Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 810

  • Syrie : la mise en garde russe porte ses fruits ? accord sur la cessation des hostilités

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
    Les États-Unis et la Russie sont tombés d’accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur une « cessation des hostilités » en Syrie dans un délai d’une semaine afin de relancer le processus de paix et de stopper l’exode de civils.

    À l’issue de cinq heures d’intenses négociations à Munich (Allemagne), les deux pays et leurs principaux alliés ont convenu d’une cessation des hostilités dans tout le pays dans un délai d’une semaine et décidé un accès accru et « immédiat » de l’aide humanitaire aux civils en détresse.
    L’arrêt des hostilités concernera toutes les parties au conflit à l’exception des « groupes terroristes Daech (acronyme du groupe État islamique en arabe) et Al-Nosra (Al-Qaïda) », ont précisé les ministres des Affaires étrangères russes, Sergueï Lavrov et américain, John Kerry. Les États-Unis et la Russie vont piloter les « modalités » de mise en œuvre de cette cessation des hostilités. Sans doute les avertissements du premier ministre russe Dmitri Medvedev ont-ils été entendus.

    Dans un entretien au quotidien économique allemand Handelsblatt, paru aujourd’hui, le Premier ministre russe adresse une solennelle mise en garde aux États-Unis et à leurs vassaux.
    Dmitri Medvedev a en effet estimé qu’une offensive terrestre étrangère en Syrie présenterait « Le risque de déclencher une nouvelle guerre mondiale ». « Les Américains et nos partenaires arabes doivent bien réfléchir : veulent-ils une guerre permanente ? Pensent-ils qu’ils pourraient gagner rapidement une telle guerre ? Quelque chose de cet ordre est impossible, particulièrement dans le monde arabe », avertit M. Medvedev.

    L’Arabie saoudite a en effet récemment évoqué l’idée de dépêcher des troupes au sol en Syrie, dans le cadre de la coalition internationale contre le groupe jihadiste État islamique.
    Une proposition soutenue directement par le Pentagone. Pour Washington, il s’agit de contrer, par alliés interposés, l’offensive victorieuse de Bachar El-Assad contre Daech. À tel point qu’on peut se demander qui est l’ennemi principal pour les États-Unis : Bachar ou Daech… Rappelons qu’après la signature de l’accord nucléaire avec l’Iran, le Premier ministre israélien Netanyahu et son ministre des Affaires étrangères Moshé Yaalon n’avaient pas caché leur sympathie finale pour Daech. Rappelons également que depuis la mise sur pied de la coalition Occidentale anti-Daech, à l’été 2014, l’aviation américaine a mené quelque 10 000 sorties dont le seul résultat tangible semble d’avoir favorisé l’expansion du groupe islamo-terroriste. Vous avez dit bizarre ?

    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a par ailleurs fait une offre concrète de cessez-le-feu, lors de la réunion du « Groupe international de soutien à la Syrie », hier à Munich.
    Offre qui a donc été acceptée et ce alors qu’au même moment, en parfait petit vassal des États-Unis, le président français François Hollande demandait l’arrêt des frappes aériennes russes en soutien à l’armée syrienne contre Daech. L’indépendance de la politique étrangère française n’est décidément plus qu’un souvenir.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Effroyable prédiction de Poutine concernant l’Europe et la crise des migrants

    Vladimir Poutine a présenté deux voies possibles pour l’Union Européenne par rapport à la crise des migrants
    L’une d’elle serait de défendre par la force physique et l’armée les frontières de Schengen, la deuxième serait de laisser venir les migrants clandestins et avec eux des terroristes, ce serait alors la fin de l’Union Européenne ce qui pourrait induire/amener la troisième guerre mondiale et même un nouvel holocauste. 
    Selon le président russe, le plus important serait d’en finir avec l’arrivée des migrants au sein de l’UE et de dire clairement aux migrants, par les dirigeants de l’UE, de cesser de venir en Europe car ils seront rejetés.
     « Si les politiciens de l’UE ne se réveillent pas à temps, en moins d’une année l’enfer se déchaînera en Europe
    Pour les migrants qui fuient la guerre, ils devront être gardés dans des camps de réfugiés en Turquie jusqu’à ce que la guerre soit finie Syrie. 
    Selon Poutine, si les politiciens de l’UE ne se réveillent pas à temps, en moins d’une année l’enfer se déchaînera en Europe. 
     
