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LE DÉSERT CHINOIS CACHE UN GIGANTESQUE OCÉAN SOUTERRAIN
Le bassin du Tarim, dans la province chinoise du Xinjiang, est l’une des régions les plus sèches de la planète. Du moins à sa surface. Sous le bassin, les chercheurs chinois viennent de découvrir un gigantesque océan souterrain.
Au total, la quantité d’eau salée pourrait atteindre dix fois le volume des cinq Grands Lacs américains réunis. ” C’est une quantité d’eau terrifiante“, déclarait le professeur en charge de l’étude Li Yan au South China Morning Post. ” Personne n’avait jamais imaginé qu’il puisse y en avoir autant sous le sable. Nous allons devoir revoir notre définition du désert.”
UN COLOSSAL PUITS DE CARBONE
Les scientifiques ont pris conscience de l’existence d’un phénomène anormal dans le bassin du Tarim pendant leur travaux de recherche sur le réchauffement climatique. Ils se sont aperçus que du dioxyde de carbone disparaissait dans le bassin sans qu’aucune raison n’explique cette anomalie.
Le bassin est en fait un colossal “puits de carbone”, c’est à dire une zone de la planète qui participe à limiter le réchauffement climatique. Habituellement, ces zones sont des forêts ou des océans. En mesurant des échantillons de dioxyde de carbone dans plus de 200 emplacements à travers le désert, les scientifiques ont été capables d’estimer la quantité d’eau infiltrée dans le bassin.
” Notre estimation est pessimiste. Le volume d’eau pourrait être encore bien plus impressionnant“, a précisé Li Yan. Il est également probable qu’il y ait de nombreux autres océans souterrains dans le monde, selon le professeur. Il y aurait en effet mille milliards de tonnes de carbone “manquantes” dans le monde.
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Ce qui est choquant
Les Européens sont sans cœur, c'est une chose entendue, néanmoins je ne peux m'empêcher d'aggraver mon cas personnel et de rejoindre Yves Daoudal qui soulève les bonnes questions sur le drame de la mort du petit Aylan...
"On nous montre en boucle la photo d’un petit garçon mort noyé sur une plage turque. Et une armée de moralistes (tous politicards sans convictions et sans scrupules) entend nous tirer des larmes. Cette image « montre notre inhumanité », paraît-il.
Ce que je comprends, c’est que c’est l’image qui est censée faire accepter l’invasion musulmane aux opinions publiques européennes qui y sont réfractaires, comme viennent de le montrer des sondages.
Certes la mort d’un enfant est tragique. Mais…
1 – On tue légalement des enfants par dizaines chaque jour dans nos hôpitaux. Et il paraît que c’est un droit des femmes.
2 – En quoi la mort d’un enfant syrien sur une plage turque doit-elle nous émouvoir davantage que la mort d’un enfant péruvien sur la rive bolivienne du lac Titicaca ?
3 – Pourquoi les parents de cet enfant n’ont-ils pas demandé l’asile à la Turquie ?
4 – Comment se fait-il qu’aucun de nos moralistes politico-médiatiques ne se demande pourquoi les « réfugiés » musulmans – qui crient Allahou Akbar au moindre problème et dont toutes les femmes sont voilées - se précipitent tous en Europe et non dans les pays musulmans richissimes qui longent le Golfe persique et où l'on parle arabe ?"
Pour finir, une illustration trouvée sur Facebook, qui se dispense de commentaires :
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Courageuse Rania de Jordanie
Les propos tenus par la Reine Rania de Jordanie il y a quelques jours concernant les musulmans sont passés quasiment inaperçus dans les médias.
Certes, ceux-ci ont informé de la visite à Paris de la Reine et de ses filles, mais peu d’entre eux ont évoqué son passage à l’université d’été du MEDEF où elle a déclaré :
Les musulmans modérés à travers le monde ne font pas assez pour gagner la lutte idéologique qui est au cœur de cette bataille.
Ce n’est pourtant pas rien ! Voilà une personnalité de premier plan, femme et musulmane, qui dit sans craindre et sans risquer de se faire accuser d’islamophobie, d’amalgame ou de fascisme ce que beaucoup chez nous pensent. Cela devrait faire réfléchir et interpeller. Eh bien non, c’est passé dans l’indifférence générale.
Et pourtant, son propos est de bon sens.
Attentats ou tentatives d’attentats de Charlie Hebdo, de l’église de Villejuif, de Saint-Quentin-Fallavier en Isère, du Thalys… auxquels on peut ajouter les prétendus malades mentaux qui foncèrent dans les marchés de Noël de Nantes, Dijon et Joué-lès-Tours et peut-être aussi l’incendie des cuves de pétrole de Fos-sur-Mer… tout ceci en 8 mois… seuls nos ministres visionnaires et grands stratèges se permettent encore de nier l’existence d’un ennemi de l’intérieur prêt à mourir pour la cause de l’islam.
