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France et politique française - Page 91
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Orange, samedi 7 septembre : université d'ét de Reconquête !
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Le droit du sang revient par la fenêtre
Combat royaliste 37
Par Philippe Germain
Dans le cadre de nos huit réflexions sur l’Outre-Mer français,et particulièrement sur les troubles de Nouvelle-Calédonie – instrumentalisés par l’Azerbaïdjan jouant le « proxy » du président russe désireux de rendre service à l’impérialisme chinois dans la zone Pacifique –, nous avons appelé un chat un chat et le « gel » du droit du sol… le droit du sang. L’Action française lui est favorable… au droit du sang, au jus sanguinis : oui, est Français celui qui naît de parents français, tout simplement.
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Ce désordre établi qui dessert la France.
La rentrée politique s’annonce compliquée, et la difficulté à trouver un titulaire pour le poste de Premier ministre n’augure rien de bon pour la suite qui, par principe en somme, ne satisfera pas grand-monde : la Gauche regroupée sous la marque « Nouveau Front Populaire » semble déjà hors-jeu, condamnée à jouer la carte de la rue pour peser encore ou, tout simplement, se faire entendre ; la Droite nationale, elle, pourra utiliser la menace de la censure (ou, au contraire, de sa non-censure, encore plus stressante pour ses adversaires…) pour continuer à exister parlementairement parlant ; les Républicains modérés, prisonniers de leurs contradictions et de leurs doutes, hésitent à franchir le pas de Matignon malgré les dénégations de leur chef de file Laurent Wauquiez… Les socialistes se divisent aussi, écartelés entre la radicalité robespierriste de Mélenchon, leur plus fidèle ennemi, et la modération radicale de Cazeneuve, l’éternel pince-sans-rire de la République…
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Macron-Mélenchon : la fin de la Ve République
De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :
Le 24 août, nous avons battu un singulier « record » : le gouvernement de Gabriel Attal est démissionnaire depuis plus de 38 jours, c’est-à-dire qu’il a battu le précédent record de l’après-guerre, détenu par le gouvernement de René Mayer, sous la IVe République, qui avait démissionné le 21 mai 1953 (son successeur, Joseph Laniel, n’étant investi que le 28 juin).
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Arrivée de Thaïs d'Escufon dans l'émission de Cyril Hanouna sur Europe 1
La réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
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Le socialisme et les mentalités de Gauche ont provoqué l’effondrement de notre école
Le socialisme est-il le fossoyeur de l’éducation en France ?
La question peut sembler provocatrice mais dans notre pays, qui dépense plus que ses partenaires européens (pas moins en tout cas), comment expliquer nos désastreux résultats éducatifs sans tenir compte de l’ambiance socialiste qui prédomine dans les écoles depuis plus d’un demi-siècle ?
Le socialisme (qui est de fait majoritaire dans les esprits et au ministère de l’EN depuis 1968) n’est-il pas le premier responsable de la situation déplorable des apprentissages en France ? :
- Renoncement généralisé au travail, au dépassement de soi,
- Culture du moindre effort, du minimum syndical,
- Egalitarisme et psychologisation à tout va,
- Culture de l'excuse permanente.
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LE PROGRAMME FULL ZINZIN DE CASTETS
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Après Mougins et La Grande-Motte, les étrangers délinquants toujours impunis
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Besançon (25) : Agression d’une femme de 89 ans à son domicile : frappée, trainée et aspergée de lacrymogène pour 20 euros. Khedidja Chemlel condamnée à 5 ans ferme. Elle dit voler pour “payer les dettes de stups de son fils”
La victime de 89 ans s’avance lentement à la barre du tribunal de Besançon. Le visage bleui par les coups, elle s’assoit doucement sur le banc des parties civiles avant de relever la tête et de faire face à son bourreau. Moment saisissant. Dans le box des prévenus, Khedidja Chemlel, 53 ans, n’ose pas tourner la tête. Elle le reconnaît : « Je n’ose même pas la regarder tellement j’ai honte. J’ai agi comme un monstre ». (…)
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Mascarade Lucie Castets : le RN a sifflé la fin de la récréation
On a cru que le parti à la flamme était tombé en catalepsie depuis les élections législatives. Certes, lui qui rêvait d’un Jordan Bardella à Matignon, soutenu par un groupe majoritaire, il était tombé de haut. Était ensuite venue la pioche sidérante des postes-clé de l’Assemblée nationale, où l’ensemble de la classe politique s’était largement servie en ostracisant le RN, c’est-à-dire, mine de rien, quelque 11 millions d’électeurs.