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  • L’idée nationale-socialiste est française

    La naissance d’un véritable socialisme français, libéré des éléments démocratiques, capitalistes et libérales, tous plus pernicieux les uns que les autres, est une réalité. Ce socialisme qui allie le social et le national a été porté certes par Toussenel, Proudhon et Sorel, mais aussi et surtout par les maîtres classiques du nationalisme en France.

    Édouard Drumont qui a créé le terme de « national-socialisme » dans son journal La libre parole en 1892.

    Maurice Barrès qui se présente « candidat républicain socialiste nationaliste » à la députation de Nancy en 1900.

    « Je ne crains jamais d’insister sur l’union de l’idée socialiste et de l’idée nationaliste (…) (et insiste sur) la puissance convergente de ces deux principes (…) Nationalisme engendre nécessairement socialisme. »

    Maurice Barrès – Scènes et doctrines du nationalisme.

    « Un socialisme libéré de l’élément démocratique et cosmopolite peut aller au nationalisme comme un gant bien fait à une belle main. »

    Charles Maurras – Dictionnaire politique et critique.

    « Qu’est-ce en effet, que le Fascisme ? Un socialisme affranchi de la démocratie. Un syndicalisme libéré des entraves auxquelles la lutte des classes avait soumis le travail italien. Une volonté méthodique et heureuse de serrer en un même faisceau tous les facteurs humains de la production nationale (…) Devant les résultats de cette politique de la main tendue, il est normal que les démocraties, ayant adopté la formule du poing tendu, se soient donné pour mot d’ordre commun l’antifascisme. »

    Charles Maurras – Mes idées politiques

    « L’idée nationale-socialiste de la primauté du travail et de sa réalité essentielle par rapport à la fiction des signes monétaires, nous avons d’autant moins de peine à l’accepter qu’elle fait partie de notre héritage classique. »

    Maréchal Pétain – Revue des Deux mondes 15 septembre 1940.

    « La dictature de l’Argent n’eut pas d’adversaires plus résolus que les maîtres du nationalisme français. »

    Henry Coston  – Les financiers qui mènent le monde.

    Les militants de la cause doivent logiquement démontrer cette cohérence entre leur doctrine et leur action politique.

    Croisade fasciste2

  • Le droit du sol élargi !

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    POLITIQUE (Présent 8564)

    8564-Une.jpgEn pleine déferlante migratoire, une nouvelle loi sur l’immigration votée en douce dans le dos des Français le 8 mars à l’Assemblée prévoit d’élargir le droit du sol aux frères et sœurs d’individus nés en France, mais également de régulariser les clandestins malades.
    Pendant qu’on nous endormissait avec la Journée de la Femme et que des députés hommes se préoccupaient de se faire prendre en photo (dans un studio professionnel) avec du rouge à lèvres, une Assemblée aux trois quarts vides – une dizaine de députés socialistes, aucun député FN et un seul député Les Républicains – votait une loi accélérant le processus d’immigration invasion.

    L’article 59 de ce texte ouvre la nationalité française à leur majorité, aux personnes vivant sur le territoire français « depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France […] lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française par le droit du sol ». Il s’agit d’une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française, un droit du sol indirect en somme, transmis par le lien de fratrie. Le droit du sol français pourra donc désormais s’appliquer à des personnes nées à l’étranger !

    Cette loi permet également à un clandestin malade d’être automatiquement régularisé dans le cas où « l’offre de soins et les caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire » ne lui permettent pas d’y être soigné. C’est-à-dire également s’il n’a pas les moyens personnels d’accéder aux soins dans son pays. On mesure le vaste appel d’air. Et que doivent faire les sans-dents et les sans-yeux qui n’ont pas les moyens d’accéder aux soins en France ? Ils vont se faire poser des bridges en Gambie ?

    Cette loi frénétiquement immigrationniste dont plusieurs articles affaiblissent également le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière, accélère encore le processus du remplacement. Elle est passée dans le silence le plus total des médias et des politiques, lesquels du Front national aux Républicains disent vouloir revenir sur le droit du sol et l’acquisition automatique de la nationalité française.
    L’hémicycle était vide.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/199281/droit-du-sol-elargi/

  • I-Média S03E06 I-télé Europe 1, bobard calculette sur les migrants.

