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lobby - Page 2154

  • Illuminatis Le juge anti mafia Imposimato accuse le groupe Bilderberg de terrorisme FM

  • Osons aller à contre-courant de la pensée unique et totalitaire

    Communiqué d'En Marche pour la vie :

    "Depuis plusieurs mois, le gouvernement s’acharne à détruire les fondements mêmes de notre société en s’attaquant toujours plus à la Vie, à la famille et, chaque fois, à l’enfant.

    Ainsi, après avoir volontairement prévu d’empêcher certains enfants de grandir dans une famille composée d’un père et d’une mère le gouvernement a profité de la période estivale pour porter atteinte à l’embryon en substituant au principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon, celui de l’autorisation sous conditions.

    L’enfant « différent » parce qu’atteint d’un handicap, même léger, est l’objet de tous les dépistages en vue de son élimination in-utero.

    Depuis un an le gouvernement a pu mesurer la détermination de plus d’un million de manifestants qui refusaient l’adoption de lois qu’ils considéraient comme illégitimes et injustes.

    Malgré l’adoption de ces lois le combat continue car une loi injuste n’est pas une loi et n’oblige pas en conscience !

    Face à ces attaques incessantes contre l’enfant et tout particulièrement le plus fragile : l’enfant à naître, il est urgent et impérieux de faire entendre la voix des sans voix. Il s’agit de rétablir la vérité face aux mensonges qui entourent l’avortement, la recherche sur l’embryon, les manipulations génétiques, la fin de vie...Toutes lois ou projets de loi qui portent atteinte à la vie et à la dignité humaine. Osons aller à contre-courant de la pensée unique et totalitaire qui ne voit dans l’être humain qu’un élément de la société marchande, uniquement préoccupé de satisfaire ses désirs égoïstes.

    Soyons nombreux le dimanche 19 janvier 2014à Paris pour la grande Marche nationale pour la Vie."
  • Des militants de la culture de mort au CCNE

    Famille chrétienne propose quelques portraits de certains des nouveaux membres nommés au CCNE. Outre la sénatrice Michelle Meunier, favorable à la PMA et à un "débat" sur la GPA, nous trouvons

    • Jean-Marie Delarue – un proche de la gauche

    Réputé proche de la gauche, Jean-Marie Delarue a appartenu aux cabinets des ministres socialistes Jacques Delors et Michel Delebarre, et a été délégué interministériel à la ville et au développement social urbain sous le gouvernement de 1991 à 1994. [...]

    • Jean-Pierre Mignard – l’ami de François Hollande

    La nomination de Jean-Pierre Mignard peut difficilement échapper aux suspicions d’un choix politique. Ami proche de François Hollande, cet avocat rendu célèbre par son exposition médiatique dans plusieurs affaires judiciaires sensibles (écoutes de l’Élysée, DC-10 d’UTA, naufrage de l’Erika, Clearstream…) appartient au Conseil national du Parti Socialiste et a tenté sa chance aux élections législatives de 2012 à Marseille. Chrétien de gauche, le co-directeur de l’hebdomadaire Témoignage Chrétien a milité en faveur du mariage pour tous.

    • Cynthia Fleury – la plus jeune du CCNE

    [...] Chroniqueuse pour le journal l’Humanité depuis 2009, elle s’est exprimée à plusieurs reprises sur la fin de vie (« La loi de la mort  », « Le droit à l’interruption volontaire de vie », « Mourir en démocratie »), sans dévoiler une position claire sur le sujet.

    • Florence Gruat – ancienne membre de la Commission Sicard

    Docteur en éthique de la Faculté de médecine de l’Université de Paris XI et de l’Université de Paris VII – Diderot, Florence Gruat est directrice des soins au Centre Hospitalier spécialisé interdépartemental Théophile Roussel de Montesson. Membre du Département de recherche en éthique de l’Université Paris-Sud, elle a participé à la mission Sicard sur la fin de vie. Elle est membre du comité exécutif du Collectif « Plus digne la vie », présidé par Emmanuel Hirsh et opposé à l’euthanasie.

