Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 2453

  • Éric Zemmour : « C'est la France périphérique qui paie cher la réforme de la SNCF »

    BILLET - Les usagers habituels des trains ont payé un lourd tribut à la grève des cheminots. Et notamment ceux qui vivent loin des grandes villes, constate Éric Zemmour. [RTL 5.04]. Il montre que droite et gauche confondues se sont accordées pour mener une politique du rail qui favorise les classes dominantes bobos des grandes métropoles. Les élites friquées, privilégiées, bobos de droite et de gauche réconciliés par Macron qui y a trouvé son électorat. Minoritaire mais dominant.  LFAR 

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Ce sont des images qui ont tourné en boucle sur nos écrans. De rares RER bondés pris d'assaut. Ou au contraire, dans la grande couronne, comme on dit, dans des territoires largement ruraux, des gares vides et des rails encombrés de passagers qui ne savent à quel saint se vouer.

    Autour de toutes les grandes villes françaises, et de la métropole parisienne en particulier, le même spectacle désolant. Pour tous ceux qui n'ont pas les moyens de vivre en centre-ville, la galère des transports n'est pas une expression toute faite, mais une cruelle réalité. 

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Une filière démantelée à Montpellier : chaque étranger « mineur » isolé coûte 100 000€ par an aux Français

    14568314.jpg

    Et ce n’est qu’une des nombreuses filières d’acheminement d’étrangers dans notre pays. Les clandestins resteront en France, l’argent ne sera jamais remboursé et nous continuerons à accueillir les étrangers mineurs isolé qui coûtent plus de 100 000€ par an et par personne ! Un scandale d’Etat…

    Pour la première fois dans ce genre d’enquête difficile et de longue haleine, les policiers français et ivoiriens, qui ont uni leur coopération grâce notamment à des officiers de liaison en poste à Paris et dans ce pays africain, sont parvenus à identifier et à arrêter la tête du réseau. Il était à la fois le faussaire qui a procuré à de jeunes adultes les faux documents d’état-civil -18 ans et 20 ans, au lieu de 15 ans et 17 ans figurant sur les pièces d’identité-, mais également l’organisateur des migrations illégales en bateau en Europe, via la Libye, l’Italie et enfin la France avec comme destination finale, Montpellier. Il utilisait des passeurs.

    Lire la suite sur ContreInfo

  • Alexandre Del Valle : « il serait temps de s’attaquer à la base islamiste, qui n’est pas que djihadiste »

    AVT_Alexandre-Del-Valle_4467-600x400.jpg

    Et si le sacrifice d’Arnaud Beltrame marquait un tournant dans la lutte contre l’islamisme? Son geste a-t-il forcé une prise de conscience des politiques?

    En tout cas, pour le géopolitologue Alexandre Del Valle, Emmanuel Macron a le mérite d’avoir –enfin– ciblé l’ennemi. Un ennemi islamiste qu’il décrypte dans son dernier ouvrage. Entretien.

    https://fr.novopress.info/210293/alexandre-del-valle-il-serait-temps-de-sattaquer-a-la-base-islamiste-qui-nest-pas-que-djihadiste/

  • Le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) rejoint Les Amoureux de la France

    6a00d83451619c69e201b7c95e22f5970b-320wi.jpg

    La plateforme Les Amoureux de la France, cofondée par Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Frédéric Poisson, Robert et Emmanuelle Ménard vise à rassembler autour d'un projet commun toutes les forces d'oppositions de droite pour battre Emmanuel Macron et ce qu'il représente (mondialisme, fédéralisme européen, communautarisme, immigrationnisme, centralisme jacobin) :

    « Nous sommes discrets mais pas moins actifs. Notre bureau politique a voté à l'unanimité pour nous ancrer à cette démarche collective, a clamé le président du CNIP, Bruno Noth. Ensemble, nous avons vocation à unifier toutes les composantes de la droite, de gommer nos divergences et de faire en sorte que la victoire soit possible. » Ce qui ne l'empêche pas de régler quelques comptes: « On en a marre que nos idées soient mal défendues par des personnes qui se prétendent à droite », a-t-il fustigé. Dans le viseur de ce libéral-conservateur, qui a appelé à voter FN au second tour de la présidentielle, « Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy »…

    Et Marine Le Pen ? S'il s'est gardé de prononcer le nom de la présidente du Front national, ce nouvel allié de Nicolas Dupont Aignan n'en dénonce pas moins sa « ligne ni droite-ni gauche », preuve selon lui « d'un manque de colonne vertébrale »: « Nous, on sait où on est. Le clivage gauche-droite demeurera. »

    Nicolas Dupont-Aignan a confirmé cet ancrage à droite :

    " Nous appellerons, à terme, à une grande coalition avec le parti Les Républicains qui aura clarifié sa ligne, et avec un FN qui aura clarifié sa ligne "

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après la profanation de la tombe de l'abbé Perrot :

    29792292_10156371508894216_2181698276602937344_n.jpg

    Que s'est-il passé ? cliquez ici

    Sur l'assassinat de l'abbé Perrot :

    Partie 1 cliquez ici Partie 2 cliquez là

  • Le parquet de Paris veut interdire de dire "Le changement de population, c'est maintenant !"

