Les sentinelles de Rambouillet participeront au Jour de Colère le 26 janvier et le font savoir :
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Les sentinelles de Rambouillet participeront au Jour de Colère le 26 janvier et le font savoir :
LONDRES (NOVOpress) - Le ministre de la Justice du Royaume-Uni Damian Green étudie actuellement différentes options qui permettraient de contourner un jugement de la Cour européenne des droits de l’homme rendu en juillet dernier, stipulant que la prison à vie sans aucune perspective de libération constitue un traitement inhumain et dégradant.
Cette décision de Strasbourg a ouvert une brèche qui incite des condamnés britanniques à faire appel. Une des pistes envisagées par David Cameron serait de mettre en place des peines de cent ans, à l’image de la loi américaine : « Il y a des gens qui commettent des crimes si atroces qu’ils doivent être envoyés en prison et pour lesquels perpétuité doit signifier perpétuité réelle. Quoi qu’en dise la Cour européenne, nous devons prévoir des aménagements pour nous assurer qu’il en soit toujours ainsi », a-t-il prévenu.
Parallèlement, Damian Green travaille à l’élaboration du manifeste pré-électoral du Parti conservateur, qui prévoit de réformer les relations entre le Royaume-Uni et la Cour européenne. Les ministres les plus influents s’accordent sur la nécessité de conférer à la Cour suprême britannique l’autorité ultime d’interpréter la législation des Droits de l’homme, afin d’empêcher Strasbourg d’étendre son pouvoir dans sa juridiction. « Les lois britanniques doivent être faites en Grande-Bretagne. Je veux restaurer la respectabilité des Droits de l’homme. Je pense qu’il est absurde et préjudiciable que ce terme soit désormais agité comme un épouvantail », a expliqué Damian Green, qui voit dans cette dérive « un signe que le système se détraque horriblement ».
L’incroyable démesure opposée par Manuel Valls à l’humoriste Dieudonné et sa fameuse quenelle mérite attention. Comment et pourquoi un ministre de l’Intérieur a-t-il transformé un geste potache antisystème en un débat politique national ?
Manuel Valls a affirmé étudier toutes les possibilités d’interdire les spectacles organisés par Dieudonné. Parce qu’ils choquent une partie de la communauté juive ? En gardien du temple républicain, Manuel Valls devrait être un farouche défenseur de l’égalité. Pourtant, il faut bien constater que Manuel Valls n’envisage pas de répondre avec la même vigueur en interdisant les spectacles ou expositions qui pourraient choquer les chrétiens, sans quoi son ami Jean-Michel Ribes aurait quelque souci à se faire. Valls n’envisage pas non plus d’interdire Charlie Hebdo dont le contenu dépasse régulièrement toutes les limites de l’acceptable en terme d’humour et de caricature.
Bien sûr, il serait parfaitement cohérent qu’un ministre assume un traitement distinct, mais dans ce cas les préférences d’un ministre français devraient reposer sur une préférence nationale et, pourrait-on ajouter, catholique, compte-tenu que les racines de la France sont catholiques de par le baptême de Clovis.
Mais l’observation de l’attitude de Manuel Valls, loin de ces deux hypothèses, pose une question : est-il ministre de France ou d’Israël ?
Cette question n’est pas une provocation. L’addition de faits et de déclarations légitiment notre interrogation. Osons rappeler des éléments précis.
Le 1er novembre 2010, Manuel Valls cosigne une tribune intitulée « Le boycott d’Israël est une arme indigne » publiée par le journal Le Monde.
Le 17 juin 2011, dans un centre communautaire juif de Strasbourg, Manuel Valls déclare : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ! Quand même ! ».
L'Etat contrôlait déjà les médias traditionnels, il commence à contrôler discrètement les médias internet, ce sont les signes critiques d'une dictature.
Si l'on prend l'exemple de l'affaire Dieudonné. Nous n'apprécions pas tous son humour, certains considèrent qu'il va trop loin, alors pourquoi ne peut il pas y avoir un débat public à son sujet ? Au moins dans les réseaux sociaux.
Les principaux médias internet publient régulièrement de nombreux articles très nettement orientés contre Dieudonné. Mais depuis quelques jours on peut remarquer que tous les commentaires sont eux aussi clairement orientés contre lui. On ne trouve plus aucun commentaire en sa faveur, comment croire que tous ses partisans se taisent ? La censure est passée par là. Les seuls commentaires qui ne sont pas censurés sont faibles et n'ont aucune valeur.
Qu'est ce que cela signifie ?
L'Etat tente de diaboliser l'humoriste, par l'intermédiaire des médias qu'il contrôle. L'Etat organisera ensuite des troubles publics à la fin des spectacles pour avoir une raison valable d'interdire ses représentations.
