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  • Léon Daudet : Le dernier imprécateur

    1992 mérite d'être « une année Daudet ». Pour le centenaire de l'édition de son premier roman, Haeres, et le cinquantenaire de sa mort, voici que paraÎt un énorme récueil de ses Souvenirs et polémiques, ainsi qu'une superbe biographie de, François Broche, qui arrive à son heure, celle d'un jugement enfin dépourvu de passion sectaire. Il fallait arracher « le gros Léon » à ses ennemis comme à ses partisans, tous pareillement obsédés par le fait qu'il fut probablement le premier polémiste de son siècle et que son style reste terriblement marqué par des passions qui voisinaient parfois le délire.
    Réduire Daudet à cette caricature de furieux truculent est une trahison. Daudet est beaucoup plus que Daudet. Le personnage se situe entre Gargantua et Ubu-roi ou du moins Ubu royaliste. Par toutes ses fibres familiales et sentimentales, il appartenait sans nul doute à ce XlXe siècle qu'il s'obstinait à déclarer « stupide » et fut avant tout, beaucoup plus qu'un conservateur, un réactionnaire, c'est-à-dire un homme qui juge, qui dénonce et qui hurle. Pas méchant bougre quand il ne s'agissait pas de la chose publique, mais vite emporté par son tempérament et ses phobies. Cet écrivain prolixe entre tous risque souvent d'apparaÎtre inactuel. C'est bien dommage à notre époque de grisaille et de conformisme cafard.
    Léon Daudet fut toute sa vie obsédé par les problèmes de l'hérédité. C'est d'ailleurs le titre de son premier bouquin, Haeres, paru voici tout juste cent ans, où l'on découvre le regard du clinicien plus que du romancier.
    Personnellement, il est le fils d'un père, de famille ardèchoise, devenu provençal par la grâce d'une écriture mistralienne :
    Alphonse Daudet, dont tous les écoliers connaissent au moins les Lettres de mon moulin. La famille de sa mère, Julia Allard, est d'origine bretonne et tourangelle. « Chez les Allard, on était républicain et tout à fait indifférent en matière religieuse, alors que chez les Daudet, on marquait une préférence pour "le double flambeau balzacien" : la religion et la monarchie », écrit François Broche.
    L' enfant qui naît à Paris, le 16 novembre 1867, dans le quartier du Marais, mêlera hardiment une liberté d'esprit aux limites de l'anarchisme, assortie d'un fort tempérament de bon vivant, avec un engagement civique qui fera de lui le champion du « nationalisme intégral ».
    Le mélange est assez détonnant, surtout si l'on y ajoute une incroyable facilité de plume, qui le conduira à écrire cent vingt-cinq livres et des milliers d'articles, dont son éditorial quotidien dans L'Action française. Sans compter les discours, car il sera aussi un habitué des estrades.
    La silhouette à la Falstaff de cet admirateur de Shakespeare, auquel il consacrera un de ses meilleurs essais, est inséparable des réunions monarchistes du début du siècle et de l'entre-deux-guerres. Le temps alourdira sa forte corpulence, aux limites de l'obésité. Quant à son profil, il fera la joie des caricaturistes, qui accentueront un certain aspect levantin. Il se montrera d'ailleurs antisémite avec une telle monomanie que certains, à commencer par quelques Israélites, prétendront qu'il devait être quelque peu juif.

    La médecine et la littérature avant la politique
    La politique pourtant, au début d'une carrière fulgurante, le tente moins que la médecine qu'il étudiera, jusqu'à sa thèse de doctorat exclue, et que la littérature, où il ne se montrera pas inférieur à son illustre père, dans des registres très différents.
    Il est dans sa jeunesse bambocheur, gastronome, cocardier, nietzschéen et plus admirateur de Clemenceau et même de Gambetta que du général Boulanger. Pourtant, ce garçon, doué comme pas un, est finalement influençable. Il rencontre beaucoup d'écrivains chez son père et il sera toujours séduit par quelques plumes alertes Drumont avant tout, puis Barrès et enfin Maurras. Mais aussi Zola pour un temps, Proust pour toujours et Céline sur le tard. Il aura même pour « chère patronne » Juliette Adam, qui lui mettra au cœur, à jamais, « une haine lucide de la Bête allemande ». Son antigermanisme rencontre son antisémitisme pour le lancer très tôt dans une campagne contre « l'espionnage juif allemand », qui lui tiendra finalement lieu toute sa vie de ligne de conduite politique.
    Un premier mariage raté avec la petite-fille de Victor Hugo sera suivi d'une union réussie avec sa cousine germaine, surnommée « Pampille » ; elle sera pour beaucoup dans sa conversion, somme toute tardive, au double service du trône et de l'autel.
    Même si l'affaire Dreyfus le verra au premier rang des défenseurs de l'armée, il reste assez insolite dans la cohorte des bien-pensants. En 1895, il déplore qu'on ne puisse être « à la fois napoléonpremiériste, anarchiste et socialiste » ! Cette future idole des camelots du roi ne se défendra jamais d'une certaine sympathie pour les révolutionnaires de la bande à Bonnot.
    Quant à ses démêlés avec l'Eglise, ils sont « hénaurmes », à l'image du personnage. Il commet dans sa vie une bonne quarantaine de romans, effroyables mélos où les situations scabreuses abondent. Ces petits bouquins, considérés comme pornos, sont presque tous inscrits à l'Index. Il s'en console en se recommandant de Rabelais. Ces gauloiseries de carabin le rendent plutôt sympathique, mais n'ajoutent rien à sa gloire littéraire.

