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Science et techniques - Page 37

  • Energie éolienne: les chercheurs russes annoncent une révolution

    Les chercheurs de Vladivostok, situé sur les côtes russes du Pacifique, ont proposé une solution technologique nouvelle qui permettrait d’éviter plusieurs problèmes propre à l’énergie éolienne. Les caprices du vent ne seront plus un problème. Les nouvelles éoliennes à axe vertical pourraient fonctionner par tous les temps et partout.

    Le vent est une source d’énergie renouvelable et ses capacités semblent illimitées. En tout état de cause, nombre de pays a appris à l’utiliser d’une façon efficace. Dans certaines régions d’Allemagne, les éoliennes produisent jusqu’à 40 % de l’énergie. Cependant l’énergie éolienne n’avance pas à grands pas. Les raisons en sont simples : les coûts élevés et les risques écologiques provoqués par les infrasons. Enfin, la météo même est instable, ce qui veut dire qu’on ne peut pas se fier entièrement aux éoliennes.

    sources alternatives
    Les sources alternatives d’énergie

    La plupart des éoliennes ont un axe de rotation horizontal. Cela permet d’accroître leur rendement et d’installer la turbine à une grande hauteur au-dessus de la terre, là où le vent souffle plus fort. L’alternative est l’axe vertical qui tourne près de la terre. Auparavant cela était considéré comme peu raisonnable car le vent près de la terre est faible et le rendement de la turbine diminue proportionnellement à la vitesse du vent. Pourtant le chargé de cours de la chaire des technologies de la production industrielle à l’Université fédérale d’Extrême-Orient Viktor Tcheboksarov et ses collègues proposent cette construction en dépit de ses défauts apparents.

    Tout dépend de l’endroit où est installé le générateur. Les chercheurs de Vladivostok ont proposé de l’installer en mer ce qui permet de multiplier le rendement par 10 et plus. « L’avantage des constructions nouvelles est dans leur installation au-dessus de la surface de la mer où le vent est plus fort et régulier », note Viktor Tcheboksarov.

    L’éolienne des spécialistes de Vladivostok est installée sur un ponton. Sa stabilité horizontale est assurée par son ancrage. Un mat peu élevé se trouve au centre de la construction au-dessus de l’eau et un rotor composé de pales tourne lentement autour. L’énergie est transmise par des tiges vers le moyeu central relié au générateur. Viktor Tcheboksarov explique:

     » C’est comme un anneau formé par des yachts dont les voiles sont des pales. Le diamètre d’un système type d’une capacité de 10 MW est de 200 mètres environ et l’envergure des pales est de quelque 40 mètres. Pour notre système il ne peut y avoir de limitations technologiques en ce qui concerne la puissance. Ainsi nous pouvons créer un générateur éolien de 100 MW « .

    Cette invention pourrait servir à approvisionner en énergie des villages éloignés sur le littoral. La technologie nouvelle permet de résoudre entre autres le problème du transport: la nouvelle éolienne peut être remorquée sur la mer. A l’opposé des versions classiques, nul n’est besoin de renforcer les fondements si sa puissance est augmentée, car le système est maintenu par l’eau.

    L’invention russe a été testée et a reçu 17 brevets en Russie. Maintenant c’est le tour d’un brevet international. A l’heure actuelle l’éolienne développée par les chercheurs de Vladivostok subit une expertise dans plusieurs pays du monde.

    Source: RIA Novosti/La Voix de la Russie

  • La transition énergétique avec Philippe Murer

    Le chemin de l’avenir

    Si la transition énergétique est au cœur du discours des « écolos », ce n’est pas la préoccupation première des Français. Il est pourtant certain que le problème se pose. Le pétrole devient de plus en plus rare et donc cher. C’est le fameux Peak Oil : le pétrole n’existe pas en quantité infinie, et, à partir d’un moment, maintenant ou au plus tard dans quelques années, il devient de plus en plus cher à extraire et sera de toute façon rationné. C’est le point de retournement à partir du moment où la moitié du pétrole mondial a été extrait. Déjà, le prix du baril de pétrole a été multiplié par 7 entre 2001 et 2013, et la tendance n’a aucune raison de s’inverser durablement. Cela pèse sur la balance extérieure de la France : tous les ans, nous importons quelque 70 milliards d’euros d’énergie fossile. En second lieu, la consommation d’énergie non renouvelable augmente le CO2 et, quelles que soient les controverses sur le réchauffement climatique, augmente la part anthropique de celui-ci. Enfin, la transition énergétique peut être un gisement d’emplois.