     

  • Au Soudan un esclave chrétien coute 300 euros, une fillette 250 euros.

    KTO du 03/02/2016.

    ” Au Soudan, un garçon peut coûter 300 euros, une fillette, 250 ” rapporte le père Antonio Aurelio Fernandez, président de Solidarité Internationale Trinitaire. Cet organisme, fondé en 1999 par les Pères Trinitaires, soutient les personnes persécutées dans le monde à cause de leur foi, notamment les enfants soudanais chrétiens vendus par des marchands d’esclaves islamiques. Il vient nous livrer son témoignage dans Eglises du Monde. Une émission réalisée en partenariat avec l’Aide à l’Eglise en Détresse.

    Pour comprendre l’histoire tragique du Soudan où les chrétiens du sud ont dû lutter pendant 30 ans pour résister à l’islamisation depuis l’imposition de la charia en 1983, regarder ces deux autres émissions 1 et 2.

    http://islamisation.fr/2016/02/05/au-soudan-un-esclave-chretien-coute-300-euros-une-fillette-250-euros/

  • Objectif du Pentagone : Empêcher tout rapprochement entre l’Europe et la Russie

    Le secrétaire d’Etat à la Défense des Etats-Unis, Ash Carter, a présenté son budget 2016-2017, multiplié par quatre selon ATLANTICO, avec pour objectif prioritaire de développer les moyens de défense en Europe, c’est-à-dire l’OTAN, pour empêcher tout rapprochement entre la Russie et l’Europe…

    De ce point de vue, Sarkozy et maintenant Hollande (ancien young leader) avaient donné entière satisfaction aux maîtres de l’Empire en détruisant notre système diplomatique patiemment ciselé depuis de Gaulle, par les hôtes du quai d’Orsay. La grande spécificité de notre diplomatie, comme le rapportait Elie Hatem, durant le colloque du Réveil Français en juin 2015, était d’obliger nos partenaires étrangers à respecter le droit international de façon rigoureuse. Depuis la guerre du Kosovo, ce droit a été foulé au pied par l’OTAN avec pour la première fois le lâche consentement de nos dirigeants. Par la suite, ce rôle d’arbitre dévolu à nos diplomates s’est effacé au profit des discours idéologiques vaguement humanitaires comme le droit d’ingérence et autres prétextes pour intervenir et déséquilibrer les nations qui prospéraient en dehors de la sphère atlantiste. Enfin, l’entrée au sein du commandement intégré de l’OTAN de notre armée fut la dernière trahison perpétrée par Nicolas Sarkozy. Résultat : La voix de la France ne pèse plus très lourd aujourd’hui à l’ONU. La nouvelle politique d’alignement ne sert que les intérêts américains comme semblent l’exprimer sans complexes les hauts responsables du Pentagone. Dernier avatar de cette attitude soumise, la condamnation de la Russie et de la Syrie, par Paris et Washington, à cause de l’offensive contra Alep. Mais si le droit international était respecté, seule la Russie appelée à l’aide par l’état légitime syrien devrait pouvoir intervenir dans ce pays. Par ailleurs, c’est quand l’afflux d’armes et de munitions venant de Turquie a été interrompu par les forces Syriennes, qui désormais entourent complètement la ville, que nos Jocrisse se sont émus des victimes civiles causées par les bombardements russes. [....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Objectif-du-Pentagone-Empecher