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Le gouffre des finances publiques : l'échec de la démocratie représentative
Pour Yvan Blot la cause politique première de la dette des Etats occidentaux est à chercher dans la démocratie représentative. Celle-ci confie le pouvoir à des gérants irresponsables prisonniers de la préférence pour l’immédiat. A contrario, la Suisse faiblement endettée montre les bienfaits de la démocratie directe.
Polémia
Tous ruinés dans dix ans, tel est le titre d’un ouvrage récent de Jacques Attali. Dans ce livre, l’auteur dit : « Jamais, sauf en période de guerre, la dette publique n’a été aussi élevée dans les pays occidentaux ».
La démocratie représentative : des gérants irresponsables
C’est vrai mais il ne dit pas pourquoi. La vraie raison est que la démocratie représentative pure est devenue un régime oligarchique gouverné par des gérants irresponsables : politiciens mais aussi hauts fonctionnaires des finances, dirigeants de syndicats et associations irresponsables, dirigeants des médias, etc. Attali ajoute : « Jamais l’endettement n’a fait peser autant de dangers sur la démocratie ! » Là, il se moque du monde car nous ne sommes plus en démocratie sinon formellement et c’est la démocratie directe qui permettra de sortir de cette spirale infernale de l’endettement, comme le montrent de façon différente les exemples islandais et suisse. Enfin, Attali propose, pour réduire cette crise, de réduire les dépenses publiques mais surtout d’augmenter les impôts et de réduire le pouvoir d’achat par l’inflation. Autrement dit, Attali propose de réduire les dépenses publiques mais surtout d’augmenter les impôts ou de réduire le pouvoir d’achat par l’inflation, c’est-à-dire que le contribuable paiera les fautes des gérants de l’Etat et des banques. C’est ce que les Islandais ont récemment rejeté par référendum !
« La préférence pour l’immédiat » (Hoppe)
Le livre d’Attali est superficiel. Pour comprendre pourquoi nos Etats se sont tant endettés, il faut lire les analyses du professeur d’économie Hans Hermann Hoppe, Allemand vivant aux USA, sur « la préférence pour l’immédiat ». Selon lui, conformément aux travaux de l’école autrichienne libérale (von Mises et von Hayek), seuls les propriétaires et pères de famille sont prêts à investir systématiquement à long terme. Les gérants non propriétaires veulent gagner le maximum à court terme, en raison de leur statut instable de gérant. Or, notre société est dirigée principalement par des gérants : les élus politiques et les managers ; ils agissent avec l’argent des autres et perdent donc toute prudence ! C’est vrai des politiciens comme des banquiers non propriétaires de leur établissement. Le professeur d’économie Pascal Salin montre quant à lui que nous ne sommes plus en régime capitaliste car ce ne sont pas des propriétaires mais des « managers » qui dirigent et qui prennent des décisions où le court terme est l’horizon déterminant.
La préférence pour l’immédiat fait des ravages en Occident. Le comportement correspondant est celui du « je veux tout et tout de suite » des enfants mal élevés et des délinquants. Pour Hoppe, la crise démographique, la montée du crime, l’accroissement de l’endettement public et même l’invasion migratoire ont une cause commune : la préférence pour l’immédiat. Les pouvoirs publics ne défendent pas l’espace public contre les intrus avec autant d’énergie que le feraient des propriétaires privés.
Dans le secteur privé, comme dans le secteur public, les propriétaires responsables sont marginalisés par les managers irresponsables qui négligent le long terme. Il faut responsabiliser les décideurs. En politique, Hoppe préconise la privatisation du pouvoir (retour à la monarchie !) mais on peut aussi prôner la démocratie directe, les deux n’étant nullement incompatibles, comme le montre le Liechtenstein. Ses suggestions ont fait l’objet de débats passionnés aux USA mais la France est restée à côté de la discussion, politiquement correct oblige !
Supériorité de la démocratie directe en gestion des finances publiques
L’étude, censurée en France, des professeurs Feld et Kirchgässner (2008) montre que les outils de la démocratie directe, le référendum financier, le référendum veto, voire l’initiative populaire, permettent de réduire le niveau des impôts et des dépenses de 30% et le niveau des dettes publiques de 50%. Ces résultats ont été prouvés par des études empiriques portant sur de longues périodes aux USA et en Suisse. Ils ne sont pas étonnants. Depuis longtemps, les économistes du « public choice » montrent qu’en régime parlementaire pur, les politiciens ont intérêt à faire des cadeaux à leurs électeurs et donc à augmenter les dépenses. Le financement est assuré par des impôts frappant des minorités électorales (IRPP) ou des impôts indolores (TVA) ou l’endettement qui reporte la charge sur les générations futures. Les socialistes sont passés maîtres pour faire ces largesses avec l’argent des autres mais ils ne sont pas les seuls !
