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Si j’étais le président de la SNCF ce que je ne serais jamais que tout le monde se rassure j’aurais viré sur le champs le chef Chaudard de la 7ème compagnie qui serait venu me présenter un tel tracé et un tel plan digne de la stratégie de la tenaille dans la forêt de Machecoul.
Quand on veut relier Bordeaux à Lyon on ne passe pas par Paris, ou en tous cas la banlieue parisienne.
Le chef du gouvernement belge a tapé du poing sur la table ce jeudi 27 novembre. Dans un courrier au vitriol, Bart De Wever démolit point par point le projet d’Ursula von der Leyen visant à ponctionner les avoirs russes bloqués chez Euroclear pour renflouer l’Ukraine.
Sur quatre pages, le dirigeant flamand ne mâche pas ses mots contre ce «prêt de réparation», qu’il juge n’être qu’un habillage juridique pour une saisie de fonds souverains. C’est un précédent dangereux que la Belgique ne compte visiblement pas cautionner sans broncher.
Il faut redonner les facultés de coercition aux seuls juges, le spécifier constitutionnellement pour éviter toutes les dérives que la Macronie s’est autorisées et continue de le faire à un rythme à présent accéléré. Faire cesser les sanctions qui sont données par des organismes privés, ou semi-privés est une obligation dans un État dit de droit. Ces prérogatives ne doivent appartenir qu’au pouvoir judiciaire. Il est choquant de constater que l’ARCOM s’attribue le privilège de déterminer qui intervient à titre politique et qui n’est qu’un consultant lambda. Ainsi Philippe De Villiers est considéré comme un parti politique, alors qu’il n’est ni élu ni encarté. Peu importe, son temps de parole sera décompté. Pour le compte de qui ? Eh bien De Villiers à lui tout seul voyons. C’est un moyen illégal, mais légalisé pour la circonstance, pour l’écarter de l’antenne et réduire la portée de sa parole. C’est une censure grossière lancée, sous couvert d’équité. On lui impose un quota au motif qu’il disserte de politique, qu’il explique les rouages et devrait-on dire les roueries de notre société, bref qu’il pense, donc il gêne !
Dans un article brillant publié sur le site de « Causeur », Élisabeth Lévy prend au sérieux l’avertissement du général Mandon appelant la France à se préparer à une guerre avec la Russie. Intitulée « Mourir pour Kiev », son éditorial réactive le souvenir de Dantzig en 1939. Un parallèle qui oblige à revisiter un siècle d’illusions diplomatiques et de solidarités proclamées mais rarement assumées. Dans un moment où le bellicisme de Macron, plus impopulaire que jamais, confine à l’aveuglement stratégique, la question n’est pas de savoir s’il faut « mourir pour Kiev », mais de mesurer ce que la France risque en soufflant sur les braises d’un conflit qui ne met nullement en jeu sa survie nationale.
Sur le secteur de Kherson, les forces armées russes ont frappé les forces armées ukrainiennes à Antonovka et Nikolskoï. Il est rapporté que l'administration de Kherson tente d'évacuer des documents de la ville. L'ennemi a bombardé notre rive gauche 42 fois.
Sur le front de Zaporijjia, les unités russes repoussent la défense ennemie à Primorskoï. À Stepnogorsk, le territoire jusqu'à la rue Centrale est sous le contrôle de nos combattants.
Le Forum de la Dissidence organisé par Polémia et dédié à l’alarmisme climatique s’est tenu à Paris ce samedi 15 novembre 2025. Découvrez l’intervention de Johan Hardoy, contributeur régulier de Polémia, qui a étudié et compilé un ensemble complet de données concernant le climat mondial et son évolution. Polémia
Certains prétendent que les journalopes ne sont que des jean-foutre. Et pourtant, si les lecteurs savaient le dévouement qui anime certains d’entre nous - dont l’auteur de ces lignes au premier chef -, ils baisseraient d’un ton. Ainsi, comment nommer la conscience professionnelle du plumitif écoutant d’une seule traite Destinée, le dernier album d’Aya Nakamura ? Du dévouement, pardi ! Mieux que Reporters sans frontières, c’est Dévouement sans limite.
Pratique non encadrée en France, la dot est un sujet de plus en plus souvent débattu sur les réseaux sociaux par les jeunes musulmans. Cette pratique fait l’objet de vifs débats en ligne, symbole d’une génération «déculturée», en proie à la «surenchère et la redécouverte islamique». Quand certaines femmes réclament des sommes exorbitantes, des hommes s’insurgent de ces demandes élevées. Symbole pourtant d’une domination du mari sur son épouse, cette pratique échappe à toute réglementation ou régulation. Montrant la volonté de certains de faire primer les valeurs islamiques sur celles de la République.
C’est la crise à Radio France, radio publique financée par les impôts. France Inter, sa station phare, a perdu près de 500 000 auditeurs. Elle est critiquée à droite comme à gauche, en externe comme en interne. En mai, l’Arcom a « demandé fermement » à France Inter de veiller à ce que « la question du conflit israélo-palestinien (…) soit traitée sur ses antennes avec la plus grande rigueur », car les chiffres avancés venaient du ministère de la Santé de Gaza, lié au Hamas.