l'information nationaliste - Page 1899
-
PEARL HARBOR & HIROSHIMA | Documentaire Toute l'Histoire
-
En 1 an, le nombre de bénéficiaires de l’allocation pour demandeur d’asile a augmenté de 63,7%
-
Ukraine : Guerre de contre-artillerie – Désastre financier
Depuis le milieu de l’année, il est devenu évident que la guerre en Ukraine est principalement menée par l’artillerie.
L’Ukraine était clairement le perdant dans ce combat, car les forces russes ont tiré huit fois plus de munitions d’artillerie que l’Ukraine ne pouvait en fournir. Les États-Unis et certaines dépendances européennes sont intervenus. Quelque 120 canons M-777 et une myriade de systèmes d’artillerie modernes montés sur chenilles ont été donnés à l’armée ukrainienne. Des centaines de tonnes de munitions ont été acheminées. Les États-Unis et certains alliés ont livré des systèmes HIMARS qui pouvaient dépasser les limites de l’artillerie à canon.
L’armée russe a réagi. Elle a dispersé ses dépôts et ses centres de commandement, limitant ainsi le nombre de cibles pour les systèmes HIMARS. Elle a également intensifié son utilisation de la guerre électronique qui a mis hors service les drones que l’artillerie ukrainienne utilisait pour trouver ses cibles :
-
Hôpital : au moins 23 décès sur un brancard depuis le 1er décembre
Selon le syndicat SAMU - Urgences de France, plus d’une vingtaine de personnes seraient mortes aux urgences en décembre, faute d’avoir été prises en charge rapidement. Plus précisément, au 28 décembre, 23 patients seraient décédés sur un brancard, en attendant d’être soignés. Ces décès sont qualifiés d’ « inattendus » par le syndicat. « Majoritairement, il s’agit de patients âgés qui arrivent aux urgences sans signe de gravité mais qui meurent après avoir attendu 6, 7 ou 8 heures », explique au JDD Marc Noizet, le président du SAMU – Urgences de France.
-
Claude Chollet - Médias et jeunesse
-
Aileen Getty : ces enfants de milliardaires qui financent les écologistes radicaux
-
Après la Russie, c'est au tour du Qatar. Et nous n'aurons plus qu'à acheter du gaz aux Américains
Nous recevons et publions les analyses et réflexions de l'historien et essayiste Michele Rallo, ancien député de la République italienne.
Par Michele Rallo
Il y a définitivement trop de coïncidences.
C'est une coïncidence que la guerre de l'OTAN contre la Russie (déguisée en guerre entre la Russie et l'Ukraine) ait abouti à la fin de la "dépendance" de l'Europe vis-à-vis du gaz russe.
Lien permanent Catégories : actualité, économie et finance, géopolitique, international 0 commentaire -
Quand les Cosaques écrivaient au sultan ottoman
Au cours du XVIIème siècle, les Cosaques zaporogues (ou Cosaques du Dniepr) furent confrontés à l’expansionnisme ottoman dans les régions de l’actuelle Ukraine. En 1676, ce peuple slave et orthodoxe terriblement jaloux de son autonomie reçut une lettre du sultan ottoman Mehmet IV. Après avoir énuméré ses titres, celui-ci leur enjoignait de se soumettre à son autorité sans lui opposer de résistance. D’ordinaire peu portés sur les choses littéraires, les fiers Cosaques prirent néanmoins un malin plaisir à lui répondre également par écrit. Dans leur lettre restée célèbre pour son insolence et sa grossièreté, les Cosaques singent les titres du sultan, malmènent l’islam et envoient royalement promener l’impudent Ottoman !
-
Nîmes : un migrant en situation irrégulière, en « demande de régulation », agresse une dame âgée de 86 ans « sans raison », et blesse deux policiers lors de sa GAV
Ce mercredi 21 décembre, un jeune homme a frappé une dame de 86 ans dans le trambus circulant en centre-ville de Nîmes. Lors de sa garde à vue, il a violenté deux fonctionnaires de polices chargés de sa surveillance.
-
Un entretien avec Gabriele Adinolfi publié sur le site d'information breton Briezh Info au sujet du massacre de militants nationalistes à Rome le 7 janvier 1978
Source Breizh Info cliquez ici
Le 7 janvier 2023, à Rome, à la nuit tombante, nombreuses seront les personnes à se rendre, comme chaque année, Via Acca Larentia, pour se souvenir et rendre hommage à trois militants nationalistes italiens assassinés, le 7 janvier 1978, par des militants d’extrême gauche.
Pour évoquer cet épisode tragique de l’histoire moderne italienne – à rappeler également à ceux qui parcourent les plateaux de télévision en assurant que les antifascistes seraient par nature de braves militants pacifiques, nous avons interrogé un homme qui a vécu et milité durant ces années de plomb italiennes, Gabriele Adinolfi cliquez ici.
Breizh-info.com : Le 7 janvier 2023 aura lieu la commémoration du drame d’Acca Larentia cliquez ici. Pouvez vous nous expliquer ce qu’il s’est passé et dans quel contexte cela a eu lieu ?