en extrême urgence. Et le Conseil d’État a infligé hier en fin de journée un camouflet à Yvan Mayeur en  décidant de suspendre l’interdiction de meeting.

    Mais l’affaire ne s’arrête pas ici. Hier soir, la galerie de la Reine – dans laquelle se trouve la salle qui devait accueillir le meeting – était en état de siège. Des nervis « antifascistes » cagoulés et décidés à en découdre faisaient face à des militants nationalistes résolus à ne pas reculer.

    La direction du Vlaams Belang a estimé que les conditions n’étaient plus réunies pour permette au public d’accéder en toute sécurité au théâtre du Vaudeville. A raison car de violentes bagarres ont éclaté. Pourquoi la police a-t-elle attendu des affrontements avant d’intervenir, alors qu’elle était présente en nombre aux abords ? Faut-il y voir des consignes d’Yvan Mayeur d’attendre que la situation se dégrade avant de rétablir l’ordre ? Une façon bien classique de tenter de prouver qu’il y avait bien des risques de troubles à l’ordre public qui entouraient ce meeting… Alors qu’aucun incident n’aurait été à déplorer si la police s’était d’emblée positionnée entre les parties en permettant un accès correct et sécurisé à la galerie et à la salle.
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  • Procès contre Aube Dorée : un membre du gouvernement avoue l’existence d’un complot d’État

    Le gouvernement grec fait face à un énorme scandale depuis hier après des révélations du chef de cabinet du premier ministre, Antonis Samaras, selon lesquelles les arrestations et procès visant le parti nationaliste Aube Dorée a été monté intégralement par Samaras en personne.

    Des dirigeants de l’Aube Dorée sont sous le coup d’un vaste procès pour “participation à une organisation terroriste”. Le gouvernement Samaras ayant, sur demande du Congrès juif Mondial, décidé de frapper le mouvement nationaliste grec.

    Cette thèse vient de s’effondrer après la diffusion d’une vidéo dans laquelle le chef de cabinet du premier ministre grec, Panos Baltakos, donne son témoignage sur le rôle joué par le chef du gouvernement et le ministre de la Justice dans un coup monté contre l’Aube Dorée. Après la diffusion du document vidéo à la presse, Baltakos a donné sa démission.

    Ces révélations tombent on ne peut plus mal pour le pouvoir. Le jour même de ces révélations, le gouvernement de Samaras avait en effet demandé la levée de l’immunité parlementaire de cinq autres députés de l’Aube Dorée encore libres afin de les associer aux accusations formulées jusqu’à présent contre le parti. Et ainsi neutraliser ces représentants du peuple grec.

    Sans surprise, la presse française évoque l’affaire sous un angle biaisé. Ainsi Le Monde titre-t-il : “Grèce : le bras droit de Samaras soupçonné de collusion avec Aube dorée“. Ce n’est bien sûr pas ce qui créé un véritable scandale en Grèce, mais bien les révélations de Baltakos sur “l’inexistence de preuves” contre les députés arrêtés et le complot d’état orchestré par Samaras. Dans l’article du Monde, pas une ligne sur Samaras qui est pourtant au coeur de la vidéo

    Transcription de l’échange

    La vidéo ci-jointe est le document délivré à la presse. L’ancien candidat de l’Aube Dorée aux élections municipales d’Athènes et désormais chef du service de presse du parti,  Ilias Kasidiaris, y discute avec le ministre des Affaires Etrangères Panos Baltakos.

    Ilias Kasidiaris : Tout d’abord, comment a réagi Samaras (le premier ministre grec, NDLR) quand je suis sorti de prison ?

    Panos Baltakos : Il était aux USA à ce moment là.

    Kasidiaris : Oui il était aux USA mais j’ai entendu dire qu’il est devenu fou de rage.

    Baltakos : Il était choqué. Un bordel pas possible. Il ne m’a pas appelé. Je lui ai dit que ce qu’il était en train de faire… Je lui avais dit. Mais il ne voulait pas m’en parler. Il a appelé les deux autres et les a “baisé”. Athanasiou (ministre de la Justice d’alors, NDLR) et Dendias (ministre de la Sécurité Intérieure d’alors, NDLR). Il leur a dit : “Vous m’avez ridiculisé, c’est une blague ou quoi ?”. Parce que le jour précédent, il avait annoncé à la Convention du Congrès juif Mondial : “C’est fini, je les ai arrêté (les membres d’Aube Dorée), au revoir !” et le jour d’après tu étais relâché.

    Kasidiaris : Que s’est-il passé avec les enquêteurs qui nous ont laissé sortir ? Parce qu’ils ont changé d’avis après nous avoir relâché, avant qu’on avertisse les autres.

    Baltakos : Ils vous ont laissé partir pour une raison simple : il n’y avait aucune preuve.

    Kasidiaris : Oui il n’y avait rien.