  • Syrie : le grand tournant

    Les États-Unis semblent résignés ou décidés à laisser Poutine et l’ayatollah Kamenei, devenus leurs alliés de fait, régler leur compte aux forces rebelles.
    Porte-parole officiel et désastreux artisan, depuis quatre ans, de la politique étrangère de la France, Laurent Fabius s’offusquait, l’autre jour, qu’en lançant une grande offensive sur le terrain alors même que commençaient à Genève de bien fragiles pourparlers préliminaires supposés préalables à l’ouverture de véritables négociations susceptibles de déboucher sur la préparation d’une conférence qui serait hypothétiquement une première étape sur le difficile chemin qui mènerait peut-être un jour au rétablissement de la paix civile en Syrie, Moscou et Damas eussent torpillé les chances d’une « solution politique ».
    Le lointain successeur de Talleyrand était-il à ce point naïf ? On a peine à le croire. Il semble plus vraisemblable qu’il ait cédé au dépit en voyant les événements prendre une orientation qu’il n’avait ni prévue ni souhaitée.

    Lire la suite

  • Propagande russe contre propagande française (suite)

    Dans un reportage, France 2 a utilisé des images des frappes russe contre Daech en Syrie afin d'illustrer les succès de l'aviation française dans ce pays déchiré par la guerre. L'ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov, a déclaré, bon prince :
    "Il est peu probable que la Russie adopte des mesures quelconques. C'est une question d'éthique journalistique. Dans ce cas particulier, nous avons fait face à une falsification".
    La chaîne française France 2 s'est approprié des vidéos russes montrant l'opération russe en Syrie. France 2 les a diffusées pour illustrer le sujet des frappes aériennes effectuées par la Coalition internationale menée par les Etats-Unis. Le reportage mettait en relief le fait que ces frappes ont été effectuées à l'aide d'armes modernes de précision qui excluent les pertes civiles. Ces armes ont été comparées à celles de la Russie.
    Mais en illustrant "les succès" de la lutte contre l'EI, des vidéos russes fournies par le ministère russe de la Défense ont été utilisées. Avant de les montrer, la chaîne a préalablement effacé tous les titres en russe, ce qui indique que cette démarche n'était pas fortuite.
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/propagande-russe-contre-propagande-fran%C3%A7aise-suite.html

  • 11 Septembre: la voix dissonante de Rebekah Roth

    Interview de l’ancienne hôtesse de l’air Rebekah Roth, diffusée le 10 septembre 2015 sur le site américain SGTreport.com et sous-titrée en français par E&R Traductions : 

    Commentaire de Laurent Guyénot

    Rebekah Roth était hôtesse de l’air (stewardess) jusqu’en 2004. Son expertise professionnelle lui a permis de remarquer puis analyser des anomalies dans l’histoire officielle des attentats du 11 Septembre. À en juger par le grand nombre d’interviews données par Roth, sa contribution impulse un nouveau souffle à la recherche, et en tout cas ajoute une pièce importante au puzzle.

    Roth a résumé ses trouvailles sous la forme de deux romans, intitulés Methodical Illusion (2013) etMethodical Deception (2015). On peut critiquer ce choix, mais il lui a permis de toucher un large public.

    Certaines informations données ici par Roth ne sont pas nouvelles, d’autres méritent d’être vérifiées, corrigées ou relativisées. Mais ce qu’elle apporte de nouveau est crucial : il s’agit d’abord d’éléments passés inaperçus dans les communications téléphoniques des passagers (communications qui, comme on le sait et comme le confirme Roth, étaient strictement impossibles en 2001). Sur la base de ces éléments, Roth propose une réponse plausible à une question que beaucoup se posent : si les avions de ligne prétendument détournés (UA93 crashé à Shanksville, AA77 sur le Pentagone, AA11 encastré dans la Tour Nord, UA175 dans la Tour Sud) n’ont pas terminé leur vol là où on l’a dit, que sont-ils devenus, et que sont devenus leurs passagers ? Il est acquis, en effet, qu’aucun avion ne s’est crashé à Shanksville et que l’engin qui a percé plusieurs murs du Pentagone ne peut être un avion. Quant aux Tours jumelles, les avis divergent, mais il est en tout cas établi que les vitesses enregistrées (impossibles à basse altitude) et la précision des frappes exclut qu’il s’agisse de Boeing 767 (sans même parler de la capacité des « pirates » de les piloter).