    Le regard est-il pessimiste en ce qui concerne les réserves naturelles ? Le gaz de schiste n’est-il pas la solution ? Outre le danger de son extraction, et le coût élevé des méthodes les moins intrusives – et qui le restent – les réserves mondiales en pétrole de schiste sont estimées à 4 ans de consommation. Elles ne sont donc pas le moins du monde une relève durable. 

    Revenons au réchauffement climatique. Si la part des facteurs naturel et anthropique fait l’objet de controverses scientifiques, il n’est pas niable qu’il y a une part anthropique. Elle amène des phénomènes comme l’acidité croissante des océans et une diminution de la biodiversité. Il y a aussi le risque d’effet « boule de neige » dans le cas de dégagement de méthane dans les régions jusqu’ici gelées (arctique).

    Il faut donc aller vers la transition énergétique, donc vers les énergies renouvelables combinées aux économies d’énergie. Pour le secteur résidentiel et l’industrie, cela se présente moins difficilement que pour le transport et l’automobile. Néanmoins, les voitures à pile à hydrogène seront bientôt au point. Sans parler des voitures électriques mais aussi des voitures à eau ou à air comprimé, qui gênent tant les industriels adossés à de vieux schémas et à des chaines de profits fondées sur les voitures à pétrole.

    Ce qui est sûr, c’est que les progrès techniques ne pourront pas suppléer à un nouveau mode de consommation : plus sobre, plus collectif dans les transports. Un grand virage est nécessaire. Quel est le coût réel du nucléaire ? Comment aller très concrètement et pas à pas vers les énergies renouvelables ? Comment produire, comment stocker les énergies renouvelables ? Jusqu’où pourrait-on mener à bien un programme en ce domaine ? Comment pourrait-on le financer ? Il manquait pour cela une étude solide. Un économiste l’a fait. Rigoureusement et sans omettre aucun aspect. Il est déjà connu pour ses analyses de la crise financière et ses textes sur le site du « forum démocratique » et de l’ « association pour un débat sur le libre-échange ». Depuis des années, il plaide pour un protectionnisme raisonné et raisonnable. Lisez-le. Sa clarté est étonnante, sa démonstration impeccable. Oui, c’est possible. Oui, la transition énergétique vers les énergies renouvelables est possible. C’est au politique de décider. Et aux citoyens de pousser à la roue.

    notes

    Philippe Murer, La transition énergétique. Une énergie moins chère, un million d’emplois créés. Mille et une nuits, 214 pages, 5 €

    Pierre Le Vigan

    Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EFAAAlVupycCoLBXdf.shtml

  • Visions du Cosmos

    Il est très difficile de se rendre compte de l’immensité de l’Univers et pour nous y aider, des scientifiques ont réuni dans une vidéo toutes les informations connues par l’Homme à ce jour.

    A travers différentes échelles, elle explique de façon très claire la taille gigantesque de l’espace en partant d’une petite portion de la Terre jusqu’aux confins de l’Univers.Cette vidéo a été réalisée par le Planetarium Hayden, situé au centre de New York.

    En six minutes, elle nous fait parcourir plus de 14 milliards d’années-lumière aller-retour et nous apprend beaucoup de choses sur l’univers dans lequel nous vivons. Les données incorporées dans ce film proviennent de douzaines d’organisations dans le monde.