En Suisse le référendum financier
En Suisse, au niveau cantonal ou municipal, existe une arme redoutable pour lutter contre cette dérive : le référendum financier. Les dépenses publiques très fortes ou les dépenses récurrentes sont en effet soumises à des référendums obligatoires. Ainsi, les citoyens de Zurich ont refusé par deux fois la construction (très chère) d’un métro ! Ils ont préféré le tramway et le maire (socialiste) a dû se résigner. Tout ce qui est palais des congrès, tours en centre-ville ou cité administrative géante est soumis au bon vouloir des citoyens qui imposent souvent le retour à la mesure et à la raison. De même, l’endettement est soumis à référendum, ce qui a pour effet d’en réduire le montant. Une autre arme est le référendum facultatif ou référendum veto. Par pétition, les citoyens peuvent contester une décision de l’assemblée locale ou nationale et déclencher un référendum. C’est ainsi que les citoyens suisses ont par trois fois refusé la TVA. Celle-ci a fini par être adoptée mais avec un taux très faible. Quant à l’initiative populaire, elle a permis de réduire les impôts pour obliger les pouvoirs publics à réduire les dépenses lorsque l’outil du référendum financier n’existait pas : on se souvient de la Californie du temps de Reagan et de la proposition 13 ! Les citoyens et les propriétaires jouent avec leur argent, les oligarques avec l’argent des autres Pourquoi les citoyens freinent-ils les dépenses, les impôts et l’endettement lorsqu’on les consulte ? C’est que leur argent à eux est en cause alors que les oligarques politiques, syndicaux ou de la fonction publique ou des banques jouent avec l’argent d’autrui. Dans nos sociétés occidentales, les classes moyennes ont un poids électoral prépondérant. Il s’agit souvent de petits propriétaires qui n’ont pas des réflexes de gérants à court terme ! C’est pourquoi une bonne gestion exige que la démocratie des propriétaires l’emporte sur l’oligarchie des managers. C’est ce qui se passe en Suisse.
Petit fait significatif : la Suisse s’appelle officiellement, en allemand, « Schweizerische Eidgenossenschaft ». On traduit à tort (y compris en Suisse) par « Confédération suisse ». Mais le mot « Genossenschaft » signifie « association de copropriétaires » ; « Eid » veut dire « serment ». L’expression veut dire mot à mot : Association de copropriétaires unis par un serment de se défendre en commun. On est loin de l’Etat socialiste ou de l’Etat abstrait des Jacobins !
Yvan Blot
Président de « Agir pour la démocratie directe » , 17/10/2011 -
Michel Onfray réagit à la sortie de BHL sur les migrants: "Il ferait mieux de rester caché"
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Il est urgent de rapprocher les agriculteurs des consommateurs
Jean-Louis Laureau, fondateur des Journées paysannes livre à Famille chrétienne son analyse de la crise agricole. Extraits :
"La crise actuelle n’est plus du tout conjoncturelle, mais bien structurelle. Ce sont les symptômes d’une société qui a perdu le sens du réel, le sens du lien à la terre. Pour vivre, il faut à tout homme de l’air, de l’eau, et de la terre car l’aliment vient de la terre. Or, le produit de la terre aujourd’hui n’est plus considéré comme vital. On le perçoit comme une sorte de produit manufacturé qui doit arriver au consommateur au plus bas prix. Le budget des ménages consacré à l’alimentation est de plus en plus bas. Et à côté de cela, les coopératives et les industriels font en sorte que les agriculteurs ne fixent plus leur prix. Quelques acheteurs réduits à moins d’une dizaine imposent un prix qui ne correspond pas au coût de production. En plus de cela, les agriculteurs doivent faire face à des normes de plus en plus contraignantes et coûteuses. En somme, on ne respecte plus ni la terre ni les familles qui cultivent la terre.
Pensez-vous que les 3 milliards d’euros demandés par le président de la FNSEA, Xavier Beulin, puissent enrayer la crise ?
Quelles que soient les sommes attribuées, cela ne peut résoudre le vrai problème. Rafistoler les trésoreries ne peut que retarder une échéance. Certes, en retardant l’échéance, on pourra sans doute avancer sur certains sujets, mais il faudra beaucoup plus que cela pour résoudre un problème d’envergure.
Comment alors véritablement assainir le système ?
Plus que l’assainir, il faut en sortir. Il est d’abord urgent de rapprocher les agriculteurs des consommateurs. Pour cela, il faut que les consommateurs retrouvent le sens d’une bonne alimentation, et acceptent de consacrer une part plus importante de leur budget à la nourriture. Il faut ensuite une politique française, européenne et mondiale qui protège les exploitations familiales contre les aléas et la volatilité du marché. L’incessante variation des prix est absolument épouvantable pour les exploitations familiales.