    Baltakos : Et personne n’a mis la pression sur eux parce qu’ils pensaient tous que ça se passerait en douceur. Ils se disaient “Bon, de toute façon qu’est-ce que les enquêteurs feront d’autre ?”. Mais les enquêteurs n’avaient aucune preuve. Aucune.

    Kasidiaris : Mais il (Samaras) n’avait pas de preuves non plus contre les autres.

    Baltakos : Non parce que pour eux c’était juste une histoire de coup de téléphone.

    Kasidiaris : Qui a fait ces dégâts là-bas ?

    Baltakos : Ces deux-là.

    Kasidiaris : Athanasiou et Dendias ?

    Baltakos : Qui d’autre ?

    Kasidiaris : Et que dit Samaras de ces choses ? Est-il conscient de ce qui se passe ?

    Baltakos : Non. Au début il ne s’est pas rendu compte. Mais maintenant qu’il voit les sondages d’opinion… Comme le bourgeois qu’il est, il devine que des choses terribles vont se passer. Il m’a dit : “L’Aube Dorée tombera à 2%. Je lui ai dit : “Ils monteront à 20%”. “Tu es un branleur” m’a-t-il répondu.

    Kasidiaris : Qui lui a demandé (à Samaras) de faire tout ça ?

    Baltakos : D’abord, il a peur pour lui même. Vous lui infligez des coups et Syriza (extrême-gauche) prend la tête.

    Kasidiaris : On lui prend des votes, OK.

    Baltakos : C’est logique.

    Kasidiaris : Et parce qu’on lui prend des voix, il nous met en prison ?

     Baltakos : Fils de pute… Un truc incroyable…

    Kasidiaris : Et Goutzamani, les choses qu’elle a faite, j’ai des informations comme quoi elle serait totalement à droite.

    Baltakos fait le signe de croix.

    Kasidiaris : Elle est si croyante.

    Baltakos : Oui !

    Kasidiaris : Comment a-t-elle pu faire toutes ces abominations avec Vourliotis (Procureur général de la Cour Suprême grecque) et venir avec ces allégations ?

    Baltakos : Ils l’ont convaincue que les membres d’Aube Dorée sont des païens, des idolâtres, des nazis, opposés au Christianisme.

    Kasidiaris : Qui l’a convaincue de ces choses ?

    Baltakos : Athanasiou et Dendias.

    Kasidiaris : Vous allez chez le procureur et vous lui dites qui a monté tout ce plan, qu’Athanasiou a donné des ordres à Goutzamani, que Samaras donne des ordres à Athanasiou et ils vont tous au tribunal. Si vous êtes un homme juste, c’est ce que vous devriez faire.

    Baltakos : Si je faisais ça, il y aurait une enquête préliminaire qui durerait une heure et demi et qui serait enterrée.

    Kasidiaris : Vous pensez ?

    Baltakos : Evidemment ! Je ferais ça avec Samaras au pouvoir ? Chez quel procureur irais-je ? Goutzamani est le procureur. Je vais dénoncer Goutzamani à elle-même ?

    Kasidiaris : Comment Goutzamani est-elle devenue procureur de la Cour Suprême ?

    Baltakos : Parce qu’elle est du même village.

    Kasidiaris : Donc maintenant, elle renvoie l’ascenseur ?

    Baltakos : Oui, elle est du même village. Bon d’accord, pas du même village, mais d’un village voisin. Ils ont été dans les mêmes compétitions, ils ont le même âge. Ce sont des amis, il n’y a rien d’autre à chercher que ça.

    Source

    http://www.contre-info.com/proces-contre-aube-doree-un-membre-du-gouvernement-avoue-lexistence-dun-complot-detat#more-32190

  • La BCE, ou la politique de l’inaction

    La confiance est l’ingrédient primordial de la croissance ; aussi, lorsque les perspectives sont mauvaises, le discours officiel est à prendre avec précaution.
    La Banque centrale européenne a la haute main sur les taux d’intérêt en euros, ce qui signifie, dans un monde où les flux spéculatifs dépassent (et de loin) les échanges de biens réels, une influence certaine sur le taux de change de la monnaie. Ces dernières semaines, toute une série d’indicateurs économiques avaient laissé penser que la zone euro était en train de s’enliser dans la déflation, d’où une attention toute particulière portée à la réunion mensuelle de la BCE qui s’est déroulée hier à Francfort.
    Celle-ci avait le choix a) de ne rien faire, c’est-à-dire laisser son taux directeur (taux courts) à son niveau actuel de 0,25 %, b) l’abaisser une nouvelle fois à 0,15 % voire à 0,10 %, c) faire descendre exceptionnellement ce taux en dessous de zéro ou enfin d) porter son effort sur les taux obligataires (taux longs) en engageant, à l’instar de la Fed, un programme de rachat d’obligations souveraines (QE) 1. Seules ces deux dernières mesures auraient pu avoir un effet significatif (à la baisse) sur l’euro.
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