    L’information cruciale sur laquelle repose l’hypothèse de Roth est que les Boeing 767 et 757 en question étaient équipés d’un système de pilotage à distance de type drone (flight termination/interruption system), conçu pour permettre de prendre depuis le sol le contrôle total de l’avion en cas de… détournement par des terroristes, par exemple. L’activation de ce système coupe instantanément le transpondeur, faisant ainsi disparaître l’avion des radars primaires, et privant les pilotes de tout moyen de communication, y compris de la possibilité de lancer un SOS. Cette donnée prend un sens accru lorsqu’on sait par ailleurs que ce système installé depuis peu sur certains Boeing était commercialisé par SPC International, une filiale de System Planning Corporation dont le Rabbin Dov Zakheim était PDG de 1987 à 2001, juste avant de devenir sous-secrétaire d’État du Pentagone, en qualité de comptroller (c’est lui qui calcula qu’il manquait 2 300 milliards de dollars dans les comptes du département de la Défense pour l’année 2000).

    À cette donnée, Roth relie certaines caractéristiques des appels téléphoniques des passagers, qui prouvent de façon concluante que les avions étaient au sol au moment de ces appels. (Roth émet l’hypothèse que les quatre avions ont atterris à la Westover Air Force Base dans le Massachusetts, laquelle était ce jour-là évacuée de son personnel.) Différentes hypothèses avaient préalablement été émises sur ces appels impossibles, y compris qu’ils avaient été fabriqués par morphing vocal. Or, non seulement les membres des familles des victimes qui reçurent ces appels reconnurent les voix, mais ils certifièrent qu’ils émanaient bien des portables des victimes. L’hypothèse de Roth est que les passagers passèrent ces appels sous la menace. Il est aussi possible qu’on les convainquît qu’ils participaient à un « exercice » (toujours la recette infaillible par réaliser un vrai faux-attentat). L’une ou l’autre hypothèse explique l’absence de bruit de fond dans ces appels, le calme apparent des passagers et le fait que certains sonnent faux, comme le fameux « Hi Mom, this is Mark Bingham » du vol 93.

    Les brêches de protocole décelables dans les appels des hôtesses de l’air Amy Sweeney et Betty Ong du vol American Airline 11 conduisent Roth, attentive à ces détails, à supposer que Sweeney a volontairement émis des indices du caractère contraint et forcé de son message, et du fait que l’avion se trouvait alors dans un hangar.

    À 00:58:04 de la vidéo, Roth fait quelques raccourcis : il faut retenir que, sur la base des appels de Ong et Sweeney, on a identifié l’un des preneurs d’otage comme le passager du siège 10B, qu’on l’a plus tard identifié sous le nom de Satam Al Suqami (son passeport s’échappera miraculeusement de l’avion et sera trouvé par terre dans une rue de Lower Manhattan), et l’on a conclu qu’il avait égorgé celui du siège 9B, juste devant lui. Or le passager 9B était Daniel Lewin, un « officier des forces spéciales de Sayeret Matkal, une unité d’élite de Tsahal spécialisée dans le contre-terrorisme » (Wikipédia), décrit comme un assassin professionnel [1].

