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À peine le procès de Cédric Jubillar s’achevait-il que commençait celui de Dahbia Benkired, l’assassin algérienne de Lola. Le fil de la première journée permet de mieux connaître des détails sordides qui n’avaient pas été révélés au public, il y a trois ans.
Un simple contrôle routier et des policiers qui déroulent un fil inattendu jusqu’à une fabrique de faux papiers : un Tunisien de 22 ans, en situation irrégulière,a été condamné à 2 ans de prison et à une ITF de 5 ans vendredi à Grasse (Alpes-Maritimes).Une jeune femme de 27 ans qui lui avait acheté des faux papiers, poursuivie également pour une série de petits délits, a été condamnée à 18 mois de prison. Tous deux sont maintenus en détention et interdits du territoire français pour cinq ans à l’issue de leur peine.
Le PS, nouvelle béquille de la macronie qui, pour une poignée de haricots, sauve Lecornu. Ne pas censurer parce que Lecornu aurait cédé à la pression insoutenable que ce micro parti en voix mais important en sièges, aurait exercé sur son gouvernement est une plaisanterie ! De quelle victoire parle-t-on ? De la suspension éventuelle de la réforme des retraites jusqu’en 2027 ? La belle affaire, d’abord il faudra une nouvelle loi, elle n’est pas encore votée, ni même présentée. On peut imaginer que la macronie, ne souhaitant pas remettre en question cette réforme ne fasse pas grand-chose pour favoriser cette interruption. Lecornu aura alors beau jeu de dire, « ben, c’est pas de ma faute, la loi n’a pas été votée »… D’autre part le résultat attendu par cette suspension est-il bien à la hauteur des désirs du PS, ou des affirmations qu’il s’échine à lancer un peu partout, laissant croire à un vrai retour à la retraite à 62 ans ?
Au fur et à mesure que le temps passe, plusieurs choses se mettent en place avec une quasi-impossibilité de retour en arrière.
D’un côté, nous avons un Macron adulescent dont l’ego surdimensionné ne le laissera jamais démissionner. Cet ego étant plus important que tout le reste, il fait absolument tout pour faire durer le plaisir jusqu’en mai 2027. Ce qui veut dire qu’on se retrouve avec une vingtaine de mois pendant lesquels il va multiplier les manœuvres de pure politique politicienne pour tenter de faire durer son mandat.
Ça y est, le débat parlementaire sur le budget de l’État pour 2026 (projet de loi de finances) a commencé. Comme le veut la règle, les députés vont d'abord examiner les recettes (« ressources et équilibre »), après viendra l’examen des dépenses (« crédits des missions »). Un projet de budget qui « ambitionne de redresser les comptes publics », nous explique le site officiel Vie publique. Cela, d’une part, à travers une baisse des dépenses de l’État, hors Défense nationale, ce qui représenterait, toujours selon Vie publique, « les deux tiers de l’effort budgétaire total » - sans, d'ailleurs, en indiquer le montant. D’autre part, par une hausse des recette fiscales, « en particulier par un effort supplémentaire des contribuables les plus aisés à hauteur de 6,5 milliards d'euros et par la poursuite de la rationalisation des niches fiscales (la France en compte actuellement 474 pour un coût total de 85,1 milliard d’euros) », souligne Vie publique, la hausse des impôts pour les « plus aisés » étant, en quelque sorte, l’arbre qui cache la forêt des hausse d’impôts et de taxes qui vont frapper en 2026 à tous les étages, et ce, même jusqu’au local poubelle !
À Caen, une jeune fille mineure a été agressée sexuellement jeudi soir par un homme armé d’un couteau. La victime a réussi à s’enfuir avant que l’agresseur, interpellé par la police, ne prenne la fuite.
A la une de cette édition, nous vous parlerons de la prochaine rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine, qui aura lieu à Budapest en Hongrie, et cherchera un terrain d’entente jusqu’alors introuvable sur la guerre en Ukraine.
Pascal Praud a bien des qualités, journalistiques et sans doute humaines. Il a, en particulier, l’immense mérite de soumettre à débat des sujets qui, sans lui et les grands médias dans lesquels il officie, ne seraient abordés (et encore) que sous l’angle du politiquement correct. Cependant, son tropisme sarkozyste le conduit parfois à ne pas voir ou vouloir voir ce qui pourtant crève les yeux.
Il y a 232 ans, Louis XVI, roi de France et de Navarre, était décapité. Avec lui étaient tuées les bases d’un pays solide ainsi que ses racines fondamentales. Les révolutionnaires avides de sang mettaient en place une hérésie gouvernementale, « la république », en promettant monts et merveilles.
Aujourd’hui, que reste-t-il de ces chimères ? Rien, si ce n’est le chaos.
C’est un rapport du Sénat, une institution pas franchement complotiste qui tire la sonnette d’alarme sur l’effondrement de notre industrie automobile et qui préconise le report de l’interdiction des moteurs thermiques fixé à 2035 par idéologie (Source ici).
Voilà ce que disent nos aimables sénateurs à qui je ne vais pas donner tort cette fois-ci !