    Le parquet de Paris a requis hier 5 000 euros d'amende avec sursis contre Nicolas Dupont-Aignan jugé pour provocation à la haine ou à la discrimination pour avoir évoqué une "invasion migratoire". Le respect de la liberté d'expression pour un homme politique est de plus en plus menacée en France :

    N. Dupont-Aignan
     
    @dupontaignan

    En 2016, les socialistes compensent la baisse de natalité par l'invasion migratoire. Le changement de population, c'est maintenant !

    Suite à ce tweet de 2017, Nicolas Dupont-Aignan s'était justifié sur France Info :

    "Nous sommes, face au phénomène migratoire en France, face à un déni de réalité. Ces chiffres sont effrayants. La réalité, c’est que, pour la première fois, l’immigration légale (je parle pas des clandestins, je parle pas des demandeurs d’asile qui se voient refuser l’asile - et qui sont pas expulsés) aboutit à 226.000 entrées légalisées sur le territoire, alors que l’excédent naturel français est l’un des plus bas de ces dernières années puisque nous sommes passés à 198.000. Cela veut dire que, comme on a réduit la politique familiale, comme on a réduit le pouvoir d’achat, comme ils ont accablé les Français d’impôts, les migrations prennent de l’ampleur.

    Je suis attaché à l’égalité des droits des Français et des étrangers quelle que soit leur couleur, leurs origines. Mais il ne peut pas y avoir d’assimilation, c’est-à-dire d’égalité des droits, de modèle républicain quand on est pas capable de maîtriser les entrées sur notre territoire. On atteint la cote d’alerte. Nous devons absolument bloquer l’immigration et renforcer la natalité. [...] J’assume ce que je dis : si on continue à ne pas maîtriser les flux dans notre pays, la population change et l’assimilation républicaine ne se fait plus par l’emploi ni le destin commun. [...] Si on ne fait rien, on est en voie d’un remplacement de population qui n’est pas bon pour la population française ou étrangère car elle remet en cause notre modèle républicain."

    Suite à ce réquisitoire stalinien, Debout La France publie ce communiqué :

    DZ9aAMDX0AAFIbp.jpg large

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • MÉLINA BOUGHEDIR, CETTE CITOYENNE FRANÇAISE QUI RISQUE LA PENDAISON EN IRAK

    minutenews.fr-melina-boughedir-la-djihadiste-francaise-est-jugee-en-irak-pour-terrorisme-2018-03-24_12-28-55_276642.png

    On ne sait pas grand-chose de l’immense souffrance qui frappe les familles des victimes des crimes islamistes commis à Trèbes, Marseille, Nice, Paris, etc. On ne connaît déjà plus les noms de ces victimes, si l’on excepte le père Hamel et le colonel Beltrame. Des époux, des épouses, des parents, des enfants, condamnés à souffrir à vie parce qu’un jour, un djihadiste a décidé de frapper au hasard dans la foule immense. Et l’on remonte alors désespérément l’arbre terrible des causes, l’enchaînement des banalités qui conduit à la tragédie : s’il avait fait ses courses une heure avant, si elle n’avait pas raté son train, si…

    Aujourd’hui, on apprend que Mélina Boughedir, une citoyenne française de 27 ans, mère de quatre jeunes enfants – dont un bébé âgé de moins d’un an -, devrait être rejugée en Irak pour terrorisme, alors qu’il y a un mois à peine, son retour en France était considéré comme imminent. La justice irakienne avait ordonné son expulsion après l’avoir condamnée pour entrée illégale sur le territoire irakien. Elle risque, aujourd’hui, la peine de mort par pendaison.

    Cette jeune femme avait rejoint la zone irako-syrienne en 2015 avec son mari. Ce dernier, Maximilien Thibaut, était un radicalisé bien connu de la Justice et des services de renseignement français, notamment pour avoir fait partie de l’organisation Forsane Alizza, un groupuscule islamiste dissous en 2012. Maximilien Thibaut a probablement été tué durant la bataille de Mossoul. En février dernier, l’avocat de Mélina Boughedir, Me Vincent Brengarth (coauteur du livre Les Dérives de l’état d’urgence), déclarait à RTLque sa cliente (qu’il n’avait pas encore rencontrée !) « regrettait son départ » et qu’« elle était sous l’influence de son compagnon ». L’arbre terrible des causes prenait forme. Si elle n’avait pas été sous influence, si…

    Le 8 juillet 2017, Mélina Boughedir avait été arrêtée à Mossoul avec ses quatre enfants par les forces irakiennes. Les trois aînés (huit, cinq et trois ans) furent rapatriés en France en décembre 2017, le nourrisson étant resté avec sa mère. Évidemment, on peut imaginer l’immense souffrance de ces jeunes enfants. Quelle va pouvoir être la vie de ces innocents ? Il faudrait être un barbare pour ne pas y penser une seconde. Il fallait y penser avant, diront des âmes moins compatissantes.

