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Selon Presse-Océan, le député LFI de Loire-Atlantique Andy Kerbrat, actuellement en arrêt pour soigner son addiction à la drogue, a été inscrit parmi les opposants à plusieurs amendements lors du vote de la loi contre le narcotrafic à l’Assemblée nationale le 24 mars 2025. Ce vote a été réalisé par procuration par sa collègue Ségolène Amiot, également députée LFI, qui s’est alignée « comme toujours » sur la position de son groupe politique.
Je connais mes classiques rassurez-vous. Je connais le “Si vis pacem para bellum” si tu veux la guerre prépare la guerre. Mais cette locution latine parfaitement juste n’est qu’une partie, une petite partie de l’équation que j’appelle “guerre & paix”. Vous pourriez ajouter utilement l’Art de la Guerre de Sun Tzu ouvrage militaire le plus ancien puisque datant du 6ème siècle avant JC. Pour Sun Tzu la victoire ultime qui doit être recherchée est celle qui s’obtient à moindre coût et la plus belle des batailles est celle qui peut être évitée. Pas à tout prix bien évidemment.
Voilà ces femmes, les sourcils en accent circonflexe, expliquer qu’on les brime, qu’elles ne peuvent pas porter leur voile religieux pendant les épreuves en compétition et les entraînements et qu’ainsi elles sont discriminées, le tout selon un processus toujours identique qui consiste à hurler à la mort, chaque fois que les sociétés occidentales ne plient pas sans broncher devant leur religion, exogène rappelons-le. On a envie de leur dire, comme toujours, que ce soit à l’université, dans le sport ou lors d’un entretien d’embauche : « Puisque ce voile pose problème, vous n’avez qu’à l’enlever ». Non, ce serait trop simple, elles se discriminent elles mêmes et accusent les autres de les discriminer. Il n’est pas rare en Europe, qu’il y ait un « dress-code » en entreprise, on n’occupe pas n’importe quel poste dans n’importe quelle tenue et cela ne choque personne, s’applique à tout le monde, sauf à elles.
Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, vient de publier chez Via Romana Mémoires identitaires. François Bousquet en fait la critique suivante dans la revue Éléments : « Il est des mémoires qui sentent la naphtaline, fossilisés dans la nostalgie. Mémoires identitaires n’en fait pas partie. Ce sont des mémoires de guerre et d’espoir, comme disait un homme que Jean-Yves Le Gallou n’a pas totalement exclu de son panthéon. Un demi-siècle de luttes politiques et métapolitiques défile sous sa plume, non comme un album photo jauni, mais comme une bataille en cours. On a vu des générations de dissidents partir en fumée, s’échouer dans des compromissions ou l’oubli. Pas Jean-Yves. Il ne s’est jamais laissé ranger sur l’étagère des reliques. Si l’opposition, c’est la vie, comme disait Balzac, alors nul ne vit plus que lui. »
Invité sur CNews mardi 25 mars, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a évoqué un rapport “alarmant” sur les Frères Musulmans.
« J’ai – malheureusement il est aujourd’hui classifié confidentiel – un rapport absolument alarmant sur les visées des Frères musulmans. Je vais le déclassifier ».
Dhoihir Dhoulkamal était ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale des Comores jusqu’au remaniement du gouvernement d’Azali Assoumani, en juillet dernier, et, donc, à ce titre, protégé par son immunité diplomatique. Mais six mois et un cyclone plus tard, il est sous le coup d’un mandat de recherche international, visé par une enquête préliminaire pour des fraudes présumées de... 251.000 euros à la caisse d’allocations familiales (CAF) entre 2015 et 2022. Hélas, confie le procureur de Saint-Denis (Réunion) au journal Le Monde, « nous ne savons pas où il se trouve, ni comment le contacter malgré nos recherches ».
En 1971, Jean-Paul Belmondo disait à Jacques Chancel dansson émission Grand Amphi: « je joue pour tous les publics, les communistes, les royalistes, les tout ce qu’on veut mais je n’ai pas à influencer les gens. Le métier d’acteur sert à les distraire et pas à leur mettre des idées dans la tête ». Voilà bien un homme, un grand acteur – un vrai tout simplement, pas un ersatz de comédien comme nombre de ceux d’aujourd’hui –, qui savait où était sa place.
À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.