  • L'opinion des plus riches compterait 15 fois plus que celle des électeurs lambda dans l'adoption des politiques

    Qui gouverne vraiment dans une démocratie comme les Etats-Unis? Jusqu'à quel point le peuple est-il souverain? C'est le sujet d’un article à paraître (1) dans la revue Perspectives on Politics (2), par Martin Gilens (Princeton) et Benjamin Page (Northwestern university), dont les conclusions ne sont pas tout à fait suprenantes, mais certainement déprimantes.
    Dans le système démocratique américain, le citoyen moyen a peu ou pas du tout d’influence sur les décisions politiques, selon les deux chercheurs en science politique. Ils ont analysé le résultat de 1.779 politiques publiques menées ces vingt dernières années (3), détaille dans le Washington Post Larry Bartels, professeur de politiques publiques et de sciences sociales à l’université Vanderbilt, pour arriver à ce résultat: l’élite économique, constituée des 10% de citoyens situés au sommet de la distribution des revenus, et les groupes d’intérêt organisés qui défendent des intérêts économiques (par exemple les associations représentant des branches professionnelles) ont 15 fois plus d’influence sur les politiques menées que les citoyens moyens et les groupes d’intérêt de masse (comme les syndicats).
    Ce que résume le site Mother Jones par la formule: «tout le monde se fout de votre avis tant que vous n’êtes pas riche» (4), reproduisant deux graphiques de l’étude qui permettent de comparer l'impact d’une opinion des riches et groupes d’intérêts et lobbys d’une part, et l’impact des avis de la masse des citoyens d’autre part.

    Chateau

    La ligne rouge représente la probabilité qu'une politique soit adoptée. Les préférences des citoyens (à gauche) et des élites économiques (à droite) sont représentées par les colonnes grises. On voit que pour une même distribution des opinions, le destin des politiques publiques est différent selon qu'elles sont soutenues par la majorité ou seulement par les élites économiques. Via Mother Jones. 
    Comme le précise Mother Jones, le fait que l’opinion publique penche d’un côté ou de l’autre ne change pas la probabilité qu’une politique soit adoptée. Quand la majorité est pour, il y a 30% de probabilité qu’une politique passe et quand la majorité y est opposée il y a encore… 30% de probabilité que la politique soit adoptée.
    Quant aux groupes d’intérêts qui disposent d’une base populaire importante, ils ont une influence qui n’est que la moitié de celle des groupes d’intérêts d’affaires.
    Par quels moyens les riches maximisent-ils leur influence? Selon Larry Bartels dans le Washington Post, des études montrent que leur accès aux représentants du Congrès est par exemple bien plus aisé que celui d'un simple électeur. Ils disposent ainsi de plus d'attention de la part des décideurs.
    Gilen et Page font passer la théorie dominante, conclut Larry Bartels, celle selon laquelle la société américaine élabore sa politique en fonction d’un «pluralisme majoritaire», pour une mauvaise hypothèse scientifique, et semblent montrer que le cadre dans lequel s’élaborent les politiques publiques est plutôt celui d’une domination des élites économiques et d’un pluralisme biaisé par la prééminence de celles-ci dans les décisions politiques.

    Notes

    Source : http://www.slate.fr/monde/85943/opinion-riches-electeurs-lambda

    (1) http://www.princeton.edu/~mgilens/Gilens homepage materials/Gilens and Page/Gilens and Page 2014-Testing Theories 3-7-14.pdf

    (2) http://journals.cambridge.org/action/displayJournal?jid=PPS

    (3) http://www.washingtonpost.com/blogs/monkey-cage/wp/2014/04/08/rich-people-rule/

    (4) http://m.motherjones.com/kevin-drum/2014/04/nobody-cares-what-you-think-unless-youre-rich

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EFAZVFApAlEZnhVWGc.shtml

  • Jacques Collin : « L’intelligence des plantes est démontrée par la CIA »

  • NBIC : homme augmenté ou homme asservi ?

    En France, le transhumanisme est une notion médiatiquement récente : inventer une néo-humanité passe plus par la défense des droits sexuels à la sauce LGBT que par une transformation mécanique des individus.