Suivront ensuite des condamnations pécuniaires très élevées, assorties de l'interdiction légale de demander de l'aide par Internet pour payer.
Dieudonné sera ruiné et les médias auront l'interdiction de parler de lui. Il ne sera pas mis en prison, pour éviter tout mouvement massif de contestation, il lui sera interdit de s'exprimer sur Internet.
Et voila, le tour est joué.
Dieudonné disparaîtra de la scène publique et les médias distrairont la population avec d'autres thèmes : burqa dans les écoles, coupe du monde de foot, puis le grand duel qui s'annonce entre Sarkosy et Hollande.
L'Etat a clairement l'intention de tout contrôler, étouffer tous les mouvements d'oppositions par des moyens discrets mais efficaces. Même s'il y a un réel mouvement de contestation catalysé par Dieudonné et non pas créé par lui, empêcher d'en débattre va faire resurgir cette contestation autrement et de façon beaucoup plus violente.
Mais ça n'ira pas très loin. Les meneurs seront eux aussi mis hors d'état de nuire, les médias ne relaient et ne relayeront pas ce qu'il se passe réellement.
Cela continuera ainsi pendant longtemps.
Mais nous n'irons pas vers une dictature… puisque nous y sommes déjà depuis toujours ! Rien ne changera. Les seuls changements se font sur la forme, mais dans le fond, c'est toujours la même chose.
C'est à chacun de nous d'arriver à se débrouiller, se passer l'information pour ne pas se faire avoir par les rouages tous puissants du système.
Merci à des médias encore libres comme AgoraVox de nous laisser nous exprimer, pour encore combien de temps ?
source
Pourquoi si peu de militaires osent-ils dénoncer la situation actuelle de l’armée ? À cause de leur devoir de réserve ?
Cela reste un mystère. Y compris pour votre serviteur. Pourtant, je peux vous assurer que chaque jour que Dieu fait, ça râle dans les popotes. Le problème essentiel tient au fait que si les militaires sont courageux physiquement, ils ont oublié qu’ils exerçaient un sacerdoce au service d’une terre et d’un peuple et non d’un gouvernement. Cela étant, ce devoir de réserve est plus que jamais imposé par des politiciens qui redoutent les forces armées et l’on constate tristement que la parole est beaucoup moins libre aujourd’hui qu’elle l’était dans les années 1930. La « grande muette » conserve plus que jamais son appellation.
Les opérations extérieures auxquelles notre armée participe ne prouvent-elles pas qu’elle est encore opérationnelle ?
Opérationnelle pour quoi ? Par rapport à quoi ? Cela dépend avant tout de la nature de l’adversaire. À quelle armée digne de ce nom l’armée française a-t-elle été confrontée depuis la chute de l’URSS ? Quant à l’engagement en Afghanistan, l’opération est loin de constituer un succès. Lors de l’embuscade de la vallée d’Uzbin à l’été 2008, c’était la première fois depuis très longtemps que notre armée perdait autant de soldats en si peu de temps ! Alors, bien sûr, il arrive que notre armée, à force de système D, de volonté et de ténacité fasse de véritables miracles. Comme au cours de l’opération Serval au Mali. Mais sérieusement, quel ennemi avions-nous face à nous ?
Vu sur usine-digitale.fr :
« Suite aux révélations du journal allemand Der Spiegel sur l’étendue de l’infiltration de la NSA dans les infrastructures informatiques, voici une liste de 10 outils de cyberespionnage stupéfiants utilisés par la National Security Agency.
Le journal allemand Der Spiegel a lancé des révélations chocs sur le cyberespionnage à partir de documents confidentiels partagés par l’ancien consultant de la NSA Edward Snowden. Voici un palmarès des outils les plus fous utilisés par la National Security Agency pour nous espionner.
Il semblerait que pour chaque porte verrouillée par les fournisseurs d’équipements réseaux, les produits informatiques et les télécoms, la NSA possède une clé. La liste complète de ces outils disponible ici.
FEEDTHROUGH
Juniper Networks n’est ni plus ni moins que le 2e équipementier mondial de systèmes réseaux pour entreprises. Ses pare-feux Netscreen permettent de faire respecter la politique de sécurité d’un réseau informatique, définissant quels types de communication y sont autorisés. La NSA inflitre ce périmètre sécurisé grâce à Feedthrough.
DEITYBOUNCE
Deitybounce permet d’installer des logiciels malveillants de façon permanente, notamment sur les serveurs “PowerEdge” du fabricant mondial de PC Dell. La NSA implante son malware dans les “BIOS”, ces logiciels sur la carte mère d’un ordinateur qui sont les premiers éléments installés au démarrage de l’appareil. Le PC ou serveur infecté semble fonctionner normalement, et même s’il est nettoyé, et son contenu entièrement effacé, les logiciels espions de la NSA restent logés de façon invisible. Dell a répondu à cette révélation.
