l'information nationaliste - Page 1106
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VERMINES-SUR-ISERE - Le Forum du PdF
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Quand Poutine apprend l’histoire de France à Macron : à propos d’Anne de Kiev
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[Satire à vue] Campagne EELV : à défaut des sondages, les fesses s’envolent
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Lâches soulagements
Un fait résume la situation du pays : en 20 ans, la dette publique de l'État central parisien, est passée de 1 000 à 3 000 milliards.(1)⇓
Ce 2 décembre, un titre presque joyeux du quotidien Le Monde annonçait pourtant une nouvelle inattendue. Un répit, faussement miraculeux, venait d'être encore donné au gouvernement français par l'agence de notation financière américaine Standard & Poor's.
Tout porte, hélas, à croire inutile et artificiel ce petit bol d'oxygène. Bercy compte en effet l'utiliser en 2024 pour pouvoir, sans trop souffrir du retour des taux d'intérêts à un niveau normal, lancer plus de 235 milliards d'euros de dettes nouvelles. Or, sur ces 235 milliards, 142 correspondront au déficit prévisionnel, cependant que 93 milliards serviront à couvrir les échéances d'emprunts antérieurs.
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La loi ordonnant le génocide vendéen publiée au JO du premier août 1793
Phénomène unique dans l'histoire, ce sont les élus d'un Peuple souverain qui, le 1er août 1793, à l'unanimité votent une loi de déportation et de destruction totale par le feu et par le fer d'un pan entier d'un territoire dont ils sont les représentants. Déçus des résultats obtenus par l’application de cette première loi génocidaire, ils votent à l'unanimité une seconde loi d'extermination de la population le 1er octobre 1793.
Ces deux lois votées à l’unanimité par des révolutionnaires convaincus, en conscience, de leur bon droit et de leur devoir de salut public, sont publiées au Journal officiel de l'époque.
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Pourquoi l’État matraque les gens bien et laisse proliférer délinquance et terrorisme ordinaire
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IDÉES CADEAUX POUR NOEL ! 1/3
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La députée Caroline Janvier brise le silence sur la consommation de stupéfiants chez les politiques : « Il existe des soirées où la drogue circule. »
Crédit photo : Capture d’écran de Caroline Janvier, députée du Loiret.Caroline Janvier, représentante du Loiret, a pris la décision courageuse de parler franchement de la réalité des soirées politiques : « Il y a des soirées où de la drogue circule. Comme il y a des dîners ou des fins de sessions parlementaires où il y a une consommation excessive d’alcool », confie-t-elle sans détours à Paris Match.
Louant le courage de Sandrine Josso pour avoir pris la parole, Caroline Janvier souligne la nécessité d’analyser cette problématique comme un système, sans pour autant justifier ces comportements déviants. Élue depuis 2017, elle témoigne des dérives observées au Palais Bourbon, principalement lors des séances nocturnes ou à la suite de soirées alcoolisées.
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Le tueur du pont de Bir-Hakeim : on n’avait rien vu venir…
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Racisme anti-blanc : Selon Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, « pendant les émeutes de juin, aucun des commerces communautaires (de la Monnaie) n’a été touché » (MàJ : La cité représente 12% de la population mais 45% du budget éducatif, “Pe
03/12/2023
(…)
Pourriez-vous chiffrer les investissements faits en parallèle pour les 88 % de vos habitants qui ne résident pas à la Monnaie ?
Je ne pourrais pas vous le dire parce que la loi et ces subventions ne concernent en l’occurrence que les quartiers prioritaires de la ville. Mais je pourrais isoler un exemple, qui ressort de ma compétence, pour vous donner une idée : tout ce qui relève de l’école dans le cadre du réseau d’éducation prioritaire dans le quartier de la Monnaie. Cela représente 12 % de ma population et 45 % de mon budget global consacré à l’éducation.