Vous côtoyez de nombreux agriculteurs. Quelles sont leurs principales difficultés ?
En plus des problèmes de trésorerie que l’on a évoqués, il y a principalement la surcharge de travail. Certes, le travail manuel est soulagé par les techniques modernes, mais les agriculteurs sont de moins en moins nombreux sur les exploitations : des domaines de trois cents hectares sont parfois menés par une ou deux personnes. Les charges administratives deviennent aussi insupportables et prennent beaucoup de temps. L’agriculteur n’a plus le temps de prendre du recul et de réfléchir. Il y a ensuite les contrôles incessants qui provoquent une certaine appréhension. Enfin, la solitude pèse aussi sur de nombreux agriculteurs, qui n’ont plus de voisins et souvent plus de vie communale ni de vie paroissiale, car les églises sont fermées. La conséquence de tout cela est un désespoir très fréquent. [...]"
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La Russie et la Manif Pour Tous
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Terrorisme : le débat autour des fiches S
Dans les mois écoulés plusieurs attentats terroristes, plus qu'abominables, commis en France ont ensanglanté le pays et bouleversé l'opinion.
Or, on a constaté que, parmi leurs auteurs, qu'il est toujours de bon ton de qualifier de "suspects", "présumés", "soupçonnés" on connaît les identités respectives de :
- Yassin Salhi "suspect" [appréhendé sur les lieux] de l'attaque à Saint-Quentin-Fallavier le 26 juin
- Ayoub El-Khazzan "auteur présumé" de l’attaque commise dans le TGV Thalys le 21 août
- Sid Ahmed Ghlam, "soupçonné" d'avoir tué une femme d'un projet d'attentat contre une église de Villejuif le 19 avril
- Amedy Coulibaly délinquant multi-récidiviste français, passé au terrorisme islamiste pour devenir l'un des auteurs des attentats de janvier 2015
- les frères Chérif et Saïd Kouachi auteur du massacre de "Charlie Hebdo" le 7 janvier.Parmi les traits communs à ces individus on a pu remarquer qu'ils avaient tous été fichés "S" par les services de renseignement français. À l'époque de l'affaire Merah certains y avaient vu la déconnection entre le renseignement et la répression, et, pourquoi pas une guerre des polices.
La diffusion de cette information a engendré, sans surprise, des réactions d'indignation des protestataires partisans de méthodes expéditives. "Yaka" expulser tous les bénéficiaires d'un fiches S.
Moins radical que d'autres, plus moderne et technologique sans doute, le député des Alpes-Maritimes Christian Estrosi envisage l'utilisation de bracelets électroniques. Ceci aurait sans doute pour effet de signaler très officiellement à tous ces suspects qu'ils sont surveillés etc.
On les compte en principe environ 5 000, quoique le député socialiste Jean-Jacques Urvoas président de la Commission des lois, et spécialistes de ces questions au sein du parti gouvernemental, ait pu évoquer sur son blog un nombre de 10 000.
En réalité la question semble mal posée : le fichage des individus, institué en France depuis 1969 sous le sigle FPR, Fichier des personnes recherchées, touche environ 400 000 personnes réparties en 21 catégories. Ce fichier technique est exclusivement destiné à l'usage forces de police et il peut circuler en dehors de nos frontières, dont on peut rappeler aussi la faible étanchéité.
Les "S", c'est-à-dire les gens que les bureaux de la DCRI jugent susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l'État n'en constituent qu'une partie infime. Mais, dans leur cas, comme dans pratiquement tous les autres cas, il s'agit de listes administratives et non judiciaires, établies dans un but pratique sans aucune conséquence coercitive, en dehors d'exceptions comme "V", les personnes évadées, etc.
En l'état il est assez clair que ces listes ne sont pas adaptées au désir "d'expulsion" manifesté par les adeptes du "Yaka".
On peut et on doit par conséquent demander une surveillance plus active et plus opérationnelle des "S", un traitement particulier des suspects d'activités terroristes, une moindre promptitude à sortir des listes sensibles les probables "agents dormants" et une meilleure définition commune dans le cadre de l'Europe des polices.
Il existe d'excellents penseurs de la chose militaire pour nous dire que "nous ne sommes pas en guerre" car "nous sommes malades" : ce n'est malheureusement pas incompatible, d'autant plus que la maladie ronge particulièrement le cerveau des élites qui nous dirigent.
À l’époque de la guerre d'Algérie, – pardon : il fallait dire alors "les événements" – les esprits lucides dénonçaient la collusion "entre ceux qui nous dirigent et ceux qui nous combattent". Les choses ont-elles tellement changé ?
JG Malliarakis
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JT du Vendredi 04 Septembre 2015