    Leur mère devait donc être expulsée d’Irak. Mais voilà, la Justice irakienne vient de faire appel du jugement. Elle devrait maintenant examiner l’éventuelle participation de Mélina Boughedir à des activités terroristes. En février dernier, France Info relayait une information de l’agence américaine Associated Press : des sources irakiennes affirmaient que la Française avait appartenu aux brigades féminines de la police morale de l’État islamique. Cette brigade, créée en 2014, entièrement composée de femmes, avait pour mission de contrôler la bonne application de la charia et parfois de punir, par le fouet. Le Centre international pour la paix et les droits de l’homme (CIPADH) avait publié, en avril 2017, un focus sur cette brigade d’amazones voilées qui, à l’évidence, n’avait rien d’une gentille ligue de vertu. Cela explique peut-être pourquoi Mélina Boughedir, cette « femme au foyer » qui « n’avait pas participé à des actes de violence », selon son avocat, doit aujourd’hui rendre des comptes à la Justice irakienne.

    Mélina Boughedir va probablement bénéficier de la visibilité médiatique de son avocat, qui ne manquera pas d’essayer de faire pleurer dans les chaumières françaises. Pas certain qu’il y réussisse, la compassion de nos compatriotes allant plutôt, aujourd’hui, vers les malheureux qui n’ont pas eu le choix lorsque l’arbre terrible des causes s’est abattu sur eux.

    http://www.bvoltaire.fr/melina-boughedir-cette-citoyenne-francaise-risque-pendaison-irak/

  • Le moment est une fois encore venu de refuser la dictature rouge dans les entreprises comme dans les universités

    6a00d83451619c69e201b7c95e202e970b-800wi.jpgDe Bernard Antony :

    "Des raisons essentielles motivent notre opposition sur bien des plans à la politique d’Emmanuel Macron et de son gouvernement. Celle-ci est en effet d’une part modelée par le vieil étatisme jacobin, imprégnant toujours l’énarchie dirigeante ; de l’autre, par le libertarisme sociétal de déconstruction humaine, familiale et sociale tel que procédant de la connivence idéologique Macron-Bendit-Schiappa.

    Mais on ne saurait pour autant appuyer irresponsablement n’importe quelle force, n’importe quel mouvement opposés à ce régime. La politique du pire est en effet toujours la pire des politiques. La vérité, c’est qu’on ne saurait par principe désapprouver le gouvernement lorsqu’il veut réformer la vieille structure de la SNCF, de plus en plus sclérosée, coûteuse et non sans risque d’insécurité. Ce que l’on doit regretter, c’est qu’il ne s’attaque pas du tout au centralisme paralysant de la SNCF, alors que le pays a partout besoin de la réanimation de son système de transport ferroviaire.

    Le remède n’est évidemment pas dans ce que propose la nébuleuse groupusculaire archéo-communiste ou lénino-trotskyste constitutive des noyaux dirigeants d’un syndicalisme politiquement détourné de sa fonction. La prise en otage qui pourrait durer, des mois durant, de la plus grande partie de la population active du pays ne peut être acceptée. Elle est ruineuse, paralysante, destructrice du bien commun national. La réapparition des drapeaux rouges et noirs rappelle les plus mauvais moments de notre histoire d’après-guerre. Une partie du peuple découvre avec stupéfaction que la dictature de la violence bolchevique ne relève pas que des fumées de l’histoire.

    Même si nous lui sommes profondément opposés sur d’autres plans, on ne peut que souhaiter que notre gouvernement fasse preuve de l’énergie salvatrice qui fut celle en 1948 du grand ministre socialiste de l’Intérieur, Jules Moch. Celui-ci, Français juif, grand combattant de la guerre de 14 et également résistant, père d’un fils également résistant, tué par la Gestapo, ce Jules Moch, dans son discours historique prononcé le 16 novembre à l’Assemblée Nationale, déclarait notamment que « le bolchevisme moderne est la plus gigantesque entreprise de dépravation de l’homme qui ait jamais existé ». Presque soixante-dix ans plus tard, en 2018, il se trouve encore des bolcheviques tels que le lénino-trotskyste Besancenot pour prôner la violence révolutionnaire dans les universités au mépris de la grande majorité des étudiants qui ne veulent ni d’études malmenées ni d’examens au rabais. Le moment est une fois encore venu de refuser la dictature rouge dans les entreprises comme dans les universités."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html