    Un patriotisme exacerbé
    Sorti finalement grand vaincu de l'affaire Dreyfus, il va se rattraper pendant la Grande Guerre, où l'Union sacrée lui permet d'être du côté du pouvoir et de jouer un rôle de « procureur du roi », inlassable dénonciateur des pacifistes, qualifiés de traîtres à longueur de colonnes. Avec le recul du temps, on peut estimer que ses pires ennemis furent souvent les hommes les plus lucides de leur époque, à commencer par Caillaux et même par Briand. Il n'en a cure et son patriotisme exacerbé conduit ce royaliste à soutenir le jacobin Clemenceau, pour la seule raison qu'il a érigé le bellicisme intransigeant comme seule ligne de conduite.
    Curieusement, il est difficile de détester un polémiste si outrancier qu'on finit par ne plus le prendre au sérieux. Il fait rire et pourtant provoque des blessures inguérissables. Il a compris que le ridicule peut tuer au moins politiquement. Et que le mensonge est une arme efficace. Peu lui importe, puisqu'il sert une « bonne cause ».
    Député plus sérieux qu'il n'y paraît, de 1919 à 1923, polémiste d'un rare courage physique, capable de défendre à coups d'épée ses idées, ses humeurs et ses excès, travailleur inlassable, il trouve encore le temps de mener des bagarres de rues, de partager la table de ses collègues de l'académie Goncourt et de lire tous les livres qui paraissent.
    Un terrible événement va bouleverser sa vie en novembre 1923, la mort mystérieuse de son fils Philippe. Ce drame lui inspirera sans nul doute la plus hasardeuse et la plus déchirante de ses campagnes de presse. Il se retrouvera en prison pour diffamation, s'évadera dans des circonstances rocambolesques, vivra deux ans en exil en Belgique, reviendra, amnistié, en triomphateur. Mais un ressort est brisé à jamais, même s'il travaille jour et nuit, Gomme s'il voulait s'étourdir. Le réveil de l'Allemagne et la montée inéluctable de la guerre l'accablent, alors que les événements viennent vérifier ses avertissements.
    Après la défaite, il rejoint L'Action française, repliée à Lyon, et défend jusqu'à sa mort, à Saint-Rémy-de-Provence, le 30 juin 1942, l'idée de « la France seule ».
    Ses romans sont aujourd'hui illisibles, ses pamphlets ont terriblement vieilli, mais ses livres de critique littéraire ont quelque chose de prophétique. Ses recueils de souvenirs restent, sans aucun doute, le meilleur de son œuvre. Ils sont datés et pourtant ne datent pas. Derrière l'imprécateur, excessif et injuste, apparaît le témoin capital d'un demi-siècle de vie nationale.
    Jean Mabire : National Hebdo du 15 au 21 octobre 1992.

    François Broche : Léon Daudet, le dernier împrécateur, 468 pages, 23 photos, Robert Lattont.
    Léon Daudet : Souvenirs et polémiques, 1 400 pages, Collection « Bouquins », Robert Lattont.

  • Le ministre espagnol de l’économie est confirmé pour participer à la réunion Bilderberg 2013

    Le second participant à Bilberberg publiquement confirmé

    Jurriaan Maessen
, 15 Mai 2013

    url de l’article original:

    http://www.infowars.com/spanish-minister-of-economy-confirmed-for-bilderberg-2013/print/

    ~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

    Un autre élu est confirmé pour la réunion Bilderberg 2013, cette fois-ci le ministre espagnol de l’économie et de la compétitivité et ancien conseiller de la banque Lehman Brothers, Luis de Guindos. Le ministre va assister à la réunion à la demande exprès d’un membre du comité directeur espagnol du Bilderberg, Juan Luis Cebrian.