     

    Mais cette notion d’une humanité augmentée par la technique n’est pas qu’un fantasme de science-fiction ou le rêve de quelques savants à l’éthique atrophiée : c’est le projet soutenu par Google, l’entreprise la plus puissante du monde. Ce soutien n’est pas qu’une posture “citoyenne” : c’est un axe de développement stratégique qui pousse le moteur de recherche à acheter, fin 2013, huit sociétés de robotique, dont Boston Dynamics, spécialiste de la simulation humaine (comportement et physiologie). Et qui a poussé Apple à recruter des experts en médecine connectée et à nommer l’un de ses membres PDG de Calico, société créée par Google pour lutter contre le vieillissement.

    Cette alliance du virtuel et du réel a un nom : NBIC, pour Nanotechnologies, Biotechnologies, Informatique et sciences Cognitives. L’idée est de faire converger ces sciences pour améliorer les performances humaines – voire l’espèce humaine, les transhumanistes n’hésitant à prédire l’immortalité pour ceux qui auront accepté de s’augmenter convenablement : Laurent Alexandre, président de DNAvision, leur thuriféraire français, le promettait lors d’une conférence TED à Paris, le 6 octobre 2012, et 2045 est la date magique à laquelle l’humanité est censée pouvoir s’affranchir de la mort (le site de propagande 2045.com regroupe tous les éléments nécessaires pour comprendre l’idéologie sous-jacente).

    Le signe NBIC lui-même, qui se présente comme une évidence, est déjà une façon de forcer le débat en présentant cette alliance comme une convergence économique “naturelle”. Les biotechnologies regroupent le séquençage du génome et la biologie de synthèse. Avec un coût du séquençage désormais inférieur à 100 euros (selon les pays et les acteurs), le marché est gigantesque, puisque connaître son génome c’est maitriser sa santé. La femme du co-fondateur de Google, Sergey Brin, a ainsi fondé la société 23andMe, spécialisé dans le séquençage et la détection des problèmes médicaux (jusqu’à ce que le gouvernement américain lui demande de suspendre cette activité). [...]

    Philippe Mesnard - La suite dans L’AF 2882

  • Doute climatique

    Episode 1 : La terre ne se réchauffe pas

    Le changement climatique est devenu une nouvelle religion. Ses grands prêtres considèrent que la messe est dite et répètent en boucle fermée leur litanie :

    • la terre se réchauffe et la température moyenne du globe pourrait augmenter de 6° en un siècle,
    • les émissions de CO2 d’origine humaine sont coupables de ce réchauffement,
    • les conséquences pour la planète seront catastrophiques avec notamment une montée du niveau des océans, la fonte de la banquise, l’accroissement de l’amplitude des tornades,
    • seule une réduction drastique des émissions de CO2 peut encore éviter la catastrophe,
    • et bien évidemment, il y a un parfait consensus scientifique sur le sujet donc il est inutile d’en discuter, il faut agir !

    Les hérétiques qui osent contester le moindre aspect de la doctrine sont fustigés par les inquisiteurs climatiques et accusés d’être des suppôts des intérêts pétroliers ou des néo-conservateurs.

    Et pourtant, il y a de très sérieuses raisons de douter de tout cet édifice. On peut même affirmer qu’il est très probable que tout est à peu près faux : la terre ne se réchauffe plus, les émissions de CO2 d’origine humaine ont un rôle négligeable sur la température du globe, et le consensus scientifique n’existe absolument pas.

    Commençons par la première observation, la plus fondamentale : la terre ne se réchauffe plus depuis 1997.

    Selon le « Climate Research Unit » de l’université d’East Anglia et son directeur Phil Jones, qui fait autorité en la matière, la température moyenne sur toute la superficie du globe est constante depuis 1997,  dans une période où a pourtant été envoyé dans l’atmosphère près d’un tiers de tout le CO2 émis depuis le début de l’ère industrielle. Phil Jones est l’un des principaux pourvoyeurs de données du GIEC. Richard Lindzen, titulaire de la chair Alfred Sloan du MIT, ancien auteur principal du GIEC, confirme les observations d’East Anglia. Plusieurs autres instituts indépendants très réputés concluent également à la stagnation de la température du globe : GISS, NOAA, HadCRUT, UAH, RSS.