    • François Ansermet : la famille « père-mère-enfant » est une « invention »

    Psychanalyste, professeur de pédopsychiatrie à l’Université de Genève, ainsi que chef du Service de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent aux Hôpitaux Universitaires de Genève, François Ansermet est spécialisé sur les questions prénatales, obstétriques et de reproduction, qu’il traite dans une optique psychanalytique. Il appartient au conseil de la Fondation helvétique FABER (Fondation pour l’Andrologie, la Biologie et l’Endocrinologie de la Reproduction) dont la mission est de soutenir la recherche en Procréation Médicalement Assistée (PMA) et en Andrologie. Il a publié un ouvrage retraçant le vécu de la parentalité des couples stériles après la réussite d’une procréation médicalement assistée (PMA). Il s’est exprimé à plusieurs reprises sur les conséquences de l’homoparentalité sur les enfants. Il estime notamment que « le modèle classique [de famille] à partir duquel on dénonce ces familles particulières [homoparentales, NDLR] n’existe pas  ».

    Dans un entretien donné à Libération en 2008, il affirme que les concepts de père, mère et enfant « sont des inventions, des fabrications, des bricolages que chacun tente de mettre en place pour traiter l’impensable de l’origine et la complexité du rapport entre les sexes et les générations ».

    • Hervé Chneiweiss – un neurologue pour la recherche sur l’embryon

    Neurologue et neurobiologiste, Hervé Chneiweiss préside le comité d’éthique pour la recherche médicale et en santé de l’INSERM. Il a remplacé à ce poste l’actuel président du CCNE, Jean-Claude Ameisen. Hervé Chneiweiss est membre du conseil scientifique de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et techniques (OPECST). De 2000 à 2002, sous le gouvernement Jospin, il a été conseiller technique pour les sciences du vivant et la bioéthique auprès du ministre de la recherche, Roger-Gérard Schwartzenberg, connu pour ses positions en faveur de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Positions partagées par Hervé Chneiweiss dans les différents éditoriaux de la revue Médecine/Sciences."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Dossier spécial Nice/bijoutier (màj)

    Addendum 19.09.2013 : Editorial de François Sergent (Libé)

    Mais, comment des hommes politiques qui tiennent fond de commerce de la lutte contre la délinquance, Estrosi ou Ciotti pour ne citer que les locaux, peuvent-ils défendre un criminel ? Un règlement de compte à Marseille devient un acte de justice à Nice.

    Les réseaux sociaux dont on avait salué l’importance et la leçon de liberté à l’heure de la révolution iranienne et du printemps arabe fédèrent aussi des milliers de soutiens à Stéphan Turk, un homme qui selon le procureur de la République de Nice «a agi volontairement pour donner la mort à un malfaiteur».

    On n’est pas devant un cas ambigu de légitime défense mais devant un meurtre. […]

    Libération

    Addendum 18/09/13

    [...] Le bijoutier de Nice Stephan Turk s’exprime pour la première fois depuis le drame. Au micro d’Europe 1, il affirme ne pas sentir « coupable » du meurtre du jeune cambrioleur même s’il le « regrette ».

    « Pourquoi coupable ? Je me défends. C’est lui qui décide de venir chez moi avec des armes et m’agresser. Il a violé mes droits au magasin. Il a pris mes marchandises, mais bon c’est un accident », affirme-t-il.

    Le bijoutier donne des précisions sur les circonstances du drame. « Je ne sais pas ce qui s’est passé, ça a été trop rapide. Je voulais arrêter le scooter c’est tout. Je ne voulais toucher personne. Si j’avais voulu tirer sur lui, j’en avais l’occasion. Il était devant moi à un mètre ».

    Stephan Turk donne son sentiment sur la jeune victime et ses responsabilités.

    « Ce n’est pas lui le responsable, mais c’est son père ! Le jeune homme avait déjà été impliqué dans 14 affaires. Où est sa famille ? Où est son père ? Qu’est-ce qu’il dit son père au journal ? ‘Mon fils avait besoin d’argent’. Mais ça ne va pas ça » [...]

