
Thierry Breton est en disgrâce auprès de l’impératrice d’Europe, Ursula Von-der-Leyen. Cette soudaine infortune ferait suite à sa sortie contre Elon Musk ? Pourtant jusque là l’homme bénéficiait de l’appui inconditionnel de sa patronne. Elle lui avait confié le soin de réguler l’information, comprenez, de censurer toutes les fausses nouvelles qui pouvaient circuler en Europe et qui seraient susceptibles de mettre à mal la doxa officielle. En gros d’interdire tout ce qui ne plaisait pas aux membres de Davos et des adeptes de la mondialisation heureuse. On lui doit la suppression de la plateforme Rumble et la surveillance de tous les réseaux sociaux, avec l’obligation pour les patrons de supprimer tous les contenus qui viendraient à parler des vaccins comme des traitements peu fiables ( euphémisme), ou qui reviendraient sur le narratif climatique, ou sur l’effondrement de l’armée Russe, qui, rappelons le tout de même, selon Von-der-Leyen elle-même, c’est dire si l’information était solide, démontait des machines à laver pour confectionner ses missiles…