
par Ricardo Martins
La Belgique a bien reçu ses premiers F-35, mais elle est incapable de les exploiter pleinement : son espace aérien est tout simplement trop étroit pour répondre aux exigences d’entraînement de ces appareils de pointe.
Un investissement de 5,6 milliards d’euros se heurte aujourd’hui à des contraintes structurelles inattendues, soulevant des questions cruciales sur les capacités, la planification et la préparation du pays.