    TF1 News

    Addendum 17/09/13

    La famille d’Anthony Asli, le malfaiteur de 18 ans tué mercredi par le bijoutier de Nice, s’est constituée partie civile. Pour la première fois, Alexandra Asli, la sœur aînée de la victime, s’exprime.

    Le Figaro – Que vous inspire ce mouvement de soutien au bijoutier ?

    Alexandra Asli – Je ne comprends pas comment on peut le considérer comme un héros alors qu’il a tué mon frère. On nous téléphone à la maison pour nous insulter, on poste des choses horribles sur Facebook, on fait la fête place Masséna alors que mon frère est toujours sur la table d’autopsie. C’est indécent.

    Faites-vous confiance à la justice ?

    Oui, nous avons même appelé les jeunes au calme. Si on l’avait voulu, cela aurait pu vraiment dégénérer. Mais nous avons été élevés ainsi, dans le respect de la justice. [...]

    Le Figaro

    [...] « La justice, c’est pas Facebook, c’est pas Twitter », s’est insurgé lundi l’un des quatre avocats de la famille d’Anthony Asli, le braqueur tué par un bijoutier à Nice, estimant que la justice « ne peut être rendue sous la pression de l’opinion publique ». [...]

    Hebergeur d'image

    A ses côtés, en pleurs, Alexandra Asli, la soeur du jeune homme tué, dont le corps n’a pas encore été autopsié. Elle dit ne pas « comprendre l’ampleur » que cette affaire a prise, ni pourquoi « on salit la mémoire de (son) frère ». « Il n’était pas violent, les armes qu’il avait sur lui, c’était des fausses », a-t-elle assuré devant les journalistes.

    « Il était plein de vie, il était amoureux », a-t-elle ajouté, dressant aussi le portrait d’un  jeune homme « influençable », qui « n’avait pas 19 ans dans sa tête ». « D’accord c’était un petit délinquant. Mais aujourd’hui on prend la défense d’un assassin ! », s’est insurgée la jeune femme, faisant allusion au bijoutier mis en examen. « Qu’il aille en prison comme n’importe quel délinquant. Il lui a tiré dans le dos, l’a abattu comme un chien », a-t-elle dit, réfutant la thèse de la légitime défense.

    TF1 News

    16/09/13

    La manifestation en soutien au bijoutier qui a tué, à Nice, la semaine dernière, un braqueur, a débuté vers 14h. Un sentiment de ras le bol et d’insécurité. De nombreuses personnalités politiques sont présentes mais aussi des bijoutiers et des anonymes.

    http://www.fdesouche.com/406187-un-braqueur-grievement-blesse-par-un-bijoutier-a-nice#more-406187

    Rappel : je participerai à 14h au rassemblement Place Masséna, j'invite tous ceux qui le peuvent à être présents.

  • Dis moi ce que tu aimes…

    Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, partisan de la disparition de notre souveraineté nationale, membre du Siècle, humaniste,  nouveau chouchou des médias,  est forcement un mondialiste bien sous tous rapports.  Incapable de juguler l’explosion de la délinquance,  partisan de la poursuite de la dilution de l’identité française par l’immigration de peuplement, les  naturalisations  massives et de distribution  accrue de papiers français aux immigrés non européens, M. Valls  aime pourtant  jouer au dur. Il aime aussi donner en exemple sa  servilité vis-à-vis des mots d’ordre du Nouvel ordre mondial sous pavillon américain. Ce  fut le cas hier sur Europe 1 lorsqu’il a  accusé  Marine d’être  «dans le degré ultime de l’outrance et dans le degré zéro de l’analyse politique». Et ce, vous l’aurez compris au motif  que la présidente du FN   refuse de  soutenir  les  bellicistes atlantistes  qui veulent la mort de l’Etat laïc syrien.  Régime de Bachar el-Assad qui est effectivement « la moins pire de solutions » n’en déplaise au ministre de l’Intérieur  et à ses amis.