    La semaine dernière ai-je confirmé la participation d’un nouvel élu du parti social-démocrate suédois, Stefan Löfven, qui a reçu une invitation à participer à la réunion qui se tiendra cette année dans le Hertfordshire début Juin. De Guindos est donc le second politicien confirmé à participer à l’évènement. Ces participants annoncés seront suivis par bien d’autres élus et politicien(ne)s à qui il a été demandé de participer à la réunion Bilderberg au Grove hôtel, le tout au frais des conribuables bien sûr et ce même si le groupe Bilderberg lui-même décrit ses réunions annuelles comme étant “privées”.

    La participation de de Guindos à la réunion 2013 est intéressante en cela que l’Espagne est une des nations se retrouvant du mauvais côté du bâton après que la crise se soit développée en Europe. Comme Daniel Estulin l’a rapporté en 2012:

    “Le message clef de la réunion 2012: quoi qu’il arrive, il faut préserver le fonctionnement du système bancaire. La vice-présidente espagnole a reçu une dose d’humilité lorsqu’elle essaya de pousser le problème de la ‘responsabilité’ disant à ses collègues allemands très puissants du Bilderberg qu’ils devraient penser à émettre des obligations européennes pour sauver le système. La réponse fut sans équivoque: “va jouer au sable petite !…””

    Il est important de clarifier que le ministre de l’économie actuel espagnol fut un conseiller de la banque Lehman Brothers jusqu’en 2007, le rendant ainsi partiellement responsable de la tourmente dans laquelle l’Espagne se retrouve prise quelques années plus tard.

    Il est significatif qu’un membre du comité directeur du Bilderberg, Juan Luis Cebrian, invite de Guindos à la table cette année. Ceci révèle que le Bilderberg désire s’assurer que ses politiques pro-Euro soient convenablement communiquées aux officiels espagnols, qui pourront ensuite vendre la soupe à la nation comme étant quelque chose de douloureux mais de nécessaire. Tout comme leurs contre-parties grecques, les élus espagnols sont appelés au Bilderberg pour accorder les violons des objectifs globaux d’un groupe de banquiers internationaux ayant des mesures qu’ils référeraient voir appliquées. On pourrait dire que ces élus commettent un acte de trahison, ne pouvant dire ce qui a été décidé. De plus, en tant qu’ancien conseiller de la banque Lehman Brothers, le ministre espagnol n’aura pas besoin de beaucoup d’encouragements pour faire exécuter ces objectifs.

    Pour illustrer l’implication de la structure du pouvoir espagnol dans la réunion annuelle Bilderberg, jetez simplement un coup d’œil sur la page wkipedia de la famille royale, notez que tous les membres prominents de la famille sont des membres du Bilderberg, la reine Sofia participe aux réunions Bilderberg de manière fréquente, tout comme son mari le roi Juan Carlos. Maintenant, des élus passent dans le dos du peuple espagnol en prêtant allégeance et alliance à un corps constitué non élu et n’ayant aucun devoir de rendre des comptes à qui que ce soit.

    http://resistance71.wordpress.com/

  • Que des ennemis à droite !

    Enfant bâtard de l’actuelle mobilisation contre le « mariage pour tous »: le serpent de mer de « l’union des droites » est à nouveau sur beaucoup de lèvres et dans non moins d’esprits.

    Alors que le clivage gauche/droite semblait avoir définitivement démontré son inanité et que de véritables recompositions pouvaient être espérées autour des vraies césures fondamentales que sont libéralisme/socalisme et localisme/mondialisme, l’actualité à offert une occasion inespérée de ragaillardir la tartufferie éculée en une nouvelle crispation partisane autour de sujets sociétaux certes non négligeables mais qui ne doivent pas faire perdre de vue l’essentiel. Las! Les prurits droitards refleurissent comme boutons d’acné sur un visage d’adolescent. Chassez le naturel, il revient au galop. Au nom de la « stratégie » et de l’opportunité du moment, on glisse des montagnes du Chiapas aux arrières-boutiques de l’UMP… quelle dégringolade! C’est la grenouille qui croit qu’elle va manipuler le boeuf. Les sirènes des alliances locales, voir nationales, le fumet des postes et des prébendes, même bien modestes, font frétiller les sens et peuvent troubler les consciences…

    Une fois de plus la jeunesse patriote et rebelle semble sur le point de se faire berner, enfermer dans des calculs à courte vue et des tactiques qui ont pourtant déjà démontré maintes fois, notamment en Italie, qu’elles ne menaient qu’au fiasco, à la trahison et à l’infamie. Et ce piège nous y tomberons encore et encore tant que nous n’aurons pas compris, intégrés, admis, affirmés et réaffirmés que nous ne sommes pas de droite. Nous, jeunes et moins jeunes patriotes, identitaires, solidaristes, fascistes n’avons rien de plus ni de moins en commun avec la pseudo opposition de droite qu’avec la majorité de gauche. Hollande n’est pas notre président mais Sarkozy ne l’était pas non plus et Copé le serait encore moins, si tant est que cela soit possible. Nous ne devons et pouvons pas admettre des assimilations voire des coopérations avec les fossoyeurs de la nation, les domestiques des Etats-Unis et de la finance internationale, les fourriers de l’immigration et les chantres du libéralisme, c’est à dire de la mondialisation.