    Deux appels furent prétendument émis depuis le vol AA77 par Barbara Olson à son mari Ted Olson. Barbara était une célèbre commentatrice sur CNN, tandis que Ted était Procureur général (Solicitor General) durant le premier mandat de George W. Bush (il avait défendu ce dernier dans l’élection contestée de 2000, puis Dick Cheney qui refusait de transmettre des documents au Congrès dans l’enquête sur Enron). Les appels de Barbara Olson, évoqués dès l’après-midi du 11 septembre sur CNN, furent déterminants pour cristalliser certains détails du mythe officiel, comme le fait que les pirates n’étaient armés que de cutters. Invité à plusieurs reprises sur les plateaux de télévision, Ted Olson s’est contredit à chaque fois au sujet des appels de sa femme, rendant son témoignage très suspect, et, dans un rapport de 2006, le FBI conclut que Barbara Olson n’avait émis en réalité qu’un seul appel de … 0 secondes [2]. À ces informations bien connues, Roth ajoute un détail d’importance : Barbara Olson, née Kay Bracher de parents juifs, avait étudié à la Yeshiva University School of Law, tandis que son mari Ted Olson avait défendu l’espion israélien Jonathan Pollard. Après ses études, Barbara fut embauchée par la firme juridique Wilmer Cutler Pickering (ou WilmerHale), dont faisaient partie Jamie Gorelick, futur membre de la Commission gouvernementale sur le 11 Septembre. Robert Mueller, nommé directeur du FBI le 4 septembre 2001, rejoindra WilmerHale en 2014 [3]. WilmerHale avait aussi parmi ses clients une société fondée par Daniel Lewin, Akamai Technologies [4], ainsi que la société Avid Technology, qui, selon Ace Baker, adepte de la thèse no plane, a fourni les outils informatiques permettant le traitement en direct des images du crash du WTC [5]. On ajoutera que WilmerHale a encore parmi ses clients Goldman Sachs, Monsanto, et surtout, plus significativement, Amdocs [6], l’une des deux entreprises israéliennes de services numériques (avec Comverse Infosys) impliqués dans l’espionnage aux États-Unis, comme l’a révélé Carl Cameron dans un fameux documentaire de décembre 2001 [7].

    On le voit, les éléments mis en évidence par Roth font avancer la recherche dans la direction de la part de vérité qu’un grand nombre de prétendus militants pour « la Vérité sur le 11 Septembre » préfèrent occulter : l’implication d’Israël, du plus haut niveau (Dov Zakheim) au plus bas (Daniel Lewin).

    C’est aussi dans cette optique qu’elle insiste, à juste titre, sur le groupe Gelatin et son projet « artistique » au 91ème étage de la Tour Nord, consistant à démonter une fenêtre pour installer un balcon extérieur. Cette équipe de 14 « artistes » (on connaît le nom de quatre d’entre eux, Wolfgang Gantner, Ali Janka, Florian Reither et Tobias Urban) est à mettre en relation avec les 200 espions israéliens appréhendés sur le territoire étasunien dans les mois avant et après le 11 Septembre, agissant sous la couverture d’étudiants en art vendant leurs œuvres (estampillées « made in China ») dans les bâtiments de la Défense américaine. Roth, il faut le préciser, fait un raccourci : les membres connus de Gelatin sont juifs, mais on les dit originaires de Vienne et non d’Israël [8]. Par ailleurs, affirmer que les boîtiers de fusibles BB18 « peuvent être utilisés pour le contrôle à distance de la démolition » (00:34:30) semble peu pertinent.