     Marine le Pen « n’aime pas la France et est incapable de porter un projet pour la France », a encore déclaré Manuel Valls récitant la petite phrase imaginée par ses communicants. Une   saillie qui ne manque pas de sel dans la bouche d’un homme qui a fait toute sa carrière au sein d’un PS qui est devenu au fil des ans une caricature de Parti de l’étranger. Soit un  agrégat de défense d’intérêts  clientélistes et communautaires,  chargé de vendre au bon peuple de gauche  les bienfaits  l’Europe de Bruxelles, de la monnaie unique,   de l’ultra libre-échangisme  mondialisé.

     M.  Valls sait aussi mettre les mains dans le cambouis pour verrouiller sa boutique. Selon Valeurs actuelles il a chargé Yves Colmou, ancien chef de cabinet de Michel Rocard à Matignon, ex conseiller de Lionel Jospin,  secrétaire national adjoint aux élections du PS, « récemment nommé préfet sans affectation, de s’occuper personnellement des nominations pour le corps préfectoral au sein de son cabinet ».

      M. Colmou a en effet un CV qui parle pour lui : «  Fondateur, en 1995, du département collectivité locales au cabinet Progress (dont le vice-président était Jean-Paul Huchon), Colmou s’est spécialisé dans le recrutement de hauts fonctionnaires de gauche pour les collectivités. »

     « Il refusait  dans le cadre de ses activités de consultant, de recevoir et d’aider les fonctionnaires classés à droite. Valls a  en outre, chargé son homme de l’ombre de superviser le redécoupage électoral (…).   Colmou va redécouper les circonscriptions des personnes qu’il a nommées dans ses activités privées et qu’il continue de nommer dans ses fonctions actuelles ». Bref précise Pierre Guyot sur le site Atlantico, M. Colmou est chargé de  « vérifier que cette nouvelle partition du territoire des départements ne portera pas préjudice aux élus locaux de gauche ».

     Tripatouillage électoral pour sauver les meubles l’année prochaine qui s’accompagne d’annonces démagogiques sans laquelle la gauche ne serait pas la gauche. Le Figaro se faisait l’écho aujourd’hui des réflexions du ministère de la Famille de  Dominique Bertinotti sur  un «statut de prémajorité» pour les adolescents de 16 à 18 ans.

     L’objectif serait de «passer progressivement à l’âge adulte (…).  Il ne s’agit pas de basculer tous les droits de 18 à 16 ans, mais de  grappiller  ce qu’il serait possible de faire dès 16 ans. Les experts réfléchiront aussi à la façon dont on pourrait associer les mineurs aux décisions qui les concernent, en matière d’éducation et d’orientation professionnelle notamment (..). »

     Est  ainsi  étudié  «  la possibilité d’accorder de nouveaux droits aux enfants.» Une idée qui est venue à (Dominique Bertinotti)  après son expérience de maire du IVe arrondissement de Paris, où elle avait institué des conseils d’enfants et des conseils de jeunes. Une idée qui correspond aussi au souhait de François Hollande de faire de la jeunesse sa priorité»…

     La priorité de la jeunesse ce ne sont pas des mesures gadgets  de ce type, le mariage pour tous, les assemblées bla-bla, mais de pouvoir s’insérer dans la vie active grâce à des filières d’études d’études et/ou d’apprentissages  performantes.La priorité de la jeunesse   c’est de trouver du travail dans un pays dont l’Etat défend la souveraineté,  la prospérité,  l’identité,  les intérêts nationaux d’abord . Un Etat qui au lieu de l’attaquer,  défende aussi la famille, lieu  de transmission des valeurs, d’éducation, de protection,  au sein de  laquelle les enfants sont les plus aptes à s’épanouir.

     Bruno Gollnisch le rappelait, « encore faut-il que l’Etat ne favorise pas le désordre moral. Je crois que dans la vie sociale, il y a un certain nombre d’équilibres à faire respecter,  que la famille est la cellule pour l’accueil de la vie, et pour l’éducation des enfants, et  qu’elle constitue notamment  la meilleure prévention contre la  délinquance. »

     Dans ce domaine là également, la rupture avec les  politiques menées par l’UMPS sont  d’une urgente nécessité.

    http://www.gollnisch.com/2013/09/24/dis-ce-tu-aimes/

  • Une ancienne présidente d'Act-Up à la tête des Verts ?

