
François Bayrou, lanceur d’alerte ? C’est ce profil avantageux que le Premier ministre aimerait laisser, sur la question du surendettement public. Hier, il a présenté sa décision de solliciter la confiance du parlement, le 8 septembre, comme une audacieuse prise de risque. Le but : réveiller les consciences des Français sur l’état des finances publiques (3345 milliards d’euros de dettes, soit 113,9% du Pib). A l’entendre, il n’y aurait pas d’autres alternatives que de le suivre ou de laisser le pays sombrer.