    Pour prolonger les remarques de Roth et formuler une hypothèse sur le rôle de Gelatin et de leur balcon, il faut rappeler que le Boeing AA11 s’encastra dans la Tour Nord entre le 92ème et le 98ème étages, et que les étages 93 à 100 étaient occupés par la compagnie Marsh & McLennan, dont le PDG était Jeffrey Greenberg, fils du richissime sioniste (et financier de George W. Bush) Maurice Greenberg, qui se trouve aussi être le propriétaire de Kroll Inc, la compagnie en charge de la sécurité dans tout le complexe du World Trade Center. Les Greenberg étaient aussi les assureurs des Tours jumelles mais, le 24 juillet 2001, ils avaient pris la précaution de réassurer leur contrat auprès de concurrents, ce qui leur évita d’avoir à indemniser eux-mêmes Larry Silverstein et Frank Lowy. En novembre 2000, le conseil d’administration de Marsh & McLennan accueillait en son sein (Lewis) Paul Bremer, celui-là même qui, en qualité de président de la National Commission on Terrorism, interviendra le 11 septembre 2001 sur le plateau de NBC, puis prendra la tête de la Coalition Provisional Authority (CPA) en 2003 pour organiser la destruction et le pillage de l’Irak. Le seul film de l’impact dans la Tour Nord étant celui des prétendus frères Naudet, hautement suspects, beaucoup de chercheurs sont persuadés qu’aucun avion n’a frappé cette tour, et que l’explosion simulant l’impact était provoquée par des explosifs précablés à l’intérieur de la tour. (On peut supposer et espérer que les 295 employés de la société Marsh & McLennan qui sont supposés avoir péri dans l’explosion font partie des nombreux morts fictifs.)

    Laurent Guyénot
  • La responsabilité de la CIA dans le conflit syrien épinglée par… la presse US !

    ♦ Un récent article du New York Times (*) confirme ce que de nombreux spécialistes pressentaient et que No Terror affirme depuis un long moment : la CIA dans sa guerre contre Bachar al-Assad, a bien soutenu des groupes djihadistes !

    Et elle l’a fait avec le soutien financier de l’Arabie Saoudite.

    Cette guerre secrète avait même un nom : Opération « Timber Sycamore » (Bois de platane). Et elle fut financée à raison de plusieurs milliards de dollars par l’Arabie Saoudite. Ce soutien se manifesta parfois même par une livraison directe par les Saoudiens de missiles antichar TOW à des groupes djihadistes tels que l’Armée de la Conquête, réputée proche d’Al Qaeda… Les Saoudiens avaient de quoi puisqu’ils ont acheté, à cet effet, pas moins de 13.000 (!) missiles TOW à l’armée américaine.

    Mais pourquoi ce financement saoudien d’une opération américaine alors que les Saoudiens avaient leurs propres canaux de financement pour la rébellion syrienne ? Tout simplement car comme toute opération secrète et donc, quelque part illégale aux yeux de la propre loi américaine, la CIA a eu besoin de budgets « spéciaux », de « caisses noires ». Mais vu l’ampleur de l’opération, ces budgets parallèles n’ont pas suffi et c’est là qu’on a fait appel aux Saoudiens. D’autant plus facilement  que les services secrets US et saoudiens ont une longue expérience d’organiser en commun des opérations de ce type. De plus, au début du conflit syrien, le chef des services secrets saoudiens était le prince Bandar qui était l’homme des Américains depuis bien longtemps. Il fut ainsi ambassadeur aux USA pendant de longues années et était réputé être un proche du clan Bush.

    Et il a joué un rôle de premier plan dans ce soutien. En particulier, en chargeant ses services de racheter des armes et des munitions en Europe de l’Est (et en particulier en Croatie) pour les fournir par la suite aux groupes terroristes.

    Le problème est que selon la DIA (Defense Intelligence Agency – Les services de renseignements de l’armée US), 60 à 80% des armes livrées par les USA et les Saoudiens sont tombées « dans de mauvaises mains ». Comprenez, des groupes djihadistes dont certains sont directement liés à Al Qaeda.

    Notons que la DIA a toujours manifesté son hostilité à soutenir inconditionnellement les groupes rebelles syriens sans vraiment s’assurer de qui il s’agissait ! Il est certain qu’on aurait dû les écouter !