JETPLOW
Jetplow permet d’installer des logiciels espions permanents dans les pare-feux du géant mondial des réseaux informatiques Cisco. Il peut aussi “modifier le système d’opération des pare-feux de Cisco au démarrage”. Une option de “porte dérobée permanente” permet aussi “un accès complet”. Cisco a répondu à cette révélation.
HEADWATER
Headwater nstalle une “porte dérobée permanente“ (Persistent Backdoor) sur certains routeurs du fabricant de matériel informatique chinois Huawei. Ces “implants” espions peuvent être installés à distance via internet.
NIGHTSTAND
Nightstand est un appareil sans fil d’exploitation et d’insertion de données, “typiquement utilisé quand on ne peut accéder à une cible via une connexion internet.” Il permet des attaques de loin, jusqu’à près de 13 kilomètres de distance de la cible.
PICASSO
D’apparence assez habituelle voire désuète, Picasso est un téléphone sans fil avec puce GSM (dont deux modèles de Samsung) qui permet de “collecter les données d’utilisateurs, des informations de géolocalisation et le son d’une pièce”. Ces données peuvent être récupérées via un ordinateur portable ou bien par SMS “sans alerter la cible”.
COTTONMOUTH-I
Pour le novice, cet outil ressemble à un port et câble USB inoffensifs. Mais à l’intérieur, se cache une carte mère qui fournit “un pont sans fil dans un réseau cible, ainsi que la possibilité d’introduire des logiciels « exploit » sur des ordinateurs portables ciblés.” (Un “exploit” permet à un logiciel malveillant d’exploiter une faille de sécurité informatique dans un système d’exploitation ou un logiciel.) Autrement dit, la NSA peut introduire un cheval de Troie dans n’importe quel ordinateur.
IRATEMONK
Iratemonk est un logiciel malveillant qui infecte des ordinateurs portables et de bureau en attaquant le firmware de disques durs fabriqués par Western Digital, Seagate, Maxtor et Samsung, qui sont toutes à l’exception de la dernière, des entreprises américaines. Le firmware, ou microprogramme, concerne l’ensemble des instructions et des structures de données qui sont intégrées dans le materiel informatique.
TOTEGHOSTLY 2.0
Toteghostly 2.0 est un implant logicel à destination du système d’exploitation Windows Mobile, qui permet d’extraire et d’installer des données à distance. La NSA peut ainsi accéder aux SMS, liste de contacts, messages vocaux, géolocalisation, fichiers audio et vidéo, etc. de l’appareil.
CANDYGRAM
Candygram est une “station GSM active”, qui permet d’imiter le comportement d’une tour de téléphonie cellulaire et ainsi de repérer et monitorer des téléphones portables. Quand un appareil ciblé entre dans le périmètre de la station Candygram, le système envoie un SMS à l’extérieur du réseau à des téléphones “espions” préalablement enregistrés.
Tout cela sans compter Dropoutjeep qui permet à la NSA d’installer des logiciels espions sur les iPhone, et sur tous les appareils iOS et collecter ainsi des données sans que la “cible” s’en aperçoive. »
La force de la chrétienté, tient notamment au fait que chaque année liturgique qui passe et revient inexorablement constitue un cycle où se renouvelle sans cesse l’espérance des peuples. En cette octave de Noël 2013 où j’écris, à la veille de la nouvelle année, nous avons plus que jamais besoin de cette espérance pour notre France, fille aînée de l’Eglise, dont la survivance, aux mille maux qui l’accable, est menacée.
Si la France venait à disparaître sous le coup de ses ennemis de l’extérieur constitués en oligarchies anonymes et apatrides, mais aussi et plus gravement sous les attaques sournoises de ses ennemis de l’intérieur formés par le régime républicain à la trahison perpétuelle, qu’on le sache, ce serait un drame pour tout Français bien sûr, mais aussi pour le monde entier. La restauration monarchique en France, c’est à dire la restauration de l’État qui domine les partis inféodés à la finance, indépendant des groupes de pression et des calculs de carrières, serait un signe universel envoyé aux nations du monde.
C’est dire la responsabilité qui est la nôtre dans le combat que nous menons. Nous ne cherchons pas à mettre quelques monarchistes à la place des républicains au pouvoir. Nous ne voulons pas créer un parti électoral, lequel, utilisant les miettes médiatiques de communication que nous concéderait le régime pour mêler notre voix à celles des troupeaux bêlants qui veulent se faire entendre sur la manière dont il doivent être tondus, chercherait à recueillir honteusement un peu de reconnaissance du système.
Notre quête est plus chevaleresque.