  • 40 Days for life : 304 bébés sauvés de l'avortement

    Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…

    Michel Janva

  • La BCE face à la nouvelle tourmente financière

    Marc Guyot et Radu Vranceanu, professeurs à l’ESSEC
    ♦ Très bonne chronique économique synthétique et réaliste.
    Les armes des politiques économiques, tant budgétaires que monétaires, sont émoussées, face à la crise.
    L’économie mondiale se dirigerait-elle vers une nouvelle crise ? Depuis le début de l’année 2016 l’instabilité financière ne cesse de croître, comme l’indiquent de nombreux indicateurs comme la baisse des indices boursiers, la remontée de l’indice VIX mesurant la volatilité des indices boursiers, la hausse des primes de CDS sur les banques européennes ou encore la hausse des taux d’intérêt sur la dette souveraine de pays comme le Portugal, alors que l’or, dans le même temps, est en forte hausse.
    Cette tourmente financière est-elle fondée et est-elle le signe avant-coureur d’une nouvelle crise économique? Les éléments objectifs qui pourraient fonder un cycle dépressif sont le ralentissement chinois, le ralentissement des pays exportateurs de matières premières et l’effondrement de l’industrie manufacturière dans les pays développés liées aux industries pétrolières et minières. Le net ralentissement des économies d’un grand nombre de pays au 4ème trimestre 2015 semblerait donner de la substance à ce scénario. L’indice PMI qui mesure l’activité industrielle indique une contraction en Chine et aux Etats-Unis depuis plusieurs mois.
    Vers un modèle économique chinois tiré par la consommation
    Après des années de croissance, l’économie chinoise semble avoir atteint un pallier difficile à franchir. Les autorités veulent passer d’un modèle tiré par les investissements et les exportations vers un modèle tiré par la consommation, suivant les exemples réussis du Japon et de la Corée du Sud. Cependant, une telle évolution, qui suppose la fermeture des entreprises inefficaces et une réorientation de l’économie, ne pourra pas se faire sans un changement profond des institutions actuelles qui engendrent une corruption systémique et de l’inefficacité productive massive notamment dans le secteur productif public.
    Même si sa capitalisation est faible, l’effondrement du marché boursier chinois en dépit de l’interdiction de la vente à découvert, a révélé la fragilité du système financier, dominé par des banques locales dont la gestion du risque laisse beaucoup à désirer. Le mouvement actuel de fuite des capitaux hors de Chine, malgré les barrières à la sortie des fonds, et les difficultés de la Banque Centrale à stabiliser le yuan, renforcent les inquiétudes sur l’aptitude des autorités à gérer un atterrissage en douceur. Le ralentissement chinois se propage depuis un an à l’ensemble du monde via le ralentissement des importations chinoises de produits manufacturés et de matières premières (-18,8% en valeur sur un an).
    Tous les pays qui exportent vers la Chine sont touchés directement et tous les pays producteurs de pétrole et de matières premières sont touchés indirectement par l’impact négatif de ce ralentissement sur les prix. Concernant la baisse spectaculaire autant qu’inattendue du prix du pétrole, le ralentissement chinois n’est pas la seule cause mais il y contribue fortement dans un contexte d’offre abondante venant de la guerre entre les pays producteurs, notamment l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis.
    L’impuissance des autorités politiques et monétaires
    Dans ce contexte macroéconomique objectivement tendu, se rajoute une forte incertitude venant de l’impression que les autorités politiques et monétaires n’ont plus aucun moyen de stimuler l’économie. En effet, les gouvernements sont toujours en phase d’austérité pour gérer l’endettement public massif d’après la crise de 2008 et ont peu, ou pas de marge d’action supplémentaire pour augmenter la dépense publique ou réduire les impôts. En effet, la plupart des dettes nationales frisent l’insoutenable, notamment au Japon, aux Etats-Unis et dans les pays d’Europe du Sud. Même si les taux d’intérêt de long terme sont extrêmement faibles pour l’instant, les politiques de relance par déficit public présentent des risques énormes dans la mesure où le défaut souverain d’un pays développé pourrait provoquer un effondrement complet du système financier.
    Les Banques Centrales se doivent de constater qu’après des années de taux d’intérêt de court terme à zéro et d’injections directes de liquidités via le « Quantitative Easing », l’économie mondiale n’est jamais repartie que faiblement et par intermittence, et connaît une nouvelle phase d’incertitude causée par la conjonction du ralentissement et de la désinflation générale.
    Un risque de déflation dans la zone euro
    Dans la Zone euro tout particulièrement le risque de déflation est toujours présent, avec un taux d’inflation hors prix des aliments et de l’énergie à seulement 0.8% en croissance annuelle sur le mois de Février, et un taux d’inflation général à -0.2%.
    Cette situation questionne l’efficacité des politiques monétaires extrêmement expansionnistes mises en place par la BCE. Les injections massives de liquidités via le programme d’achats mensuels d’obligations du Trésor et autres actifs, ainsi que les prêts aux banques à prix cassés, n’ont manifestement pas abouti à la croissance souhaitée des crédits au secteur privé, dont le volume demeure quasiment stable depuis janvier 2015. Il est à craindre qu’une bonne partie de ces liquidités ait été utilisée par les banques pour financer les industries pétrolières et minières actuellement en crise. La chute de ces industries et des secteurs connexes laisse présager la présence de créances douteuses. A ce facteur de risque se rajoute une chute de la profitabilité anticipée des banques provoquée par le passage en négatif des taux d’intérêt sur leurs dépôts auprès de la BCE.
    Pas de miracle à attendre
    Les investisseurs et les politiques attendent avec impatience des nouvelles mesures de la part de la BCE, que Mario Draghi pourrait annoncer jeudi 10 mars. Il ne faut pas attendre de miracles. Les taux négatifs ont déjà montré leurs limites. L’expansion de la base monétaire par achat d’actifs ne semble pas pouvoir stimuler le crédit. Reste encore non-testée la possibilité d’imprimer des billets et les envoyer par la Poste aux consommateurs. Il n’est pas sûr, cependant, qu’en situation de déflation ces consommateurs ne souhaiteraient pas les garder au fond de leur tiroirs, voire les échanger contre une monnaie censée s’apprécier contre l’euro au fil du temps (dollar, franc suisse).
    L’inefficacité des politiques monétaires et budgétaires ne laisse qu’une option possible aux gouvernements de la Zone euro et notamment des pays du Sud de l’Europe. Ils doivent provoquer un choc de confiance et de mobilisation via le lancement d’un programme de réformes structurelles pour libérer l’initiative individuelle, rendre le marché du travail plus flexible et dynamiser l’activité.
    Marc Guyot et Radu Vranceanu, 9/03/2016
    Source :La Tribune,,
    http://www.polemia.com/la-bce-face-a-la-nouvelle-tourmente-financiere/