    Centre Européen d’Information sur le Terrorisme
    www.noterror.eu  8/02/2016

    Source : http://www.noterror.eu/fr/la-responsabilite-de-la-cia-dans-le-conflit-syrien-epinglee-par-la-presse-us/

    http://www.polemia.com/la-responsabilite-de-la-cia-dans-le-conflit-syrien-epinglee-par-la-presse-us/(*) Article original The New York Times, 23/01/2016

    http://www.nytimes.com/2016/01/24/world/middleeast/us-relies-heavily-on-saudi-money-to-support-syrian-rebels.html?_r=0

  • Propagande russe contre propagande française

    Dans un article, le spécialiste de la désinformation à la française, Le Monde, s'inquiète de la propagande russe sur la crise des réfugiés en Europe. On y lit notamment :

    "La manifestation du 6 février organisée malgré son interdiction par la microscopique branche française de Pediga, rejointe par le général Christian Piquemal, ancien commandant de la légion étrangère, et surtout les procès qui ont suivi, ont fait l’objet d’un flot ininterrompu « d’informations ». Le 8 février, l’agence Russia Today, a littéralement inondé ses réseaux avec l’« arrestation » du général Piquemal – dont la comparution immédiate devant un tribunal a été ajournée en raison de son état de santé. « Cette arrestation a suscité une tempête de réactions sur les réseaux sociaux, une grande partie des internautes l’ayant fermement condamnée », assurait l’agence pro-Kremlin, avant d’afficher quelques minutes plus tard, « les réactions de responsables politiques de droite scandalisés ». Les témoignages recueillis et les tweets collectés provenaient en réalité tous de représentants du Front National – Robert Ménard, Gilbert Collard, Stéphane Ravier – à l’exception de Thierry Mariani, député des Français de l’étranger, membre du parti Les Républicains, et grand ami de la Russie de Vladimir Poutine."

    De fait, l'arrestation du général Piquemal a été l'un des sujets les plus traités sur le réseau twitter samedi dernier (le sujet "Piquemal" était en trending topics, abrégé « TT » sur Twitter, soit l'un des dix sujets les plus abordés sur le réseau), ce qui confirme l'information russe. Quant aux politiques qui ont manifesté leur indignation sur cette affaire, ils sont bien plus nombreux que ce que Le Monde insinue puisqu'il y avait aussi Jean-Frédéric Poisson (PCD) et Guillaume Larrivé (porte-parole LR), par exemple. Alors qui fait de la propagande ?

    Michel Janva

  • Bataille d’Alep : le ton monte

    Il aura fallu l’irruption de la Fédération de Russie sur le champ de bataille pour que la duplicité de la coalition occidentalo-arabe anti-État islamique apparaisse finalement au grand jour.
    L’armée arabe syrienne a lancé le 1er février, avec l’appui de l’aviation russe, une vaste opération pour libérer Alep, ancienne capitale économique syrienne et place forte de la rébellion depuis 2012. Comme toujours, les médias se sont complaisamment apitoyés sur les colonnes de ceux qui fuyaient les combats et l’avance des troupes gouvernementales. Manquait au tableau l’image de ces Aleppins des quartiers ouest restés fidèles à Damas dont la « la foule en liesse » accueillait les troupes gouvernementales en libératrices !
    Vivement ému, le secrétaire d’État américain John Kerry exigeait aussitôt l’arrêt des bombardements russes au motif de pertes civiles. La vérité est plus prosaïque, car si Alep se trouve complètement encerclée par les forces gouvernementales, le couloir de ravitaillement des rebelles avec la Turquie se verra coupé. À savoir les deux axes routiers Mayer/Anadan et Azaz/Alep par lesquels les unités salafo-wahhabites reçoivent leurs renforts en personnels, armes et munitions expédiés par les islamo-kémalistes de l’État profond turc. Autant dire que la rébellion court maintenant le risque d’un effondrement à court terme, surtout que l’armée de Damas est parvenue, le 4 février, à briser l’encerclement (en place depuis 2012) par les djihadistes de deux petites villes chiites, Nouboul et Zahra, dont la population a reçu les soldats loyalistes sous des pluies de riz et de fleurs. Ce qui signifie que plusieurs milliers, 5.000 peut-être, miliciens chiites seront disponibles pour joindre leurs forces à celles des assiégeants d’Alep.

    Lire la suite