    Lu ici :

    Emmanuelle Cosse"Alors qu'il se murmure que Pascal Durand, poussé vers la sortie, jetterait l'éponge en novembre, un nom circule déjà pour le remplacer à la tête d'Europe Ecologie-les Verts : Emmanuelle Cosse. La vice-présidente du Conseil régional d’Ile-de-France chargée du logement pourrait être candidate. Selon une source citée par l'AFP, ce serait même "joué d'avance" : "Ce sera elle". "Elle fait la synthèse entre plusieurs courants. Elle est proche de la ligne de l’actuelle direction et elle est la compagne de Denis Baupin (député de Paris), faiblement critique du gouvernement", analyse un membre de la direction pour Le Monde.

    A 39 ans, cette proche de Cécile Duflot se présente sur son compte Twitter comme une "ancienne activiste contre le sida, écolo, féministe, amatrice de rugby". Emmanuelle Cosse est une militante née. Ses parents, kinésithérapeutes, anciens soixante-huitards, ont toujours été engagés à gauche. "Elle se sensibilise rapidement à la cause de tous les laissés pour compte des années 80. Entre les affiches de Karl Marx et du Che qui trônent sur les murs de l’appartement, la politique chez les Cosse, c’est une affaire de famille", écrit Technikart en 2000.

    Elle a seulement 17 ans lorsqu'elle croise la route d'Act up. "Je militais alors à la Fidl (Fédération indépendante et démocratique lycéenne, ndlr). C'était les grands mouvements du début des années 1990, où j'ai été même négocier avec Jospin. Mais bon, il fallait toujours suivre l'avis du chef", expliquera-t-elle à Libération en 1999. Année où elle se présente à la tête de l'association de lutte contre le sida. Du haut de ses 25 ans, elle devient la première fille, hétéro et séronégative à diriger Act up. Jusqu'en 2001. Un an après, la juriste de formation passe au journalisme engagé : Têtu, Regards...

    C'est en 2009 qu'elle rejoint Europe-Ecologie. "Fidèle des fidèles", sa désignation montre que "Cécile Duflot reprend la main sur la direction du parti", estime, à regret, un responsable des Verts cité par l'AFP. "L'objectif (de Cécile Duflot, ndlr) était d’écarter Durand jugé incontrôlable", abonde une députée citée par Le Monde. On verra le score qu’ Emma [Cosse] va faire au congrès. Elle est connue pour son autoritarisme." Un autoritarisme qui ne ferait pas l'unanimité au sein du parti."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le Front National continu sa "purge"

    Le Front National s’écarte encore de sa ligne doctrinale de départ, une récente affaire de purge (à comprendre dans le mauvais sens du terme !) l’a confirmée.

    L’affaire Chatelain relayée par la "grande presse", notamment l’Express du 04/09/2013 signalant que M. François Chatelain, candidat aux élections municipales de Neuville-en-Ferrain, a été écarté pour avoir publié une image sur sa page Facebook que voici :

     Capture d'écran de la page Facebook de François Chatelain.

    Le secrétaire général du parti, Steeve Briois, a fait savoir par communiqué que "les images et les propos publiés par François Chatelain (Neuville-en-Ferrain) sur sa page Facebook sont en totale contradiction avec la ligne politique du Front National"

    Il est évident que le monsieur en question, François Chatelain, a clairement manqué de prudence dans la mesure ou l’état actuel du Front National ne permet absolument pas de se "dévoiler" publiquement de la sorte, mais, devons-nous comprendre dans cette histoire que pour la fifille, "ici ce n’est pas la France", mais plutôt "Ici c’est Israël" ?!
    Pour comprendre cette situation au sein du Parti il faut en revenir aux postures de Marine Le Pen, rappelons qu’avant même d’être élue présidente, lors de l’affaire des successions au Front National, elle nous avait pourtant bien prévenus : "A la faveur de l’élection du président du Front National, c’est toute une ligne politique qui va être choisie. Et c’est essentiel. Ceux qui ne sont pas d’accord avec cette ligne politique [pro sioniste intégral], soit ils se soumettent à la volonté des adhérents du FN, soit ils se mettent en retrait", puis elle ajoutait "J’ai joué le choix. Parce que moi je crois que les synthèses, c’est nul" affirmation qui justifié plus tard l’écartement de L’Œuvre Française au sein du Parti politique.