    Contrairement aux moutons et aux veaux, nous n’avons pas la mémoire courte! Le regroupement familial, l’IVG, l’imposition du Traité européen pourtant rejeté par référendum (déni de démocratie d’une autre ampleur que le mariage pour tous!), la réintégration de l’Otan, la guerre en Libye, le boom de la vidéosurveillance, la loi Hadopi, le travail du dimanche (Où était les sourcilleux catholiques d’aujourd’hui?), la suppression de la dite « double peine », la création de la Halde… tout cela, nous savons à qui nous le devons!

    De Christine Lagarde, glissant d’un ministère où elle rédigeait ses notes de service en anglais au fauteuil de présidente du FMI, à Claude Goasguen prolongeant son engagement à Occident au sein de l’association France-Israël en passant par Boutin la tartuffe et ses missions sarkozystes à 9000 euros par mois, Guéant et ses mallettes de pognon, Parisot et sa morgue, Peltier le minot serial-arriviste, tous ces sinistres pantins sont l’antithèse de ce que nous sommes, de ce en quoi nous croyons et de ce que nous espérons pour notre peuple et notre civilisation! Il faut le dire et le marteler: nous n’avons que des ennemis à droite!

    Source: Zentropa

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Du fantasme sportif aux fantasmes politiques

    L’argent, décidément, n’achète pas tout… La preuve, le Qatar n’avait pas pris ses précautions pour assurer la sécurité de l’après-victoire du PSG contre les sauvageons. Certes, les Autorités françaises non plus ! Nous, on a l’habitude, mais les Quataris, eux, ne savaient pas. Au moins, auront-ils appris que la France n’est pas « le leur pays » où ce genre de facéties n’est sans doute même pas imaginable… Là-bas, le premier hooligan qui éternue sans dire « pardon » étant probablement illico bastonné et jeté dans un cul de base fosse.

    Maintenant, ils savent pour la prochaine fois – si prochaine fois, il y a ! – qu’ils devront débourser quelques centaines de milliers d’euros d’investissement supplémentaire pour que la remise de la coupe aux joueurs victorieux se déroule dans la joie et l’allégresse… On sait ce qu’il en a été lundi dernier : vandalisme, pillage, 32 blessés (dont 1 policier et 2 gendarmes)… Tandis que les « ultras » du Club braillaient leur colère d’être interdits de tribunes depuis des mois, les « chances pour la France » déboulaient de leurs ghettos pour venir faire leurs courses… Coût du passage en caisse : autour de deux millions d’euros, estime-t-on.

    « Pourquoi tout a-t-il ainsi dégénéré, alors qu’on s’attendait à ce que les “ultras” manifestent leurs aigreurs… et que l’occasion était trop belle pour que les racailles se privent de s’adonner à la joie d’un “shopping” » entend-on depuis les événements ?

    Mais s’y attendait-on vraiment coté gouvernement ? Toute la question est là, car ses membres sont tellement imbibés jusqu’à l’ivresse de bonne conscience politiquement correcte qu’ils ne pouvaient sans doute imaginer que le sacro-saint football – qui a remplacé dans leur « idéal citoyen » la sacro-sainte patrie de leurs aïeux – soit ainsi bafoué…

    Qui pouvait oser ? « Eux », tout simplement… tout ceux qui ne sacralisent pas ce sport, voire tous ceux qui sont dégoûtés que s’étalent sans cesse à la une des médias les sommes colossales qu’encaissent joueurs, entraîneurs, intermédiaires et autres personnes gravitant autour de la « planète foot ».

    C’est moins par laxisme que par utopie qu’un gouvernement socialiste et une municipalité socialiste n’ont pas vu le « coup venir ».

    Et c’est tout autant par fantasme politique que le premier s’est montré aussi brutal dans la répression lors des récents rassemblements de la « Manif pour tous » dans lesquels il appréhendait ni plus ni moins qu’un nouveau « 6 Février 34 », une menace de « putsch fasciste », voire une résurgence d’on-ne-sait quelle conspiration cagoularde…

    Philippe Randa  www.francephi.com
  • Cernunnos.