    De fait, même le GIEC dans son dernier rapport s’est résigné à admettre que la température du globe est stable depuis plus de 15 ans. Mais il parle de palier, d’une sorte de pose avant la reprise de l’ascension. Evidemment la courbe en « Hockey Stick » qui montrait une ascension brutale de la température du globe depuis le début de l’ère industrielle était beaucoup plus saisissante. Mais on sait maintenant qu’elle était une imposture, qui a permis à Al Gore et consorts de s’enrichir. Le GIEC n’y fait plus aucune allusion mais son nouveau paradigme du palier est une autre forme d’imposture.

    L’hypothèse de loin la plus probable est celle du cycle de soixante ans bien connu des spécialistes du soleil. Depuis plusieurs siècles, la température moyenne du globe monte, stagne, baisse, stagne, puis remonte dans un mouvement de sinusoïde de période 60 ans. La dernière phase de refroidissement a eu lieu de 1945 à 1960. Elle a été suivie d’une stagnation de 1960 à 1975, puis d’une phase de réchauffement de 1975 à 1997 : c’est cette période qui a donné naissance à la théorie du réchauffement climatique. Le réchauffement de 1975 à 1997 a été de 0,6°C. Il était comparable de 1915 à 1940, alors que le taux de CO2 dans l’atmosphère était beaucoup plus faible.

    Depuis 1997 la température stagne alors que le taux de CO2 continue à augmenter. Nous sommes en fait en haut du cycle et il est très probable que la température va commencer à baisser.

    Le GIEC laisse entendre que malgré cette pose, nous sommes sur une tendance globale haussière. En fait les scientifiques pensent le contraire.

    D’après S.I. Akasofu (2010) la terre se remet lentement du dernier coup de froid dû à une sieste du soleil, le « Minimum de Maunder », intervenu sous Louis XIV. Depuis cette époque, la température s’élève d’un  quart à un demi-degré par siècle, avec une modulation par le cycle solaire de 60 ans. Ce cycle se corrèle parfaitement avec la vitesse du soleil par rapport au centre de gravité du système solaire. Les variations de l’irradiance solaire sont causées par celles du diamètre du soleil, liées à son mouvement par rapport à celui des planètes. Un article de N. Scafetta de 2009 mettait cet effet en évidence mais il n’est pas même cité par le GIEC.

    Par ailleurs, selon S.K. Solanski de l’Institut Max Planck (2004), le soleil sort d’une période de 50 à 60 ans d’activité intense sans équivalent depuis 6000 ans. La tendance est en train de s’inverser laissant entrevoir une période plus froide.

    Le consensus actuel est ainsi clair : la terre ne se réchauffe plus depuis plus de 15 ans et va très vraisemblablement entrer dans une période de refroidissement.

    Nous verrons dans notre prochain épisode que le CO2 est un parfait innocent.

    DANTON

    http://www.resistance2017.net/?p=831#more-831

  • « Le progrès technique est-il un mieux ? »

    Le Centre d’Études et de Prospective sur la Science (CEP) tient sa journée de conférences annuelle, ouverte à tous, sur le thème : « Le progrès technique est-il un mieux ? » le samedi 12 avril 2014, à l'auditorium du lycée La Salle Saint-Nicolas, 6 Rue Vaudétard, 92 132 Issy-les-Moulineaux.

    Conférenciers :

    • Claude Polin ("La technique avancée peut-elle libérer l'homme ?"),
    • André Eggen ("L’être humain deviendra-t-il prisonnier de son génome ?"),
    • Docteur François Plantey ("Sur les progrès de la médecine"),
    • Dominique Tassot ("L'homme apprenti-sorcier").

    Programme détaillé sur le site Internet du CEP.

    Formulaire d’inscription à imprimer et renvoyer à l’adresse indiquée. Pour tout renseignement, courrier électronique à cep.colloques@gmail.com , ou téléphone : 01 70 25 14 45 (Maxime), doté d'un répondeur.

    Michel Janva