Qu’on nous entende bien, nous ne cédons à aucun lyrisme grandiloquent. Tout bien pesé, c’est aussi la démarche la plus pragmatique, celle que le maître de Martigues nous a enseignée.
Si en effet les « hommeries » selon l’expression de saint Augustin, se répandent de façon anarchique avec force idéologies prométhéennes, c’est que le régime babélien qui est en place est à la mesure de l’anarchie organisée qui profite essentiellement aux puissances financières du monde. C’est donc, comme nous l’enseigne Maurras, le régime qu’il faut abattre et non cautionner, avec ce faux réalisme de notables que dénonçait avec force Bernanos. La France réelle qui semble se réveiller aujourd’hui, constitue le plus sûr levier sur lequel s’appuyer pour mettre fin à la république destructrice de la France.
Chers camarades d’Action française, trois des nôtres passent en jugement au début de l’année 2014, pour cause de crime de lèse-majesté à l’encontre du président normal. Des attaques se multiplient aussi de toutes parts contre notre mouvement qui se développe dangereusement aux yeux de nos ennemis. Cela montre que nous sommes sur la bonne voie et que nous commençons à déranger.
Nous ne lâcherons rien et redoublerons l’intensité de notre combat. Plusieurs rendez-vous sont d’ores et déjà inscrits dans tous nos agendas. Le 18 janvier notamment nous dirons notre fait aux représentants du régime en prophétisant sa chute inéluctable.
Et nous rendrons hommage au roi assassiné.
Auparavant, je souhaite à tous nos militants la paix illuminée du Roi des rois, puissant parmi les puissants et humble parmi les humbles. L’enfant de Noël dans la pauvre crèche, adoré, non par les grands du monde, mais par les bergers et le petit peuple, figure bien cette France aimée du pays réel.
Joyeux temps de Noël à tous, vive la France et vive le Roi.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action Française
Une chronique de Philippe de Lachapelle, directeur de l'Office chrétien des personnes handicapées (OCH) :
« Libres d’aimer ». C’est le titre d’un reportage sur un établissement belge pour adultes handicapés mentaux. Cet établissement serait un modèle dans la façon d’accompagner la vie affective et sexuelle des personnes handicapées mentales. Chacun doit pouvoir vivre selon ses désirs et ses sentiments, dans « une ouverture d’esprit que nous devons tous avoir » explique un éducateur.
On découvre au fil de l’article la façon dont on y accompagne les relations amoureuses des résidents : « On leur propose de prendre d’abord un repas ensemble, d’essayer de partager une nuit pendant le week-end. Ils pourront ensuite profiter des vacances pour dormir dans une chambre à deux… A nous de les aider ensuite à faire exister leur couple ». Il faut aussi, nous dit l’article, anticiper et gérer les ruptures : « Il est arrivé qu’on aide à écrire une lettre de rupture » explique un éducateur, en précisant toutefois qu’il n’est pas facile de gérer la souffrance de celui qui est délaissé.
Vigilance sur le libre consentement, prévention de la violence, tout est prévu et semble se dérouler de la meilleure des façons, même si l’on ressent un malaise. L’établissement a été jusqu’à mettre en place une cérémonie des « accordailles ». Ce terme, pas bien joli, reconnaissons-le, consiste en un échange d’alliances au cours d’une célébration présidée par le directeur lui-même. Une façon de contractualiser sans passer par le mariage qui ferait diminuer les allocations ! On garde quand même la tête sur les épaules !
« C’est un lieu très respectueux de la vie affective des personnes accueillies » précise une responsable. On aimerait la croire, mais le doute se renforce lorsque le directeur indique que les enfants ne sont pas prévus dans les accordailles. D’ailleurs le contrat d’accueil stipule que les résidents doivent utiliser obligatoirement une contraception. « Nous n’avons pas les moyens d’accueillir des familles – se justifie-t-il – en outre, je sais trop combien d’enfants de parents handicapés mentaux doivent ensuite être placés »
Alors « libres d’aimer » ? Oui, mais pas trop quand même ! Aimez-vous, mais ne nous embarrassez pas avec les fruits de votre amour. On ne saura pas les garder, vos enfants, ils devront être placés, eux aussi! Et on comprend soudain le malaise ressenti : cette violence dans ce contrôle invasif de l’intimité qui prévoit tout, dès le premier accueil -contraception obligatoire-, jusque dans la fausse douceur d’un accompagnement qui s’immisce partout."
Le Centre Lesdiguières vous invite à la conférence de Marion Sigaut
Historienne iconoclaste spécialiste du 18ème siècle, elle insiste sur le rôle des Lumières aux quelles elle reproche leur anti-humanisme. Son approche est nouvelle, rompant avec la simple critique anti-progressiste du siècle qui prétend avoir mis fin à « l’obscurantisme ».
sur "L’opposition parlementaire janséniste à la royauté"