    Cernunnos est un nom d'Hermès. Il est le Gardien des portes des Trois Mondes. Hermès désigne les yeux du dieu. Quand l'homme voit avec les yeux du dieu, alors il comprend les messages des Trois mondes. Il ne lit aucune lettre de plus, aucune image de plus – il voit, tout simplement, ce qu'il avait sous les yeux depuis toujours, toujours déjà présent.
     
    Recevoir un message des Trois mondes est voir. Cernunnos est celui qui contemple la forêt, les jambes croisées, selon la posture hiératique du sage des bois, l'ermite, l'homme suprêmement sage et suprêmement sauvage. La forêt est une image du monde, est microcosme. Il s'y trouvent les chemins de la vie, les croisements saints, les mystères des chemins ouverts parmi les ronces, les lents regards des fleurs. Il s'y trouvent les ruisseaux et les étangs empruntés de brumes.
     
    Le secret de la puissance.
     
    Ils s'y trouvent les troncs moussus des arbres qui vivent là depuis la naissance du monde. Leur écorce est l'image de la peau de l'antique Dragon. L'homme qui sait le Dragon sait l'entière histoire du monde, et des hommes. Il a bu le lait noir de la connaissance aux lèvres des Maîtres, au cœur de la forêt, au centre du monde marqué par la poussée des roches vers le Ciel.
     
    Comme la sainte colonne de feu d'Arunachala.
     
    Cernunnos enseigne les mystères du Temps apparu après la chute et la mort du Dragon. Le temps est figuré par le serpent ouroboros. La Vie est un cercle. On sort du Suprême, et on revient vers le Suprême. L'axe du monde est une flèche vers le suprême, le centre invisible du Serpent. Cernunnos tient le serpent déroulé, en vainqueur des cercles, mais aussi en homme de la périphérie, en homme qui a choisi la Voie du Dragon et bu le jus, le venin issu des cuisses de la Jusquiame mystique.
     
    Il a été plongé dans l'eau noire des ténèbres, et se tourne vers la Lune, image tremblante et mobile du Soleil invaincu – image de ce monde. Les mots sont comme la lune – rien ne s'y trouve au suprême degré. Lors de l'invocation, quelque chose s'ajoute secrètement aux mots – et de la boue, fait de l'or.
     
    Sans souffle les mots ne sont rien.
     
    Il a bu la mort, et il vit ; il a maîtrisé le serpent qui est désormais à son service, comme les autres puissantes bêtes sauvages qui vivent en lui. Il est la puissance et la volonté de puissance qui jaillissent dans la forêt au printemps, l'odeur musquée des feuilles mortes et des marais, le puissant parfums des feuilles et des fleurs, les eaux et les rosées, la sueur salée, le sperme et la cyprine. Il est à la fois tueur, puissance de génération sauvage, maître des rapts, tonnerre et terreur. Il porte à la main la puissance torque qui soumet les vaincus. Il est le messager de la nécessité unique, du trépas, père de la douleur.
     
    Ce qui est détruit est ce qui vit. Le monde est fait de cycles qui se sédimentent. Rien n'est jamais perdu à jamais.
     
    Cette torque qui soumet les vaincu par le cou gracile est signe de règne, du règne de l'Empire. Celui qui se plie à la nécessité de fer des dieux, si visible dans la violence des chasses sauvages, dans les crocs du loup, est aussi le roi de ce monde. Le guerrier porte ainsi la torque, comme la femme puissante, la torque d'Or.
     
    Il est libre par amour du destin, comme le Cerf. Il n'est libre que par l'amour du destin. Il n'est vivant que par l'âpre mort et le goût du sang. Il n'a plus guère de peur pour avoir affronté la terreur de la chair.
     
    Il sait qu'il mourra comme les bêtes de la forêt – ni plus ni moins. L'éternité réside dans l'instant. L'idée puissante se montre dans les couleurs et les formes des forêts, présente mais insaisissable, comme l'évoque l'art de l'arabesque. Elle se montre comme le Serpent et enroule ses énigmes comme les anneaux du Serpent. Elle est la fleur sur les ronces, et déchire l'âme qui veut les traverser, par la solitude et les épines tranchantes. Elle porte des fruits et encercle, elle envoûte et étouffe.
     
    Tel est le secret de Cernunnos. C'est dans la soumission que se trouve l’élévation, dans l’acceptation que se trouve le secret de la plus haute révolte.
     
    (Un autre secret se prononce au sujet de sa mélancolie. Ce sujet est abordé dans le Livre des deux principes.)
     
    Cernunnos est l'indomptable et le suprême raffinement – comme l'Archange, le tueur du Dragon, mais aussi le combat entre l'Ange et le Dragon – le Dragon lui-même, car on ne combat valablement, enfin, que contre soi-même.
     
    Mais peu nombreux sont les hommes qui se cherchent eux mêmes – et combien peu ceux qui se cherchent eux-même pour se tuer.
     