  • Guerre en Syrie : pour une histoire de pipelines ?

    Pourquoi l’U.E. laisse-t-elle les USA l’entraîner dans cette guerre « froide » et peut-être « chaude » avec la Russie ?

    Pourquoi l’Union européenne laisse-t-elle les États-Unis l’entraîner dans cette guerre « froide » et peut-être « chaude » avec la Russie, contre ses propres intérêts ? Tout cela pour soutenir l’Ukraine, un des pays les plus corrompus (Le Monde du 5 février 2016) ?

    Dans Le Monde diplomatique de juin 2015, Jean-Pierre Chevènement explique que « la russophobie médiatique relève d’un formatage de l’opinion comparable à celui qui avait accompagné la guerre du Golfe en 1990-1991. Cette mise en condition de l’opinion repose sur l’ignorance et l’inculture s’agissant des réalités russes contemporaines, quand ce n’est pas sur une construction idéologique manichéenne et manipulatrice. »

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  • Communauté nationale, la communauté de l’anneau.

    Voilà une nouvelle qui devrait réjouir tous les patriotes sincères. L’anneau de la sainte, la pucelle martyre d’Orléans qui symbolise parmi nos héros, ce qui s’est fait de plus absolu en matière de patriotisme, est revenu en notre terre de France.

    Volé à Jeanne par l’évêque Cauchon, l’anneau était en Angleterre depuis 1431. Il vient d’être racheté lors d’une vente aux enchères par Nicolas de Villiers, président du parc du Puy du Fou pour la somme de 376 833 euros. Ornée de trois croix et de l’inscription « Jhesus Maria », l’anneau de la pucelle, dont peu soupçonnaient l’existence revient chez nous. Curieusement, nous n’avons pas vu, ni entendu exulter le personnel politique à cette nouvelle, tellement cette « classe particulière » n’a de vision de l’Histoire de France qu’idéologique, c’est-à-dire partiale et partielle. Pourtant la fête de Jeanne d’Arc est une fête nationale officielle que la République a su reconnaître, certes en se faisant un peu tirer l’oreille, par les « nationaux » la canne à la main. Quand donc ils affichent leur patriotisme en ces temps de crise et abusent du drapeau et de la Marseillaise, nous serions bien naïfs de croire en leur sincérité, qui se situe au même niveau que celle qu’ils affichent au salon de l’agriculture par exemple, passages obligé. Une voix est une voix et dans un quinquennat qui est jonché d’épisodes électoraux, on ne saurait rien gaspiller.

    Ceux qui aiment vraiment la France, espace historique de solidarité humaine, et qui sont démoralisés par l’affaissement de notre beau pays dans tous les domaines, que ce soit économique et social bien sûr, mais aussi culturel, moral, spirituel – jusqu’ aux travailleurs de la terre qui se désespèrent parce qu’abandonnés au profit de l’industrie agro-alimentaire qui écrase les marchés (qu’est ce qu’un pays sans paysans ?) – c’est le moment de relever la tête. Nous avons certes l’impression parfois d’arriver à la fin de l’Histoire avec l’écroulement d’une civilisation, aggravé par une invasion allogène anarchique et consentie, voire (mal) organisée par nos « élites » apatrides. [....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communaute-nationale-la-communaute

  • [Communiqué] Loi El Khomri : Une réforme ratée, les vrais problèmes occultés

    Voici le communiqué de l’Action française sur la loi El Khomri :Une réforme ratée, les vrais problèmes occultés.

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