
Evoquer la réalité devient un délit. L’affaire Yona est symptomatique du malaise qui fait chanceler notre société et les élites actuellement au pouvoir, obligées de masquer le réel pour s’éviter une remise en question de leur concept. C’est l’officialisation du déni de réalité, par pure idéologie ancrée à gauche, reprise en cœur par la macronie, qui y voit un moyen de fustiger ce qu’elle classe à l’extrême droite, en opposition aux vertus qu’elle serait censée incarner : L’humanisme. Il faut donc hurler avec ceux qui estiment qu’on ne peut évoquer les faits qui contredisent la doxa officielle, en l’espèce ici, le rapport entre une certaine immigration et la sécurité des femmes. Emouvoir, quand il ne s’agit pas de faire peur. La macronie et la gauche en général, jouent sur l’affect pour conduire leur politique. Dans ces conditions l’échec est obligatoire et il se révèle à présent tous les jours. On ne dirige pas en fonction de sentiments, bons ou mauvais, mais en prenant en compte les situations et les intérêts des citoyens. Le dire, même à l’appui de faits incontestables est interdit et toutes les forces de dissuasions et de coercitions sont activées pour taire ce que chacun peut désormais voir, constater ou vivre dans son quotidien. Le supporter exclut à présent de le dénoncer.