    Tel est le règne, telle est la puissance, telle est la gloire.
     
    - J'ai longuement médité aux côtés de Cernunnos, dans les fumées des encens.
     
    Vive la mort !

  • La guerre ethnique qui vient, par Yann Vallerie

    La guerre ethnique qui vient

    Les scènes d’émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler, à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France. 
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques, le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l’autruche. Par peur de l’amalgame, véritable crime contre l’humanité à en croire les tenants de la pensée unique, ils refusent de s’attaquer aux réelles causes de ces problèmes.

    Quel rapport y a-t-il en effet entre les hooligans du psg et les scènes d’émeute vécues hier ? Aucun. Il n’y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs « casseurs d’extrême droite » comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c’est surtout un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes.

    On a les supporteurs que l’on mérite : des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d’agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.

    Faudra-t-il attendre que leur nombre s’accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ? 
Faudra-t-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l’encontre de touristes, mais aussi à l’encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?

    Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi, que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, dans toute la France, pour défendre la famille.

    Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l’interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l’objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement.

    Que l’on pense aux 67 veilleurs mis en garde à vue pour avoir occupé l’esplanade des invalides, qui risquent jusque un an de prison, et comparez avec la vingtaine d’interpellés hier soir, pour des faits autrement plus graves.

    Oui, il s’agit bien là d’une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d’un an, bien aidée en cela par une droite peureuse, terrifiée à l’idée de s’élever contre l’idéologie bien-pensante, humaniste et libérale, de crainte de se voir qualifier de raciste, homophobe, réactionnaire… En ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans, la droite fait le lit des violences qui ont eu lieu hier soir.

    Car cette dictature socialiste, répressive à l’égard des défenseurs de la famille, mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l’égard de toute « la misère du monde » qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables « chercheurs d’excuses professionnels ».

    Une majorité de jeunes noirs et Arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ? 
« Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant brûlées », « Offrons-leur des vacances dans les rares régions de France préservée de ces bandes ethniques, histoire qu’ils leur apprennent le vivre ensemble façon “9-3”
Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ? 
“C’est le racisme de la société française blanche, mais aussi la traite des Noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison”

    Oui, il s’agit bien d’une dictature qui s’instaure petit à petit, dans un climat proche d’une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le Lumpenprolétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre peuple.
Une dictature qui chercher à restreindre le dernier espace de liberté d’expression qu’est aujourd’hui Internet.

    Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression féroce pour tous les contrevenants (automobilistes en tête). Mais une dictature si permissive avec “ceux qui sont majoritaires dans les prisons, mais qu’on ne peut pas nommer”, parce qu’effrayée par la violence dont font preuve les nouvelles “classes populaires” dès lors qu’on ne les “respecte pas”.
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du territoire soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens dont nous voyons aujourd’hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d’agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l’envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein cœur de la capitale.

    Les Français doivent désormais savoir que dans les années de troubles qui viennent, troubles sociaux, économiques ou ethniques, ils ne pourront plus compter sur leurs gouvernants, ses politiciens et tout ce microcosme médiatico-politique.

    Ils ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts ni leurs préoccupations.
À nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d’une société qui sache s’opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos peuples.

    « quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».

    Yann Vallerie http://www.reseau-identites.org

  • Manifestation du 26 mai : pas seulement contre la loi Taubira.

    26-mai-du-balaijpg.jpgLe 26 mai, il s’agira de manifester, une fois de plus, pour défendre le mariage, la famille et la France catholique. Car il faut bien se rendre compte que le mariage entre personnes de même sexe n’est que la première étape d’un plan que le gouvernement a déjà rendu public dans des documents officiels qu’hélas personne ne lit. La suite ?

    - La légalisation de ce qu’on appelle pudiquement la procréation médicalement assistée puis la gestation pour autrui (plusieurs actuels ministres avaient signé dès 2010 un manifeste en faveur d’un tel projet) qui consiste en réalité à louer les ventres des femmes et à pratiquer la marchandisation de l’être humain pour permettre à des duos homosexuels, par définition stériles, de pouvoir acheter des enfants et s’en prétendre les parents.

    Mais le “Programme d’actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre” va bien plus loin ! Et annonce :

    - L’introduction dès l’école maternelle de programmes banalisant l’homosexualité et la théorie du gender. Pour rappel, selon cette absurde théorie du gender, ce n’est pas la réalité anatomique et biologique qui fait de vous un homme ou une femme mais seulement ce qui se passe dans votre cerveau, si bien qu’au nom de la soi-disant liberté sacralisée jusqu’à la folie, vous seriez en droit si cela vous chante de vous proclamer homme les jours pairs et femme les jours impairs ! Des représentants du lobby homosexuel seront chargés par le ministère de l’éducation nationale de marteler ces théories contre-nature dès la plus petite enfance.

