
La jeune femme âgée de 20 ans qui effectue un service civique au service accueil au sein de cette association a reçu un jeune homme de 22 ans de nationalité sénégalaise qui a des difficultés pour s’exprimer en français.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La jeune femme âgée de 20 ans qui effectue un service civique au service accueil au sein de cette association a reçu un jeune homme de 22 ans de nationalité sénégalaise qui a des difficultés pour s’exprimer en français.

par Boris Egorov
Quelle armée a pris d’assaut la capitale du Troisième Reich aux côtés des troupes soviétiques? Comment se fait-il que la marine soviétique ait combattu à Berlin?

Le constat, longtemps pressenti, est désormais objectivé. Selon une étude menée du 1ᵉʳ au 31 octobre 2025 par l’Institut Thomas More, 1 280 chroniques diffusées dans les matinales de France Inter, France Culture et France Info ont été analysées via l’intelligence artificielle. « L’originalité de notre approche tient à l’usage systématique de l’intelligence artificielle pour analyser l’ensemble des propos tenus à l’antenne, sans sélection humaine », explique Jean-Thomas Lesueur, directeur général de l’Institut, auprès du Figaro le 28 novembre. L’IA, dit-il encore, permet de mesurer « la tonalité éditoriale sur des centaines d’heures d’émissions, de manière homogène et fondée sur les faits ».
Les stratèges de l’Alliance atlantique, un peu loin de l’Océan tout de même, ont été très déçus par la réaction tardive des Russes. Ils s’attendaient à ce que, dès 2016, Poutine vole au secours de ses compatriotes du Donbass, pilonnés, martyrisés, assassinés par les néonazis de l’armée d’Azov… Les soudards de l’OTAN étaient prêts à en découdre avec les Russes. Bien qu’ils ne participent pas à cette guerre. Puisqu’ils étaient affublés d’uniformes ukrainiens.

Le message est respectueux et cordial, mais l’invitation à en faire davantage côté français, pour lutter contre « le fardeau partagé » de la migration irrégulière, est claire. Dans un courrier datant de la mi-novembre, le premier ministre britannique, Keir Starmer, fait pression sur le chef de l’Etat français, alors qu’il est lui-même soumis à celle de son opinion publique. Depuis le début de l’année, près de 40 000 personnes sont parvenues à traverser la Manche en small boat, un chiffre en hausse de 17 % par rapport à la même période en 2024.

Que devient un régime dans lequel les oppositions s’accordent à laisser au pouvoir en place, la liberté de faire tout et n’importe quoi, de dilapider l’argent du contribuable sans jamais devoir s’expliquer, qui met en prison des personnes soupçonnées d’intelligence avec l’ennemi quand ce même pouvoir étouffe des affaires de ventes de fleurons de notre industrie ? Quand il donne systématiquement la priorité aux intérêts extérieurs, sans rencontrer qu’une molle révolte ? Nous apprenons l’arrestation de membres de SOS Donbass, suspectés de vouloir déstabiliser le pays. Leur « crime » : être lié à une association humanitaire, qui expédie des colis dans le Donbass, et qui poste toutes ses actions sur les réseaux. Comme discrétion quand on est un espion on n’a trouvé mieux. Un membre a été arrêté pour avoir collé des affiches à la « gloire de la Russie » selon le parquet. L’affiche présentée sur BFM mentionnait : « la Russie n’est pas mon ennemi ». Il y a un paradoxe qui ne manquera pas d’interroger. Les deux militants sont ainsi allés directement au gnouf, quand des multirécidivistes d’importation, avec des dizaines de mentions à leur casier judiciaire, traînent en liberté. Et les habitants du Donbass sont ukrainiens non ?

Écrire sur cette mascarade de « règlement de paix » est aussi fastidieux que de la lire. Cependant, Poutine a enfin tranché sur la question lors d'une conférence de presse pendant son voyage au Kirghizistan, et il est important d'en prendre note car cela répond aux questions essentielles que beaucoup se posaient, notamment les plus bien intentionnés.