    La "course à la dédiabolisation", dont nous sommes désormais nombreux à la critiquer, c’est elle-même qui l’a voulue, rappelons que dès 2002 elle avait affirmé en entretien à l’AFP "Je représente un visage nouveau qui répond à une attente des médias".

    Après les évolutions néfastes du Front National, y compris sous Jean-Marie Le Pen, puis après les exclusions d’Yvan Benedetti et d’Alexandre Gabriac, le manque de doctrine et la "purge" antinationaliste continu pour laisser la place a des éléments contraires… (1)

    (1) A voir : Philippe Ploncard d’Assac, Histoire d’une trahison & Confnérence de M. Rouanet

    http://francenationaliste.wordpress.com/2013/09/14/le-front-national-continue-sa-purge/

  • Soutenons Jérémy, combattant contre le mémoricide ! Signez la pétition de soutien !

    Le parquet a réclamé deux mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende et la mairie 5000 euros de préjudice... moral ! Verdict le 21 octobre - SIGNEZ LA PÉTITION DE SOUTIEN !

    FAJ ABAT L’ARBRE DU BICENTENAIRE DE LA RÉVOLUTION À BERTHENONVILLE : Le procès de Jérémy Thebault a lieu devant le tribunal correctionnel d’EVREUX, AUJOURD’HUI lundi 23 septembre 2013 à 13h30 (30 rue Joséphine à Evreux 27000). Venez le soutenir nombreux ! Reynald Sécher y sera entendu comme témoin pour expliquer au tribunal ce qu’est un mémoricide et un génocide.

    Arbre du paganisme républicain

    Sur son site :

    Le 29 mars 2013, à l’occasion de l’anniversaire du Généralissime François-Athanase de Charette et du 220 em anniversaire des guerres de Vendée,j’ai abattu à Berthenonville à la frontière entre le Val d’Oise et l’Eure, le chêne du bicentenaire de la révolution française planté le 25 novembre 1989.

    Si j’ai commis cet acte, c’est parce que je considère qu’un peuple qui n’a pas de mémoire n’a pas d’avenir.

    "Être d’accord dans le passé, le présent et l’avenir, voilà ce qui ferait de nous de très bons matériaux pour la construction de la maison française" disait Barrès.

    Or, une partie de l’histoire de France est complètement occultée par le régime en place. Et pour cause, puisqu’il s’agit d’un génocide dont la république française est elle-même responsable. Grâce à un travail remarquable d’hommes comme Reynald Secher, nous avons toutes les preuves que ce génocide a eu lieu. Pourtant la république refuse de le reconnaître. Pire encore, depuis le génocide un véritable mémoricide a été instauré, c’est à dire "une politique de déni généralisé, globalisé et systématisé, ayant pour conséquence l’incapacité pour les victimes de se définir par rapport à ce génocide et pour corollaire l’impossibilité pour la justice de faire son oeuvre et donc de voir émerger une mémoire collective conforme aux faits".

    Mon acte est donc un acte anti-mémoricide afin de faire reconnaitre le génocide des Vendéens.

    Plus que jamais nous devons pouvoir faire le deuil de nos morts, mais surtout, nous devons faire reconnaître la cruauté excercée à leur encontre, le caractère spécifique de cette cruauté, et j’ajouterai même les valeurs prônées pour justifier de cette cruauté.

    Nous ne pouvons laisser plus longtemps des arbres, des monuments, des rues et des noms de lycée insulter cette mémoire en portant les noms d’acteurs d’un génocide franco-français au nom de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Lorsque nous aurons réussi cela, la république sera démasquée. Elle sera discréditée. Elle n’aura plus de raison d’exister. Jérémy Thebault

    Président de France Action Jeunesse "

    http://www.actionfrancaise.net