    Des crèches ont déjà été inaugurées dans ce but afin d’encourager les petits garçons à jouer avec des jouets de petites filles et inversément.

    - Le formatage de l’opinion sera organisé à travers des formations professionnelles obligatoires pour les enseignants, le personnel médical, les services sociaux, les forces de l’ordre, la magistrature,…, formations destinées à imposer la soumission au lobby homosexuel et à la théorie du gender.

    - Un organisme va être créé afin de traquer ceux qui pensent mal et les faire traduire en justice. Les représentants du lobby homosexuel siègeront parmi la direction de ce nouvel organisme.

    - La critique du lobby homosexuel et la critique de la théorie du gender vont être inscrites dans le code pénal comme des discriminations condamnables et seront criminalisées.

    - Les employeurs devront prouver qu’ils ne pratiquent aucune discrimination à l’embauche sur base de l’orientation sexuelle. Ce qui dans la pratique équivaut à mettre en place un système de quota de personnel homosexuel/bisexuel/transexuel pour éviter d’être suspect.

    - Le fait de conseiller à un homosexuel de se corriger sera considéré comme une attitude sectaire.

    - Les nouveaux immigrés se déclarant homosexuels et discriminés pour cette raison dans leur pays d’origine pourront s’établir en France.

    - L’histoire du lobby homosexuel sera valorisée par le ministère de la culture.

    - Les ambassadeurs français soutiendront le lobby homosexuel dans le pays dans lequel ils sont affectés.

    Même les formations du BAFA et du BAFD devront inclure ces thématiques. Et les associations familiales, pour être jugées représentatives, devront compter des “familles homoparentales”. Jusqu’en dans les moindres détails, tout est imaginé pour subvertir l’ensemble de la société, particulièrement dès le plus jeune âge. La sénatrice socialiste Laurence Rossignol a d’ailleurs déclaré à la télévision (5 avril, France 2, émission Ce soir ou jamais) : “Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’Etat”.Une déclaration qu’il faut également relier à l’intention de Vincent Peillon d’imposer des cours de morale laïque dans tous les établissements scolaires. Car la haine de la famille a pour corollaire la haine de la religion.

    Tout cela reflète un authentique totalitarisme. Allons-nous assister à cela sans réagir alors que nous sommes avertis de la perversion de ce projet gouvernemental ? Ce serait impensable !

    Par le passé, des lois votées ont néanmoins été bloquées par la détermination populaire. L’enjeu civilisationnel rend notre détermination indispensable et oblige à refuser toute concession.

    C’est pourquoi CIVITAS convie tous les défenseurs de la Famille lucides à manifester le 26 mai prochain avec un message clair et une attitude résolue. Il n’y a pas d’exemple d’un gouvernement qui cède devant une foule festive. Seule la ferme détermination d’une foule peut faire reculer un monde politique en perpétuelle quête de réélection.

    Alain Escada, Président de Civitas http://fr.altermedia.info

  • Le Conseil Constitutionnel chosifie l'enfant

    Christine Boutin réagit vivement à la décision du Conseil Constitutionnel :

    « Une fois de plus, le Conseil démontre son caractère politique. Aucun élément de droit n'est pris en compte dans cette décision. Il s'agit d'une décision guidée par la simple volonté de propagande d'un lobby qui a décidé de mettre à mal notre civilisation. Aujourd'hui, le Conseil Constitutionnel chosifie l'enfant et rompt le pacte républicain. J'en appelle à tous les français de bonne volonté, aux maires, aux élus, entrons en résistance ! Cette résistance déterminée et pacifique s'inscrira dans la durée mais nous ne laisserons pas sombrer la France et défendrons la dignité de la personne humaine partout et tout le temps. Le 26 mai marquera une grande manifestation, venez massivement. Je demande au Président de la République de ne pas promulguer cette loi. Au-delà de cette date, notre combat continuera et on ne lâchera rien ! Le Parti Chrétien-Démocrate s'engage à combattre dans chaque ville où ses élus sont présents la loi Taubira, à continuer le combat partout en France jusqu'à son retrait pur et simple. »

    On me signale qu'il y a déjà 3 paniers à salade devant le Conseil Constitutionnel.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com

  • Mariage gay: flashmob du Printemps français devant l'Apple store à Paris

    Apple et d’autres entreprises américaines estimaient récemment que l’interdiction du mariage gay cause du tort aux entreprises. Le mouvement Printemps français accuse la marque à la pomme de financer le lobby homosexuel.

    Le Printemps Françaisorganise une flashmob devant l’Apple Store du Carrousel du Louvre à Paris afin de dénoncer la collusion de nombreuses multinationales avec le lobby gay, soutenu financièrement par Apple et plusieurs dizaines d’autres multinationales.

    C’est une même idéologie qui sous-tend ces multinationales et le lobby gay : l’ultra-libéralisme qui agit contre la famille, les liens naturels et sociaux authentiques.

    A son lancement, Apple s’est positionné comme alternatif en signant « Think different » ; cette marque s’est placée dorénavant au service de la pensée unique, soutenue par le discours des dominants (politiques, principaux médias et multinationales).

    Le Printemps Français rétorque « think TRES different » par une manifestation pacifique et symbolique avec des familles et des jeunes, rassemblés autour d’activités ludiques et artistiques partagées.

    On voudrait nous faire « marché » mais la France entre en résistance.

    On Ne Lâche Rien !

    L’Express en rend compte ainsi :

    Le Printemps français a organisé mercredi un flashmob devant le magasin parisien d’Apple pour dénoncer le financement de la marque à la pomme du lobby gay.

    Le Printemps français part en guerre contre les multinationales qui soutiennent la cause homosexuelle. Mercredi, le mouvement organisait un flashmob devant le magasin parisien d’Apple pour "dénoncer la collusion de nombreuses multinationales avec le lobby gay, soutenu financièrement par Apple et plusieurs dizaines d’autres multinationales".

    Pourquoi Apple et pourquoi maintenant ? Parce que la marque à la pomme, tout comme 250 autres entreprises, ont récemment (re)fait leur coming out : elles soutiennent le mariage homosexuel.

    Intel, Facebook, Barnes & Noble, eBay, Qualcomm et d’autres firmes de la Silicone Valley, en Californie, estiment en effet que "l’interdiction du mariage gay cause du tort aux entreprises en impliquant une mauvaise ambiance de travail, favorise les motifs de grève et permet de favoriser la discrimination à l’embauche".

    Cette prise de position intervient alors que la Cour suprême américaine a ouvert en mars un "débat historique" sur ce sujet ultra-sensible. Si les quatre cinquièmes des Etats du pays interdisent l’union entre deux personnes de même sexe, l’opinion publique y est favorable...

    L’Express

    Voir aussi sur le Huffington Post

    http://www.actionfrancaise.net

  • Hollande va offrir 280 millions d'euros au Mali‏

    Et en plus, ça le fait rire !...
    Une centaine de pays et d'organisations viennent de participer, à Bruxelles, à une conférence destinée à financer le plan de relance du Mali. L’aide qualifiée de « nécessaire » par les participants est estimée à 2 milliards d’euros.
    Il a été convenu entre gens « du même milieu » que l'UE donnera 520 millions d'euros. Hollande, toujours large avec l’argent des autres, prévoit d’offrir 280 millions. En regard des restrictions imposées aux Français par l’incompétence de la nomenklatura socialiste, cela s’appelle « se foutre du monde » !
    François Hollande, au côté du Président de la Commission Européenne Jose Manuel Barroso, a promis une aide financière pour la relance du Mali.
    Près de deux milliards d'euros pour le Mali. La communauté internationale s'est engagée ce mercredi à réunir cette somme lors de la conférence Ensemble pour le renouveau du Mali à Bruxelles. En vue de cette réunion, Bamako estimait le coût de son Plan pour la relance durable à 4,34 milliards d'euros. 
    François Hollande a promis une aide de 280 millions d'euros. En amont de la réunion, l'Union Européenne avait annoncé un don de 520 millions d'euros. La Banque Mondiale et la Banque islamique devraient mettre respectivement 250 et 130 millions d'euros. Le FMI, l'Organisation de la coopération islamique et d'autres grands pays ont également promis leur aide. 
    Douze priorités pour le Mali
    La préparation de cette conférence comprenait un plan avec 12 priorités, qui conditionnent le déblocage des sommes, parmi lesquelles figurent le maintien de la paix et l'organisation d'élections. Les autorités maliennes, soutenues notamment par la France, espèrent les mettre en place le 28 juillet. 
    L'argent, débloqué pour 2013 et 2014, sera également destiné à des programmes d'éducation, de santé, ou encore des projets de loi anti-corruption. 
    La France va lancer un dispositif, avec un site internet, afin de garantir l'efficacité de son aide et d'éviter le détournement ou la mauvaise utilisation des fonds. "Si un projet ne se réalise pas ou est en retard, les gens pourront prévenir par téléphone ou SMS, via une hotline, de ce qui n'a pas encore été fait", a expliqué le ministre au Développement, Pascal Canfin.
    De leur côté, les dirigeants maliens ont promis que l'aide serait bien utilisée. Ah bon ?...¢

    Avec l’Express (posté par Marino) http://www.francepresseinfos.com/